Mon correspondant allemand… et sa mère par Belle-Cour

Mon correspondant allemand… et sa mère par Belle-Cour

 

 

Bonjour, je m’appelle Vincent, j’ai aujourd’hui 21 ans et après avoir rompu avec ma copine je vis seul dans mon studio parisien. Ça n’allait d’ailleurs pas très fort, j’avais trouvé un boulot, mais inintéressant au possible, et je commençais presque à déprimer. C’est donc avec enthousiasme que je répondais à la proposition de Franz de venir passer une semaine en Allemagne.

Franz a le même âge que moi, c’était du temps de ma scolarité, mon correspondant en allemand. Nous nous recevions respectivement l’un chez l’autre environ deux fois par ans, et nos relations ont toujours été excellentes. Franz est un jeune homme, très agréable, plein d’humour, s’intéressant à un tas de choses, plutôt mignon de sa personne et doté d’une très jolie queue !

Eh, oui, quand il y a six mois, lors de sa venue à Lyon, Franz m’a avoué sa bisexualité, m’expliquant qu’il aimait surtout les hommes, j’avais cru intelligent (à moins que ce soit un tour de mon inconscient) de lui expliquer que tout le monde était plus ou moins bisexuel donc moi y compris, mais qu’en ce qui me concernait c’était le contraire de lui, et que j’étais prioritairement attiré par les femmes.

– Tu as donc une petite place quand même pour les mecs dans tes fantasmes ? Me demanda-t-il.
– Une toute petite ! Précisais-je me demandant comment conclure cette conversation glissante.
– Et moi tu me trouves comment ?

Si ce n’est pas une invitation directe, c’est quoi ?

– Euh tu es pas mal, mais je n’ai jamais fantasmé sur toi !
– Tu es un garçon ouvert, je suis sûr qu’une expérience ne te déplairait pas, et puis je n’ai jamais violé personne, si tu ne veux pas je n’insisterais pas !

Mon dieu ! Je fais quoi, Je dis quoi ?

Mais avant d’avoir trouvé la bonne répartie, j’avais sa main sur ma braguette. Muet de surprise, je ne savais comment réagir, par contre ma bite, elle devait savoir parce qu’elle se mit à bander. Et le problème c’est que quand on bande on ne voit plus les choses tout à fait de la même façon. Je le laissait me descendre ma fermeture éclair, aller tripoter mon pénis par-dessus l’étoffe de mon caleçon, puis sortir carrément ma verge qu’il se mit à branler pendant quelques instants avant de s’agenouiller devant moi et de me sucer pendant de longues minutes. Il m’a ensuite demandé de me déshabiller, il a fait de même. Quand il m’a proposé de le sucer à mon tour, je n’ai même pas hésité, sa bite était magnifique, d’une taille supérieure à la moyenne mais sans exagération, sa verge présentait une jolie peau soyeuse, quant au gland il brillait de plaisir. Je découvrais quelque chose de nouveau ce jour-là.

On a dû se sucer trois ou quatre fois, mais mise à part quelques tripotages de tétons nous n’avions rien fait d’autre, je n’étais pas prêt à l’embrasser sur la bouche, je n’étais pas prêt non plus pour la sodomie.

Lui, parti, je regrettais de ne pas avoir été plus loin, mais me promettais de le faire à notre nouvelle rencontre.

C’est vous dire si j’acceptais d’enthousiasme de me rendre à Hambourg !

Mais il y avait aussi une autre raison, et cette raison c’est Hanna, la mère de Franz. (Il habitait encore chez ses parents) Superbe femme divorcée entre quarante et cinquante ans, un peu grande, un peu forte, blonde aux cheveux coupés en carré, un très joli visage, et des formes qu’on devinaient rondes et accueillantes… Combien de fois me suis-je masturbé en pensant à elle ! Je n’avais pourtant jamais vu en vrai, uniquement en photo mais à poil car ses braves gens sont des adeptes des joies du naturisme.

Franz est venu me chercher à la gare d’Hambourg, je lui tend la main mais il préfère m’étreindre et m’embrasser chaleureusement sur les joues ! Ça commence bien !

– J’ai hâte qu’on soit ensemble ! Me précise-il.

Effectivement, il devait être sacrément en manque, arrivé chez sa mère (qui n’était pas là pour l’instant) on se précipite dans sa chambre, et là il m’enlace et sans que j’aie pu réagir me roule un patin d’enfer, je laisse faire et participe par politesse, parce que j’avoue que ça me fait rien du tout. Par contre quand il me met la main sur ma braguette, je deviens réactif. Cinq minutes après nous étions à poil, et je me surpris à lui sucer la bite avant qu’il ne le fasse à son tour ! Je ne me lasse pas de ce superbe engin, c’est pour l’instant la seule que j’ai eu le loisir de sucer, peut-être après tout que je devrais draguer les mecs, rien que pour leur sucer la queue, pourquoi pas, mais j’ai toujours été un grand timide !

Franz était plus entreprenant que la dernière fois, après qu’on se soit un peu sucé en soixante-neuf, sa langue a dévié et s’est mise à me lécher le trou du cul. Je me laissais faire mais ne lui rendais pas la politesse, Puis après la langue ce fut un doigt, puis deux ! Quelle sensation ! Alors dans un souffle je lui ai demandé :

– Encule-moi !

Il ne se l’est pas fait dire une deuxième fois, et après avoir effectué l’encapuchonnage d’usage, il s’est évertué à me forcer la rondelle ! Voilà qui fait bizarre au début, j’ai d’ailleurs failli lui dire que ça me faisait mal et qu’on ferait mieux d’arrêter, mais après qu’il m’eut pénétré à fond et qu’il se soit mis à faire de va-et-vient, mon corps fut secoué d’ondes de plaisirs que je ne soupçonnais même pas. Franz s’est excité comme un fou, jouissant en me sodomisant et s’affalant sur moi, épuisé. Je n’avais pas joui.

– Si tu veux me faire pareil, ce n’est pas un problème !
– Non, pas maintenant, mais je veux bien que tu me suces, répondis-je !
– Pourquoi il te plait pas mon cul ?

Et alors, il se retourne, m’exhibe son cul de façon assez obscène, Bandé comme je suis, je réagis en lui pelotant ses jolies fesses roses et glabres. Déjà il m’a placé un préservatif, il écarte ses globes, son anus est déjà ouvert, c’est clair qu’il n’attendait pas après moi ! Et voilà que je l’encule ! L’affaire fut assez rapide, après on s’est embrassé dans un grand moment de tendresse, puis on s’est douché ensemble. Ce fut une bonne partie de rigolade, on s’amusait à se savonner respectivement, et vous vous doutez bien qu’il ne manquait pas une occasion de me tripoter, tantôt les tétons, tantôt la verge, tantôt les couilles, et tantôt le cul ! Tant et si bien qu’on s’est mis tous les deux à rebander, on s’est alors branlé respectivement et avons éjaculé pratiquement en même temps…

– J’ai envie de pisser, je vais te nettoyer, me dit-il soudain

Et sans que j’aie eu le temps de réaliser, le voici qui me pisse sur le sexe ! Amusant !

– J’ai un petit contretemps dans notre programme ! Me dit-il alors que nous séchions.

Il m’explique alors qu’il doit absolument se rendre aux funérailles d’un de ses anciens professeurs à Stuttgart, qu’il va partir dans l’heure et qu’il ne reviendra que le lendemain soir ! Bon, ce n’est pas une catastrophe on fera avec…

On m’avait préparé la chambre d’amis, je décidais de m’y reposer en lisant un bouquin et en attendant le retour de sa mère.

Hanna est arrivée quelques heures après toujours aussi souriante et désirable, elle avait eu l’idée d’enfiler une robe décolletée, ce qui fait que mes yeux restaient scotchés sur la naissance de ses seins. On bavarde un peu, puis je lui dis que je ne vais pas tarder à aller faire un tour en ville, histoire de me dégourdir les jambes.

Je remonte dans ma chambre, prendre quelques affaires et notamment mon appareil photo, puis je vais pour sortir. Je me ravise au dernier moment car il faut avant que j’accomplisse un petit besoin bien naturel.

Je fais mon pipi, et sort des toilettes, la salle de bain est juste à côté, la porte est entrouverte, je jette un coup d’œil par réflexe et devinez qui je vois ? Hanna les seins à l’air en train de faire je ne sais quoi devant son lavabo. J’en reçois plein les mirettes !

Instinctivement j’ai stoppé ma marche, je fais comme si je revenais aux toilettes et repasse devant la porte ! Quel spectacle ! Quelle poitrine ! Quelle belle femme ! Je tire la chasse une nouvelle fois pour donner le change et repasse une troisième fois devant la porte

– Vincent !

Merde, elle m’a vu, me voilà dans de beaux draps ! Pourtant sa voix n’exprime pas la colère !

– Euh, excusez-moi !

Elle a ouvert la porte, elle est là devant moi, torse nu, les bras croisés sur sa poitrine, la cachant (mal)

– Qu’est-ce que tu regardes comme ça dans la salle de bain ?

Il n’y a aucun ton de reproche dans sa phrase, Pire elle baisse ses bras, j’ai maintenant ses seins à cinquante centimètres de mes yeux, et avant que je n’arrive à bredouiller quoi que ce soit, j’ai sa main sur ma braguette ! Décidément ça doit être une spécialité familiale.

– Je sais bien que tu fantasmes sur moi, je ne suis pas folle ! Moi ça ne me dérange pas, après tout tu es majeur et tu n’es pas mal ! Et puis ça me fait plaisir qu’un jeune comme toi soit excitée par une vieille comme moi
– Vous n’étés pas vieille !
– Qu’est-ce que tu bandes, dis donc ! Allez baisse-moi tout ça !
– Mais c’est que….
– C’est que quoi ? Tu en meurs d’envie….

Comme dans un rêve, je baisse pantalon et caleçon, me voici le zizi à l’air fièrement bandé ! Et voilà Hanna à genoux devant moi ! Incroyable, elle était prête à me sucer ! Je ne vous dis pas dans l’état où j’étais. En fait sa fellation était bizarre : Elle commença à lécher mes poils avec beaucoup d’application puis mes couilles. Je bandais toujours et je mouillais bien. Elle passa sa langue le long de mon sexe et l’emboucha pour finir le nettoyage. Excité comme jamais, je déchargeai rapidement et elle avala le tout. Je pensais qu’elle souhaitait une suite, mais non :

– Allez je te laisse aller faire ton petit tour !

Je me rinçais le sexe, et me reculottais, j’étais à la fois ravi d’avoir réalisé un de mes fantasmes et frustré que la chose n’ait pas été plus loin…. Alors hardiment, je m’approchai d’elle, bien décidé à en profiter encore un peu, et je commençai à lui malaxer les seins. Elle me dit fermement de m’arrêter. Ce que je fis promptement, mais cela ajouta à mon désarroi.

Quand je revins de ma promenade en ville, Hanna était en peignoir, elle m’expliqua qu’elle allait prendre un bain, mais aussi que le chauffe-eau ayant une capacité limité, je n’aurais plus d’eau chaude si je voulais en prendre un aussi ! J’ai failli répondre la bêtise de ma vie, à savoir qu’ayant pris une douche en arrivant, je n’avais nul besoin de me baigner de nouveau…. mais me ravisais au dernier moment !

– Comment faire alors ? Demandais-je, faussement naïf
– Je peux toujours te laisser mon eau, mais bon… Tu vois une autre solution ? Me demanda-t-elle avec un large sourire.
– On pourrait peut-être se partager le bain, alors ? Proposais-je presque comme une boutade

A ma surprise elle accepta.

J’entrai dans la salle de bains et laissai la porte déverrouillée. Hanna me rejoint. Je ne m’étais pas encore déshabillé et elle me proposa de me le faire, ce que j’acceptai volontiers. Elle commença par le haut puis s’attaqua à mon pantalon. Comme elle se baissait pour l’enlever de mes chevilles, j’eus une vue très intéressante de sa poitrine par l’échancrure de son peignoir. Je commençais à bander lorsqu’elle leva la tête. Comme elle était accroupie elle avait les yeux à la bonne hauteur pour apprécier ma bonne forme. Elle retira mon slip rapidement laissant mon zob à l’air et bien tendu. Elle enleva rapidement son peignoir. C’est alors que je vis pour la première fois son sexe et sa blonde pilosité. Elle avait de très beaux seins, un peu lourds. Je ne pus résister à la tentation de toucher ses nichons qui me parurent plus fermes que ce que j’aurais cru. Elle s’approcha de moi et m’embrassa de manière très appuyée.

Elle me fouillait la bouche. Je répondis avec fougue à son invitation. Elle prit ma main et la descendit le long de son corps pour atteindre son pubis. Puis elle descendit ma propre main sur son sexe qui était tout humide et elle commença à se branler en me tenant la main sur son sexe. Elle mouillait de plus en plus et commençait à gémir. Elle prit ensuite deux de mes doigts qu’elle joignit pour se branler plus profondément et je sentais sa mouille me couler dans la main. Elle commença à jouir et lâcha un flot de liquide qui atterrit sur le sol. Elle était secouée de spasmes et mit quelques instants à se reprendre. Elle m’embrassa après avoir sucé mes doigts pour les nettoyer.

Elle me dit qu’elle voulait me remercier et s’agenouilla. Elle recommença la même chose qu’avant ma promenade et comme j’étais de nouveau très excité, sa langue et ses lèvres habiles me firent de nouveau décharger rapidement. Elle avala tout mon sperme avec gourmandise.

– Hum, il est délicieux, il est meilleur que celui de mon fils !

Hein ? J’ai du mal entendre !

Elle a dû s’apercevoir de mon trouble !

– Je ne t’ai pas choqué j’espère ?
– Non, non !

Je ne pouvais quand même pas lui dire « oui » ! D’ailleurs j’étais davantage stupéfait que choqué .

– C’est un cochon, Franz, tu te rends compte ! Baiser avec sa maman ! Dit-elle sur le ton de la plaisanterie.

Je n’ai pas répondu. On est entré dans le bain et elle me proposa de nous laver l’un, l’autre, tout en précisant qu’elle s’occuperait de moi en premier. Elle le fit avec la plus grande application en s’attardant sur mon sexe mais aussi sur mon anus qu’elle titillait et dans lequel elle finit par entrer un doigt. Cela me fit un tel effet que je bandais quasi instantanément.

– Hum, tu réagis bien du cul et tu as des belles fesses, tu ne te serais pas déjà fait enculer, toi ?
– Juste une fois !
– C’est Franz qui t’as enculé ?
– Euh !
– Tu peux me le dire ! Qu’est-ce que ça peut faire ?
– Ben oui !
– Quand il va rentrer on va se faire un petit trip tous les trois, tu veux bien dis ?
– Pourquoi pas ?
– En attendant, tu vas me laver… Partout…

Je commençai par le visage puis descendis sur ses seins ce qui me fit bander encore plus dur. Elle me demanda de finir par son sexe. Lorsque j’arrivais à la fin de sa toilette je m’enduis les mains de savon et commençai à m’occuper de sa chatte. Elle commença à bouger d’avant en arrière au fur et à mesure que j’opérais. Elle recommença bientôt à mouiller. Elle me demanda d’insister sur son clitoris, ce que je fis avec beaucoup de douceur et de précautions mais elle commença réagir comme une folle. Elle me demanda de la pincer. Lorsque je le fis elle gémit de jouissance.

Elle se retourna alors en présentant ses fesses. Elle me dit de lui  » nettoyer  » l’intérieur du vagin avec la main. J’approchai ma main de son sexe et avec l’aide du savon j’entrai une bonne partie de ma main dans cette chatte offerte. Je commençai un va-et-vient lent mais appuyé qui la fit gémir d’aise. Elle commença à jouir de plus belle et s’activait sur ma main pour profiter de cette activité singulière. En me penchant sur le côté je vis qu’elle avait une main entre les jambes et s’activait sur son clitoris comme une folle.

Elle finit par jouir dans le bain en poussant un cri surprenant et me demanda de lui donner ma main à lécher. Puis elle se leva dans la baignoire, me demanda de ne pas bouger et se mit à commencer à pisser en rigolant comme une bossue !

– Tu veux de mon champagne ? demandât-elle !

Elle n’attendit pas de réponse et m’arrosa de son urine, (encore une autre spécialité familiale sans doute ?) et quand elle me demanda d’ouvrir la bouche je le fis aussi, surpris de ne pas trouver ce goût trop désagréable.

– A toi, maintenant, pisses-moi dessus, je suis ta veille cochonne !

J’ai dû me forcer un peu mais j’ai finis par y arriver, apparemment elle était une habituée de cette pratique et reçu presque tout mon pipi dans sa jolie bouche.

On est sorti du bain et on s’est séché mutuellement. Ensuite elle me dit de la suivre dans sa chambre. Là elle s’est assise sur le lit et m’a demandé de la rejoindre. Elle m’a embrassé tendrement et a commencé à passer ses mains sur moi. Elle m’a malaxé les couilles et m’a branlé un peu, puis elle me dit qu’elle me voulait en elle. Je me suis allongé sur son corps et je l’ai pénétré. Magnifique sensation de savoir que j’étais enfin en train de baiser la mère de mon correspondant ! Si on m’avait dit ça un jour ! Je suçais ses seins et on s’embrassait. Elle commença à haleter et à gémir et ce signe était annonciateur d’une jouissance orgasmique de ma partenaire.

Le déluge arriva et les cris aussi. Cela me fit jouir à mon tour en plusieurs jets.

On est resté immobile pendant quelques instants puis mon sexe sortit de lui-même de son vagin lubrifié et poisseux. Elle entreprit de me nettoyer la verge avec sa langue ce qui lui redonna de la vigueur. Constatant mon état, elle me dit qu’elle allait parfaire mon éducation sexuelle et m’apprendre un truc que les cours de sciences naturelle n’enseignaient pas…

Hanna se mit alors en levrette et me demanda de la pénétrer de nouveau. Après deux ou trois va-et-vient elle souhaita que je me retire. Elle me fit mettre sur le dos, puis s’accroupit sur moi et s’emballa sur mon sexe, il me sembla que l’endroit était moins lubrifié et plus étroit que précédemment; ce qui m’intrigua (juste un moment, je ne suis pas idiot quand même). Elle commença à aller et venir tout en me demandant de lui sucer les seins, ce qui eut pour effet de l’exciter davantage. Elle se masturbait en cadence et j’eu la confirmation de ce qui se passait lorsque je la vis entrer un doigt dans son vagin. Elle s’enculait férocement sur moi. Elle jouit après plusieurs minutes et je déchargeai aussi.

Elle se retira, mais pas encore rassasié elle me proposa un nettoyage respectif avec la langue. Exténué je lui léchais donc le cul et la chatte, sans trop chercher à comprendre, je la fis jouir une dernière fois, puis nous nous endormîmes.

Le lendemain, je suis parti en promenade et ne suis revenu qu’en fin d’après-midi. Franz était rentré.

– On t’attendait me dit-il en me tendant un verre de jus de fruit que je m’empressais d’avaler.

Hanna entra dans la pièce uniquement vêtue d’un petit déshabillé noir et tellement transparent qu’il ne cachait rien de sa merveilleuse poitrine dont les pointes dardaient sous la soie.

Elle nous prit par la main et nous fit assoir à ses cotés sur le canapé.

– Maintenant les garçons, caressez-moi !

Pa la peine de nous le dire deux fois ! Franz et moi avons commencé par lui peloter ses seins après qu’elle se soit débarrassée de son déshabillé. Après quelques minutes de pelotage et d’embrassades, Franz et moi nous nous sommes mis nus.

Hanna a ensuite demandé à son fils de me sucer la bite devant elle. Il le fit avec tout son savoir faire et je ne tardai pas à bander comme un taureau. Elle nous fit signe d’approcher et se mit à sucer nos queues alternativement.

Quel spectacle de voir une mère sucer ainsi la bonne bite de son propre fils.

– Vous m’excitez de trop tous les deux, venez on va faire une double.

Je fus invité à me coucher sur le tapis, Hanna vint s’empaler la chatte sur ma bite, puis se pencha en avant de façon à ce que son fils puisse avoir accès à son anus. Nous avons cordonné nos mouvements, Hanna était baisée et enculée. Fous d’excitation nous n’avons pas tenu la distance. J’ai joui le premier m’efforçant de continuer de bouger afin de ne pas frustrer Hanna. Cette dernière cria sa jouissance à son tour. Franz se retira et répandit son sperme sur les fesses de sa mère. Ce fut grandiose ! Nous fîmes une petite pause avant de repartir pour un tour, la soirée fut longue, épuisante mais tellement agréable.

Après cette aventure, je suis resté encore cinq jours à Hambourg, on a partouzé plusieurs fois parfois tous les trois, mais aussi avec des amis d’Hanna, un couple très cochon dont le mari m’a enculé divinement. Toujours est-il que quand je suis rentré en France j’avais maigri de cinq kilos !

Merci Franz, Merci Hanna….

Belle-cour

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5 réponses à Mon correspondant allemand… et sa mère par Belle-Cour

  1. Daller dit :

    Assez fabuleux, même si la fin est un peu expédiée

  2. jordan dit :

    Une vision très hot de la coopération franco-allemande

  3. Hilton dit :

    Deux fantasmes mais qui finissent par se rencontrer, mais on sent que l’auteur a du tordre son texte pour un ajouter ce final incestueux.
    Tel qu’il est ce récit est très bon, bien écrit et très érotique.

    • Chastaing dit :

      Pas d’accord, même si le final est un peu court, il participe joliment à la progression érotique du récit

      • Belle-cour dit :

        En fait le passage incestueux n’existait pas dans la première version de ce texte. j’avais peur de choquer puis m’étant aperçu que ce fantasme était plébiscité sur ce site, je me suis (un peu) lâché 😉

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