Ma soubrette, mon épouse par Marine_et_Thibault

Ma soubrette, mon épouse par Marine et Thibault

Bonjour c’est Thibault (un ti beau, deux ti beau…) à mon tour de prendre la plume, c’est chacun son tour.

J’ai toujours eu un faible pour les femmes de chambre, surtout si elles ont une tenue sexy… Rien ne m’excite davantage que lorsque Marine ma femme joue les soubrettes pour m’apporter le petit déjeuner au lit, après une semaine épuisante. Mon épouse est assez grande, assez fine, des seins moyens, un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi-longs teints en blond, un joli petit sourire.

Mon petit scénario est très au point. Dans un magasin de vêtements professionnels, j’ai acheté pour Marine une tenue de travail tout ce qu’il y a de plus classique, mais c’est dans une boutique de Pigalle que je lui ai trouvé des dessous un peu moins conventionnels. Le samedi, c’est dans cette tenue qu’elle vient m’apporter mon petit déjeuner sur un plateau. Les yeux à peine ouverts, je me mets à bander, quand elle dit de sa voix coquine

– Voici le petit déjeuner de monsieur

Et qu’elle dépose le plateau sur le bord du lit en gonflant bien les seins et en remuant des fesses, juste ce qu’il faut pour m’exciter. Je bois une gorgée de café au lait pendant qu’elle va ouvrir les rideaux. J’imagine alors ce qu’elle porte sous son ensemble bien sage. Je sais qu’elle n’a pas de culotte, juste un porte-jarretelles et des bas, je sais que son soutien-gorge est transparent on voit ses pointes dures, je sais aussi que son clito est gros et très doux surtout quand le désir le fait gonfler. Je sais aussi qu’elle ne s’est pas essuyé la chatte après avoir fait pipi… Quant au cul, ça dépend, mais si elle a fait son caca du matin, rien n’est essuyé non plus… Et puis je sais aussi que mon petit déjeuner fini, je vais la baiser !

Rien de tel que toutes ces pensées pour me mettre en appétit. Je demande d’une voix innocente :

– Est-ce que vous pourriez faire un point à mon pyjama ? Il s’est déchiré, là…

Elle s’approche, s’assoit sur bord du lit et se penche pour examiner la manche de mon pyjama. Elle me met ses seins sous le nez et là, ma bite se dresse encore un peu. Sa poitrine, gonflée à bloc effleure mon torse, j’attends encore un peu avant de saisir ses seins à pleines mains. Et là, les choses s’accélèrent, je lui arrache son chemisier et je la fais glisser jusqu’à ce qu’elle soit en position de me branler entre ses seins

– Oh monsieur, qu’est-ce que vous faites ? demande-t-elle d’une voix ingénue.

Mais cela ne l’empêche pas de commencer à s’activer. Ma bite grossit à vue d’œil entre ses deux beaux seins bien fermes. Puis, je lui fourre ma queue dans la bouche et la lui enfonce jusqu’à la gorge. Avec un petit grognement, je lui dis que pour une femme de chambre elle fait bien les pipes, mais je résiste encore à la tentation de lui balancer tout mon jus. Je me retire et je la retourne comme une crêpe pour pouvoir la prendre en levrette, mais avant je lui renifle le trou du cul :

– Votre cul sent la merde ! Marine.
– C’est pour mieux vous satisfaire monsieur, je sais que Monsieur adore ça !
– Racontez-moi, auriez-vous chié un gros boudin ce matin ?
– Gros et consistant !
– J’aurais aimé voir ça !
– J’y ai bien pensé mais Monsieur dormait…
– Evidemment…
– Mais au cas où cela intéresserait Monsieur, la prochaine fois je chierais dans une assiette, et comme ça je pourrais montrer mon boudin à Monsieur !
– Et le verre dans le plateau ? C’est quoi ?
– C’est ma pisse, Monsieur ! J’ai pensé que Monsieur aimera la boire.

J’avale d’un trait la moitié du verre, il parait que c’est bon pour la santé.

– Tournez-vous afin que je vous enculasse.
– Monsieur parle comme les poètes libertins.
– Mais je suis un poète libertin, Alors, vous vous tournez ou on attend le printemps ?
– Oh non monsieur ! Gémit-elle, ce n’est pas bien ce que vous voulez me faire.

Mais je sais parfaitement qu’au contraire elle meurt d’envie que je l’encule. Je commence à m’enfoncer doucement en lui branlant les seins, et en lui chuchotant des petits mots obscènes. Quand je la sens prête à me recevoir complètement, je la défonce encore d’un bon coup puis je gicle en elle…

– Monsieur désire-t-il encore autre chose ?
– Oui, Monsieur aimerait bien que vous lui nettoyiez la bite, elle est sortie un peu sale de votre trou du cul.
– Ce n’est qu’un peu de foutre et un peu de merde, Monsieur !
– Alors nettoyez, je vous prie !
– Mais avec plaisir, Monsieur !

Elle a pris ma bite dans la bouche et m’a tout nettoyé, elle adore ça, la cochonne !

– Ce mélange était délicieux !
– Je n’en doute pas un seul instant !
– Tu n’en sais rien gros cochon, tu ne l’as pas goûté ! Me rétorque Marine abandonnant le jeu de rôle.

Elle se met alors un doigt dans le cul et me le fait sucer ! Hum… pas mauvais !

– Le jeu est terminé, viens m’embrasser.

Et nous nous roulâmes un joli patin merdeux. Voilà une journée qui commençait fort bien.

Thibault

E-mail: mt_devillers@hotmail.com

Publié sur revebebe le 28/12/2000 puis passé à la trappe

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3 réponses à Ma soubrette, mon épouse par Marine_et_Thibault

  1. Dorine dit :

    Encore un gros délire de mes deux allumés préférés

  2. Werber dit :

    Complétement foldingue, mais je kiffe

  3. claire dit :

    j’adore ce genre de petit délire complètement déjanté

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