Nadine et la chambre 107 par Cosi-cosa

Nadine et la chambre 107

Attention, âmes sensibles, c’est scato !

Nadine est une jeune infirmière de 27 ans au joli visage joufflu. Brune aux cheveux courts.

Elle se dirige vers la chambre 107. Une jeune femme aux long cheveux châtain clair l’attendait, deux bras et une jambe plâtrés, reliés à un capharnaüm de câbles et de poulies. Ces premiers mots en là voyant furent :

– J’en ai ras le bol de ces merdes, soupira-telle, on me les retire quand ?
– Encore un peu de patience mademoiselle Carole. Deux ou trois jours m’a dit le médecin.
– J’espère car je commence à en avoir vraiment marre.

Nadine compatit et dit :

– Vous avez besoin de quelque chose tant que je suis là ?
– Oui, répondit-elle, j’ai envie de faire pipi.

Nadine prit le pistolet et écarta les draps. Elle le plaça devant le vagin de Carole.

– Vous pouvez y aller, dit la jeune infirmière.

Carole poussa sur sa vessie et se libéra. Un flot de pisse doré gicla de sa chatte.

– Humm ! Ça fait du bien. J’avais envie depuis plus d’une heure.
– Je vois ça.
– Dites… Nadine… C’est bien Nadine, n’est ce pas ?
– Oui.
– Dites Nadine, vous aimez voir pisser les filles ?

L’infirmière rougit.

– Pas spécialement. Pourquoi ?
– J’ai l’impression que vous prenez plaisir à me regarder faire pipi.
– Je fais juste attention à ce que tout rentre bien dans le pistolet c’est tout.

Carole sourit et poussa un soupir de satisfaction quand les derniers jets d’urine s’écrasèrent en résonnant au fond du pistolet.

– Vous pouvez m’essuyer les lèvres s’il vous plait ?
– Oui, bien sûr.

Elle déchira un morceau de papier d’un rouleau mural et essuya le sexe de la jeune femme.

– Ho oui ! Comme ça ! Humm !

Nadine vira à l’écarlate.

– Je vous en prie mademoiselle. Quelqu’un pourrait vous entendre.
– Ho ! Pardon. Je suis désolée. Mais votre main est si caressante que… Je crois que j’ai aussi envie de faire caca.

L’infirmière soupira.

– Allons-y !

Carole souleva un peu le bassin pour que Nadine puisse glisser la bassine. L’infirmière détourna ensuite le regard.

– Vous pouvez y aller, dit-elle en regardant la porte.
– Je voudrais que vous me regardiez faire Nadine.
– Mais… !!! Vous êtes folle ??
– Je suis sûr que ça vous plairait de me regarder chier.

Nadine faillit la gifler, mais c’était le renvoi assuré.

– Mais non, je veux pas voir ça.
– Pourtant, vous regardez bien chier les autres.
– Mais non voyons.

Carole soupira à son tour.

– Bon, laisses tomber. Je ferais caca tout à l’heure. Murielle ne fait pas autant de chichi pour me regarder chier.

Nadine regarda la jeune femme de surprise.

– Murielle ? Ma collègue ?
– Oui bien sûr.
– Elle vous regarde… Faire caca ?
– Ouais ! Elle adore m’essuyer après.
– Vous êtes une cochonne mademoiselle Carole.
– Et alors ! C’est mal ?
– Non. Mais… C’est sale.
– Vous voulez voir ou pas ?

Nadine repensa au goût de la grosse bite de son compagnon qui ressortait parfois un peu merdeuse quand il l’enculait. Sa chatte remouilla.

– Bon d’accord, mais je ferme la porte avant.
– Allez-y, répondit Carole souriante.

Nadine tourna le verrou et revint vers la jeune fille.

– Tu peux m’écarter les fesses pour bien me dégager l’anus.

Nadine ouvrit les fesses à deux mains et planta son regard sur l’anneau de muscle. Carole poussa un râle et péta.

– Haaaaaa ! Ouiiii ! Ça vient là ?

Une merde se frayait un chemin par l’étroit couloir.

– Oui, répondit l’infirmière.
– Elle est de quelle couleur ?
– Marron, je crois.
– Ça pue ?
– Oui, un peu.
– Hooooo !

« Blong ». L’excrément tomba dans la bassine métallique. Un autre creusait sa route, plus gros encore. Carole cria.
– HAAAAAAAA !

Nadine se retourna vers la porte en mettant un doigt devant sa bouche.

– Moins fort, chuchota-t-elle.
– Désolé. Mais ça fait mal.

La grosse crotte tomba à son tour dans la bassine. Trois petites billes suivirent.

– Je crois que j’ai fini, dit Carole soulagée. Vous pouvez me torcher maintenant ?

L’infirmière arracha quelques feuilles de papier et essuya les fesses de la jeune femme. Dans un geste fou, elle porta ensuite le papier merdeux à ses narines, s’enivra un instant de son odeur, avant d’oser y mettre la langue. Elle jeta ensuite tout ça à la poubelle et lava la bassine.

– Bon voilà ! Ce sera tout ?
– Pour l’instant oui, merci.

Nadine quitta la chambre. Sa culotte à tordre.

Fin

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à Nadine et la chambre 107 par Cosi-cosa

  1. Naf Naf dit :

    Ma dernière lecture de la journée, parce que là je n’en peux plus, il faut que je me branle. Je reviendrais demain, j’ai mis Vassilia.net dans mes favoris

  2. Claire dit :

    Rapide, mais efficace. j’ai adoré

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *