Melina, travesti amateur 6 – Champagnes par Melina

Suite à une de mes diverses annonces postées sur le web, un couple a pris contact avec moi. Nous avons échangé nos désirs, nos photos et avons pris rendez-vous chez eux pour un samedi soir.

Je me suis donc préparée chez moi, comme d’habitude ; guêpière, bas à couture, slip de dentelles, un petit ensemble jupe et pull moulant… du parfum, beaucoup… j’adore. Mes bijoux, un maquillage discret et me voilà parti

Arrivée chez eux, ce n’était pas très loin de chez moi, je sonnais et Nathalie vint m’ouvrir. C’est une belle femme de 50 ans, avec une poitrine généreuse et de belles hanches. Elle portait un petit tailleur beige qui lui allait très bien. Nous nous fîmes la bise (pour l’instant) et j’entrais. Elle me guida au salon où Alexis nous attendait. Il était vêtu d’une chemise et d’un jean. Lui, il a la cinquantaine 53 ans, 1,80m, une moustache fournie (je m’en souviens très bien car lorsqu’il… enfin on verra cela après). Il me fit la bise lui aussi et nous nous installâmes, moi sur le canapé et eux chacun dans un fauteuil…

Je me sentais un peu perdue toute seule sur ce canapé et leur en fit la remarque. Nathalie vint alors s’installer prés de moi. Nous discutâmes de choses et d’autres, et je les amenais à parler de nous, de ce que nous aimions et de ce que nous ferions. Ils étaient un peu gênés, mais je réchauffais l’atmosphère lorsque buvant dans mon verre de champagne, je l’offris immédiatement à Nathalie pour qu’elle découvre mes pensées… qui étaient très faciles à deviner, ma jupe ayant eu la bonne habitude de remonter lentement sur mes cuisses à force de croiser et décroiser mes jambes. On pouvait voir mon slip sans se fatiguer… après lui avoir fait boire dans mon verre, je m’approchais d’elle et approchant mon visage du sien, je l’embrasais lentement sur les lèvres. Sa bouche s’ouvrit et nos langues se mêlèrent dans un baiser langoureux. Ma main se posa sur ses seins et je commençais à les caresser, elle fit glisser sa main sur ma cuisse et remonta sous ma jupe. Je la sentis me caresser mon « clito » à travers mon slip, et je me mis immédiatement à bander. Je lui ouvris sa veste et la lui fit glisser. Elle ne portait pas de soutien gorge et ses seins appelaient ma bouche. Quittant la sienne je me mis à les lui lécher et les sucer. Ma main elle se posa sur sa cuisse et remonta sous sa jupe… la cochonne n’avait pas mis de culotte et elle mouillait déjà bien. Je lui glissais un doigt dans sa chatte et l’enfonçais dans son vagin brûlant… où je le remuais comme une petite bite.

Alexis, lui s’était déshabillé et se mit derrière moi. Il me retira mon pull, ma jupe et je me retrouvais dans la tenue que j’adore en guêpière. Il m’enleva mon slip et Nathalie pris en main mon « clito » et me branla.

Alexis me demanda de me mettre à genoux et entre les jambes de Nathalie pour que je lui lèche sa chatte. Elle s’allongea sur le canapé, ouvrit ses cuisses et je plongeais entre elles pour lécher sa chatte poilue et baveuse… Je lui mis quatre doigts dedans et la branlais tout en la léchant. Alexis se mit derrière moi, me fit relever ma croupe, m’écarta les fesses et commença à me lécher mon petit nid d’amour… Sa moustache me donnait des frissons et sa langue s’activait fébrilement sur ma rosette. Puis, il se redressa, m’enfonça un doigt, puis deux (humm que c’est bon), me faisant pousser des petit cris de plaisir, puis muni de la protection obligatoire, il approcha sa queue de mon ventre, l’appuya lentement et il s’enfonça en moi… sa grosse bite prit possession de mon ventre et elle commença à aller et venir en moi… c’était bon.

Nathalie voulut changer de position, donc je me reculais tout en ayant toujours la bite d’Alexis en moi. Elle se glissa sous moi, prit mon « clito » en bouche et m’offrit de nouveau sa chatte à lécher. J’étais bien, une chatte à lécher, on me pompait mon « clito » et en plus j’avais une belle queue dans le cul, le pied. !

Alexis se retira de mon ventre car il allait jouir, il nous fit nous mettre à genoux toutes les deux, nous demanda de nous embrasser, ce que nous fîmes sans se faire prier. Il approcha sa queue de nos bouches et nous le suçâmes à tour de rôle et les deux ensemble. Lorsque nous vîmes qu’il allait jouir, j’ouvris vite fait ma bouche pour accueillir ce divin breuvage. Il déchargea dans ma bouche un sperme épais et abondant. Nathalie, alors me roula une superbe pelle, nos langues se mélangèrent dans le sperme d’Alexis. Ce baiser était merveilleux.

Mais toutes les deux nous n’avions pas encore joui, elle se retourna, me tendit sa croupe et je la pris en levrette. Je commençais par baiser sa chatte, Alexis lui léchant son minou, mais je le quittais pour la prendre dans son joli cul… Mon « clito » s’enfonça jusqu’aux couilles en elle, on voyait que je n’étais pas la première (je ne vais pas faire d’histoire pour cela, n’est ce pas… ?). Après quelque va-et-vient je laissais ma semence la remplir, et elle jouit, elle aussi.

Nous fîmes une pose bien méritée, et nos forces revenues, je plongeais sur la queue de Alexis, car je n’avais pour l’instant profité plus de Nathalie que de lui. Sa queue se remit à gonfler sous mes assauts.

Nathalie arriva avec des flûtes de champagne, mit la queue de son mari dedans et me la tendis à lécher, sa queue au champagne c’était pas mal. Elle en fit de même pour moi et me suça.

Alors, Alexis demanda à Nathalie de se coucher sur la table, puis elle écarta les cuisses, prenant la bouteille il lui enfila dans la chatte et versa du champagne. Lorsqu’il la retira, je me précipitais pour laper ce champagne odorant… Nos sexes tour à tour trempèrent ou furent remplis de champagne, qui fut bu immédiatement par tous.

Nathalie un peu pompette me demanda si elle pouvait me baiser, elle rêvait de le faire mais Alexis ne voulait pas se laisser faire. Je lui permis de me prendre sans aucun problème. Je pris sa place sur la table, écartait mes jambes en les levant, elle mit mon gode à ceinture que j’emmène partout avec moi pour ce genre de cas, s’approcha de mon ventre et elle me baisa avec lenteur, avec douceur. Puis, elle accéléra le mouvement, mon « clito » durcit et Alexis vint me sucer. Je jouis dans sa bouche et du cul grâce à Nathalie. Elle était heureuse d’avoir pu baiser comme un mec, moi heureuse qu’elle m’ait bien baisé, donc tout le monde était heureux c’était le principal.

Tout en gardant la ceinture, elle s’installa contre le canapé et m’offrit de nouveau son ventre, je la pris immédiatement et Alexis ne voulant pas en être en reste m’encula itou. J’avais mon « clito » en elle et la queue de son mec en moi… c’était bon. Et en plus elle branlait son gode comme un petit mec… nous jouîmes tous de nouveau bien entendu.
Un besoin naturel et pressant m’envahit, ne pouvant plus me retenir, je demandais le chemin des toilettes. Nathalie m’attrapa alors par la main et me conduisit. Arrivés au lieu d’aisance, je cru qu’elle allait rebrousser chemin, mais elle s’assit sur la cuvette. Elle aussi devait avoir envie… Mais au lieu de satisfaire sa miction, elle me demanda de libérer la mienne en lui urinant dessus. La demande ne me choqua pas, j’ai déjà fait de l’ure, je l’arrosais donc copieusement sur le corps, prenant plaisir à lui mouiller sa poitrine. Et quand elle ouvrit la bouche, souhaitant se régaler de cette boisson salée, je lui offris volontiers à boire. Nathalie me proposa ensuite d’invertir les rôles,… cela m’embêtait un peu car je ne désirais ni mouiller ma guêpière, ni l’enlever. Je cherchais une solution « de remplacement » à lui proposer, mais elle n’insista pas, se contentant une fois son petit besoin accompli de m’offrir ses lèvres encore parfumé de mon propre « champagne »
Alexis qui, – le petit coquin – avait tout vu et s’en était délecté, vu l’état de sa bite, alla rechercher du champagne, nous bûmes, rejouèrent avec et nous prîmes un peu de repos car la fatigue venait.

Je proposais donc de les quitter, mais ils avaient prévu autre chose, que je dorme avec eux toute la nuit. Nous allâmes nous coucher, ils m’installèrent au milieu d’eux et nous endormîmes en nous caressant doucement.

Au matin, je fus réveillée par la langue de Nathalie autour de mon « clito », et j’en fis donc autant à Alexis.

Je ne les quittais que le dimanche en soirée… Je les adore.

Hé, dites-moi, c’est vachement bon, le champagne, non ?

Melina