Mon pucelage (Comment j’ai perdu mon pucelage) par Sainte-Nitouche

Mon pucelage
(Comment j’ai perdu mon pucelage)
par Sainte Nitouche

Nous étions ensemble au Lycée, et j’avais presque dix-huit ans ! Et un amour très particulier pour Julie, une ravissante anglaise qui était à l’époque dans ma classe. Elle n’était déjà plus pucelle, et ça avait été un de mes étonnements de pouvoir enfiler profondément deux doigts dans son minou ! Elle était longue et mince, et j’étais déjà comme vous me connaissez, bien en chair ! D’un de ses séjours à Londres, Julie avait ramené un vibro-masseur ! Ce n’était pas aussi banal que maintenant, et pour nous, c’était un peu sulfureux. Je me souviens que je regardais cet objet de plastique lisse et glacé avec effroi et envie. Julie m’expliqua qu’elle n’aimait pas trop ça, le trouvant trop dur, et qu’elle préférait de loin mes doigts, ou la bonne queue d’un garçon, mais qu’elle voulait bien me l’appliquer, si je voulais essayer ! Je me laissai faire, non sans appréhension. D’abord, elle me le passa sur tout le corps, insistant sur les points sensibles qu’elle connaissait si bien … derrière mes oreilles, le long de mon cou, sur les seins qui ne tardèrent pas à manifester leur contentement, sur le nombril, ce qui me fit frissonner, puis le long de ma fente, qui s’ouvrit complètement. J’écartai largement les jambes et elle continua vers mon petit trou de derrière, qu’elle savait si sensible. Elle promenait cet appareil de ma vulve où elle le lubrifiait abondement, à mon cul. Elle le poussait un peu pour pénétrer ma porte de derrière, puis le retirait dès que mon anus s’ouvrait. Je devenais folle, je soulevai mes fesses pour faciliter la pénétration. Je me cramponnais au drap du lit des deux mains. D’un mouvement de haut en bas, Julie revenait sur ma fente qui dégoulinait de féminité et retournai à mon petit rond qui s’ouvrait de désir. J’avais les yeux clos, les dents serrées, j’étais crispée sur ces sensations inconnues qui sourdaient du plus profond de moi. Je me sentais assaillie et je ne savais pas par quoi et je me sentais impuissante. Julie insistait dans son cheminement, de mon clitoris maintenant complètement sorti à ma rosette en feu. Je sentais que j’avais la fente toute ouverte, et le trou mignon aussi


Aussi trouvais-je très agréable et rafraîchissant quand elle se mit à me lécher de haut en bas, suivant les mouvements de l’appareil qui continuait à vibrer. Elle pointa sa langue dans mon trou mignon, puis y mit un doigt qu’elle enfila très loin. D’avoir son doigt dans le fondement, je me tendis, me crispai au point que ça me fit presque mal. Et cette vibration sur entre les jambes me mettait hors de moi. Comme elle promenait le vibro-masseur sur mon clitoris, puis sur ma fente, je hurlai « – Vas-y … ! ». Je pris violemment son poignet et je forçais pour faire entrer ce bout de plastique le plus profondément possible dans ce qui allait devenir ma grotte d’amour. Il y eut une déchirure à la fois dans mon ventre et dans ma tête, une douleur fulgurante qui s’atténua très vite et un orgasme comme un coup de pied, qui me souleva le bassin d’un seul coup. Puis je m’effondrai sur le lit, hébétée, en larme. Julie me passait la main sur le front pour me calmer. Il me fallut plusieurs minutes pour être tranquille. Puis elle me prit par la main et m’emmena à la salle de bain. Elle me fit couler un bain. Pendant que la baignoire se remplissait, je me regardai dans le miroir. Rien, si ce n’est un peu de liquide rose coulant entre mes jambes ne trahissait ce qui venait de se passer. J’entrai dans l’eau et Julie me lava avec délicatesse. Puis elle m’enveloppa dans un grand peignoir. Et c’est ainsi que je perdis mon pucelage !

Mon mari ne m’a jamais posé de questions … Galanterie oblige !

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2 réponses à Mon pucelage (Comment j’ai perdu mon pucelage) par Sainte-Nitouche

  1. André dit :

    Trop court, c’est à peine commencé que c’est déjà fini et le pucelage est parti

  2. Pimprenelle dit :

    Dommage que ce soit si court, on reste sur notre faim

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