Martine en prof. d’anatomie par Jean-Michel_et_Martine

Martine a mis son projet à exécution. Elle a décousu la fermeture-éclair de
ses jeans pour les remplacer par des plus longues de cinq centimètres, ce
qui lui permet de faire son pipi sans les baisser. Il lui suffit simplement
d’ouvrir à fond la fermeture et en tirant bien vers le bas, il ne reste qu’à
écarter l’entrejambe du slip et à ouvrir un peu les grandes lèvres avec les
doigts pour envoyer un superbe jet devant elle. Cette fermeture modifiée lui
évite, comme elle dit, de « tout mettre à l’air ».

Après avoir fait quelques essais seule, avec succès sur un vieux jeans, elle
m’avait pendant une promenade offert une démonstration au cours de laquelle,
prétextant qu’il y avait beaucoup de chose à écarter, elle avait, adorable
petite vicieuse, sollicité mon aide pour tenir la braguette bien ouverte.
Alors que je proposais de tenir plutôt l’entrejambe ou les grandes lèvres,
elle ajourna mon projet en disant que c’était plus compliqué que je le
pensais, et qu’on en reparlerait un peu plus tard. Comme d’habitude je
savais qu’elle tiendrait sa promesse puisqu’au fond, je pressentais qu’elle
était aussi intéressée que moi par ce genre de jeu. Mais l’initiative devait
lui incomber comme d’habitude dans ce genre de démonstration.

On reparla de cela un soir qu’elle rangeait un placard. Un jeans jeté sur
une chaise en attente de son sort, attira mon attention: la fermeture-éclair
était grande ouverte.

– Tiens,… dis-je en le prenant en main pour mieux l’examiner… il me
rappelle cette superbe démonstration que tu m’as faite prés du champ de
maïs. Tu continues à utiliser cette grande fermeture ?

– Oui… parfois… En principe c’est juste pour l’extérieur en cas
d’urgence, ou pour éviter de faire voir ce que je fais. J’ai également
essayé accroupie ça marche aussi, c’est formidable non ?… Mais à l’appart’
j’ouvre la ceinture et je prends le temps de tout baisser avant de
m’asseoir. Tu sais j’ai fait la modif. Surtout pour que nous ayons un jeu
érotique nouveau toi et moi.

– Je m’en doutais, tu penses bien. N’empêche que de ce point de vue, vous
n’êtes pas aidées les femmes avec votre anatomie.

– Et bien… vas-y… dis que je suis mal fichue. Tu l’apprécies pourtant
mon anatomie… dit-elle en riant.

– Non seulement je l’apprécie, mais en plus je la connais bien pour la voir
souvent de prés.

– O.K… Tu la vois de prés, mais je suis persuadée que la plupart des
hommes et aussi beaucoup de femmes ne savent pas comment ça fonctionne
exactement quand on fait pipi. Un homme c’est simple, ça va tout seul, mais
une femme doit tenir compte de plusieurs choses.

– C’est cela que tu voulais m’expliquer au champ de maïs ?… Je t’écoute
avec intérêt.

– Avec intérêt et un peu de vice aussi… non ? En général les femmes se
contentent de pisser sans se poser de questions. Tiens, tu sais Fabienne…
la petite brune qui fait les bureaux le soir ?… Elle doit être encore
vierge, c’est pas possible. Je ne sais plus comment la conversation est
arrivée sur le sujet, mais elle est persuadée que l’urètre et l’entrée du
vagin c’est la même chose. Elle n’est vraiment pas curieuse.

– Tu prends un cas extrême. Mais apprends-moi des choses sur la manière dont
fonctionne ta petite source.

– Quand j’ai eu mes premières règles, ma mère m’avait prévenu évidemment.
Mais cela avait attiré mon attention sur ce petit coin qui m’intéressait peu
avant cet évènement. Je me souviens qu’un jour, seule dans la salle de bain,
j’ai pris un petit miroir pour faire l’inventaire et découvrir ainsi comment
j’étais faite. J’avais onze ans je crois, aujourd’hui j’en ai vingt-cinq de
plus, et je t’assure que l’endroit a bien changé, sans parler de la pilosité
évidemment. Les petites lèvres ont grandi, le capuchon du clitoris aussi et
tout cela saille entre les bourrelets des grandes lèvres, je ne t’apprends
rien. C’est pour cela que je préfère employer la crème à épiler plutôt que
le rasoir. Il y a des risques. Lorsque j’étais très jeune mon clito ne
sortait jamais, il était trop petit. Avec l’âge, il a pris de l’importance
et il ne manque jamais une occasion de sortir de son repaire pour trahir mon
plaisir quand tu me caresses. Tu as aussi remarqué, j’en suis sûre, que les
petites lèvres grossissent et deviennent toute rouge ?

– Bien sûr… et si à ce moment là tu me disais que tu n’as pas envie, je ne
te croirais pas.

– Et bien, quand je suis dans cet état, ou que tu me touches là, cela me
fait penser à autre chose, je me bloque, et il devient impossible de pisser.
Tout comme toi quand tu penses à me prendre, tu ne peux pas pisser non plus.
Même le simple fait que tu me regardes, je sais que cela te donne des
envies, alors il me prend aussi une envie et je t’assure que c’est un
exploit si je réussis à me laisser aller, ça aussi tu l’as remarqué ? C’est
vrai, souvent dans ces cas là je coince, pourtant j’ai de sacrées envies de
faire ces jeux avec toi. Quand j’ai commencé le pipi, après tu peux me
regarder ou me toucher. Quand c’est parti, c’est parti.

C’est la première raison que je voulais te rappeler. Elle est psychologique,
la pudeur sans doutes, et je crois que toutes les femmes sont comme cela

La deuxième raison est plutôt technique, et c’est cela qu’il faut que je
t’explique, car tu ne sais pas, et tu ne vois pas tout dans ces moments là.
Tu m’as déjà vu faire dans différentes positions, soit quand tu montes la
garde, soit que je te fais une petite démonstration provoc.

Le plus facile, sans aucun doute, c’est accroupie sur les chevilles,
culotte baissée, ou par la jambe éventuellement. Avec mes jeans modifiés,
j’ai essayé, je n’ai plus besoin non plus de les baisser, je peux aussi
faire accroupie. Dans cette position, les grandes lèvres sont bien écartées,
les petites lèvres sont entrouvertes, y n’y a plus qu’à laisser aller, et on
envoie le jet bien devant soi, sans presque mettre de gouttes sur les côtés.
C’est le jet guidé par les petites lèvres qui fait cette petite musique que
tu aimes tant.

Assise c’est confortable, cuisses serrées ou écartées c’est la même chose.
Les grandes lèvres ne s’ouvrent pas, la petite musique est plus forte. Il ne
faut pas vouloir aller trop vite car sinon le jet n’est pas régulier et ça
éclabousse. Ce genre de pipi se fait souvent à l’abri d’une porte
verrouillée, donc on prend son temps. Relax quoi…

Un autre, c’est souvent celui des cuvettes publiques. Il se fait debout,
jambes de chaque côté pour ne pas toucher. Par la jambe du slip
généralement, ou on le descend un peu, on se penche vers l’avant en le
tirant devant soi, on écarte un peu les grandes lèvres. De cette façon, le
jet part légèrement en arrière, et il faut veiller à ne pas arroser le
réservoir d’eau.

Et puis le dernier, celui que tu préfères petit cochon, c’est celui en
grande urgence ou que je fais avec une arrière pensée vers toi. Avec ou sans
le slip, et maintenant avec ou sans jeans. Les jambes presque jointes ou un
peu écartées. Le problème dans ce cas c’est que les grandes lèvres ne
s’ouvrent pas. Il faut impérativement les écarter avec les doigts, en tirant
un peu vers le haut, si non ça part dans trous les sens, et bonjour les
jambes, et comme ça tombe à tes pieds, bonjour les chaussures. L’autre jour
aux maïs, si je t’avais dit oui, en supposant que j’y arrive, tu
transformais mon jeans en serpillière. En m’y prenant seule, je suis
quasiment sûre de pisser à presque un mètre de mes pieds, en forçant un peu.
Un jour nous ferons un concours, je te battrai sur la longueur, on parie ?

Bien sûr, je te montrerai comment je fais exactement, je vais « faire ton
éducation ». Cela demande plus d’habitude que tu crois, car tes doigts
orientent le jet, et tu dois aussi écarter les grandes lèvres, le slip, et
éventuellement le jeans. Tu es toujours preneur ?

– Quand tu veux !

– De plus je t’ai dit que quand tu me toucheras, cela va sans doutes me
bloquer, pire que sous la douche quand tu poses tes mains sur mes fesses ou
sur mon dos. Déjà quand je sais que tu me regardes, j’ai un problème pour y
arriver.

Alors, je te promets d’essayer avec toi mais pas de réussir. D’abord on
tentera toute nue dans la douche, si c’est foireux, ce ne sera pas grave. On
verra plus compliqué en suite.

– D’accord sur le planning. Je savais tout cela évidemment, mais tu
confirmes certaines choses. Je te connaissais des compétences
professionnelles en dessin et en photo, mais en plus tu ferais un bon prof
d’urolagnie féminine, à condition que tu gardes pour moi les travaux
pratiques. Sans aller au bout de l’exercice, veux-tu au moins me montrer
maintenant comment tu mets les doigts ?

– Quel impatient tu fais !… Juste ouvrir alors ?… Je n’ai pas d’envie
assez grosse pour le moment et je ne me sens pas prête aujourd’hui, surtout
après avoir parlé de tout cela Mais je tiendrai ma promesse, j’en ai autant
envie que toi.

Elle prit mon bras et m’entraîna dans la cuisine, face à la fenêtre d’où
entrait encore un peu de la lumière du couchant.

-Viens… Tiens… Regarde… Comme cela… Elle leva sa minijupe. Une main
devant et l’autre derrière, elle écarta sa petite culotte. Quand son sexe
fut bien dégagé, les deux mains se trouvèrent devant, la gauche tenant le
slip pendant que le majeur et l’index de la droite écartaient un peu les
grandes lèvres, laissant sortir tout son trésor déjà gonflé et rouge de
désir. Le passage était libre et je pouvais apercevoir la sortie, juste en
dessous du clitoris qui témoignait que nous avions déjà dépassé la
possibilité pour Martine de faire un pipi. Je posais mes lèvres sur cette
fente ouverte. Elle répondit par un petit tressautement

– Tu veux que je continue ?… lui demandais-je

– Est-ce vraiment nécessaire que je te réponde ?…

Elle maintenait ses doigts en place pendant que ma langue allait et venait.

– Fais-le-moi ainsi jusqu’au bout… en suite je te le ferai.

Elle tint là encore ses promesses. Comme elle tiendra quelques jours plus
tard celle de faire appel à mes mains pour « l’aider » à se soulager !

Jean-Michel et Martine

E.mail: janmich59@aol.com

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