Martine Initiatrice par Jean-Michel_et_Martine

Un matin, notre agence avait vu arriver une stagiaire. J’étais son parrain
de stage et j’avais confié à Martine le soin de l’emmener avec elle dans ses
sorties et de la faire participer à son travail. Les deux filles
sympathisèrent tout de suite et je les vis partir et revenir ensemble
plusieurs fois dans la journée. Martine expliquait ou rectifiait, Elizabeth
approuvait de la tête.
Le soir, de retour à l’appartement, à la seconde tasse de thé, je demandai à
Martine ce qu’elle pensait de son « élève ».

– Bien… Elle à des dons et le désir de réussir. Mais pourtant, pour parler
d’autre chose, je crois qu’elle est un peu « coincée » d’où je pense, ce qui
ne l’empêchera pas de bien travailler d’ailleurs.

Ce matin vers dix heures, elle me dit avoir une envie de pisser et me
demande où sont les toilettes. Comme j’avais aussi une envie, je
l’accompagne. Tu sais que côté « femmes » les deux cabines n’ont pas de
plafond. Moi, à l’aise, sans être gênée par sa présence, tout en continuant
la conversation, comme à mon habitude, je baisse le slip, je fléchis un peu
et penchée en avant, je laisse aller sans me préoccuper du bruit de la
chute. J’essuie, j’appuie sur la chasse et je sors pour l’attendre dans le
couloir. Deux minutes après elle me rejoint en disant :

– Tu as été vite toi… t’es pas gênée ? Moi, si. Si quelqu’un peut
m’entendre ou surtout me voir, je n’arrive pas à faire.

Je l’ai assurée qu’entre femmes on n’avait pas à être gênées, qu’il ne
fallait pas penser à cela. Elle m’avoua même avoir honte de quitter son
travail sous les regards d’autres personnes pour aller aux toilettes. Elle
doit être du type à pisser dans son slip plutôt que pisser vite fait en
catastrophe. Si elle est appelée à travailler dans les mêmes conditions que
moi, elle a intérêt à se libérer. J’amènerai la conversation sur ce sujet
pour voir. Toi, tu es son parrain de stage, moi je serai sa marraine pour
les petits à côtés féminins de la profession.

– Si cela te donne trop de travail, je puis m’en occuper aussi si tu veux…
dis-je en riant.
– Pas question… Tu ne t’occupes que de mes pipis… que des miens… O.K ?
Je me charge éventuellement des siens.
– Tu me tiendras au courant ? … Avec toi elle est en bonnes mains.
– On verra… Si tu le mérites… Et si tu me jures de n’en rien dire.
C’est ainsi que Martine décida, par jeu, de prendre en charge les petits
problèmes éventuels de sa future consoeur.

Quelques soirs plus tard, la conversation revint sur le sujet. C’est Martine
qui attaqua :

– Elle progresse, elle s’intéresse vraiment au boulot, c’est fou ce qu’elle
prend comme notes. Tiens, et même côté pipi elle progresse aussi. Chaque
fois elle me suit comme un petit chien et n’est plus gênée pour faire en
même temps que moi. Elle s’efforce d’être discrète, mais j’entends bien
qu’elle se laisse aller plus facilement, néanmoins sans doutes les fesses
sur le siège. Cet après-midi, en rentrant de mission, comme nous n’avions
pas eu la possibilité de faire la vidange depuis le déjeuner au self, de
retour au bureau, sans que nous ayons eu besoin de nous concerter :
direction le fond du couloir… toilettes « dames ».

J’eus subitement l’idée de lui faire un coup… pour voir comment elle le
prendrait.
Une fois qu’elle fut entrée dans une cabine, j’entrai dans l’autre et je
laissais volontairement la porte ouverte. Quand j’entendis la fin de son jet
discret dans la cuvette, le bruit du papier qu’elle déchirait, puis la
chasse d’eau, c’est à ce moment là que jambes bien droites, sans baisser le
slip, en tirant sur le fond, juste un peu penchée en avant, je laissais
aller mon pipi de toute la hauteur de mes jambes au moment où elle sortait
et qu’elle se trouvait face à moi, porte ouverte. Son visage exprima la
surprise. Elle lança rapidement un : « Oh… excuses-moi » et prit le prétexte
de vérifier ses pinces de cheveux devant la glace pour se retourner pendant
que je freinais mon pipi pour le faire durer. Tu sais mon Jean-Mich’ que
quand j’ai décidé d’être vicieuse… je suis vicieuse. J’ai alors aussi pris
tout mon temps pour laisser tomber les dernières gouttes en l’assurant
qu’elle n’avait pas à s’excuser… que nous étions toutes les deux faites
sur le même modèle etc… Et pendant qu’ostensiblement, lentement, je
m’essuyai, son regard revint sur moi pour me regarder réajuster
tranquillement mon slip entre mes cuisses.
J’affectai un air innocent, pendant qu’elle, perplexe, les yeux vers le sol,
nous rejoignions nos bureaux. Nous n’avons plus parlé de cela ensuite, et
pendant la fin de la journée il n’y a eu aucune allusion à cette scène. Mais
je suis presque sûre que demain, il y aura une conversation à ce sujet entre
elle et moi. Ca m’amuse, mais après tout, c’est peut-être lui rendre service
tu ne crois pas ? Je verrais… si elle veut bien en parler, elle sera plus
à l’aise dans certaines circonstances. Et ça ne déplairait peut-être pas à
son copain si elle en a un.

Plusieurs jours passèrent sans que nous ayons eu l’occasion de parler des
pipis de Martine et de ceux de sa filleule. Un jour que nous rentrions
ensemble de mission, Martine anima la conversation.

– Ah, mais c’est vrai… je ne t’ai pas dit… Babeth… Cette fois c’est
elle qui a ouvert la conversation sur le sujet de nos pipis. Apparemment,
elle est persuadée que la porte restée ouverte l’autre jour était innocente.
Par contre elle fut surprise par ma façon de m’y prendre. Jamais elle, n’a
fait pipi debout. C’est toujours assise ou presque sur les toilettes ou
accroupie selon les circonstances. Evidemment, elle reconnaît que cela lui
cause parfois quelques soucis. En jupe longue ou collante, elle réussit
quand même à glisser le slip et à le remonter ensuite. Si elle porte des bas
avec un porte-jarretelles, comme la plupart des femmes le slip est en
dessous… même problème, elle dégrafe le porte-jarretelles, descend le slip
et range-le tout ensuite. Quand je lui ai demandé pourquoi elle n’avait
jamais pensé qu’elle pouvait faire pipi debout par l’entrejambe dans
certains cas, elle a répondu :

– Je ne sais pas… Je crois que je n’y arriverais pas.

Et elle a ajouté, curieuse malgré tout :

– Mais toi, l’autre jour… tu n’étais pas obligée de faire debout quand je
t’ai vue ?
C’est la question piège, mais pas embarrassante parce que je l’attendais. Je
lui ai répondu que pour moi, j’étais tellement habituée à faire comme cela,
que ça m’est devenu indifférent, presque automatique, que je n’y pensais
même plus, que je ne retenais que le côté pratique. Et aussi que l’on gagne
un peu de temps quand on doit aller vite, en bordure de route par exemple.
De plus, si on s’y prend bien on peut faire son pipi avec un pantalon ou un
jean’s. Là, elle est restée bouche bée. Je lui ai expliqué que j’avais
modifié la fermeture Eclair d’un jean’s dans ce but pour quand je voyage
beaucoup, et elle m’a demandé surprise : « T’y arrives ? »….Elle n’en
revient pas.
Au point où nous en sommes, je crois que je devrais lui faire une
démonstration. Qu’est-ce que tu en penses Jean-Mich’ ? Si tu me vois avec
mon jean’s à l’agence, tu sais que j’aurais mis mon idée à exécution.

Comme malgré tout, nous avons professionnellement, Martine et moi, d’autres
soucis, nous avions oublié ce projet.

Le stage de Babeth touchait à sa fin. Elle était de plus en plus à l’aise
parmi nous et en était à son troisième cahier de notes pour rédiger son
rapport dont elle m’enverrait le brouillon en appréciation. Martine me
confia un jour, en riant, que côté « pipi », elle était moins coincée la
sachant dans la cabine en face, à en juger par le bruit de la chute qui
concurrençait le sien.
Quelques jours avant son départ, un après-midi, je vis Martine changer de
tenue et laisser la jupe « pro » pour le jean’s qui l’est moins. Je me souvins
de ses intentions. Elles devaient partir ensemble chez un gros client, à une
trentaine de kilomètres pour renouveler un contrat, et je savais que sur
l’itinéraire se trouvait une possibilité de stationnement, dissimulée dans
un bosquet, que Martine connaissait bien, parce que nous nous y étions déjà
souvent arrêtés elle et moi pour faire un petit pipi prés de la route, loin
des regards. Je présumais que c’est ce qu’elle comptait faire aujourd’hui
avec Babeth. L’attaché-case à la main, le sac à l’épaule, elle lança à la
cantonade :

– Salut tout le monde ! ….A ce soir ou à demain.

Et elles sortirent toutes les deux.
Martine rentra plus tard que prévu et revint directement à l’appartement.
L’heure du thé étant largement passée, elle but un grand verre d’eau et prit
le petit sourire qu’elle a quand elle prépare un bon coup ou une
plaisanterie.

– Bon… dit-elle… pour X… Ça marche… Ils renouvellent. Pour
Elizabeth, tu veux savoir ?
– Tu es une bonne « commerciale ». Pour Babeth dans quoi l’as-tu entraînée ?
– A l’aller, j’ai appris qu’elle a un copain, qui a un studio, et qu’elle va
le rejoindre en week-end. Dans ce studio, les toilettes se trouvent dans la
salle de bains et elle prend bien soin de fermer la porte au verrou quand
elle a une envie. Je lui ai expliqué que tous les hommes aiment entendre et
surtout voir les femmes faire pipi. Je lui ai conseillé de laisser la porte
ouverte afin qu’il puisse l’entendre et s’il se montre troublé ou intéressé,
d’aller faire pipi quand il se lave les mains par exemple. Je lui ai
expliqué que cela faisait partie des jeux de la sexualité. Elle assure
qu’elle n’oserait pas, mais n’est pas contre. Je sens qu’elle le fera. Elle
m’a demandé si je faisais cela avec toi. Je lui ai répondu oui, bien sûr,
parfois.

Chez X…. nous avons bu un Perier l’une et l’autre et au
retour, je sentais un petit besoin, elle aussi. Je l’ai rassurée en lui
disant que je connaissais un coin où nous serions tranquilles et sans
problèmes. Je me suis arrêtée sur le petit emplacement du bois de Vertain…
tu sais ? …. Alors bien sûr, innocemment… évidemment… je lui ai dit
que justement j’avais le jean’s modifié dont je lui avais parlé et que
j’allais lui faire voir comment on pouvait faire plus discrètement qu’en
baissant tout sur les mollets. J’avais bien garé la voiture pour qu’elle ne
soit pas vue de la route et qu’elle n’attire pas les regards indiscrets. De
toute façon, il n’y avait presque pas de circulation. Les conditions étaient
idéales pour nous.
Je me tournais vers elle en souhaitant que je ne « cale » pas et que j’arrive
à me laisser aller. Elle me dit :
– Si tu veux… et parue gênée de mon offre de me regarder.

Je commentais ce que je faisais. J’écartais un peu les pieds, j’ouvris en
grand la fermeture Eclair, de la main gauche je la tenais bien ouverte, et
je tirai sur le fond du slip. Je lui fis voir que de l’index et du majeur de
la main droite j’écartais les petites lèvres et que j’appuyais un peu
au-dessous du clitoris, et qu’il n’y avait plus qu’à se laisser aller. Elle
me regardait bouche bée, ses yeux allaient de mon visage à ma braguette. Il
me fallut quelques secondes quand même pour obtenir l’ouverture du robinet,
mais un beau jet partit joyeux bien en face de moi avec un bruit de chute
d’eau dans l’herbe. Je pris un kleenex dans ma poche de blouson pour essuyer
les dernières gouttes, repoussai bien les petites lèvres à l’intérieur,
rangeai le slip et refermai la fermeture Eclair. Elle paraissait
époustouflée de tant d’audace de ma part. Elle devint toute rouge quand je
lui dis :

– Allez. vas-y… à ton tour… il n’y a personne, tu ne risques rien….tu
verras c’est facile… tu as vu comment il fallait mettre les doigts ?

Elle parut hésiter entre la crainte de ne pas pouvoir et celle de passer
pour une dinde. Elle leva lentement sa jupe et s’apprêta à baisser son slip
sans doutes pour s’accroupir. Je l’arrêtai :

– Mais non… habitue-toi à garder ton slip et à pisser debout… fais comme
moi… en tirant sur le fond…
– On est entre femmes quand même. Quand tu l’auras fait une fois et devant
quelqu’un tu verras après comme ça te paraîtra normal !

Elle paraissait momifiée, la jupe un peu relevée, prête à de remonter dans
la voiture sans avoir fait. Elle finit par écarter les pieds, tira sur le
fond du slip et je vis deux doigts s’enfoncer entre les lèvres au travers de
son épaisse toison. Elle fléchit quand même un peu les jambes comme toutes
les débutantes, et son regard descendit vers son ventre.

– J’y arriverai pas comme ça… Je vais me baisser.
– Mais non… oublie-moi, ferme les yeux et avale ta salive… L’essentiel
est déjà fait.

Encore quelques secondes et un jet généreux mais désordonné sortit par
saccades. Elle rouvrit les yeux et se mit à rire.

– Ah zut ! … J’en fous plein sur mes jambes. C’est pas si beau que toi.
– C’est rien… j’ai des kleenex. C’est parce que tu n’as pas encore trouvé
l’endroit où il faut mettre les doigts. Mais bravo quand même, tu as vaincu
ton appréhension.

Je lui tendis un kleenex. Elle essuya ses cuisses arrosées et termina par sa
chatte. La culotte avait été épargnée. Tiens… au fait. elle n’est pas
blonde mais châtain.

On reprit la voiture, et sur le retour, elle admit qu’elle savait que
beaucoup de femmes s’y prenaient ainsi. Mais de là à faire cela devant
quelqu’un d’autre que moi… ou même son copain… Il y avait encore du
chemin. La glace étant brisée, je lui ai expliqué ce qu’était l’urolagnie
dont elle ne connaissait rien à part le côté « prohibé » évidemment.
Tu vois son stage chez nous lui aura été doublement profitable.

– Elle n’est peut-être pas prés d’oublier son initiatrice. Mais… au
fait… je ne me souviens plus si toi tu es une vraie brune. Tu me montres ?
– Mais dis donc ! ….Babeth t’a donné des idées mon cochon chéri…
dit-elle en posant sa main sur ma braguette… .. Tu veux voir ?

Elle descendit la fermeture Eclair de son jean’s et tira sur son slip.

– Comme je ne suis épilée que depuis quelques jours, tu ne pourras pas
vérifier si je suis une vraie brune.

Je me mis à lécher ce petit coin imberbe.
– Attends. avant il faut que j’aille au pipi… ça sera mieux après.

Elle alla vers les toilettes. Comme je l’avais suivie, elle resta braguette
ouverte et entrejambe tiré, puis, les yeux fermés pour m’oublier, bien
droite face à moi, elle laissa couler sa petite source chuchotante dans la
cuvette.

– Maintenant. tu peux lécher Jean-Mich’ !

Ce que je fis. Je fis aussi remarquer à Martine que son clito appréciait et
qu’il sortait déjà de son repaire. Elle le savait mais inclina la tête pour
vérifier.

– Oui,… c’est vrai qu’il est content quand tu t’occupes de lui. Mais à
propos… tu as vu ceux de la galerie de Dany ? Moi avec ses quinze
millimètres quand il met le nez dehors j’ai l’air d’une minable !
C’est complexant ! Tu l’aimes quand même mon clitounet ?
– Comme dit la pub : « Il a tout d’un grand » et a autant de capacités. Je
l’adore. Enlève ton jean’s et ton slip et viens sur le canapé. J’ai plein de
choses à lui dire !

Jean-Michel et Martine

Janmich59@aol.com

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Une réponse à Martine Initiatrice par Jean-Michel_et_Martine

  1. Simon dit :

    Du pipi gentil

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