Mes vacances au Cap d’Agde 3 – Le cinéma par epicure09

 

Mes vacances au Cap d’Agde
par epicure09

Le cap d’Agde et son cinéma, ouvert le soir de 22h à 1h, pour laisser s’exprimer tous les fantasmes et envies…

Elle est nue dans le couloir à l’entrée du cinéma, juste chaussée d’escarpins à hauts talons, et d’une chainette qui enserre son ventre. Radieuse, elle sourit à son mari qui la photographie. Son thorax est couvert de sperme et visiblement, ils ont été plusieurs à lui éjaculer dessus.

Et moi, j’ai raté çà. Déjà une heure que la séance a commencé et j’imagine que l’occasion ne va pas se représenter ce soir.

Nous sommes dans le camp naturiste du Cap d’Agde et ce cinéma-là existe vraiment. Dix euros l’entrée pour hommes femmes et couples.

C’est une petite salle d’une cinquantaine de places, un écran qui diffuse des pornos glauques, et deux canapés sous cet écran.

Au fond de la salle, un petit cabinet de toilette, avec lingettes et préservatifs. A l’entrée, une table haute et un tabouret servent de caisse ; le préposé que je connais me rassure en me tendant le billet :

– « Tu peux rentrer, il y a encore du beau monde… »

Je passe le rideau qui fait office de porte. Au fond de la piéceuse dizaine d’hommes est agglutiné entre deux rangées de fauteuils. Ils entourent un couple. La femme est assise, sa jupe retroussée sur son ventre. Elle caresse les bites qui l’entourent, suçant celle qui s’approchent de sa bouche. Des mains la pelotent, pétrissant ses seins, fourrant leurs doigts dans sa vulve offerte. C’est la foire d’empoigne, à celui qui pourra être au plus près d’elle.

Impossible de s’approcher.

Au pied de l’écran, sur les canapés, un autre groupe est en action. La queue à la main, se branlant pour entretenir leur érection, les mecs attendent leur tour pour empaler une autre femme. Là aussi, le mari est près d’elle, se délectant du spectacle de sa belle, prise par tous ces hommes en rut .Certains n’arrivent pas à bander, d’autres sont repus après avoir aspergé la femme croisée à l’entrée.

Un petit frisé, sec comme un coup de trique, la bite dure et fine, besogne sans relâche sa proie. Visiblement, elle apprécie et le fait savoir par des gémissements rythmés par les coups de dard de son baiseur. Une main masculine s’immisce sous ses couilles et caresse comme elle peut la vulve pénétrée.

Spectacle sympa certes, mais vite lassant pour moi. Un regard dans la salle me fait découvrir l’objet de mon désir. Une nana seule au milieu de sa rangée. Elle regarde le film et parait s’ennuyer. Je m’approche et m’agenouille à ses pieds. Elle doit avoir soixante ans, pas très jolie, chaussée de lunettes ovales qui lui donne l’air d’une institutrice. Sa tenue est moins « scolaire ». Elle porte un soutien-gorge en cuir ouvert, laissant dépasser deux seins qui n’ont pas connu la chirurgie. La jupe est aussi en cuir, relevée jusqu’à l’aine, dévoilant une chatte glabre.

– « Vous êtes seule ? »
– « Non, mon mari est juste derrière »

Effectivement, le mari est déjà en bouche, se faisant sucer par un autre homme.

– « je peux ? »

Et sans attendre sa réponse, je lui caresse ses cuisses .Pour seule réponse, elle ouvre ses jambes qu’elle pose sur les accoudoirs. Toujours à genoux, j’enfonce mon visage dans le compas ainsi créé. Je la fouille avec ma langue, m’attardant sur son clitoris, puis lapant son vagin qui commence à mouiller. Elle aime et me le fait savoir, en pesant de ses mains sur ma tête, imprimant un mouvement de va et vient qui semble la ravir. Je descends plus bas, léchant son anus .L’odeur est forte, excitante, bandante. Je nettoie son cul, pénétrant ma langue au plus profond pas du tout dégoutté par la subtile fragrance de sueur et de merde. Le nez dans son vagin, je la baise avec mon appendice.

– « Oui, y, je jouis, continue, bouffe moi le cul, j’adore… »

Quand elle a fini de jouir, elle me relève, me gratifie d’un beau sourire et me colle un baiser baveux en guise d’approbation.

– « Si tu veux, tu peux me prendre Tu as une capote ? »

Je me débarrasse de mon pantalon, et lui tend ma bite .La gourmande l’enfourne et me pompe avec vigueur. A mon tour, je mouille comme une femelle des gouttes translucides qu’elle aspire de mon méat. Je lui tends un préservatif qu’elle m’enfile avec expérience. Je me positionne entre ses jambes et la pénétré avec délectation .Son vagin est brulant, je la bourre avec force. C’est le moment que choisis son mari pour revenir près d’elle. Cet enfoiré approche sa bite de ma bouche, ne me laissant pas d’autres choix que de l’enfourner. Elle est grosse, dure et …. Délicieuse .Après quelques minutes à ce rythme, je sens son phallus encore grossir et les premières gouttes de sperme envahir mon palais. Son orgasme déclenche le mien et je remplis ma capote toujours bien au chaud dans le ventre de sa femme.

Ah, quelle belle séance ce soir !

En sortant, le portier m’apostrophe : »alors, le film t’a plu ?… »

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5 réponses à Mes vacances au Cap d’Agde 3 – Le cinéma par epicure09

  1. Arkansas dit :

    Je me souviens de ce cinéma du Cap d’Age (il n’y en a qu’un) où une dame dans les soixante ans se paluchait, je me suis assis à côté, elle m’a demandé que je la lèche. Oh que c’était bon !

  2. Ferenc dit :

    C’est dans ce ciné que j’ai vu une magnifique blonde tout sourire et poitrine de rêve faire des pipes à la chaîne a je ne sais combien de mec, elle les suçait à fond puis allait recracher le sperme dans les toilettes, j’ignore si elle essayait de battre un record. Moi je ne me suis pas fait sucer, je ne voulais pas jouir, je voulais me réserver pour une femme mature que j’avais dragué

  3. Muller dit :

    S’il s’agit du même cinéma, je le connais, ça baise dans tous les coins, je me souviens d’une femme dans les 60 ans qui se paluchait en regardant le film, je m’approche, elle est accompagnée, le mec me demande de la lécher, évidemment je l’ai fait, je me suis régalé et je l’ai fait jouir. Son mec se branlait, il me demande « elle te plait ma bite ? J’ai compris ce qu’il voulait et je lui ai sucé la bite. Souvenir souvenir »

  4. philip dit :

    On s’y croirait, quelle ambiance, quel réalisme !

  5. Gille _Bevolair dit :

    ça sent le vécu d’autant que je connais l’endroit

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