Melina, travesti amateur 13 – Les gros seins de Monique et la queue de Lucien par Melina

Melina, travesti amateur
13 – Les gros seins de Monique et la queue de Lucien
par Melina


Bonjour les amis, c’est Melina, travesti amatrice qui vous écrit une de ces nouvelles aventures.

Ce vendredi matin, j’avais rendez-vous chez Lucien. Je vous ai déjà parlé de lui, il habite un village entre La Flèche et Angers (voir finale au chapitre précédent).

Je me suis habillée tout en noir pour le rejoindre, pull, chemisier, guêpière en vinyle (que m’avait offert Gérard, un de mes amants, – voir chapitre 5 – Travestisme in Paris), bas, bottes, ainsi que ma perruque longue et brune).

Je suis arrivée comme convenu à 8 h 30 chez Lucien. Il sortait juste de la douche et ne portait que son peignoir de bain, qui comme par hasard n’était pas fermé, ainsi je pouvais voir sa belle queue. Je m’approchais de lui et l’embrassais. Nos langues se mélangèrent et sa queue se redressa. N’étant pas sadique, je me laissais glisser à ses pieds et pris sa queue en bouche et je le suçais. J’aime bien sa queue, je la connais maintenant assez bien. Je l’ai tellement eu en bouche ou dans le cul….

Bon, Lucien me fit me relever. Il m’enleva mon manteau, déboutonna mon chemisier, fit glisser ma jupe à terre, et se mettant à genoux devant moi, il fit descendre mon slip en dentelle noire afin de prendre mon chibre entre ses lèvres. Il me suça un moment, tout en me doigtant le trou du cul, puis, il se releva, s’assit sur sa chaise et m’attirant à lui, il me demanda de m’empaler.

Je me retournais, lui présentais mes fesses et m’empalais d’un seul coup sur sa belle queue bien raide. Je montais et descendais le long de sa bite de plus en plus vite. Lucien, me tenait bien par les hanches et d’un seul coup il m’enfonça sa queue à fond et jouit dans mon ventre. Je restais assise sur lui, sa queue plantée en moi. Puis débandant, je quittais cette place agréable, le cul rempli de sperme qu’il se fit une joie de me nettoyer avec sa langue… c’est bon de sentir une langue dans le cul. .

Lucien, nous servit un café. Après avoir pris cette collation, je demandais si Monique était toujours au lit, car il était prévu que je me gouine avec elle aujourd’hui, elle était enfin d’accord.

Me répondant par l’affirmative, et avec son accord, je le quittais pour me rendre à l’étage où se trouvent les chambres. Monique dormait ou plutôt faisait semblant. Je retirais mes bottes, il ne me restait que cela avec ma guêpière et je me glissais doucement dans le lit pour ne pas la réveiller.

Puis, je me collais contre elle, mon sexe gonflant à la chaleur de son cul…Je commençais à l’embrasser doucement dans le cou, tout en faisant glisser ma main gauche sur le devant de son corps afin de toucher ses seins. Je lui caressais son sein et lui pinçait légèrement son téton. Sa respiration changea, elle était réveillée, mais faisait toujours semblant de dormir.

Alors je la tirais lentement vers moi, afin qu’elle soit allongée sur le dos, elle se laissa faire. Je pus faire descendre ma main vers sa chatte et me penchant sur elle, je l’embrassais sur les lèvres. Elle n’ouvrait toujours pas la bouche et je ne pouvais y glisser ma langue.

Lorsque ma main arriva sur la toison de sa chatte (elle ne se rase pas le minou), elle garda les cuisses fermées, mais après quelques pressions sur elle, je sentis ses cuisses s’écarter lentement afin que je puisse glisser un doigt dans sa fente et caresser son clitoris.

A partir de ce moment-là, sa main partit se placer sur mon zob et me caressa. Elle ouvrit la bouche et ma langue pris immédiatement possession avec douceur de cette bouche et se mélangea à la sienne. J’adore embrasser. Puis notre baiser devint plus fougueux, elle ne faisait plus semblant de dormir, elle avait envie de baiser.

Mes doigts branlaient son clito, puis descendant un peu plus bas, je sentis l’humidité de sa chatte et lui enfilaient deux doigts à l’intérieur. Elle continuait aussi à me branler, et je lui léchais les seins et les mordillais à tour de rôle, Lucien m’avait dit qu’elle adorait cela et c’était vrai. Moi aussi, j’aime que l’on me mordille mes tétons, c’est vachement bon.

Au bout d’un moment de ces petits jeux de branlette, Monique plongea sur ma bite et se mit à me sucer à fond. Elle me suçait comme si sa vie en dépendait, elle était accrochée à ma queue, j’avais l’impression qu’elle voulait l’aspirer complètement en elle. C’est vrai qu’elle n’avait pas encore déjeuné et cela pouvait expliquer son appétit.

J’aime bien que l’on me suce, mais j’aime rendre la pareille. Alors, je la fis basculer et me retrouvais au-dessus d’elle. Elle avait gardé ma queue en bouche, et je lui bouffais la chatte, tout en lui remettant des doigts dedans. Comme j’avais la croupe bien relevée, elle m’enfila un doigt dans le cul, suivit immédiatement par un autre. On se suçait mutuellement tout en se doigtant.

Mes doigts dans sa chatte ne lui suffisant pas, elle voulut avoir ma queue en elle. Alors, je m’allongeais sur le dos, et elle s’empala sur moi. Elle montait et descendait sur ma queue de plus en plus vite tout en se caressant les seins. Puis, elle arrêta sa cavalcade, se pencha sur moi pour que je lui suce les seins. Avec son vagin elle faisait des petits mouvements et se branlait en même temps, jusqu’à ce qu’elle jouisse ainsi, s’écroulant sur moi.

Puis, elle s’allongea contre moi et prit ma pine en bouche. Elle me suçait plus par tendresse que par passion, il fallait qu’elle reprenne des forces. Je retirais ma queue de sa bouche, la fit se mettre sur le dos, et je plongeais dans sa chatte. Elle avait bien écartée ses cuisses et je pouvais bien voir ses lèvres, son clito et son vagin qui était remplit de sa mouille. Je la léchais et lui nettoyais sa chatte. Sa mouille est délicieuse, j’aime ce goût de mouille des filles… Ensuite, je quittais sa chatte pour commencer à lui lécher son corps, je montais au nombril et l’agaçais avec ma langue, puis continuais sur son ventre et enfin, j’atteignis ses seins. Je les lui léchais l’un après l’autre, les mordillais, les tétais.

Comme mon pénis à ce moment-là était à la hauteur de sa chatte qu’elle avait bien ouverte, je le glissais dedans. C’était chaud et je rentrais avec facilité, un vrai garage à bites que sa chatte.

Je donnais quelques coups de reins, mais je ne voulais pas jouir dans son ventre, je rêvais d’une branlette espagnole, je fantasmais sur cela depuis longtemps et lorsque j’avais vu la poitrine de Monique, mon fantasme était revenu. .

Donc, je repris ma reptation, et arrivait à mettre ma queue entre ses deux belles mamelles. Monique avait compris ce que je voulais, elle resserra ses seins sur ma queue pour en faire un goulot, et je me branlais entre eux. C’était bon que de voir ma queue aller et venir entre ses mamelles. Lorsque j’étais au bout, mon gland était entièrement décalotté et d’un rouge tirant sur le violet tellement j’étais excitée. Monique avait ouvert la bouche et agaçait mon bout à chaque passage.

N’y tenant plus, je laissais mon sperme jaillir de mon membre et gicler. Elle en avait reçu un peu dans la bouche, mais la majeure partie de mon foutre avait été envoyée sur son visage. Alors, je me penchais sur elle, et la nettoyais de ce foutre. Puis nous nous embrassâmes avec tendresse.

Puis, Monique décida qu’il était temps qu’elle aille faire sa toilette et déjeuner. Elle quitta le lit, me fit une bise et descendit. Après avoir remis mes bottes, je la suivis.

Lucien nous attendait. Il lui demanda si elle avait aimé, et elle répondit par l’affirmative tout en se dirigeant vers la salle de bain. .

Sachant que je suis une buveuse de café, il m’en resservit un. Il me demanda de lui raconter ce que nous avions fait la haut, je lui contais donc que je m’étais branlée entre ses seins et il me dit que lui aussi il aimait se branler ainsi entre les seins de Monique, mais ce qu’il préférait c’était de l’enculer, car il adorait les culs. J’en savais quelque chose !

Comme je le voyais se tripoter, je pris la dernière gorgée de mon café et prenant sa queue en bouche, je le suçais avec le café dans la bouche. Cela donne une chaleur sur la queue, c’est vachement bon, moi, j’adore que l’on me suce ainsi.

Mais, il se retira ne voulant pas jouir de suite puisque Laura, une travesti d’Angers devait nous rejoindre plus tard. Nous nous étions contacté grâce au Net.

Monique toujours dans la salle de bain m’appela. Je la rejoignis et la vis en train de se branler avec le jet serré de la douche. Elle me le tendit, et écartant bien ses lèvres me demanda de la baiser ainsi. Je dirigeais donc le jet dans son vagin et l’eau s’engouffra dedans. Je la branlais ainsi, elle soupirait d’aise la petite salope.

Puis, elle resserra les cuisses et me repris le jet. Elle sortit de la baignoire et me demanda de l’essuyer. Je pris une grande serviette et l’essuyais partout, m’attardant bien entendu plus longuement sur ses seins, fesses et chatte.

De l’essuyer, je me mis à bander, et elle s’en aperçut. Rappelez-vous, je n’ai que ma guêpière et mes bottes… Donc, ma queue est très visible !

Elle s’appuya contre l’évier, tendit sa croupe, écarta les jambes et me dit de la baiser. Je me baissais un peu, tâtonnais un peu, puis trouvais l’entrée de son puits d’amour et m’enfonçais à l’intérieur. Je la baisais ainsi, puis avant de jouir je quittais ce nid pour me placer un peu plus haut et j’appuyais ma queue contre sa rosette. Elle écarta ses fesses et je m’enfilais d’un seul coup à l’intérieur de cet éden. Je n’eus pas à la baiser longtemps avant de sentir mon sperme arriver et jouir entre ses reins. .

Je me baissais et lui nettoyais le cul. J’adore nettoyais les chattes ou culs du sperme qu’ils peuvent avoir. Il a un autre goût ainsi. que j’apprécie de plus en plus.

Puis nous retournâmes à la cuisine. Lucien était heureux de voir sa femme en pleine forme. Nous primes un café et Monique déjeuna copieusement car elle avait faim après ces intermèdes.

Elle nous quitta pour faire ses courses et j’en profitais pour me rhabiller. Avec Lucien, nous avons flirté en regardant des films pornos. Il en avait de SM et de zoo où l’on voyait des femmes sucer des chiens avant de se faire baiser par eux. Je regardais cela avec envie, je mouillais de désir. Il faudra que j’essaie un jour.

Monique revint vers 11 h 30 et nous fit quitter la cuisine, car elle voulait préparer le repas. Sur ces entrefaites, Laura arriva. C’est une grande fille de 1,80 m, blonde, mignonne. .

Elle portait un grand manteau beige. Lucien le lui retira et elle avait un chemisier rouge et une jupe plissée écossaise.

Nous discutâmes un peu, puis nous montâmes à l’étage. A peine arrivé dans la chambre, je l’attirais à moi et l’embrassais goulûment. Elle répondit de suite à mon baiser et nos langues se mélangèrent avec passion.

Nos mains ne restaient pas inactives, elles exploraient les formes de l’autre, avant d’arriver au bord de nos jupes que nous relevâmes d’un commun accord afin de sentir nos bites respectives. Elle est vachement bien montée, un beau morceau. Comme moi, elle n’avait pas de culotte ce qui fit que l’on put prendre tout de suite en main nos queues et nous branler un peu. .

Lucien, s’était placé derrière Laura, lui avait relevé sa jupe et lui léchais le cul. Il adore les culs, il est plus homo qu’hétéro à mon avis, mais ce n’est pas important puisqu’il me baise.

Après, il se releva, et entreprit de nous déshabiller, lorsque nous fûmes plus qu’en guêpière (elle en avait une belle mauve, je lui aurais bien piquée) et bottes, je la poussais insidieusement vers le lit, et la fit basculer dessus. .

Couchée sur le bord du lit, les jambes tombantes, je les lui écartais, me plaçais entre elles et pris son pénis en bouche. Il me remplissait bien la bouche, c’est un gros morceau. Lucien, lui se mit sur le visage de Laura et lui donna sa queue à sucer, ce qu’elle fit en jeune fille obéissante.

Puis, Lucien précisa qu’il voulait baiser Laura. Je me relevais, elle redressa ses jambes et lui tendit sa croupe. Moi, je m’installais sur elle, lui donnait ma bite à sucer, tout en regardant la queue de Lucien s’enfoncer dans le ventre de Laura. Il la baisa avec force et lui jouit dans le cul. Lorsqu’il se retira, je vis son sperme s’écouler de son nid d’amour. Lucien amena sa queue vers ma bouche et je la pris pour la lui nettoyer, elle était maculée de sperme mais aussi d’un peu de merde. Quand je suis bien excitée, ça ne me dérange pas du tout.

Puis lorsqu’elle fut propre, je me penchais sur le cul de Laura et le lui nettoyais aussi, en farfouillant avec ma langue bien consciencieusement afin qu’il ne reste aucune trace douteuse. Dans ces moments-là, je suis véritablement la reine des salopes.

Laura me dit alors qu’elle voulait me baiser. Je pris donc sa place sur le lit, écartais mes cuisses, relevais bien mes jambes, les posais sur ses épaules et Lucien dirigeant son chibre, elle prit possession de mes reins. Comme elle était bien membrée, je la sentais bien au fond de mon ventre, et je pris mon pied ainsi, elle aussi jouit en moi. C’est Lucien qui se chargea du nettoyage de bite (dommage, je l’aurais bien fait, mais dans la vie j’ai appris aussi qu’il fallait partager).

Après, avoir jouit, Laura nous quitta car elle bossait à Angers et était venue que pendant sa pause méridienne.

J’allais à la salle de bain me rafraîchir, j’en avais besoin. J’avais aussi une belle envie de pipi. La maison ne possédait pas de toilettes isolées, la cuvette était donc dans un coin de la salle de bain. Elle était occupée par Monique qui me précisa qu’elle allait me céder la place quand elle aurait fini de faire son caca.

Comme une jeune fille bien élevée j’attendis quelques instants malgré l’envie d’uriner qui me tenaillait. J’entendis un floc caractéristique, après quoi, elle se leva, fit le geste de prendre du papier, puis se ravisa, me demandant si ça m’intéressait de regarder ce qu’elle avait fait.

Ne désirant pas la vexer, je la complimentais sur la jolie forme de son étron ce qui apparemment lui fit plaisir. Elle me demanda alors si je voulais lui nettoyer le cul avec ma langue.

Je répondis que ce serait un plaisir. Je me surpris alors à m’exciter pendant que je lui nettoyais ses fesses jusqu’à ce qu’il ne reste plus aucune trace de merde. La chose me fit bander bien raide et je me promis de recommencer dès que j’en aurais l’occasion.

J’allais enfin pouvoir soulage ma vessie, mais Monique s’interposa entre ma bite et la toilette en m’indiquant que mon urine constituerait un excellent apéritif.

Je lui pissais donc dans le gosier et elle avala ce qu’elle put, le reste dégoulinant sur ses vêtements. Je lui proposais de nous embrasser ce que nous fîmes, le goût de mon urine tapissant encore sa bouche.

Puis après que Monique se soit changée, nous passâmes à table. Le repas pris, Lucien s’installa devant la télé avec un café, et nous les filles nous fîmes la vaisselle.


Celle-ci faite, nous nous installâmes sur le canapé avec nos cafés. Lucien regardait toujours la télé, alors nous commençâmes à nous caresser. Monique ayant mis une robe d’intérieur très ouverte… Sa poitrine était visible, et je louchais dessus, alors elle ouvrit encore plus sa robe et je pus prendre ses seins en bouche et en main. Elle laissa glisser sa main sous ma jupe, me retroussant, elle branla doucement.

Lucien voyant cela, quitta son fauteuil et sa télé pour se poster devant nous, la queue à la main. Nous approchâmes nos bouches et nous le suçâmes ensemble. Nos langues se touchaient en même temps, c’était bon.

Puis, il nous fit nous mettre côte à côte en position de la levrette, nos deux croupes étaient tendues vers lui car c’est à celle qui cambrerait le mieux les reins pour recevoir l’hommage de son membre.

Comme il est gentil, il nous baisa toutes les deux, une fois l’une, puis quelques coups de bite dans l’autre, et ainsi de suite.

A ce régime, il éjacula vite dans la chatte de Monique. Il me fit me retourner et lui nettoyer sa queue, puis me mettant sous Monique, je la nettoyais du sperme qui la souillait.

Me relevant et bandant, je mis ma queue dans la chatte que je venais de nettoyer, mais je n’y restais que le temps que mon chibre durcisse bien, pour lui mettre dans le cul. Et en quelques allers et retour, je jouis sur ses fesses.

Lucien me prit ma bite et me le suça et moi je léchais mon sperme qui reposait sur les belles fesses de Monique.

Elle nous précisa alors que c’était bien que l’on s’amuse ainsi, mais qu’elle voudrait bien jouir et que sa chatte la démangeait. Je me couchais sur le canapé, elle s’installa au-dessus de moi, ouvrant bien sa chatte pour que je puisse bien lui bouffer. Lucien prit un double gode et lui enfonça en même temps dans la chatte et le cul. Il le mit en marche et la branla ainsi. Monique prit son pied d’un seul coup et m’enserra violemment la tête dans ses cuisses. Je ne pouvais plus respirer et elle serait vraiment très fort. Puis la vague de jouissance passant, elle se détendit et je pus me libérer.

Le seul n’ayant pas été baisé étant Lucien, Monique proposa qu’il y passe, il aime cela bien entendu. Elle m’emprunta mon gode ceinture, le mit autour de sa taille et encula son mari ainsi. Moi, ne voulant pas en être en reste, je me penchais vers lui et pris sa queue en bouche. Il était bien cambré et on voyait qu’il prenait son pied. Au bout d’un moment de ce régime, il jouit dans ma bouche, mais il y avait peu de sperme, les réserves étaient vraiment épuisées.

Se retirant des reins de son mari, Monique m’annonça que puisque je l’avais baisé et bien qu’elle me baiserait aussi. N’étant pas contre cette pratique, je m’allongeais sur la table, écartais en relevant bien les jambes, et elle put entrer dans mon cul avec facilité. Elle me baisait avec de grands coups de rein, je sentais cette bite de latex venir au plus profond de moi, et je sus que j’allais jouir de nouveau car une onde de chaleur partie de mon cul pour me prendre entièrement. Poussant un cri de plaisir, je jouis avec Monique fichée tout au fond de mes entrailles.

Monique a insisté pour déboucher une bouteille de Champagne. Elle ne remplit les verres qu’à moitié, puis les porta successivement entre ses jambes où son urine se mélangea au breuvage. On a trinqué aux joyeux enculés que nous étions tous les trois.

Elle me demanda si je serais d’accord pour qu’une prochaine fois, nous fassions des choses un peu scato, je donnais mon accord.

Mais, ensuite, je n’en pouvais plus, et comme je devais rentrer à la maison, je les quittais avec le cul en marmelade.

Bisous.

Melina

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7 réponses à Melina, travesti amateur 13 – Les gros seins de Monique et la queue de Lucien par Melina

  1. Bertrane_TV dit :

    Tiens, les aventures d’une collègue, une collègue très coquine qui aime bien les bites, comme moi…

  2. Biquet dit :

    Elle va finir par m’exciter cette cochonne de Mélina !

  3. Irma dit :

    Vraiment pas mal, décontracté, excitant, osé !

  4. Transmonique dit :

    Un peu confus tout ça, mais il ya des passages… hummmm

  5. Claire dit :

    Des situations insolites qui en m’ont pas laissé indifférentes

  6. Carantin dit :

    ça reste très mécanique, très répétitif, mais il faut bien avouer que certains passages restent assez excitants

  7. Muller dit :

    Les situations sont plutôt excitante mais le style est très maladroit

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