Mon service dans le XVIème – Chapitre 2 par Isabelle de Cheverny

 

 

– « Madame », dis-je, « avant d’aller plus loin, je voudrais clarifier cette situation. Si j’accepte maintenant d’aller plus loin dans ce service, c’est uniquement pour le plaisir de vous être agréable, et non pas dans le cadre de mon emploi. Je ne veux pas qu’il y ait de malentendu. Je ne suis pas une prostituée qui serait payée pour ses services, mais un jeune homme féminisé consentant qui accepte de partager votre plaisir sans contrepartie. »
– « C’est entendu » dit Madame, « poursuivons maintenant ».

Elle guida ma main et m’engagea à masser plus précisément l’entrejambe de Monsieur, qui semblait satisfait de cette entrée en matière.

Madame ouvrit la braguette du pantalon et dégagea le membre gonflé de Monsieur de son slip. Sa verge était là, fièrement dressée devant nous.

Madame m’enjoignit de la rejoindre dans la suite du traitement spécial que nous prodiguions à son époux. Elle avait pris le sexe dans sa main gauche et le masturbait consciencieusement. J’observais la scène. C’était la première fois que j’étais témoin d’une telle situation. Jamais je n’aurai imaginé me retrouver dans ce rôle troublant. Mes fantasmes étaient restés à l’état de rêves inaccomplis et j’étais à cet instant en train de vivre des moments intenses.

Madame prit ma main droite, la posa délicatement sur le sexe de Monsieur puis appliqua la sienne sur la mienne en m’invitant à reproduire le mouvement de va-et-vient.

– « C’est bien, allez y doucement mais fermement, en rythme lent »

La sensation de tenir une autre verge que la mienne dans ma main et de la masturber était étrange et excitante.

Madame me guidait dans mes gestes et m’apprenait à donner du plaisir à son homme. Moi, assise sur le bord de ce fauteuil, dans ma tenue de service, appliquée à rendre Monsieur heureux, guidée par Madame ceci me plaisait au plus haut point. J’avais les joues rouges et le front brûlant de désir.
Le membre était maintenant turgescent, Monsieur laissait entendre des soupirs de satisfaction et semblait prêt à l’acte.

– « Vous pouvez disposer, votre service est terminé pour aujourd’hui » me dit Madame. « Changez-vous vite et rentrez chez-vous. A demain »

Interloqué par cette demande, j’obéis, déçue que la soirée s’arrête si vite pour moi. Madame ferma la porte du salon pendant que j’allai remettre mes vêtements masculins dans la petite chambre.

En me déshabillant devant le miroir, je constatai en enlevant ma jupe pour passer mon pantalon devant le miroir, que ma culotte était tendue sous mes collants par mon pénis raide d’excitation. Le tissu était humide de la semence qui coulait dans un fin filet, malgré moi.

En quittant l’appartement, j’entendis les gémissements de Madame qui semblait s’en donner à cœur joie…

En rentrant chez moi, je pris une douche. Il fallait que je me calme de cette expérience qui m’avait mis les sens en émoi. Je ne résistai pas et me masturbai fougueusement sous l’eau chaude. J’éjaculai rapidement dans une sensation de bien-être.

Enfin détendue, j’eus néanmoins beaucoup de mal à m’endormir ce soir-là, les images de cette soirée me revenant sans cesse à l’esprit.

A suivre…

Isabelle de Cheverny
daniel.fabre@ymail.com

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4 réponses à Mon service dans le XVIème – Chapitre 2 par Isabelle de Cheverny

  1. Transmonique dit :

    Il y a les éjaculateurs précoces, mais aussi les rédacteurs précoces

  2. Mady dit :

    C’est déjà commencé que c’est déjà fini !

  3. josé dit :

    Dans un récit érotique, pour s’y immiscer, il faut développer l’action, les personnages, les situations. Comme voulez vous que ça fonctionne en étant si court ?

  4. Napoli dit :

    Trop court !

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