Martine et sa coupe d’été par Jean-Michel_et_Martine

Nous étions en mai. La journée avait été chaude. Après huit heures dans la
moiteur du bureau, j’étais heureux de retrouver l’appartement et ma compagne
Martine qui était en repos ce jour là.
A peine entré, je fus accueilli par ses bras autour de mon cou et ses lèvres
posèrent une rapide bise sur le coin de ma bouche. Son regard dans le mien,
elle s’assura que tout allait bien et que notre patron n’avait pas été trop
« embêtant » (elle employa un autre mot).
– Et toi,…..lui dis-je….. ta journée ?
Il y avait eu pour elle deux évènements marquant, dont l’un était une
surprise.
– Tu veux savoir ?…..dit-elle, connaissant ma réponse.
– Raconte. Ton sourire me dit que ça ne doit pas être triste. Qu’as tu
encore inventé ?
– Rien. Mais ce sont deux évènements que je n’avais pas vécus depuis
longtemps. Ce matin en descendant du pèse-personne de la salle de bain, je
constatai que je n’avais pas grossi. Je garde encore mes soixante kilos et
je pense mon mètre soixante treize. Mais il m’a semblé que mon ventre
n’était plus aussi plat qu’avant. Tu n’as pas remarqué ?
– Non…..assurais-je. Tu n’as pas de problèmes de jupes ou de jean’s ?
– Non, évidemment. Mais j’ai pensé qu’il y avait longtemps que je n’avais
pas fait de piscine. Un peu d’abdominaux ne pouvaient que me faire du bien.
J’ai donc essayé mon deux pièces des dernières vacances sans problèmes. Je
devais quand même raser un peu les côtés, il y avait des fuites. Je t’ai
piqué de la mousse à raser et un rasoir et j’étais prête pour le plongeon.
C’était un jour creux. Il n’y avait presque personne dans le grand bain.
Evidemment, en sortant de la cabine je passais aux toilettes. Evidemment,
rien à vider. Evidemment, comme d’habitude, sous la douche, une grosse envie
me prend, c’est toujours comme ça sous la douche, tu le sais ?
– Oui, mais je sais aussi que sous la douche, une envie de pisser, ça n’est
pas un problème quand on s’appelle Martine.
– Non, bien sûr. Mais à une douche un peu plus loin, il y avait un homme qui
sortait de l’eau et qui n’en finissait pas de se rincer. Ca me génait de me
laisser aller à pisser pendant qu’il était là, et en plus d’imprégner mon
slip. Si ça avait été toi, celà ne m’aurait pas posé de problème, ça
n’aurait pas été la première fois que je pissais prés de toi. Je l’aurais
fait sans te le dire pour que tu ne prennes pas celà pour un
pipi-provocation et que tu te mettes à bander. Tu vois la situation ?
– Comment veux-tu que cet homme s’en aperçoive ?
– Oui, c’est sûr, avec l’eau qui coule devant moi, on ne pouvait rien
remarquer. Je prolongeai quand -même dans l’attente qu’il parte et il partit
enfin. Je me trouvais seule à ce moment là. Ecoutant si je n’entendais pas
de bruit de pas ou de voix, j’ai tiré un peu sur l’entrejambe et j’ai réussi
à pisser, prête à tout ranger si quelqu’un arrivait. Ce fut vite fait, ce
n’était qu’un pipi de petite fille. Heureuse d’être soulagée, je me suis
avancée vers le plongeoir. Le contact brutal avec l’eau froide me contracta
d’abord, mais je fus vite en forme pour faire des longueurs de brasse. De
temps à autre je prenais une petite pause et je repartais. Je suis restée
une demi-heure dans l’eau. Pas mal hein ?…Tu devrais y aller toi
aussi.Quand j’ai commencé à fatiguer, je suis sortie avec évidemment, le
reste du pipi précédent. Je l’ai gardé sous la douche car il y avait pas mal
de monde, et une fois rincée, ce sont les toilettes qui l’ont récupéré. La
première piscine de l’année, tu ne crois pas que c’est un évènement ?
– Si bien sûr. Et le second évènement-surprise qu’est-ce que c’est ? Avec
toi je m’attends à tout.
Avant de répondre, elle se servit une seconde tasse de thé et parut
réfléchir à la façon dont elle allait s’y prendre pour me le raconter. Son
sourire me faisait prévoir une chose plutôt amusante.
– Et bien voilà. En sortant de l’eau pour aller vers les vestiaires, j’ai vu
le regard d’un homme assis sur le bord du bassin. Ce regard visait sans
équivoque le bas de mon ventre à tel point que je croyais que mon slip
s’était écarté sans que je m’en aperçoive. Je vérifiai en faisant semblant
de le réajuster à la ceinture. Tout allait bien.Mais je remarquai que
mouillé, il faisait une grosse bosse à l’endroit où je n’avais pas rasé. Je
ne pensais pas que celà se voyait tant. On aurait presque dit un mec. La
honte…… Heureusement que j’étais toujours restée dans l’eau. Une fois
dans la cabine, je dus admettre que mon rasage des côtés me gardait une
ligne épaise au milieu, et je pris une décision importante sur le champs.
– Alors maintenant, ne m’en dis pas plus, je crois que j’ai tout compris. Tu
as rasé le reste ?
– Ah non !….C’est barbare comme méthode, et même dangereux…on peut se
couper !
J’ai préféré une méthode plus douce. J’ai confectionné un rouleau comme une
grosse cigarette avec du coton hydrophile, je l’ai coincé dans ma fente et
je me suis barbouillé de crème épilatoire. J’ai mis une vieille culotte, et
le temps de faire la chambre, de mettre un peu d’ordre, et de passer
l’aspirateur, il était l’heure de voir le résultat. Un coup de douchette et
de savon et me voilà rajeunie de vingt cinq ans. De toute façon, on dit que
l’on doit s’épiler les aisselles par mesure d’hygiène et parce que c’est
plus beau, alors pourquoi pas là aussi pour les même raisons, tu ne crois
pas ?… Tu vas la trouver toute changée. On ne pourra plus l’appeler « la
petite chatte », puisqu’elle n’a plus de poils. Il faudra lui trouver un
autre nom. C’est pas aussi un évènement celà ?
Sa seconde tasse de thé était bue. Martine était arrivée sur mes genoux pour
terminer le récit de son scalp. D’un air faussement innocent elle demanda
avec un sourire:
– Tu veux la voir maintenant ou tu préfères attendre ce soir ?
– Mais tu penses bien que je suis impatient et que je veux la voir. Mais
c’est à toi. C’est quand tu veux.
– Voyons…Qu’est-ce que tu m’offres en échange ?
– Si elle est aussi belle que je pense, je lui ferai un gros bisous dessus.
– D’accord, j’accepte le marché.
Elle se leva lentement, trés lentement,et se posta devant moi.
– Fermes les yeux….dit-elle. N’oublie pas que c’est une surprise. Ne
triches pas !
Je me soumis à son jeu. Comme d’habitude dans des cas comme celui-là, je
devais lui laisser l’initiative. Je proposais, elle décidait.
Au bout de deux secondes pendant lesquelles j’entendis des petits bruits de
déshabillage elle dit:
– Tu peux les ouvrir maintenant !
Des deux mains, elle tenait sa jupe au-dessus du pubis. La petite culotte en
dentelles était descendue un peu en-dessous de l’entrejambe. Je quittais mon
siège pour mettre les yeux à la hauteur de ce spectacle. C’est vrai que sans
sa toison brune habituelle tout était changé.
– Comment la trouves tu ?….demanda t-elle.
– Je ne l’aurais pas reconnue, mais je retrouve quand même ce petit grain de
beauté là, sur le côté droit, à la pliure de la cuisse. Pas de doutes, c’est
bien elle.
– Elle te plait ?
– Oui, beaucoup, je ne l’avais jamais vue ainsi depuis que je te connais.
– Alors……ce bisous……il vient ?
J’écrasais ma bouche sur la fente pendant un bon moment. Je frôlais des
lèvres et du nez ce petit coin tout blanc et très doux. Je lui trouvais une
douce senteur faite d’un mélange de savon, de l’eau de toilette qu’elle
affectionnait, et d’une pointe un peu acide d’odeur propre à ce petit coin
qui surpasse tous les stimulants du monde. Ma langue remplaça bientôt ma
bouche sans qu’elle protesta. Ses grandes lèvres faisaient deux beaux
bourrelets qui se rejoignaient au sommet en une petite bosse protégeant le
petit clito. Les petites lèvres saillaient un peu comme pour une invitation.
– C’est agréable quand tu lèches….j’aime cela……Ca pourrait aller loin.
– Quand tu feras pipi, j’aurai plaisir à remplacer le kleenex et à la lécher
pour la sécher.
– Tu ferais cela ?….. Sans dégoût ?…..
– Bien sûr…..Ce n’est pas sale…..D’ailleurs, avec toute l’eau et le thé
que tu bois, ce que tu rejettes doit être proche de l’eau de source. Tiens,
ce serait un beau nom pour remplacer « la chatte ». « La petite source ».
– Je te prendrais bien au mot. Je sens que le verre d’eau et les deux tasses
ce thé arrivent à destination.
– Tiens…..allez…… fais m’en quelques gouttes, pour que je sache quel
goût elle a ta petite source.
– Tu sais bien que c’est impossible pour moi. Quand je sens que l’on
s’intéresse à mon pipi, j’ai des problèmes pour faire. Et si je réussis,
c’est les grandes eaux, je ne peux pas toujours m’arrêter. Alors avec tes
yeux devant mon ventre je vais coincer et si je réussissais….. bonjour la
cuisine !
– O.K……Alors viens au-dessus des toilettes. Je voudrais voir s’épancher
ma petite source sans sa fourrure. Elle doit être mignonne si tu fais pipi
debout.
– Sois….Je veux bien essayer. Mais que je réussisse à faire devant toi ou
sans toi tu me la lèches ?
– Promis. Essaies.Fais ce que tu peux. Mais je suis sûr que tu va réussir.
Martine se débarrassa par un petit pas de danse du mini slip qui entravait
encore ses jambes. Il vint atterrir sur une chaise prés de la table. D’un
pas décidé, avec son petit rire qui cachait sans doutes son appréhension,
elle m’accompagna vers les toilettes dans le couloir;
– Comment veux-tu que je m’y prenne ?
– Essaies de faire debout face à moi, en prenant la cuvette entre les
genoux.
Elle releva le siège, et s’installa comme je le lui demandais. Pas sûre de
maîtriser le jet, elle appuya ses longues jambes minces sur le réservoir.
Ses mains tenaient sa jupe remontée sur son ventre.
– Je ferme les yeux, et j’essaie d’oublier ton regard sur moi. Toi aussi
ferme les yeux et promets moi de ne les ouvrir que lorsque j’aurais commencé
à pisser.
– D’accord…. je te le promets.
Il se passa au moins dix secondes qui me firent croire à l’échec d’une
tentative pour vaincre une pudeur pourtant remplie de bonne volonté. Le
silence dans lequel nous étions plongés fut brutalement interrompu par un
bruit de chute d’eau. J’ouvris les yeux et Martine pencha un peu la tête en
avant pour voir avec moi ce jet parfaitement maîtrisé, tomber verticalement
entre ses cuisses. C’était pour l’un et l’autre un spectacle érotique que
nous avions vraiment plaisir à vivre. Elle, offrant, et moi contemplant
cette source dans sa simple nudité, sans sa barrière de poils habituelle.
Les deux grandes lèvres un peu écartées par la position ouverte des jambes,
laissaient maintenant apparaître largement les deux petites lèvres roses
entre lesquelles sortait ce petit ruisseau. Un doux chuintement perceptible
malgré le bruit de la chute accompagnait ce spectacle. Martine maîtrisait
parfaitement la situation et freinait même pour faire durer la scène. Elle
semblait prendre autant de plaisir à faire que moi à regarder. Puis le jet
s’arrêta.
– Celà aurait mérité une photo…..dis-je.
– Pas question de photographier mon petit trésor……et entrain de faire
pipi en plus. La photo ne servirait à rien puisque tu peux le voir quand tu
veux….. Logique inattaquable.
– Maintenant pas de kleenex……Tiens ta promesse !
Tenant toujours sa jupe, elle s’avança de quelques pas pour quitter la
cuvette et je n’avais plus qu’à m’exécuter, ce que je fis avec plaisir.
L’odeur avait un peu changé. Le parfum devrais-je dire. Peut-être un peu
plus acide, sans plus. Aucun goût, peut-être un peu salé. J’éprouvais
beaucoup de plaisir à tout lécher: de chaque côté, entre les cuisses, et ma
langue s’immisça entre les lèvres. Martine sursauta un peu et descendit les
mains pour les écarter et me faciliter le passage. Du bout de la langue je
cherchais le clitoris qui répondit aussitôt à mes sollicitations. Je le
sentais se gonfler et surgir de seconde en seconde. Il finit par sortir
amplement de son repaire et saillir en dehors à tel point que je pouvais le
sucer entre mes lèvres. Perdu habituellement dans la toison je ne pouvais
jamais le contempler comme aujourd’hui.
– Bon….arrête….. décida Martine….tu m’as bien séchée….. mais c’est
d’une autre manière que je suis mouillée maintenant. Tu as autre chose à me
proposer ? J’ai assuré brillamment les préliminaires, à toi de poursuivre
Jean-Mich… O.K ?
– O.K. J’assume…. Je l’a pris par la taille et l’a ramenai vers la
cuisine. Rapidement je déplaçai les tasses et la théière de la table vers
l’évier.
– Assieds-toi là, sur le bord de la table…..lui dis-je. Oui, comme
cela…..allonges-toi sur le dos. Je veux voir ta mignonne petite fontaine
toute blanche et ouverte pendant que je la pénètre.
J’étais prêt à la prendre depuis un moment déjà, évidemment. Ses jambes sur
mes épaules, Martine m’offrait un spectacle auquel aucun homme ne pourrait
résister. Tout doucement je promenais mon sexe de haut en bas dans sa fente,
comme une caresse.

– Allez….viens….dit-elle.
Elle m’empoigna d’une main et de l’autre mit ma queue à l’entrée. D’une
secousse, elle me força à la pénétrer, et comme pour être sûre que je ne la
lâcherai pas elle m’agrippa pour me tenir contre ses fesses. Je prenais un
malin plaisir à aller et venir très lentement comme tout à l’heure elle
prenait plaisir à ralentir sa pisse. C’était dur de retenir mon plaisir. Sa
respiration devint plus forte et s’accéléra en même temps que mes allés et
venues. Elle finit par avoir des petits râles. Je ne pouvais pas ôter mon
regard de cette petite source écartelée par la pénétration, ni de ce clito
qui saillait, qui saillait encore plus, trahissant le plaisir de sa
maîtresse. Les râles s’accentuèrent encore.
– Maintenant……Viens !…. dit Martine dans un souffle.
Je ne pouvais plus me retenir et j’éclatai en même temps qu’elle.
– Je t’ai senti jouir en moi…..assura t-elle. Je ne pensais pas que d’être
épilée pouvait donner lieu à de tels jeux et de tels plaisir. On refera tout
cela ?…..dit-elle.
– Oui…..Bien sûr….mais pas maintenant !….dis-je d’un air suppliant.
Elle descendit de la table. Son petit cul tout nu vint se poser sur mes
genoux, ses bras entourèrent mon cou, et ma main caressa sa cuisse du bout
des doigts.
Nous bavardions ainsi depuis dix minutes environ quand elle s’écria:
– Oh !…..C’est pas vrai…..j’ai encore envie de pisser.
Elle se leva rapidement et fonça en riant vers les toilettes. J’entendis le
bruit de la porte qui se ferme, suivi bientôt de celui de la chute dans la
cuvette, puis de celui du rouleau de papier que l’on déroule et déchire. La
séance était finie. Mais je savais déjà qu’il y en aurait d’autres, dont
nous vous ferons profiter.

Jean-Michel et Martine

From: Janmich59@aol.com

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Une réponse à Martine et sa coupe d’été par Jean-Michel_et_Martine

  1. Claire dit :

    C’est mignon, davantage coquin qu’érotique, mais en ce qui me concern je n’ai jamais compris l’utilisé du rasage intégral, j’aime bien mes poils !

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