Muriel et Sylvain, couple coquin. 10 – Retour au club par Sylvain_Zerberg

Muriel et Sylvain, couple coquin.
10 – Retour au club
par Sylvain_Zerberg

OK je vais lui raconter, mais à ma façon, déjà je zappe l’épisode du bistrot, j’ai tout simplement peur qu’elle ne me croit pas.

– On est allée chez un de ses copains, un artiste peintre homo qui faisait le portrait d’un biquet. Je les ai sucé et après elle leur a proposé de m’enculer.
– Et tu as été d’accord ?
– Ben oui !
– Et ça t’a plu ?
– Ben oui !
– Ecarte ton cul que je vois l’ampleur des dégâts !

Je m’exécute tandis que le martinet revient en action, mes fesses commencent à me piquer.

– Tiens, enculé, tiens pédé !
– Aïe !
– Et après, c’est tout ?
– Après j’ai baisé la nana !
– C’est elle qui te l’a demandé ?
– Oui !
– Et tu l’as payé ?
– Non, elle m’a rien demandé.

J’attends de nouveau le martinet, ça ne vient pas.

– Ouvre ton cul !

Elle m’introduit alors le manche du martinet, et le fait aller et venir. Ça me fait un peu mal, mais ce n’est finalement pas si désagréable.

– T’aime ça, hein pédale, t’es devenu un enculé, un suceur de bites. Dis-le que tu es un enculé, un suceur de bite !
– Oui, j’aime bien sucer des bites, j’aime bien me faire enculer !
– Salope ! Et moi ça m’excite que tu me le dises !

Elle me fait subir ce traitement environ cinq bonne minutes.

– Lève-toi, on va jouer à autre chose.

Elle est en train de retirer à toute vitesse son pantalon, elle enlève ensuite son string et me le met sous le nez, il est trempé, mais vraiment trempé, trempé de chez trempé !

Muriel mouille comme je l’ai rarement vue, elle en a jusqu’aux cuisses.

– Bouge pas, je reviens.

Elle revient avec une serviette de bain qu’elle pose sur le fauteuil avant de s’y affaler, jambes écartées.

– Viens me lécher !

On y va ! Ma femme est carrément en transe, elle se défait le haut afin d’accéder à son soutien-gorge dont elle dégage les seins, sans le retirer. Elle se pince alors les tétons avec une violence inouïe. Et pendant ce temps-là je lèche, j’avale sa mouille, puis lui agace le clito, elle gigote, elle halète, elle jappe, elle ne tient pas en place. Je m’applique sur son clito, il est dur comme du bois, et soudain elle gueule ! Un truc à alerter les voisins, mais heureusement les fenêtres sont fermées! Son corps s’est soulevé du fauteuil, elle retombe comme une chique molle, elle est en sueur. Elle est belle comme ça, belle d’avoir jouie, complètement débraillée, dépeignée, transpirante. Je l’aime. Je lui offre mes lèvres, elle les accepte. La crise est finie… et je bande.

– Bon on va manger, ça creuse tout ça ! Propose-t-elle.
– D’accord, mais je suis super excité, moi, Répondis-je en lui montrant ma bite bandé !
– Oui, ben, tant pis pour toi, ou plutôt j’ai une idée, j’ai une de ces envie de pisser, viens avec moi !

Je la suis dans la salle de bain.

– Ouvre la bouche, je vais te pisser dedans, et branle toi en même temps.

J’obtempère et avale tout ce que je peux de son nectar jaune qui coule d’abondance, tandis que ma main masturbe vivement ma bite. Je jouis assez vite trempée de sa pisse.

Une mini-douche, on se passe des peignoirs et on passe à table. J’avais une fin de loup, et étant donné la façon dont Muriel prenait les choses, je mangeais d’excellent appétit.

Au cours du repas, Muriel, très directive me fit part de son intention de retourner au club dès que notre agenda nous le permettrait et dans les conditions qu’elle avait édictées.

Nous étions libres le prochain Vendredi soir, nous irons donc ce jour-là.

Entre-temps, Isabelle tenta de me joindre. Par lâcheté, ou plutôt par crainte de me faire embobiner, je ne décrochais pas, me contentant de répondre d’un sibyllin texto « Après réflexions, je ne suis plus intéressé. Merci de ne plus m’appeler. » Elle en eut cure, elle continua. Je répondais à chaque fois du même message. A ce petit jeu, j’espérais qu’elle se lasserait la première.

La nouvelle soirée au club ne se passa pas du tout comme la première. Accueillis avec enthousiasme par le barman, celui-ci les yeux plein de concupiscence nous déclara :

– Je suis content de vous voir, j’espère que nous pourrons finir la soirée comme la semaine dernière !
– La dernière fois, c’est l’occasion qui a fait le larron. C’était très agréable mais nous souhaitons renouveler les plaisirs et aussi nos partenaires. Répondit Muriel.
– Dommage ! Bougonna le serveur visiblement dépité.

La soirée commençait à s’animer et les couples sur la piste devenaient de plus en plus débraillés et de plus en plus coquins.

Je dansais avec Murielle qui contrairement à la dernière fois ne me lâchait pas d’une semelle. L’ors d’une petite pause, un couple nous aborda : La fille véritable canon, la trentaine, fausse blonde en string et soutien-gorge, lui complètement nu (sans même de chaussettes), macho bodybuildé :
– Bonsoir, ça vous dirait de vous amuser avec nous ? Demande le Tarzan.
– Vous êtes bi ? Réplique Muriel
– Bien sûr que je suis bi, j’adore lécher les chattes ! Répond la bimbo.
– D’accord, mais vous ? Reprit Muriel s’adressant explicitement à Musclor.
– Ah, non, pas moi ! Répondit-il catégoriquement.
– C’est des pédés que vous cherchez ? Intervint lourdement la bimbo.

Monsieur muscle tourna les talons :

– Allez viens ! Dit-il à sa compagne qui maugréât quelque chose à notre égard d’assez inaudible mais qui ne brillait ni par son intelligence, ni par son ouverture d’esprit.

Un autre couple, plus cool, nous aborda à son tour.

La fille est mignonne, assez atypique, peu de formes mais une jolie frimousse avec plein de taches de rousseur. Elle est restée habillée, mais son chemisier imprimé semi-transparent est déboutonnée. Coquinement, elle l’écarte un petit peu pour nous dévoiler une ravissante petite poitrine au tétons arrogants.

L’homme est en jeans et chemise blanche ouverte, sa bite sort de sa braguette, elle ne bande pas mais offre un aspect tout à fait prometteur.

La femme était bi, mais quand Muriel posa la question à l’homme il répondit.

– Ah, non ! D’un air contrit.
– Quoi que ça dépend, vous cherchez quoi ? Intervint la femme.
– J’aime bien sucer ! Répondis-je.
– Ça ne va pas te tuer, et puis ce sera une première ! Reprit la femme (Alice) à l’intention de son mari. (Xavier)
– On peut toujours essayer ! Convint-il.

On dépose nos fringues au vestiaire et on part tous les quatre en cabine nus comme des vers

L’air de rien, je choisis la même cabine que la semaine passée, celle qui est équipé de deux glory-holes.

La cabine n’est pas verrouillée mais elle est occupée, une femme est en train de sucer une bite sortant de la paroi, tandis que son compagnon lui flagelle mollement les fesses avec une ceinture.

– Tiens, salope, t’aimes ça que je te fouette le cul pendant que tu suces des bites !

Il s’est rendu compte de notre présence, on va pour rebrousser chemin, mais le gars intervient.

– On vous laisse la place ! Allez, toi, arrête de sucer. C’est une sacrée salope, vous savez ! Si vous avez envie de vous faire sucer, n’hésitez pas, cette jeune personne est un réservoir de disponibilités

Effectivement en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire, la nana est entre les cuisses de Xavier qui ne refuse pas l’offrande proposée.

– Allez suce un peu l’autre monsieur et après on s’en va, on va laisser ces gens s’amuser ensemble.

A mon tour d’être gâté, elle suce bien mais tout cela a un goût de trop peu. Mais que voulez-vous, on ne peut pas tout avoir.

Ce couple parti, Muriel verrouille la porte, puis elle se dirige de façon très volontariste vers Alice afin de lui rouler un patin. Joli spectacle qui fait rebander Xavier et qui du coup me fait rebander aussi.

– Je vais sucer ton mec ! Annonce Muriel.

Et sans attendre de réponse, la voilà à genoux, la bite de Xavier dans la bouche. Alice veut venir vers moi, mais Muriel me fait signe de venir à ses côtés.

– Vas-y doucement donne juste des petits coups de langues, me dit-elle

C’est ce que je fais, on suce ensemble cette jolie bite, elle carrément et moi timidement. Le Xavier se pâme d’aise devant sa femme passionnée par le spectacle. Muriel me tend la bite de l’homme et me fait comprendre de la prendre en bouche à moi tout seul. Je le fais, et je ne sais pas si le gars s’est rendu compte du changement.

– Alors ça te fais quoi de te faire sucer par un homme ? lui demande Alice.
– Il suce bien !

Je continue m’appliquant le mieux possible, mais l’objectif n’est pas de le faire jouir, non plus !

Muriel et Alice se pelotent à tout va !

– C’est excitant de voir deux mecs se faire des trucs ! Lance mon épouse.
– C’est vrai ! Ça fait une dizaine de fois qu’on vient ici, mais ce genre de truc c’est une première.
– Tu crois que ton mec, il serait d’accord pour enculer le mien ?
– Ça serait rigolo ! Répond Alice, qu’est-ce que tu en penses Xavier ?

Le Xavier n’est pas très chaud. Sa femme insiste néanmoins.

Alors il a essayé, mais n’a jamais bandé assez pour le faire, on a donc laissé tomber la fantaisie pour faire du très classique, Moi avec Alice, Xavier avec Muriel, puis les deux femmes ensembles. Pendant qu’elles se gouinaient j’ai tenté une main sur la bite de Xavier, lequel m’a fait comprendre qu’il souhaitait en rester là.

Du coup on a été se rhabiller.

– Il faudra qu’on trouve un club carrément bisexuel ! Me dit Muriel.

A suivre

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2 réponses à Muriel et Sylvain, couple coquin. 10 – Retour au club par Sylvain_Zerberg

  1. leblanc dit :

    Ça tourne un peu en rond sur ce chapitre, c’est un peu dommage

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