Ma première véritable expérience scato 2 – Dominé par Catherine et Christine par Collegramme

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE SCATO EXPLICITE
CHAPITRE 4

Catherine se releva et alla chercher une chaise de cuisine qu’elle disposa derrière ma tête au-dessus. Christine s’était un peu avancée pour laisser de la place à la chaise entre le mur et nous. Elle m’avait entraîné sous elle en me faisant glisser, comme si j’étais resté collé contre son sexe affamé. Elles n’avaient presque rien à se dire tant elles se connaissaient dans leurs goûts et leurs envies. Christine comprit tout de suite l’intention de mon amie et se pencha en arrière m’écrasant la tête contre le plancher, en déposant sa tête sur le coussin de la chaise. Catherine l’enjamba et vint s’asseoir sur son visage, l’anus sur sa bouche, et commença à se caresser et triturer sa vulve, deux doigts au bord de sa fente. Christine léchait son cul pendant qu’elle se faisait jouir avec les doigts et que moi dessous je recevais encore une fois dans la bouche les liqueurs des plaisirs de ma déesse noire. Elle se mit aussi à se masturber avec ses doigts juste au-dessus de ma bouche, lentement d’abord, timidement, puis de plus en plus énergiquement. Toutes les deux, elles tremblaient et sautillaient sur place à la venue d’un orgasme puissant simultané. Leurs sautillements devinrent rapidement plus sauvages et plus violents. Surtout Christine qui faisait presque des bonds sur ma figure.

Puis dans des cris et de longs gémissements, elles jouirent ensemble. D’énormes et puissantes giclées de cyprine vinrent inonder ma bouche que je n’avais pas le temps d’avaler. La pression ainsi imprimée dans ma bouche fit rejaillir par mes narines le trop plein de sa liqueur adorable dans laquelle je commençais littéralement à me noyer. Je toussais et m’étouffais sous ces assauts liquides mais aucunes d’entre elles ne modifia sa position. Elles jouissaient comme jamais, encore et encore dans une cacophonie de cris, de gémissements et de hurlements en finale. Je buvais en toussant, privé d’air, toute la sauce brûlante qui m’était ainsi offerte. Sous mes timides trémoussements pour essayer de me dégager et reprendre mon souffle, Christine comprit ma situation, et attentionnée, elle me signala.

– Tu manques d’air mon chou ? Attends je vais t’en donner un peu.

Et à l’instant, ses fesses, son ventre et se cuisses durcirent comme tétanisés sous un intense effort, puis elle lâcha un long, énorme pet pestilentiel sur mon nez collé sous son anus. Je pris une bouffée naïvement et étouffais de plus belle. J’avais l’impression que tout l’intérieur de ma tête était devenu un réceptacle emplit de merde. L’odeur me sortait des narines et même des oreilles si cela aurait été possible. Le son étouffé parvint à Catherine qui se mit à rire tout en finissant de jouir.

– Tu as encore pété demanda-t-elle à Christine ? Tu dois être heureux esclave, m’envoya-t-elle sarcastique ?

Je fis hum hum enfouis sous les chairs sublimes de ma maîtresse noire, et elles se mirent à rire de plus belle en se moquant. Leur jouissance achevée, elles se levèrent me laissant pantois et épuisé sur le plancher.

CHAPITRE 5

Elles se penchèrent pour me regarder. Catherine s’exclama :

– Pouah ! Il a la face pleine de merde. Je vais le laver,
– Attends, répondit Christine qui alla s’asseoir sur le canapé. Viens ici esclave m’enjoigna-t-elle. Vient te coucher à mes pieds. Je vais te laver la face.

J’allais vers elle en rampant. Catherine en profita pour se mettre à cheval sur mon dos en criant :

– Hue cheval.

Son poids m’était pénible. Il me fallait toute ma force pour me traîner ainsi sur le ventre vers la déesse noire avec ma maîtresse assise sur mon dos. Elle avait même croisé les jambes sur ma nuque ajoutant encore du poids. Il est vrai qu’avec ses trois cent quatre-vingts dix livres, (175 kg NdW) elle m’imprimait littéralement dans le plancher et qu’il fallait recourir à mes forces extrêmes pour parvenir à ramper. Mon ventre frottait et raclait le bois franc du plancher. Cela commençait à me brûler. Je craignais même de me déchirer les chairs tant elle était lourde. Arrivé aux pieds de la déesse noire, elle se releva et s’assit à ses côtés sur le canapé. À petits coups de pieds, elles me dirigèrent afin de me placer au pied du canapé, le corps parallèle au canapé et le visage sous les pieds de Christine. Elle posa l’un de ses pieds sur mon visage et commença à glisser dessus, ramassant les traces de merde, puis elle le plaçait sur ma bouche pour que je le lui lèche. Elle frottait ses pieds ainsi sur mon visage, ses pieds mouillés de ma salive et souillés de la merde qui s’y attachait au fur et à mesure de ses passages. Elle me barbouillait le visage de ce mélange puis me le donnait à lécher, introduisant ses orteils dans ma bouche.

– J’ai une de ses envies de chier moi, dit-elle soudain. Pas toi demanda-t-elle à Catherine ?
– Ho ! Oui, répondit l’autre, mais j’aimerais attendre un peu. Regarde, indiqua-t-elle de l’index en me désignant. Il n’en peut plus. On va lui laisser quelques minutes pour reprendre ses forces. Tiens, en attendant, on va lui faire nous laver les pieds. Esclave m’ordonna-t-elle. Lève-toi et va chercher la bouteille d’huile d’olive et le pain dans la cuisine. Tu as le privilège de laver les pieds de tes maîtresses en récompense de nous avoir bien fait jouir tantôt.

Je me levais donc et alla prestement quérir les ingrédients indiqués. Je revins avec la bouteille d’huile et le pain dans les mains et me mis à genoux à leurs pieds devant le canapé. Leur large sourire témoignait de la grande satisfaction de jouir d’un serviteur aussi habile que moi. Catherine prit la parole et me donna quelques consignes.

– Tu vas mouiller nos pieds de cette huile par petits bouts à la fois et recueillir cette savonnée qui se mélange à la crasse de nos pieds avec un petit bout de pain que tu mangeras devant nous. Si tu fais bien ça, Christine te donnera ce dont tu rêves depuis toujours. Elle te donnera son gâteau tout chaud qui ne demande qu’à sortir. Peut-être que moi aussi je te ferai manger le mien. Es-tu content ?

Mes yeux brillaient de reconnaissance et de hâte contenue. Elles rirent aux éclats de me voir la figure réjouie si candidement.

– Tu ne sais pas ce qui t’attend m’avertit Christine.

Je m’installais donc face à elles assis les jambes croisées et je reçus leurs pieds sur ma poitrine et mes épaules, quatre pieds aux odeurs fortes mêlées de sueurs acides accumulées de nombreux jours.

CHAPITRE 6

Catherine savait bien mon goût prononcé pour ses odeurs excitantes lorsqu’elle omettait de se laver quelques jours. Elles me comblaient donc en ne s’étant pas lavées depuis déjà trois jours. Elles avaient travaillé et transpiré toute la semaine mais étaient restées telles quelles jusqu’à mon arrivée. Catherine avait un pied posé sur mon épaule droite tandis que de l’autre elle me caressait le visage, le faisant glisser d’une joue à l’autre et forçant un passage entre mes lèvres pour y pénétrer ses orteils que je suçais avec enthousiasme. Christine avait quant à elle déposé ses pieds sur mon ventre et ma poitrine. Je pris un peu d’huile dans ma paume et commençais à la passer sur leurs pieds, les lavant et les frottant pour en extraire toutes les souillures imprégnées, puis avec un petit bout de mie de pain, je les essuyais minutieusement, absorbant au maximum l’humidité huileuse pour ensuite la porter à ma bouche et la mâcher lentement en savourant toutes les subtiles et délicieuses fragrances tandis que j’arrachais un autre petit bout de pain et recommençais à le passer sur leurs pieds, dessous et entre chaque orteils, m’efforçant de les nettoyer le plus parfaitement possible.

Elles étaient aux anges, chacune d’elles, s’embrassant et mêlant leur langues avec frénésie. Catherine glissa à bas du canapé en posant un genou sur ma poitrine, me forçant à m’étendre sous son poids. En poussant du genou elle me fit comprendre de m’avancer sous le fauteuil, ne laissant dépasser que mon torse et ma tête. Elle monta sur moi face à Christine, en posant l’autre jambe, s’agenouillant ainsi sur ma poitrine et mon ventre tandis que Christine avançait son pubis vers elle, s’étendant sur le dos sur les coussins du canapé, les cuisses de chaque côté de la tête de Catherine posées sur ses épaules. Catherine avança sa tête entre les jambes de son amie noire et commença à la manger pendant que je souffrais de son terrible poids entièrement posé sur moi, m’écrasant sans merci. L’un de ses pieds sur mon visage, les orteils dans ma bouche, je les lui suçais en passant ma langue entre chacun. J’avais grand peine à respirer et mes râles semblaient l’exciter encore plus, elle comme Christine qui riait en jouissant sous les léchées expertes de Catherine. Puis Christine se leva après un dernier soupir et vint derrière Catherine au-dessus de ma tête. Son sexe dégoulinait littéralement sur ma figure. Elle s’affala sur moi, sur mon visage, épuisée d’avoir tant et si bien jouit. Sa vulve détrempée de cyprine qui ne cessait de s’écouler m’emplissait la face en s’introduisant dans mes narines et ma bouche. Je sentais filer de larges bandes de ses liqueurs le long de mes joues et autour des yeux. Son cul sur mes yeux et mon front était tout collant de merde et de sueur.

Catherine se souleva un peu et s’assit sur les cuisses de son amie de sorte que mon visage sous leurs pesanteurs conjuguées, s’enfonçait pratiquement au centre de ces corps de femmes en feu. Christine se trémoussa jusqu’à ce que son anus couvre exactement ma bouche que j’ouvrais pour y recevoir entièrement son anus gonflé. Ma langue toucha tout de suite à l’entrée de son trou, la masse compacte d’une selle épaisse et chaude.

– J’ai trop envie dit-elle. Penses-tu qu’il est capable de manger complètement tout mon gâteau demanda-t-elle à Catherine ? J’ai envie de chier. Je n’en peux plus de me retenir. J’ai envie de chier dans sa bouche et de la lui remplir. Ça fait longtemps que je rêve de faire ça à un mec. L’emplir de merde et le sentir tout bouffer jusqu’à la dernière parcelle.
– Vas-y, lui répondit Catherine, on verra bien dit-elle en se relevant et en lui présentant son cul à lécher.

Christine prit sa croupe dans ses mains et l’attira sur sa bouche. Des soupirs et des gémissements se firent tout de suite entendre tandis que la merde dans laquelle ma langue était plongée commençait à me descendre dans la bouche. Son anus se gonflait encore en palpitant. Il débordait maintenant de ma bouche tant il avait grossi et ses rebords appuyaient tout le tour de mes lèvres enfermant ainsi ma bouche à l’intérieur de son anus. Je poussais timidement avec ma langue pour retenir la merde qui descendait mais inutilement. Elle ne faisait que s’enfoncer dans la masse alors que celle-ci continuait à sortir et à m’emplir la bouche. Je pris une première bouchée et commençais à la mâcher. Le goût était effroyable, amer, âcre, et puis le goût s’estompa peu à peu, mes papilles étant sûrement sursaturées par la force, la puissance envahissante de cette saveur étrange. Seule l’odeur persista en ressortant par mes narines. J’avais l’impression que mes sinus jusque derrière mes yeux étaient emplis de merde. Elle continuait à faire son caca sans discontinuer. Il m’emplissait encore et encore la bouche sans arrêt. Je mâchais et mordais dedans sans plus penser ni au goût ni à rien, seulement préoccupé à tout avaler avant que mes joues ne se gonflent trop et explosent sous la pression de sa merde qui ne cessait pas de pousser dans ma bouche et ma gorge, et l’emplissait avec force menaçant de m’écraser par l’intérieur sous l’énorme pression. Je convenais que son envie de chier avait été intolérable tant elle s’était retenue en attendant mon arrivée. Je ne pouvais pas bouger du tout, son poids pesant sur ma bouche, et l’intérieur de ses fesses et de ses cuisses de chaque côté de ma tête faisaient comme un carcan de chair dont il était impensable de se dégager.

Chapitre 7

Elle chiait et chiait encore et encore, et je mâchais et mangeais, avalant et déglutissant sa merde épaisse et chaude, m’emplissant le ventre de cette nourriture particulière. Par moment, j’étais pris d’un début de nausée que je refoulais tant bien que mal. Il n’était pas question que je laisse ces spasmes me gagner pendant qu’elle continuait à me remplir la bouche avec tant de violence. J’aurais été vite noyé dans ce magma putride si par malheur je me laissais aller à vomir. Elle chiait et chiait encore et toujours. J’étais près de croire qu’il n’y aurait jamais de fin à cette épreuve quand enfin le dernier bout de l’étron tomba dans ma bouche. Je terminais de mâcher ce qui me restait en bouche, son anus lâchement distendu semblait vouloir me bouffer toute la tête. Il glissait sur moi me faisant pénétrer pratiquement à l’intérieur. Sa merde glissante tout autour giclait sur ma face. Je léchais épuisé tout ce qui s’avançait vers ma langue. Je laissais entrer encore quelques morceaux d’étrons, quelques dernières parcelles de merde que je mâchonnais lentement pour les avaler ensuite.

Entre-temps, la chatte de Catherine sur sa bouche giclait des rivières de cyprine comme une fontaine en plein orgasme qui s’écoulait en large rigole sur sa poitrine et son ventre. Christine, enfin, en ayant terminé avec sa grande envie, se laissa tomber par en arrière sur le dos sans aucune considération pour moi sous elle. Son mouvement me tordait la tête et la peau du visage, le nez et la bouche à tel point que je craignais d’être défiguré, la figure toute déchirée, mais ce n’était qu’une impression bien sûr. Christine savait où s’arrêter dans sa brutalité. Mais cette impression de danger, cette fabulation d’être blessé m’entraînaient dans une très réelle excitation masochiste. Puis elle glissa un peu plus loin derrière moi, et lâcha un grand soupir :

– Ha ! Comme ça fait du bien dit-elle à Catherine. Tu devrais en faire autant.
– Non ! Non, hurlais-je au désespoir. Je ne peux plus rien manger maintenant. Mon estomac est rempli à déborder. Donne-moi au moins une heure pour digérer et faire de la place dans mon ventre la suppliais-je.

Elles éclatèrent de rire.

– Tu n’as pas besoin de manger ! me dit Catherine. Fais juste garder la bouche ouverte pour recueillir mon gâteau puis tu iras dans la douche pour te laver. Tu en as bien besoin. Je n’ai jamais vu un esclave aussi négligé, aussi sale. Yark ! Tu devrais être honteux de ne pas être capable de rester propre. Je te laisse une chance aujourd’hui mais demain il faudra que tu fasses ce qu’il faut pour rester propre. Tu dois finalement être capable de nous servir de toilette même à l’extérieur, aux magasins, en pique-nique dans les parcs ou au cinéma ou au restaurant sans laisser la moindre trace, sans laisser le moindre signe aux gens autour que tu as servi de toilette. Nous allons faire de toi l’esclave de toilette le plus parfait qui soit.

Et Christine d’ajouter :

– Hm ! Comme ce sera bien de pouvoir faire mes besoins n’importe où dès que j’en ai envie. C’est super de posséder une toilette comme celle-là qui nous suit partout et autonettoyante en surplus. Hihihi ! Nous allons lui donner encore une journée pour s’habituer et après-demain on fait une sortie pour l’essayer en public. D’accord ? Demanda-t-elle
– C’est parfait répliqua Christine qui riait encore.
– Je vais essayer maîtresse dis-je avec candeur.
– Mais on ne lui a rien demandé à celui-là ? Qu’est-ce qu’il lui prend d’oser prendre la parole comme ça sans autorisation ? Écoute-moi bien esclave me dit Christine. Ta bouche sert de toilette. Elle ne sert pas à parler. Tu as bien compris ? Chie-lui dans la gueule Catherine lui enjoignit-elle. Il faut qu’il apprenne où est sa place.

Catherine sourit en me regardant, monta sur ma poitrine et attendit que je ne puisse plus respirer. J’étais tout rouge de suffocation, écrasé sous ses pieds. Son sourire s’agrandit encore lorsqu’elle descendit. Elle se retourna et s’accroupit au-dessus de ma bouche pendant que je reprenais mon souffle avec soulagement. Christine s’était relevée assise derrière moi et la guidait tout en l’aidant à garder l’équilibre. Son anus se trouva juste au-dessus de ma bouche. Christine l’avertit que tout était en place et qu’elle pouvait commencer à se soulager.

– Ouvre grand esclave me dit en riant Catherine tandis que déjà une grosse merde brune et brillante s’éjecta violemment de son anus pour choir à l’intérieur de ma bouche.

Catherine aussi s’était retenue longtemps. Sa merde sortait d’elle en un épais cigare luisant très épais, long et gras. Il m’emplissait la bouche en tournant un peu sur lui-même de sorte qu’un tas en spirale commençait à s’entasser sur ma face, une montagne de merde qui me bouchait presque toute la vue tant il était haut et large. De deux doigts, je dégageais un petit espace devant mes narines afin de pouvoir respirer. Une dernière giclée un peu plus molle puis elle se relève satisfaite en me toisant. Son sourire est épanoui.

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11 réponses à Ma première véritable expérience scato 2 – Dominé par Catherine et Christine par Collegramme

  1. Chastaing dit :

    ça manque cruellement de fantaisie, de décontraction, d’humour. On peut faire de l’extrême sans pour cela perdre son sourire, non de nom

  2. Jeanhpf dit :

    Hum humiliation Supreme rien que de plus normale de sublr tout de la maîtresse sans retenue déjà subi mais pas assez souvent à mon goût

  3. Insor dit :

    trop glauque, merci

  4. borelli dit :

    Bonsoir, d’après mon expérience de soumis, avaler est très difficile. Vous avalez vraiment tout, ou bien c’est une fiction ? Merci.

    • Professeur_Scato dit :

      Il serait étonnant que l’auteur vous réponde, le texte date de 2005, et nous n’avons plus de nouvelles de l’auteur (ni son mail d’ailleurs).
      Bien que parfois la réalité puisse surprendre, ce texte me paraît de pure fiction.
      Dans la plupart des rapports scato, on lèche et on suce, avaler est effectivement plus difficile.
      De plus c’est toxique, ça ne vous tuera pas, mais pourra provoquer des nausées et des vomissements.
      Cela dit certains le font, il n’est que regarder des vidéos,
      celle-ci par exemple

  5. Claire dit :

    C’est bien beau d’avoir des fantasmes mais faut savoir les raconter, et ici l’auteur nous fatigue

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