Ma voisine d’en bas par Christelle_Baxter

Ma voisine d’en bas
par Christelle

Seule dans mon lit, tendue avec pour tout vêtements, ma petite culotte tanga, j’attends que ma voisine d’en bas sonne et entre dans mon appart.

Ma voisine d’en bas s’appelle Annie. C’est une jolie brune d’environ 1,70 m. Je l’adore. C’est ma Annie à moi. Si je pouvais, je me collerais à elle avec de la super glue et je vivrais 365 jours par année avec elle. Ah ! Elle sonne. Dans quelques instants, elle va entrer dans mon appart, refermer et verrouiller la porte derrière elle, enlever son haut, dégrafer son soutien-gorge, baisser son jean et entrer avec son petit sac dans ma chambre.

– Bonjour Marie-Pierre.
– Bonjour Annie.
– Comment tu vas ?
– Bien…

Annie s’assoit donc sur mon lit et me montre ce qu’elle a acheté pour moi: un petit œuf magique à piles et un chapelet de perle en silicone. Déjà, je me sens mouillée, mon vagin commence déjà à devenir humide et mes tétons pointent rageusement vers Annie. Excitée, elle me caresse gentiment les seins et se met à quatre pattes devant moi.

– Ma chère Marie-Pierre, je t’ai acheté des jouets dont tu me diras des nouvelles… Déshabille-moi, et libère ma petite chatte en chaleur…

Je lui arrache donc doucement sa petite culotte et me rends compte que son mont de Vénus est complètement rasé. Je caresse donc sa peau douce et fraichement rasée pour ensuite descendre vers sa vulve. Déjà humide, ses grandes lèvres mouillent mon majeur et me font découvrir un clitoris déjà en érection. Je la caresse, un peu, au tout début sur son clitoris, puis à l’intérieur de ses grandes lèvres, de ses petites lèvres pour ensuite la pénétrer de mon majeur. Annie aime bien ce que je lui fais et prend tout doucement ma tête. Elle la descend vers son vagin et me demande de la manger et de la sucer si je veux avoir droit aux jouets. Elle se couche sur le dos et je la mange goulument avec mes lèvres et ma langue. Comme elle mouille beaucoup, tout en la suçant avidement, je descends mon index vers son périnée puis vers son anus et je la pénètre doucement. Elle s’agite un peu plus pendant que je la suce et l’encule et même temps. Mon doigt entre et sort rapidement alors que mes lèvres lèchent son clitoris et toute sa vulve.

Elle crie fort et descend son bassin pour que je l’encule plus profondément. Elle jouit et retombe tout lourdement sur le lit.

– Enléve ton doigt et nettoie-le, je vais reprendre des forces…

Je fais ce qu’elle dit, je suce le doigt légèrement maculé de matière. Pendant ce temps, elle s’est assise en tailleur et a déjà déballé ses jouets. Elle me demande de m’approcher.

-Vient ici mon chaton. Je vais te faire jouir comme tu n’as jamais jouie.

Je m’approche et elle suce mes seins, tout en prenant bien soin de caresser ma vulve déjà trempe de mon désir. Elle me retourne, me penche vers l’avant, ayant ainsi le loisir de voir mes fesses et mon anus à la hauteur de son visage. Elle lubrifie l’entrée de mon anus ainsi que le collier de perle en silicone avec un lubrifiant. Elle prend ensuite le collier, composé de dix boules en silicone d’environ trois centimètres de diamètre et enfonce la première boule de cet interminable collier dans le cul. J’adore la sensation d’être pénétrée par l’arrière et mon vagin est humide comme il ne l’a jamais été.

-Tu aimes ça cochonne… Je vais en rentrer une autre, et encore une autre…

Elle prend ensuite l’autre bout, me demande de me coucher, proche d’elle et se pénètre avec les sept boules restantes. Elle les fait entrer et sortir un moment, puis les ressort et les fait entrer dans mon vagin, tout humide. J’adore ça. Je me fais pénétrer en avant et en arrière. Elle ressort tranquillement les boules de mon anus et s’amuse à les faire entrer à nouveau tout doucement. Je suis en extase. Juste comme j’allais jouir, elle me retire le collier et de mon vagin, et de mon anus, et sort son autre jouet: un œuf électrique sans fil. Elle entre l’œuf dans mon vagin, et le met en marche. Aussitôt, je le sens gigoter à l’intérieur et une bosse se forme: mon point G est directement stimulé. Elle s’approche de moi, entre une partie des boules du collier à l’intérieur de mon rectum et se couche sur moi, la face sur ma vulve. Elle commence à me manger et met l’œuf à la vitesse la plus rapide. Elle prend l’autre extrémité du collier et l’entre dans mon vagin. Je sens l’œuf stimuler mon poing G, le collier me pénétrer doublement et ses lèvres sur mon clitoris. Je ne peux m’empêcher de la sucer et je jouis en hurlant de plaisir, m’étouffant presque dans sa vulve. Elle jouit brièvement et me dit:

– Je vais laisser l’œuf dans ton vagin toute la journée, et lorsque tu ne sera pas sage, je tournerais le bouton comme ça … mais avant j’ai quelques besoins à satisfaire, veux-tu être ma chiotte ?

Bien sûr que je suis sa chiotte, je vais chercher une bâche et l’étale sur le lit avant de m’étaler moi-même. Annie s’accroupit à quelques centimètres de mon visage et libère sa vessie, j’ai de l’urine plein la bouche, j’adore ça.

-Tu aimes ça cochonne… Je vais te faire un autre cadeau…

Son anus s’ouvre, un bout d’étron commence à en sortir. Elle pousse encore, un joli boudin tombe de ses jolies fesses et m’atterrit sur le visage… Je l’aime de trop mon Annie !

texte paru originalement sur le site de SophieXXX, il y a une dizaine d’année sous le titre « Partie à deux » et sans signature. Il a été ici corrigé de ses fautes et rewrité

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6 réponses à Ma voisine d’en bas par Christelle_Baxter

  1. Biquet dit :

    Dit voir ma grande, tu ne peux pas le rallonger un peu ton récit ?

  2. sapristi dit :

    Pourquoi finir comme ça ? T’avais un train à prendre ?

  3. Badedith dit :

    je confirme : c’est bâclé !

  4. Berlioz dit :

    C’est bâclé !

  5. Marsoin dit :

    Quand on est trop exité par le récit qu’on écrit, on le bacle. Dommage car ça commençait très bein

  6. asiabelle dit :

    Un bon récit, l’auteur va loin dans son délire, très loin (je n’ai pas dis trop loin, mais ça ne plaira pas forcement à tout le monde. Pour ma part je ne déteste pas ce genre de situation, les tabous c’est fait pour les briser

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