Martinov 21 – Sex-machines – 4 – Petite coucherie chez Béatrice par Maud-Anne Amaro

Martinov 21 – Sex-machines – 4 – Petite coucherie chez Béatrice par Maud-Anne Amaro

Mercredi 13 février

En se levant, le professeur Martinov se voulut romantique et s’en alla acheter des croissants à la boulangerie du coin avant de réveiller sa jolie visiteuse.

– Je suis obligé de te réveiller, j’ai du travail, tout ça…
– Je me lève, je prends une mini douche et j’arrive.

Evidemment la mini douche dura bien vingt minutes. Elle en sort le peignoir ouvert faisant pointer ses tétons avec malice, le professeur se demande si elle n’est pas en train de faire ce qu’il faut pour « remettre le couvert ». Mais non, elle récupère se vêtement et s’habille gentiment

– T’as bien dormi ?
– Come un bébé.
– Bon alors, pour la suite je te propose de faire simple : le mec va te demander si t’as couché avec moi, t’auras même pas besoin de mentir. On va voir ce qu’il va te demander, si tout se passe par téléphone, tu m’appelles de suite, si le mec te propose une rencontre, tu me préviens aussi, on essaiera de savoir qui c’est.
– Ça marche comme ça ! Bisou mon pépère !

« V’la que je suis son pépère, à présent ! »

A 9 heures, Béatrice arrive toute guillerette et le professeur s’empressa de lui rapporter cette visite insolite :

– En voilà une histoire ! Qu’est-ce que ça peut être ?
– Une vieille affaire qui refait surface à moins que ce soit lié aux machins de Laviron ! De toute façon on ne va pas tarder à le savoir, la fille va me téléphoner.
– Sinon, c’était bien ta petite soirée ?
– Ma foi, c’était intéressant, elle m’a parlé d’espionnage industriel, j’ai appris plein de choses, je te raconterai !
– Et vous couchâtes ?
– On peut dire ça comme ça ?
– Et c’était bien ?
– C’est une pro !
– Tu l’as enculé ?
– Mais enfin, Béatrice…
– J’ai envie que tu me racontes
– Oui, ben, tout à l’heure ! On a du travail !
– Cachottier !

Et cet échange intéressant fut soudain interrompu par la sonnerie du téléphone portable du professeur. Voyant l’identité de son correspondant, il mit l’ampli afin que Béa puisse entendre.

– Oui, allô, c’est Anne-Lise, le mec m’a appelé et m’a expliqué la suite !
– Je suis tout ouïe !
– Je suis censée être la fille d’un dénommé Laviron qui parait-il fait des sculptures cochonnes…
– On connaît !
– En gros, je dois user de mon influence sur toi, pour que tu sabordes les œuvres qu’il va exposer aux Tuileries !
– N’importe quoi ! C’est tout ?
– Presque, je dois passer à ma boite aux lettres, il y a une fausse carte d’identité qui m’attend au nom de Capucine Laviron ! Franchement j’ai une tête à m’appeler Capucine ?
– Tu leur as communiqué ton adresse ?
– Ce n’est pas mon adresse, c’est juste une boite aux lettres.
– Ah !
– Tu crois que ces gens sont dangereux ?
– Je pense qu’ils sont surtout complètement abrutis. Répondit la fille. Mais bon, dangereux et abruti ce n’est pas incompatible. Comment on fait maintenant ?
– Il faut que j’y réfléchisse, on se rappelle dans la journée.
– Je peux te demander quelque chose ? Demanda Anne-Lise
– Oui !
– Tu vas me trouver parano, mais j’ai peur que ces andouilles me géolocalise pour vérifier si je fais bien le boulot…
– J’ai compris, ramène-toi, je te présenterai Béatrice !

Le professeur Martinov et sa collaboratrice se regardent ébahis

– Mais dans quel monde vivent ces connards ? Ils se figurent que parce que tu as couché avec une fille, on ne peut plus rien lui refuser ! Tempête le professeur.
– En plus, ils ne sont pas à une contradiction près, la fille serait choquée par ce que fait son père, mais fait la pute pour faire saboter l’expo !
– Y’a pas plus crétin qu’un puritain !
– Et plus hypocrite ! Renchérit Béatrice.
– On fait quoi ?
– On réfléchit ! Mais ça me fait un peu chier de donner satisfaction à ces connards.

Et sans avoir trouvé de solution, le professeur Martinov et sa blonde assistante s’en allèrent vaquer à leurs occupations.

Sur ces entrefaites, Anne-Lise arrive tout sourire :

– Tiens c’est pour toi, des chocolats, des bons chocolats ! Dit-elle en lui tendant un petit paquet fermé d’un joli petit nœud rouge. Euh en fait c’est pour vous deux ! rectifia-t-elle en voyant arriver Béatrice.

Les deux femmes se présentent mais le courant n’y est pas.

– Tiens, il y avait ça dans ma boite aux lettres, qu’est-ce que tu en penses ?

Le professeur Martinov examine la fausse carte d’identité que lui tend la jeune femme. Une carte du « Royaume de Belgique »

– Du travail d’amateur, ça peut tromper quelqu’un qui a la vue basse mais c’est tout !
– Je suppose que tu n’as encore pris aucune décision ?
– Non, on en parlera à midi, on mangera ensemble, je vais t’installer dans la bibliothèque, il y a de quoi lire.

C’est un peu plus tard, en revenant de la poste où elle avait été déposer un paquet que Béatrice eut comme une idée. Du moins l’amorce d’une idée

« Je vais l’épater mon petit professeur, si j’arrive à lui apporter une solution sur un plateau ! »

Elle s’installe dans un bistrot, sort son téléphone portable et compose le numéro de Gérard Petit-Couture (voir les épisodes précédent). Celui-ci est manifestement tout joyeux d’avoir Béa au bout du fil.

– Ah ! Béatrice ! Que je suis heureux d’entendre votre voix, ça fait combien de temps que nous ne nous sommes pas parlé, un an ? deux ans ? Le temps passe si vite !
– Deux ans, je crois !
– Et quel bon vent vous amène ?
– C’est un peu complexe, je voudrais vous parler d’un truc.
– Euh vous êtes où, là ?
– A Louveciennes !
– Ecoutez je suis à Paris, j’ai un petit truc à finir de régler et je serais libre vers midi, vous pourriez me rejoindre et j’aurais tout mon temps pour vous écouter.

Bref, Béatrice accepta, évoqua un vague prétexte auprès de Martinov et se rendit à la fontaine Saint-Michel où elle avait rendez-vous.

Après les embrassades obligées, Petit-Couture conduisit Béatrice dans un « petit restaurant tranquille » à l’écart de la zone touristique.

– Vous êtes au courant de l’exposition d’art moderne aux Tuileries ?
– Pourquoi ? Tu veux une entrée gratuite ?
– C’est vrai qu’on se tutoyait. Non le problème est le suivant : Camille Laviron, tu connais ?
– De réputation, il s’est fait connaître à la biennale de Venise, il y a deux ou trois ans, il a exposé une pyramide de 666 chaussettes, c’était soi-disant une dénonciation de la société de consommation, il a obtenu un prix, c’est pour te dire le sérieux de ces gens-là. Son machin s’appelait « La masse à Chaussettes », il en a fait ensuite cadeau à l’état du Massachusetts qui l’a envoyé bouler. Il ne s’est même pas rendu compte que son jeu de mots à trois balles était intraduisible en anglais ! Depuis il continue de pondre des merdes, mais il est presque intouchable…
– Comment ça, intouchable ?
– C’est le frère ou le beau-frère d’un adjoint de la Mairie de Paris, il est copain avec des gens du ministère de la culture et il est bien considéré par les revues spécialisées. T’as un problème avec lui ?

Alors Béatrice lui narre par le détail, l’appel d’offre de Laviron, les relations détestables qu’il entretient avec Sonia, la visite de Rondeval-Blancard, puis celle de Anne-Lise.

– Rondeval-Blancard, je vois qui c’est, il était rédacteur à « Plaisir des arts », il s’est fait virer, j’ignore pourquoi, du coup il a offert ses services à un torchon de culs-bénis. C’est un opportuniste et un hypocrite.
– Oui, enfin notre problème c’est qu’on est coincé, on est lié par contrat avec Laviron, on aimerait donner satisfaction à Sonia, et ça nous emmerde de nous rendre complice d’une opération de censure. Comment démêler tout ça ? Je me demandais si tu pourrais avoir une idée !
– C’est pire qu’un challenge, c’est un casse-tête chinois !

Gérard respire fort, semble réfléchir.

– Tout problème a sa solution, il suffit de la trouver ! Philosophe-t-il. Mais là tout de suite je ne vois pas ! Sinon, tu es toujours aussi belle, Béatrice !
– C’est possible, mais ne changeons pas de conversation, j’attendais au moins un conseil !
– Belle et désirable !
– Gérard, je t’en prie !
– Je te propose un deal, on couche ensemble et je trouve une solution.
– N’importe quoi !
– Pas du tout, si on fait comme ça, j’aurais une dette envers toi et je paye toujours mes dettes !
– Et tu ne peux pas trouver sans baiser ?
– Si, mais il parait que l’activité sexuelle stimule très bien les neurones
– Je suis déçue, Gérard, je suis venue te demander un conseil, je ne pensais vraiment pas que tu allais me proposer de le monnayer ! Restons-en là !
– Oh Béatrice ! Je suis un mufle ! Oublie cette proposition débile ! Ou plutôt je te demande d’accepter mes excuses, cette solution je vais la trouver, j’en ai pour l’instant que l’esquisse, en réfléchissant et en discutant on va bien trouver !

La conversation fut interrompue par la jolie serveuse qui se crut obligée de remplir les verres.

– Quand j’y pense, c’est bizarre l’attitude de ces culs bénis, d’habitude ils n’agissent pas comme ça, ils font des manifs, ils gesticulent, rappelez-vous les exposants au château de Versailles ou Serrano avec le pipi de Jésus ! Reprit Béatrice.
– Ces gens-là ne constituent pas un groupe homogène, il y a de tout là-dedans. Et puis certains réfléchissent un peu plus que les autres, tout ce que tu cites n’a eu qu’une seule conséquence : une publicité inespérée pour l’artiste, je ne pense pas que c’était le but qu’ils recherchaient !
– Et cette esquisse de plan, on peut en parler ?
– L’idée c’est un contre-feu : trouver le moyen de ridiculiser Rondeval-Blancard, mais le faire en évitant qu’il y ait des conséquences par la suite.
– C’est à dire ?
– Je vais déjà me renseigner un peu sur le bonhomme, je crois savoir comment faire, ensuite on avisera, mais par exemple si on arrivait à exposer quelque chose de bien pire que les conneries de Laviron tout en empêchant Rondeval-Blancard de réagir ce serait pas si mal !
– Hum, comme tu dis c’est une esquisse.

Eh oui, l’idée était en l’air mais trop vague pour l’instant, ils terminèrent leur repas sans être beaucoup plus avancés.

– On se téléphone demain ? Propose Gérard.
– Pressé ?
– Non pourquoi ?
– Tu voulais un câlin, maintenant je ne suis plus contre !
– Toi alors !
– Ben oui, je suis comme ça !
– On va à l’hôtel ?
– Pourquoi faire, viens donc chez moi !

L’ascenseur était en dérangement et c’est tout essoufflé que Gérard Petit-Couture pénétra dans le modeste appartement parisien de Béatrice.

– C’est gentil chez toi ?
– Je fais ce que je peux, je ne suis qu’une modeste chimiste
– Béatrice, rien que te regarder, je bande !
– Non sans blague, qu’est-ce que j’ai de si particulier ? Fais-moi voir cette bite !
– Avec plaisir !

Et sans plus de formalités, Gérard sort son sexe de sa braguette, effectivement il bande comme un cerf !

– Non Gérard, pas comme ça, une bite qui sort d’une braguette, ça ressemble à un polichinelle ! Descend donc ton pantalon, ça sera bien mieux.
– Tes désirs sont des ordres, ma chère !
– J’espère bien !
– Bon je me mets carrément à poil ! Proposa Gérard !
– C’est ça, tu veux boire un truc ?
– Non, mais j’irais bien pisser avant !
– Tu veux que je te la tienne ?
– Ça pourrait être amusant, en effet !
– Alors attends-moi, je retire tout ça et on y va !
– Parce que tu parlais sérieusement ?
– Ben, oui, on a bien le droit de délirer un peu, non ?

Gérard Petit-Couture a déjà vu plusieurs fois Béatrice complètement nue, mais il ne se lasse pas de ce spectacle, de ses jolis seins tout ronds, et de sa petite chatte taillée en ticket de métro.

– T’es quand même super bien foutue !
– Merci m’sieu !

Arrivés devant la cuvette des toilettes, Béatrice attrape la bite de son partenaire.

– Ben vas-y pisse, je te la tiens !
– En bandant, c’est pas évident !
– Et bien débande !
– Je fais comment !
– Ferme les yeux et épelle « Tchaïkovski » une fois à l’endroit, une fois à l’envers.
– C’est malin !

Ce n’est peut-être pas malin mais ça fonctionne ! La bite débande légèrement et l’homme commence à uriner… Alors Béatrice, rapide comme l’éclair vient mettre sa bouche sur la trajectoire du jet et se régale de cette bonne urine tiède à l’arrière-gout de café.

– T’es une cochonne, Béatrice !
– Probablement ! Qu’est-ce qu’elle est bonne ta pisse !

Et Béatrice ne fit pas d’autres commentaires, d’ailleurs, elle n’aurait pas pu, puisqu’elle avait maintenant la bite de Gérard dans la bouche et qu’elle la suçait avec gourmandise.

– Ne me fais pas jouir trop vite ! Prévint l’homme.
– T’as raison, on n’est pas pressé ! Concéda Béatrice en se relevant.
– Tu suces trop bien, t’as une langue…diabolique.
– Je suis une bonne suceuse de bites, alors ?
– T’es adorable, vient que je t’embrasse.

Les deux amants se font alors face, et tandis que Gérard caresse avec frénésie les jolis seins de la jeune chimiste, cette dernière s’est emparé des tétons de l’homme et les tortille entre ses doigts, une caresse qui le fait se pâmer d’aise.

Evidemment Gérard ne tarde pas à remplacer ses mains par ses lèvres et sa langue et se délecte de la douceur des nichons de la coquine.

– Viens donc sur le plumard ! Finit par propose Béatrice.

Sur place les deux amants s’enlacent et le doigt de Béatrice vient s’égarer près du petit trou masculin et s’y enfonce.

– Tu aimes ?
– J’adore !
– Je te mets un gode ?
– Oui, oui !

Béatrice sortit un joli sex-toy en forme de bite de son tiroir de table de chevet :

– C’est pour qui, ça ?
– Je crois qu’aujourd’hui, ça va être pour moi ! Répondit Gérard, mais d’habitude tu fais quoi avec ce truc ?
– Mes prières !
– Ciel !
– Ben oui, justement, allez tourne-toi que je t’encule !

Petite préparation, préservatif et lubrifiant puis hop, directo dans le dargeot !

– C’est bon ?
– Whah, bien sûr que c’est bon ! Mais ça ne vaut pas une vraie bite !
– Je sais, je t’ai vu à l’œuvre ! C’était très excitant !
– Ça t’excite de voir deux hommes s’enculer ?
– S’enculer, se sucer… surtout si à la base ils sont hétéros.
– Tiens, pourquoi ?
– Ma fois, je n’en sais rien ! Oh j’ai oublié de mettre le vibreur ! C’est mieux comme ça, non ?
– Aaaaah !
– Bon, ce n’est pas tout ça, mais j’aimerais bien que tu me baises ! Déclara la jeune femme après une bonne série d’allers et retours dans le conduit anal de Gérard.
– Mais avec grand plaisir.

Béatrice relâche le gode qui au lieu de rester planté le cul de l’homme à l’idée saugrenue de sortir tout seul. C’est trop con un gode !

Gérard se demande de quelle façon, il va opérer, mais la vue de la petite chatte de sa partenaire lui donne une idée :

– Je te lèche un peu avant ?
– Vas-y mon grand, régale-toi !

Il y va, il s’y précipite et commence à lécher avec gourmandise.

– Hum ! Tu aurais dû prendre un parapluie ! Déclare-t-il entre deux coups de langues.
– Pardon ?
– Ben, oui t’es toute mouillée !

Béatrice fit semblant de trouver très drôle cette plaisanterie et s’abandonna aux caresses buccales de son partenaire qui se débrouillait fort bien et parvint à la faire jouir bien plus rapidement qu’elle ne l’aurait cru.

– Prends-moi, maintenant, prend moi vite !
– Je ne t’ai pas léché derrière…
– Fais-le en vitesse…

C’est que notre Gérard voulait absolument goûter l’œillet brun de la belle avant de la pénétrer, mais il ne s’y attarda pas et s’encapota la bite.

– Dans le cul, viens dans mon cul ! L’implora Béatrice, en se positionnant en levrette, cuisses écartées et croupion relevé.

Un spectacle qui rendit Gérard fou de désir, à ce point qu’après l’avoir pénétré, seuls quelques allers et retour suffirent à lui faire jaillir son sperme. Bon prince, il continua néanmoins ses mouvements jusqu’à ce que Béatrice obtienne son deuxième orgasme.

– C’est un vrai bonheur d’être dans ton cul, Béatrice.
– Je vais me faire tatouer un petit mot juste au-dessus, ce sera marqué : « Hôtel du bon accueil ».
– Je vais me rincer la queue !
– Laisse-moi ce plaisir ! Lui proposa Béatrice en en nettoyant de sa bouche tout le sperme resté sur la bite.

On se fait une petite rincette, on se rhabille, on boit un petit coup, on allume une clope…

– Je vais réfléchir à tout ça, c’est quand même un peu complexe, je te recontacte après-demain au plus tard. Au fait comment va ce cher professeur Martinov ?
– En pleine forme !
– Il y a bien longtemps que je ne l’ai pas enculé. Tu lui passeras le bonjour !
– Je n’y manquerai pas, de ton côté, embrasse Florentine pour moi.
– Il faudra qu’on se fasse une petite partie tous les quatre, un de ce jours :
– Mais avec grand plaisir !

A suivre

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2 réponses à Martinov 21 – Sex-machines – 4 – Petite coucherie chez Béatrice par Maud-Anne Amaro

  1. Sorenza dit :

    Pourquoi, je n’ai pas une assistante comme Beatrice, moi ?

  2. Chastaing dit :

    Il fallait bien qu’un moment Béatrice paye de sa personne et c’est un régal d’en lire les galipettes

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