Mélina, travesti amateur 3 – Folies sur la départementale par Mélina

Mélina, travesti amateur
3 – Folies sur la départementale
par Mélina

Voilà une nouvelle confession de quelques unes de mes aventures (vécues comme toutes les autres… pas des phantasmes)

Entre Angers et Saumur sur la Départementale 952 se trouve une petite aire de repos
Un soir, où j’avais le feu au cul, ce qui arrive souvent, je me suis préparée à la maison. J’ai pris une douche, me suis parfumée entièrement, mis ma guêpière, mes bas couture, une minijupe et une veste de fourrure. Je m’étais maquillée légèrement, pris ma voiture et me suis donc rendue sur cette aire.

J’y arrivai vers 22 h 30, là des voitures et des camions étaient déjà en stationnement.
Je descendis donc de mon véhicule et me dirigeais immédiatement vers les toilettes des hommes…

A l’intérieur, des mecs se branlaient mutuellement, j’ai toujours apprécié la solidarité… Lorsqu’ils me virent, je n’eus pas le succès escompté, jusqu’au moment où relevant ma jupe ils virent mon « clito  » (je ne portais pas de culotte car ils en auraient rien eu à foutre…)

Un des mecs s’avança vers moi la queue à la main, me demanda de le sucer, ce que je fis sans me faire prier.

Accroupie, je le suçais avec application, comme vous pouvez vous en douter. Un autre voyant cela, vint se placer derrière moi, s’abaissa et me mit la main au cul. Il enfonça son doigt dans mon ventre qui mouillait déjà et vit que l’on pouvait y venir sans problème. Il me redressa, ma bouche toujours sur la queue du premier, je me retrouvais presque à angle droit, et il m’encula de toute sa force, j’aime aussi être prise sauvagement…Ses va-et-vient étaient coordonnées avec les va et vient de celui que je suçais… jusqu’à ce qu’ils jouirent dans mon cul (avec capote) et dans ma bouche (sans capote, j’aime trop le goût du sperme sur la langue… je sais que je ne suis pas sérieuse, mais je n’y peux rien…).

Puis d’autres les remplacèrent pendant une bonne partie de la nuit, soit dans les toilettes, soit dans leur voiture…
Je suis rentrée chez moi fourbue, mais heureuse. Mon feu au cul était éteint et j’avais les mâchoires un peu douloureuses d’avoir sucer tant de bites.

Alors, si un soir vous passez dans le coin, pensez à vous y arrêter, je serai peut être là….

Samedi en fin d’après midi (18h00), je suis allée draguer exactement au même endroit

J’aime bien draguer en journée lorsque j’en ai l’occasion, au lieu de toujours la nuit. Donc, je m’étais habillé d’une veste en fourrure, d’une jupe en cuir, et bien entendu d’une guêpière, plus des bottes. Je m’étais maquillée très chargé. Je faisais assez pute, je dois le reconnaître et on ne pouvait pas ne pas comprendre que je voulais me faire baiser.

Je me suis donc rendue à cette aire de repos, dont je vous ai déjà parlé, située à vingt minutes de chez moi. J’étais seule, pas la moindre queue à l’horizon. Je suis descendue de ma voiture, ai allumé une cigarette et m’appuyai nonchalamment contre le mur des toilettes.

Je n’avais pas fini cette cigarette, qu’une voiture, immatriculée en 49, avec un couple s’arrêta un peu plus loin. La porte du conducteur s’ouvrit et un homme en sorti. Il avait facilement la soixantaine passée, mais il avait l’air encore potable.

Il s’approchai et lorsqu’il me vit, il eu un mouvement de surprise en me trouvant appuyer près de la porte des toilettes des hommes. Il me demanda si c’était bien des toilettes d’hommes, je lui montrai le dessin sur la porte et lui affirmai que c’était bien là qu’il devait se rendre. Il entra donc et je bloquai la porte pour qu’elle ne se referme pas. Il alla vers l’urinoir mural, descendis sa braguette et du sortir sa queue car je l’entendis uriner.

Alors, je rentrai à mon tour dans les toilettes et vint me coller contre lui. Ma main droite glissa devant lui et je lui pris sa queue en main, il n’avait pas fini de pisser et je le branlais ainsi. J’en profitai pour l’embrasser dans le cou, puis je lui glissais ma langue dans l’oreille. Sa queue ne pissait plus mais gardait des formes intéressantes.

Je le fis se retourner, m’accroupis devant lui et engobait sa queue qui avait encore le goût de son urine, j’adore ça, et me régalait des dernières gouttes. Je le suçais avec tout mon art de la pipe et il éjacula en râlant très vite en moi. J’avalais son sperme avec plaisir, j’aime rendre service.

Il rentra sa queue, me remercia ne me disant que cela faisait longtemps qu’il n’avait plus connu cela. Il sorti pour rejoindre son véhicule.

Je sortis sur ses talons, et qu’elle ne fut pas ma surprise de voir sa femme attendre en dehors de la voiture. Elle le regardait venir à elle et elle me vit. Elle compris très vite que j’étais une salope, elle sourit, puis se dirigea vers moi et toujours très courtois je répondis à son bonjour :

– Je parie que vous avez fait des cochonneries avec mon mari ! Me dit-elle…
– Ben…
– C’est pas méchant, c’est un cochon, mais je l’aime comme ça…

Elle me fit un chaste bisou sur la joue et regagna la voiture avec son époux, me laissant stupéfait. Les gens sont parfois très surprenants

Bon, cet apéritif n’avait en rien calmé mes ardeurs. Je décidai donc de rester surplace et d’attendre d’éventuels amants.

Je n’eus pas à me plaindre, puisqu’à partir de 19 heures les premiers camions arrivèrent pour se garer pour la nuit.

Je les laissai se garer, les hommes prirent leur temps et je m’avançai vers les camions une cigarette aux lèvres mais non allumée, j’avais ainsi de quoi lancer la conversation.

Le camion le plus proche de moi avait la portière entr’ouverte, je l’ouvris pour demander du feu et là je fus la première surprise. Le camionneur était à poil entrain de se tripoter. Je lui demandai s’il avait du feu, et si je pouvais monter dans son camion. Me répondant par l’affirmative aux deux questions, je retroussais complètement ma jupe pour pouvoir grimper dans son engin et entrai dans la cabine.

Je fermai la portière et n’ayant pas redescendue ma jupe le camionneur plongea immédiatement sa main sur mon clito, il est vrai que je n’avais pas de culotte. Je me penchai sur sa queue et l’englouti entre mes lèvres. Je le suçais lentement, sa queue était courte et épaisse et je l’imaginai déjà dans mes reins. Lui, il me branlait lentement. N’en pouvant plus, je quittai sa queue et comme il y avait de la place dans la cabine, je vins m’empaler, après lui avoir mis un préservatif, sur cette superbe grosse bite. J’étais appuyée sur le volant et lui me bourrait le cul de ses assauts de mec en rut. De là où j’étais, je voyais bien le parking et l’on voyait bien que j’étais entrain de me faire baiser suite aux soubresauts que j’avais. Une voiture se gara juste devant le camion et le mec qui en sorti me vit me faire baiser. Il porta la main sur sa braguette et se caressa à travers le pantalon. Je lui fis signe de monter et il vint s’installer dans la cabine. Il sorti sa queue et me penchant, pour cela je quittai on merveilleux poste d’observation. Me mis en levrette, la croupe haute pour que le camionneur puisse continuer à me limer et je suçais l’autre type. Sa queue était plus fine et plus longue que celle que j’avais dans le ventre. Je la sentais bien aller dans ma bouche. Le camionneur jouit en moi et se retira de mes fesses. Alors, je me retournai, offris mon cul au deuxième et pris la queue du camionneur en bouche pour la lui nettoyer. L’autre type enfonça sa queue en moi, elle rentra très facilement vu sa taille. Je la sentis par contre plus profondément, je resserrai les fesses pour qu’il me baise bien, et lui aussi jouit ainsi.

Le camionneur m’offrit du feu, car ne l’oublions pas j’étais venue pour cela, je le quittai sur un baiser et retournai m’adosser au mur dans l’attente d’autres mecs. Je n’attendis pas longtemps avant qu’un autre type vienne roder autour de moi et que sa main glisse contre mes fesses, puis sous ma jupe et je me refis encore baiser par plusieurs types ce soir là.

J’aime avoir des queues inconnues en moi, ne jamais savoir qui me baisera. C’est plaisant.

Par contre, aujourd’hui, les toilettes sont fermées, mais on peut toujours baiser dans les véhicules ou sous un auvent placé contre une caravane à frite…

Alors, si vous avez envie de vous vider les couilles, arrêtez vous, vous aurez peut être la chance de m’y trouver. De toute façon, vous trouverez toujours quelqu’un pour vous sucer, vous branler ou se faire enculer. Il y a pas mal d’homos dans ce coin.

Bisous

Melina

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Une réponse à Mélina, travesti amateur 3 – Folies sur la départementale par Mélina

  1. Carantin dit :

    Après deux épisodes pas trop mal, celui-ci déçoit.
    C’est très glauque et si ça reste lisible c’est à cause du ton un peu décalé
    Mais du point de vue de l’excitation, c’est pas ça du tout !

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