Odette 6 – Un voyeur surgi de nulle part par Bernard_le_photographe

Puisque d’un commun accord, on avait décidé de poursuivre notre relation, chaque rencontre se devait d’être excitante d’une manière ou d’une autre. Vous allez voir que le hasard fait assez bien les « choses » :

Ce jour là, en février, il faisait très beau mais un gros mistral soufflait sur la « côte bleu » où nous devions déjeuner

Mais avant je voulais photographier Odette, car elle avait une jupe évasée sous une veste courte, des bas noirs à coutures et un string que je voulais voir. On trouva un lieu idéal : un tout petit port avec sur un côté de la jetée une passerelle en lames de bois et balustrade à claire-voie

Odette marcha naturellement au bord, il y avait quelques promeneurs et moi, je la suivais dessous pour voir ses cuisses, ses bas, sa culotte. Elle adorait se prêter à ces jeux et je la fis arrêter à plusieurs reprises pour faire des photos. Il y eut un petit truc intéressant lorsque je vis un couple à quelques mètres d’elle, je l’appelais pour qu’elle me regarde en bas, suffisamment penchée pour que l’homme se retourne plusieurs fois échangeant quelques mots avec sa compagne. Il avait, c’est sûr, vu ses cuisses et peut-être sa culotte !

Puis nous trouvons un restaurant, tranquille puisque nous sommes seuls et j’en profite pour photographier Odette discrètement montrant ses jarretelles, sa culotte, et ses seins visibles sous un bustier transparent !

On s’excita un peu pendant le repas puis après en faisant des photos devant une gare, sur un banc. Avec ou sans culotte Odette exhibait ses charmes avec un plaisir évident et partagé, avec le risque d’être vue.

On décida d’aller vers Martigues afin de trouver des lieux tranquilles, le mistral était violent dans le sous bois où on s’arrêta pour flirter et en même temps je montrais à Odette la revue d’annonces coquines « Swing » pour la nommer.

Mon idée était de répondre à des annonces en tant que couple pour trouver un (ou une) partenaire. Odette n’était pas tentée par les femmes, elle y viendra plus tard, je raconterais ça.

On cocha quelques annonces puis je posais la revue sur le tableau de bord et on flirta à nouveau lorsqu’une voiture passa.

On n’y prêta pas attention et un peu après on démarra pour visiter ce sous bois. On arriva en cul de sac sur une petite falaise dominant l’étang de Berre. On sortit pour voir le paysage et profiter du vent de plus en plus fort pour faire des photos.

Mais il faisait froid, on retourne vite à la voiture et on tombe nez à nez avec un jeune gars :

– Si vous voulez, je peux vous prendre en photo ?

Très surpris de voir ce gars venu de nulle part, je lui dis :

– Non, merci, il fait trop froid !

Pas très grand, pas très beau, mais très sympa, il répond :

– J’ai ma voiture, là bas, au soleil, c’est abrité du vent !

Et il propose de nous suivre dans ma voiture, pour déjà être à l’abri du mistral. Il monte derrière Odette et je lui demande d’où il sort :

– Ben, je vous ai croisé dans la voiture tout à l’heure, j’ai vu la revue « Swing » et j’ai pensé que vous cherchiez peut-être un partenaire ?

C’était franc au moins. !

– Mais pourquoi ici ?
– C’est un coin où des couples viennent flirter avec des voyeurs qui matent.
– Ah, bon, je ne savais pas ça (c’était vrai) et qu’est ce qui vous fait dire qu’on cherche ça ?
– Rien, sauf que votre femme porte des bas, c’est pas courant !
– Vu la différence d’âge, je peux te tutoyer ?
– Oui, bien sûr, j’ai 27 ans et j’aime beaucoup les femmes qui ont des tenues excitantes
– Tu la trouves excitante, ma femme ?
– Oh, oui, c’est vrai, Madame, je vous trouve très sexy.

Odette flattée le remercie et ajoute perverse :

– Mais tu sais, on n’a jamais fais ça, nous, qu’est ce qu’ils font les couples qui viennent ici ?
– Ben il y en a qui flirtent dans la voiture, qui se déshabillent et nous on regarde
– Nous ? Parce que vous êtes plusieurs à mater ? demandais-je.
– Des fois on est cinq ou six autour, ça leur plait, il y en a qui exhibe leur femme, d’autres qui font l’amour, d’autres nous disent de nous masturber…
– Et vous le faites ?
– Oui, c’est très excitant, et même il y en a qu’on peut toucher, c’est encore mieux.

Il disait tout ça avec naturel, tout en regardant « ma femme »

– Et tu t’es déjà retrouvé seul dans une voiture avec un couple ? continuais-je
– Comme maintenant, non, jamais !
– Et bien comme tu es très sympa, même si elle n’a jamais fait ça, je vais te montrer un peu ma femme, qu’est ce que tu veux voir en premier ?
– Oh, merci, vous êtes gentil, je voudrais voir ses bas, ses cuisses.
– Tu entends chérie, tu veux bien ?

Elle joue le jeu, fait sa timide quand je la fais pivoter tout en abaissant son dossier.

Appuyé contre la portière, je lui fais poser les pieds entre les deux sièges, genoux relevés, sa jupe glisse, révèle les bas, ses cuisses, les jarretelles !

Notre jeune ami a la bouche ouverte, fasciné par ce qu’il voit !

Mo, j’éprouve un plaisir immense d’être le mari qui exhibe sa femme en sachant qu’elle aussi est très troublée.

Je la retrousse encore jusqu’à ce que la petite culotte soit visible :

– Ça te plait, tout ça ?
– Oh, oui, alors, elle est belle !
– Ça ne te gène pas, chérie ?
– Un peu quand même, mais s’il ne touche pas je veux bien.

Un jeu volontairement hypocrite dont je profite : je lui écarte les jambes, caresse les cuisses.

– Chérie, ça me plait que tu t’exhibes devant un inconnu, au point où on en est ouvre ta veste ! Tu vas voir les seins qu’elle a ma petite femme, regarde ça !


Elle tient la veste ouverte sur son bustier transparent, les tétons raides de désir

– Oh, oui, qu’ils sont beaux !

Je les caresse

– Regarde ses tétons qui bandent, ça t’excite hein, chérie ?
– Oui, j’aurais jamais cru pouvoir faire ça, fais-lui voir tes seins, chéri !
– C’est vrai, tu veux ?
– Oui, il est gentil, autant qu’il en profite

Je soulève alors son bustier et soupèse ses seins, lui touche les tétons, elle gémit sous mes caresses.

– Qu’est-ce qu’ils sont beaux vos seins !
– Comment c’est ton prénom ! lui demandais-je
– Alain !
– Tu sais ce qu’on va faire, Alain ? Ça te plairait de la toucher je suppose ?
– Euh oui !
– J’adore faire des photos coquines de ma femme en extérieur, on ne l’a jamais fait avec un partenaire et si elle est d’accord et toi aussi bien sûr, je vous prend en photo, rassure toi, c’est que pour nous
– Oh, oui, moi je m’en fous ! Répond-il
– Et toi chérie ?

Elle fait semblant d’hésiter

– Je sais pas mais si ça vous plait à tous les deux je veux bien essayer.
– Merci chérie, il faut que ça te plaise aussi, hein ? Qu’il te caresse doucement comme tu aimes
– Oui, si on me caresse bien, je suis capable de tout, tu le sais ?
– Alain, fais voir comment tu vas lui caresser les seins.

Les yeux brillants, il avance sa main droite et touche doucement un sein.

Elle respire fort :

– C’est bon, chérie ?
– Oh, oui, ça m’excite d’être caressée par un autre, devant toi.
– Je rêvais de voir ça, un jour, le hasard nous a servi tu vois, caresse ses cuisses, Alain !

Très excitable, Odette frémit sous ses doigts, je suis sûr qu’elle mouille déjà, mais je leur dis d’arrêter car on n’a pas l’espace pour faire des photos, je propose d’aller vers sa voiture.

Mais en y allant, je dis à Odette de laisser ses seins à l’air pour qu’Alain lui caresse !

Effectivement on trouve un coin abrité du vent grâce à des murets et on sort de la voiture. J’enlace « ma femme » devant Alain tout émoustillé. Je lui relève la jupe sur les fesses

– Regarde, Alain qu’est-ce que tu en penses ?
– Oh ! Qu’elle est belle, ses jambes sont superbes !
– Tu te sens prête à faire ça, chérie ? Notre ami va te toucher, tu vas tout lui montrer, tu peux encore refuser !
– Oui, je crois que je suis prête
– Tu entends, Alain ? Viens caresser ses fesses, je sens qu’elle est bien excitée et si tu le fais bien, tu vas la voir se transformer en vraie coquine

Il s’approche alors qu’elle est contre moi et je regarde par-dessus son épaule les mains d’Alain frôler ses cuisses, ses fesses. Ça m’excite énormément de l’offrir et quand je touche sa minette à travers sa culotte, elle frémit et je la sens déjà humide !

– Ça t’excites de faire la cochonne, hein, chérie ? Tu es déjà mouillée.

Je glisse un doigt dans sa fente et le ressors trempé, le montre à Alain

– Regarde comme ça l’excite !

… et je le fais sucer à ma « chérie »

– Bon, maintenant, je prends l’appareil, je veux garder des souvenirs de cette première fois

Je les fais mettre un peu plus loin côte à côte et je dis à Alain de faire ce qu’il veut mais avec douceur. Je me régale de le voir tout fébrile ne sachant pas où donner des mains, tantôt sur ses seins, tantôt sur ses cuisses ! On est en plein soleil, je lui fais enlever sa veste et ses seins pointent sous le bustier noir.

Je demande à Alain de me les montrer, les prenant dans ses mains ou de relever le tissu

Elle fait très bien la femme réservée qui se laisse faire, puis je lui dis de me montrer ses bas de face, de dos, de montrer son string, je suis le voyeur de ma femme avec un inconnu.

Je lui fais ôter la jupe puis :

– Vas-y touche la partout, ça à l’air de lui plaire, grâce à toi, elle va devenir une vraie petite salope, hein chérie ?
– Oui, ça me plait, maintenant, caresse moi Alain, j’ai envie !
– Tu peux lui embrasser les fesses pour une photo, et devant aussi !

Il se met à genoux, la lèche partout, je la fais se pencher et pose l’appareil pour m’approcher.

Je lui caresse les seins, le dos, puis sous son nez j’écarte le string !

– Regarde sa belle chatte, Alain !
– Oh, oui, elle est superbe !

J’écarte ses fesses et sa chatte et lui demande :

– Est-ce qu’elle coule ? elle est trempée, non ?
– Oui, trempée !
– Est-ce que tu as déjà vu une femme fontaine ?
– Non, j’ai entendu parler
– Et bien, je t’en présente une ! Si tu l‘excite bien, elle coule carrément, vas-y, touche sa chatte et tu verras !

Odette a un sursaut quand un doigt la pénètre et un petit jet de mouille gicle sur la main d’Alain qui reste ébahi !

– Tu es prête, chérie ? Alain va te lécher, d’accord ? Tu vas lui couler dans la bouche ?
– Oh, oui, faites, ce que vous voulez, j’ai trop envie !

Je reprends l’appareil tandis qu’il commence à la lécher. Elle écarte bien les jambes debout, bien penchée, et après tout juste dix secondes de léchages, il s’écarte, incrédule, le visage, la bouche surtout, trempée

– J’ai jamais vu ça, putain, que c’est bon, ça me plait !

Je m’approche encore je lui dis de bien écarter la chatte de « ma femme », je glisse une main, un doigt juste sur son clito et presque aussitôt un, deux, trois jets puis pleins de gouttes sortent de sa chatte, c’est toujours impressionnant. Puis je lui enlève le string et on refait des photos où il l’écarte, l’exhibe de mieux en mieux, mais il fait un peu frais et on se rapproche de la voiture où je la fais allonger nue sauf porte jarretelles et bas.

Je lui écarte les cuisses et la lèche moi aussi, puis je lui demande de se masturber devant nous après avoir glissé une serviette sous elle.

Pendant qu’elle le fait, je sors mon sexe et dis à Alain de faire pareil. Il a une belle queue bien raide avec un gros gland. Odette est en train de jouir et je lui dis de regarder ; les yeux exorbités elle se branle encore plus en fixant nos sexes et jouit encore !

Je lui dis alors :

– Pour que tu sois une vraie petite salope, il faut que tu suces notre ami !

Sans un mot elle se redresse aussitôt et assise au bord du siège elle pose sa bouche sur le gland turgescent ! Je fais plusieurs photos en demandant à Alain de se retenir parce qu’elle aime recevoir le sperme sur elle.

Il est fou d’entendre ça, mais promet de tenir bon. J’approche aussi mon sexe :

– C’est bien, chérie, bravo, tu te rends compte de ce que tu fais ? Tu suces un inconnu qui t’as tripoté, léché….
– Oui, je me rends compte, je ne sais plus, je suis une salope, et ça me plait !
– Branle-toi en même temps, tu vas encore jouir devant nous !

Sa bouche passe de l’un à l’autre, elle halète, tremble, je la repousse alors vers le dossier, lui écarte les jambes au maximum.

– Fais toi jouir d’abord et on t’arrosera après, vas-y, fais plaisir à ton mari !

Un spectacle superbe :

Deux doigts dans la fente trempée faisant des clapotis qui s’agitent très vite, elle crie son plaisir d’un coup et dit :

– Vite, giclez sur moi, vite !

Je laisse faire Alain en premier pour les photos, en quinze secondes il éjacule un sperme assez liquide qui coule partout et quand il se recule, je me fais sucer encore un peu :

– Regarde ce qu’elle aime, ma petite cochonne, je vais tout lui mettre sur le visage, ça vient chérie, ça monte !

Elle ferme les yeux et la bouche en se masturbant encore et je me vide sur son visage en sept ou huit giclées bien épaisses que je m’empresse de photographier.

J’entends encore Alain murmurer :

– J’ai jamais vu de salope comme elle !

Il nous remercia chaleureusement en espérant nous revoir, ça ne s’est jamais produit, hélas !

A suivre…

Juin 2005

la photo ne représente pas Odette… mais elle est jolie, non ?

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2 réponses à Odette 6 – Un voyeur surgi de nulle part par Bernard_le_photographe

  1. paul dit :

    Merci mais chez moi je n’arrive pas a voir tout le contenu de l’article, c’est normal ?

    • Eddy dit :

      Vérification faite tout est normal quelque soit le navigateur utilisé.
      Je suppose que vous avez un problème de saturation de mémoire
      il faut redemmarer votre PC

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