Ma petite vie gay 14 – Cocooning méditerranéen par Emmanuel_2

Ma petite vie gay
14 – Cocooning méditerranéen
par Emmanuel_2

Début mai, temps splendide, spleen et rien d’urgent à traîner dans la bannette des travaux urgents. Décision de se ressourcer un peu et de profiter des Smiles accumulés durant cette année. Allez on se lâche !!!Et donc lundi soir je me retrouve dans un de mes tout petits hôtels favoris du coté de Toulon. En bordure de mer, quelques maisons et restaurants, un de ces petits hôtels de charme à 6 chambres où on vous aime tellement avé l’accent qu’on se croirait au temps de Marius. Les chambres donnent toutes sur le même long balcon terrasse où on peut se dorer au soleil l’été. Allez ! J’ai décidé d’y rester 3 jours histoire de vraiment décompresser !

Nuit tranquille, il fait si bon que je laisse la porte fenêtre entrouverte et pas de rideaux pour profiter du lever du soleil. Toute la journée en ballade et retour vers 16H pour une petite parlotte avec la si mignonne patronne de l’hôtel. On s’aime bien, elle a compris depuis mes dernières visites que je suis gay pour avoir vu mes strings sécher dans la salle de bain et mes godes dans ma valise en faisant la chambre. Mais à chaque fois on discute de tout et de rien, du temps, de mes ballades du jour, de mon métier, me demande exprès en riant si ma petite femme va bien etc. Bref on s’aime bien.

Ce soir là en rentrant elle m’invite à prendre un thé sur la terrasse face à la mer et me raconte sa petite vie, son quotidien à l’hôtel, de son mari parti comme ça un jour sans raison, puis dérive sur ses clients et me dit qu’un jeune couple s’est installé dans la chambre à coté de la mienne. Le mari fait  » un peu la gueule  » ou plutôt semble dans le cirage mais sa femme est pleine de vie et déjà conquis le cœur de mon hôtelière. De fait en regardant les fenêtres j’en vois une d’ouverte avec quand même les rideaux un peu tirés. ½ heure plus tard je monte dans ma chambre pour me faire un petit somme avant d’aller dîner. Il fait exceptionnellement bon et une douche plus tard je décide de profiter du soleil sur le balcon. Histoire de joindre l’utile à l’agréable je me prends un coussin, et c’est en tee-shirt et string ficelle que je m’installe sur le balcon et que j’entreprends de me vernir les ongles de pieds. En effet étant un peu maniaque sur la propreté j’adore me faire tranquillement des soins sur les mains et les pieds. Hop un petit passage de la pierre ponce sur le dessous puis le dissolvant et à petits coups de lime je me fais des super ongles. Une discussion animée me surprend bientôt. Ca vient d’à coté et c’est le mari qui d’une voix traînante dit

–  » Arrête, j’en ai pas du tout envie, laisses moi dormir… ».

La Femme lui répond quelque chose que je n’entends pas puis le calme revient et je continue tranquille. J’en suis à mettre du vernis transparent quand mon esprit capte un léger bruit de fenêtre et de pas sur le balcon. Entrouvrant un œil, je distingue la femme ouvrant la porte fenêtre, me regardant et qui pénètre sur la terrasse. Elle est un peu surprise tant par ma tenue (jambes relevées et certainement le sexe bien visible au travers du string) que par le fait que je suis en train d’appliquer du vernis. Une seconde plus tard elle me sourit et vient s’accouder à la balustrade tout près de moi.

Assez mignonne, très  » garçonne  » avec un tee-shirt à rayures par-dessus une petite culotte genre mini petit bateau. Un ravissant collier jette des éclats à chacune de ses respirations comme pour m’hypnotiser. Cheveux noirs, courts, petite bouche toute en sourire, yeux coquinement brillants, pas de poitrine ou presque et des jambes si longues.

– » Bonjour ! » me dit-elle et d’un air de comédien surpris la main dans le sac  » la porte-fenêtre était ouverte, j’espère qu’on ne vous a pas dérangé ?…et »… (Dans un murmure et une si jolie moue)  » Je m’ennuie … ».

Je suis un peu estomaqué par tant de maîtrise et gardant le silence je retourne à mon vernissage.

« Heu!… je suis certainement trop curieuse, mais… vous vernissez vos ongles ?… »

Trop curieuse, oui certainement mais c’est dit avec tant de candeur et de spontanéité que je ne peux que lui sourire et acquiescer de la tète.

« Remarquez, vous ca vous fait des pieds vraiment mignons, mais je n’aurais jamais pensé qu’un homme fasse ça!… »

Ne répondant rien à cette remarque idiote, et ne voulant pas lui dire ce que je suis, je continue le vernis mais je sens bien qu’il n’y a pas que les pieds qu’elle regarde. Le problème avec les regards des autres c’est que j’y suis extrêmement et très rapidement sensible et que mon sexe a réagi au quart de tour à sa visite, à son regard et à sa voix et c’est toute raide que ma bite voudrait s’échapper de mon string.

Finalement ayant fini mon vernissage et ne trouvant rien d’intéressant à rester avec cette fille, je me lève tant bien que mal et c’est le string plein à craquer que je rentre chez moi. Quelques secondes après je l’entends qui fait de même.

Comme il fait chaud, qu’il reste encore un long moment avant le dîner et que je n’ai pas vraiment envie de lire, je tire un peu les rideaux, me couche nu sur le lit pour faire un petit somme et tombe rapidement dans les bras de Morphée.

Un petit bruit de fenêtre qu’on ouvre, de tissu qu’on repousse et des pas légers sur le sol me réveillent et du coin de l’œil j’entrevois ma voisine qui, maintenant en jean, entre dans ma chambre et se dirige tout doucement vers moi.

Oups c’est quoi ça ! Mata Hari ? Waouh, est-ce une voleuse ou une tueuse à gage envoyée par un de mes amants?

Je la sens s’asseoir délicatement sur le bord du lit et ne plus bouger. Un peu gêné je fais semblant de dormir encore quelques minutes. Je sens son parfum un peu frais qui me parvient par vagues. Puis je décide de  » me réveiller « . Ouvrant les yeux je la découvre, sagement assise sur le rebord du lit. Je me retourne sur le dos, les mains derrière la nuque, et j’attends de voir ce qu’elle désire. Etant femme, elle ne m’excite pas beaucoup mais comme à chaque fois que je somnole c’est une bite pas mal gonflée mais plutôt endormie que je lui présente. Pas bégueule elle se met à me parler de tout et de rien comme si on se connaissait depuis toujours… Surpris je l’écoute sans répondre. Finalement elle pose une main sur mon buste et me caresse un peu la poitrine. Je pose ma main sur la sienne, l’arrêtant dans son geste et lui dit :

 » Vous êtes charmante, mais, désolé, je préfère plutôt les hommes… ».

Un petit rire cristallin et du tac au tac;

« Je le sais bien, la dame de l’hôtel me l’a dit tout à l’heure. Elle vous appelle : » son petit homo chéri »…! ».

Oups, j’aurais du me douter vu que ma logeuse parlait si facilement de tous à tout le monde. Reprenant ma respiration et quelque peu désarçonné par tant d’aplomb, je lui rétorque :

 » Et ?… je peux savoir ce que vous faites ici ? »

Elle sourit, se penche et me colle un baiser sur les lèvres.

 » Voila tout simplement, j’ai besoin de votre aide… Allez, on se tutoie, ce sera plus facile à dire!… Bon c’est simple, j’ai besoin de toi. Mon mari à côté est en pleine dépression et ne s’occupe plus de moi -ni de lui d’ailleurs!- Comme tu aimes les hommes, j’ai pensé que tu pourrais m’aider ce soir à… Enfin je veux dire, on pourrait essayer de le réveiller un peu!… A nous deux ça devrait aller mieux.. ».

Grand numéro de comédienne certainement mais ses yeux brillants ne semblent pas faire partie de son rôle.

Elle se penche, pose sa tête sur ma poitrine et me regarde tristement, les yeux mouillés.

 » Et tu as pensé qu’un homo est suffisamment pute pour baiser à la demande ? ».

Elle ne dit rien mais je vois à son regard et les petites larmes que ce n’est pas du tout ce à quoi elle avait pensé. En fait j’y décode un appel au secours et c’est un peu étonné par ma réponse mais tellement  » Croix-Rouge  » dans mon cœur, que je lui lâche:

« OK!… on verra ça ce soir…  » En me disant que d’ici là de l’eau aura coulé sous les ponts.

Brusquement elle s’allonge et se place toute habillée le dos contre moi, posant sa tête près de la mienne, regardant le mur d’en face pour me cacher son regard. Je me retourne et me colle à elle en chien de fusil, mon sexe se positionnant par habitude dans son entre fesses. Ça me fait tout drôle de serrer un corps de femme et en plus tout habillé. Elle se relâche brusquement, comme libéré d’un grand poids et passant un bras au dessus, je pose ma main sur sa poitrine. Elle se blottit et me prenant la main la guide sous son tee-shirt pour la placer sur ses seins. Ebahi et surpris je reste comme ça. Puis mes paumes et mes doigts retrouvent les maigres poitrines et petits tétons de mes amants chéris. Bientôt sa respiration s’apaise et je l’entends somnoler. Moi-même je me calme, et je m’endors, rassuré par la chaleur de son corps.

Un moment plus tard, elle bouge un peu, se relève tout doucement, laisse glisser ma main qui se pose sur son ventre. Des doigts elle ouvre son jean et y guide ma main. Surpris j’ai fait un geste de retrait. Elle retire sa main et me laisse décider, influençant mon choix en écartant les cuisses. Je laisse ma paume se poser sur son pubis, les doigts sur le fin tissu de sa culotte mais ne bouge pas. On se rendort, et dans mon ½ sommeil, je la sens descendre son pantalon, sa culotte, se coller contre ma main, ouvrir les cuisses et se caresser contre mes doigts. Comprenant son désir, je laisse mes doigts lui procurer du plaisir, son sexe aspirer mon index entre ses lèvres.

Elle se masturbe longuement, imperceptiblement, comme pour ne pas me réveiller. Puis, sans arriver au bout de sa jouissance, elle se rendort progressivement. Sa nuque, ses cheveux contre ma bouche je savoure l’odeur chaude de son corps et me prélasse comme contre le corps brûlant d’un de mes amants.

Un mouvement, elle repousse doucement ma main, la déplace et la repose sur mon sexe qui est devenu raide d’excitation. Se relevant du lit, elle retire son pantalon, sa culotte et la pose tout près de mon nez en évidence, comme pour me rappeler à ma promesse. Se retournant elle se baisse pour renfiler son pantalon m’offrant le spectacle de son sexe brillant, de son cul bien ouvert et de son si mignon petit trou. Puis revêtue, elle se penche et dépose un long baiser sur mon sexe, le gobant tout doucement et le titillant du bout de la langue quelques secondes. Elle s’éloigne et rejoint bientôt le balcon puis sa chambre.

Trop excité je ne peux que me caresser longuement en rêvant aux corps chauds de mes amants, à leur sexe, à leurs poitrines si accueillantes. Mais sa culotte que je hume quand même ne me rappelle rien chez eux, seule une odeur poivrée et chaude me rappelle ce qui vient de se passer.

Une longue et agréable douche chaude, le string préféré d’un amant pour me rassurer, un jean serré et un pull de coton à même la peau, me voila descendu à la réception bien décidé à faire grise mine à mon hôtelière trop bavarde. Elle trône à son comptoir et m’apercevant me décoche son plus large sourire:

« Elle est mignonne, hein ?…Et puis elle a un petit corps de jeune homme…! Aimez la, Emmanuel, elle le mérite et je trouve que ça manque cruellement d’amour dans ce vieil hôtel !… ».

Décidément, je suis tombé où ? Dans un film ?

Elle pose sa main sur la mienne pour y prendre la clé, et:

 » Galatée vient ici depuis longtemps et je la considère comme ma fille. Elle traverse une sale période!… ».

Puis elle se retourne vers le tableau des clés et s’attarde à les manipuler plus longtemps que nécessaire. Je m’éloigne et sur le pas de la porte je crois entendre:

 » Comme elle, vous avez un petit cul à croquer ! ».

Me retournant, je ne rencontre que sa chevelure. L’a t’elle dit ou l’ai-je pensé tout haut ?

L’esprit complètement confus, je me rends au restaurant et décide au moins de passer une soirée tranquille cocoon et d’avancer dans la lecture de mon 3ème tome de « Millenium ».

Petite discussion météo avec le serveur, une place tranquille et la commande de mes plats italiens de rêves (petites sèches grillées à la plancha et glace vanille aux cerises amareta…). Au moment de partir et à la porte du restaurant je discute un peu avec le serveur. En me retournant mon regard rencontre celui de la fille de tout à l’heure, Galatée, qui me fait un grand sourire et un petit coucou de la main. Oups, son mari s’est retourné et de la main me fait signe de les rejoindre, message que je fais semblant de ne pas voir et je file rapidos.

Petite promenade digestive le long de la mer. Petite introspection assis sur un muret à écouter le ressac, l’esprit vide, juste heureux. Un bonhomme un peu enrobé qui se promène sur la plage avec son petit chien bifurque mine de rien pour venir près de moi et s’asseoir nonchalamment. Il me parle de choses et d’autres mais je vois surtout qu’il désire que je m’occupe un peu de lui.

Tout compte fait ca ne me dérange pas de retrouver un sexe d’homme après l’intermède de cet après-midi et je lui propose de le sucer un peu. Surpris par tant de facilité il ouvre immédiatement sa braguette, en sort un sexe assez gros et finit par déboutonner son pantalon pour pouvoir en extirper sa bite et les boules. Un bon moment plus tard, après une longue séance de léchage entrecoupées de massages longs et délicieux des deux mains je l’entends qui halète, se met debout, descend son pantalon sur ses chevilles, pousse en avant son sexe dans ma bouche et me fait cadeau de long jets de sperme brûlants et sucrés. Une si grande quantité m’indique qu’il ne doit pas se faire vider les testicules très fréquemment. Je lui demande de s’allonger sur le muret et de descendre son slip puis je continue tranquillement à le sucer, tout en le motivant d’un doigt fouineur dans son trou du cul. Un petit massage de sa prostate aidant à la détente et de longs allers-retours de mes lèvres sur sa queue font que c’est une très grosse bite qui m’emplit la bouche et que je peux facilement introduire le bout de ma langue dans l’orifice son gland. Un long râle, une détente complète de ses reins et c’est bientôt un liquide chaud qui me coule longuement en bouche et qu’en amateur je peux déguster tendrement. Il se calme, se relève et se rhabille pour s’asseoir auprès de moi, assez tendre mais l’esprit aux aguets, puis en compagnie de son petit chien il s »‘éloigne. Tout au plaisir donné, je suçote encore son jus sur ma langue, prenant le temps de savourer l’instant et mon bonheur. A aucun moment il n’a fait un geste vers moi et c’est aussi bien ainsi, juste une petite pipe avant d’aller au dodo.

Une petite pause tranquille à me laisser bercer par la tranquillité de l’endroit et la tête pleine du bruit du ressac je retourne à ma chambre. Toutes les lumières sont éteintes et personne à l’accueil de l’hôtel et hop je grimpe l’escalier et avant d’ouvrir ma porte écoute mes voisins. Pas un bruit. Ouf! Ils doivent être encore au restaurant.

La douche pour effacer l’intermède du promeneur, nettoyage dedans dehors, de la crème pour remercier mon petit corps et hop au lit à savourer la quiétude d’un peu de lecture dans mon lit douillet. 5 minutes et une demi-page de millénium plus tard je laisse tomber et m’allonge pour tomber dans le sommeil quelques secondes après.

Plus tard dans un demi-sommeil il me semble entendre la porte fenêtre s’ouvrir et des frôlements de pas sur le plancher, puis l’impression se transforme en quelqu’un qui s’assoit sur le lit près de moi. Oups ! C’est vrai que j’avais promis ! Allez, je fais semblant de dormir et elle va finir par se lasser et s’en aller. !

Je sens les draps s’ouvrir et elle (il?) se glisse dans mon lit et pour s’y allonger tranquillement, sans à coup. Je sens sa chaleur irradier mon dos puis bientôt son corps qui s’y colle doucement. Ses petits tétons durs m’indiquent que c’est bien Galatée. Puis petit à petit, imperceptiblement elle colle tout son corps au mien, plaquant son pubis contre mes fesses, posant sa bouche et ses lèvres contre ma nuque. Son souffle court et brûlant m’aiguise les sens et quand elle pose une main sur mon sexe c’est pour me découvrir bien raide de désir. Pourtant c’est un corps de femme mais son manque de poitrine, son audace, ses initiatives sont identiques à ceux de mes amis chéris.

Sa main ne bouge pas, plaquée sur ma bite, juste posée comme un objet. Je sens son autre main descendre le long de mon dos et se positionner sur son pubis et s’y mouvoir doucement. Comme je ne bouge pas elle doit certainement penser que je suis profondément endormi et c’est bientôt tout son corps qui ondule au rythme de sa main. Elle a entouré de ses doigts délicats ma tige mais ne bouge pas, juste semble t’il pour se visualiser un sexe tandis qu’elle jouit avec ses doigts. Un raidissement, un petit cri, elle se plaque très fort contre moi puis se laisse doucement aller. Un moment plus tard je la sens s’endormir calmement, tout contre moi. Sa main entoure toujours mon sexe et je pars dans des rêves où se mélangent les délices que me procurent mes amants.

Au beau milieu de la nuit, je me réveille, ouvre les yeux et la retrouve face à moi, me regardant, les yeux espiègles et brillants dans la pénombre. Elle me bascule sur le dos, s’allonge sur moi et de la main pousse mon sexe derrière ses fesses, entre ses cuisses. Elle a collé son visage sur mon épaule et ne me laisse que la possibilité de la prendre dans mes bras et de la maintenir ainsi comme 2 amants. Quelques instants de bonheur où elle se contente de me donner sa chaleur et sa beauté puis passant une main par dessus ses fesses elle plaque mon sexe contre son sexe et son cul. Oups ! Je sursaute pour lui montrer que cela ne m’intéresse pas de la baiser et elle s’en tient à ca, juste la main sur mon sexe, sans l’appuyer sur le sien. Elle ondule délicatement, je sens les lèvres de son sexe entourer la base de ma tige et durant de longs moments elle se masturbe sans me forcer à participer.

Puis elle se relève, me colle un long baiser sur la bouche, et me dit: « Tu viens » et se relevant elle me prend la main et ne la lâchant plus, me dirige vers la porte fenêtre du balcon. Au moment de sortir elle m’embrasse tendrement et posant une main sur ma taille me pousse délicatement sur le balcon. La pleine lune nous éclaire et c’est en quelques pas qu’on arrive face à sa chambre. Au lieu d’y pénétrer elle se baisse, et me retourne dos au mur, de la main me caresse la bite, la suce tranquillement du bout des lèvres, me flatte les couilles tout comme le font mes amis puis se relève, se retourne vers la mer et fait comme un coucou de la main vers le noir.

 » Oups ! Y’a quelqu’un ? « …  » Non, non, ne t’inquiètes pas! C’est rien! « ; Et me reprenant la main elle m’entraîne dans sa chambre.

Dans le lit son mari dort tranquille, couché sur le ventre, nu, le drap boudiné au pied du lit. Elle me prend dans ses bras et, collant sa bouche à la mienne :

« Marc prend des somnifères alors ça ne va pas être facile… » et me prenant la main elle m’entraîne sur le lit et me place contre le corps de son mec.

Elle-même se positionne les jambes entre celles de son mari et doucement, de la langue le lèche du haut du dos jusqu’aux fesses, puis des deux mains délicatement, écarte ses jambes, ses fesses, y fourre son petit museau et le lèche tendrement. Me relevant je m’installe accroupi derrière elle et pour qu’elle ne se sente pas seule passe la tête sous ses fesses et entreprend de sucer/lécher le périnée de Marc. Ecartant ses cuisses au maximum elle s’appuie sur ma tête et ondule doucement le sexe sur mes cheveux. Puis elle se relève, s’allonge près de son Marc et délicatement le fait basculer sur le dos. Complètement abruti par ses somnifères, il ne bronche pas et elle doit même s’occuper de ses bras et de ses jambes pour les poser à plat

Me souriant elle me demande de sucer son homme tandis que lui posant son cul sur la bouche elle se caresse tendrement le sexe d’une main entre les cuisses. Le sexe de Marc est assez beau, bien proportionné et un peu gonflé. Je le léchouille, le caresse de la langue, le suce longuement, pressant ma bouche au rythme de sa respiration. Galatée bouge, glisse jambes écartelées sur la poitrine de Marc et se penchant me caresse la nuque, le dos. Elle se lève, passe derrière moi et tranquillement me suce la raie des fesses, me gobe l’anus, y pose doucement la langue avant d’y introduire la pointe. De la main elle me flatte les couilles, la bite.

Puis tendrement elle m’aide à me positionner au dessus de son mec, tête bêche comme si il devait me lécher le cul. Elle-même se place face à moi et nous mélangeons et nos bouches et nos langues suçant tous deux la bite de Marc. M’embrassant sur les yeux tandis que je m’active, elle passe un bras sous ma poitrine et saisit ma bite bien raide et humide de désir. De l’autre main elle farfouille entre les fesses de Marc et j’entrevois dans l’action un de ses doigts pénétrer dans son anus. Je sens Marc très excité bien que sa bite ne soit pas vraiment raide.

Galatée se relève, se met en levrette entre les cuisses de Marc et de la main se caresse le sexe à quelques centimètres de mon visage. Ses fesses complètement écartées me projettent son petit trou en face de mes yeux, ouvert si désirable, gentiment ourlé d’une petite teinte rouge. Du bout du nez je tapote son petit trou puis m’y introduit. Elle se pousse contre mon visage, y colle son cul. Me relevant légèrement, je vois ses doigts dans son sexe qui s’activent, l’écartant comme pour se fister.

Lâchant le sexe de Marc je saisis les hanches de Galatée, la tire vers moi et prenant le sexe de Marc le colle au sexe de Galatée. Comprenant ce que je veux faire elle s’installe au dessus du sexe de Marc, se relève et c’est sans peine que je peux guider le sexe de Marc dans son con bien ouvert, caressant la tige tandis qu’il s’enfonce tendrement en elle. Je sens mes doigts pénétrer en elle avec la bite de Marc et continue le plus longtemps possible car elle n’est pas franchement rigide. Puis, prenant le cul de Galatée des deux mains, je lui écarte les fesses au maximum pour qu’elle puisse l’avaler bien au fond, me colle à son dos, comme un jumeau, mon sexe dans sa raie des fesses et entre son cul et le ventre de Marc. Les mouvements de Galatée m’enchantent et chaque ondulation de ses fesses me fait vibrer. J’ai passé mes mains sur sa poitrine et caresses tendrement et son ventre et ses tout petits seins. Elle se crispe et pousse un long cri rauque en se cabrant et s’enfonçant contre Marc. Elle se relâche doucement. Comme Marc n’a pas encore jouit, je prends les hanches de Galatée et malgré sa fatigue la fait aller et venir sur la tige de Marc, la réveillant lui insufflant le désir de continuer.

Ça y est, elle a repris son rythme ! La relâchant, je me retire et à genoux approche le visage de son cul, le lèche, le flatte du bout de la langue, mordille son entre fesses. Me faufilant entre les fesses de Galatée je reprends le sexe de Marc au creux de ma main, le masturbe rapidement, jouissant de mes doigts qui pénètrent le con de Galatée à chaque mouvement de ses hanches. Puis je sens le sexe de Marc se raidir, et lentement des sursauts, les longs jets de sperme qui giclent dans le con de Galatée, leur passage tout contre mes doigts. Epuisée elle se calme, redescend doucement contre ma main et le sexe de Marc se ratatinant rapidement on se retrouve malgré nous avec mes doigts bien campés au fond d’elle. Se redressant elle me regarde, heureuse, comblée de jouissance, des deux mains s’écartèle les cuisses pour y enfouir ma main et se fait de longs et tendres va et vient les yeux fermés autant pour me contenter que pour se donner du plaisir.

Puis nous changeons de position et elle me demande de lui montrer ce que je fais avec mes amis et je lui explique et lui montre comment nous mélangeons nos sexe en nous caressant, comment nous suçons tendrement la bite de nos désir, comment nous préparons le cul de nos amants à recevoir notre sexe. Elle s’est assise près du corps de son mari et cuisses écartées, une main posée sur son sexe, écoute avec intérêt mes explications. Moi-même je bande depuis un long moment sans avoir trouvé assez de motivation pour jouir et toutes ces explications me font fantasmer sur des souvenirs d’amour et d’aventure. Ensuite bien fatigués, on se calme et c’est collés en chien de fusil tout à coté de Marc qui dort toujours aussi profondément que nous nous endormons également. Au petit matin un rêve complètement hors du temps où je retrouve un ami de longue date qui me suce et me baise en même temps et qui par geste me demande de le baiser, puis des lumières violentes, des bruits et finalement un cri. En fait de cauchemar c’est moi qui ai poussé ce cri et me réveillant en sursaut je me retrouve collé à Galatée avec mon sexe dans son cul, en train de la baiser. Elle ne dort pas car je l’entends haleter et voit sa main s’activer entre ses cuisses. Relevant un peu la tête, je vois son autre main masturber violement le sexe de Marc.

Mon corps demande de jouir mais mon esprit refuse de le faire dans le cul d’une fille Me raisonnant je me dis que plate comme elle est, je dois pouvoir retrouver mes marques comme avec mes amants. Allongeant la main je pose ma main sur celle de Galatée qui entoure le sexe de Marc et tous deux fusionnés par la même envie de jouissance nous ondulons au rythme de nos pulsions, nous arrêtant ensemble quand le plaisir peut encore être maîtrisé. Au travers de son cul je sens ses doigts aller et venir goulûment dans son con et j’ai même l’impression qu’elle prend un malin plaisir à me caresser au travers des parois de son corps. Puis n’en pouvant plus je me plante tout au fond d’elle et lui donne mon jus en longue saccades. Elle-même s’est mise au diapason et s’ouvrant toute grande a fourré violemment sa main au fond de son sexe avant de pousser un long râle de plaisir.

Caresses, volupté, plaisirs de sentir la peau de l’autre émotionnée par les trajets de nos doigts, nous ne sommes plus que des morceaux de plaisir et de bonheur partagé. On se rendort et au matin elle me réveille doucement par un long baiser, se couche sur moi et me prenant la main me guide et place mes doigts entre ses fesses en me demandant de la caresser. On reste comme ca entre deux mondes et je n’en finis pas de m’émerveiller par sa facilité à intégrer de nouveaux plaisirs. La tête près de moi elle feule doucement contre ma joue, les yeux clos, la bouche entrouverte, haussant le râle quand mon doigt s’immisce dans son petit trou du cul, ondulant quand je me pose sur l’entrée de son sexe. Puis elle me chuchote qu’il faut bien que je retourne dans ma chambre avant que Marc ne se réveille. Tendrement elle m’embrasse longuement, les yeux dans les miens, se relève et me tire par le bras pour me lever. Un regard a son mari, une dernière léchouille à son sexe qui maintenant pendouille gracieusement sur son aine. Elle-même m’accorde un dernier long et tendre plaisir en me suçant tendrement, puis une petite tape sur les fesses et je rentre chez moi par la porte fenêtre.

Vers 11H du matin je me réveille, me douche et baillant descend prendre le petit dej’. Peu d’activité mais mon hôtelière est là, tout sourire, et me sert en me disant

– « reprenez des forces !  »

Un peu estomaqué, je fais semblant de ne pas comprendre mais dans le fond de la salle, Galatée me fait un grand signe, tandis que l’hôtelière me chuchote:

 » Elle a l’air plein de vie ce matin, quelques cernes mais … »

Et de rire aux éclats en retournant dans sa cuisine. Repassant près de ma table elle s’arrête et :

« Il faudra que je regarde la cassette de vidéo surveillance de la nuit dernière, il semblerait qu’il se soit passé des choses sur les balcons » et de rire en s’éloignant.

Après tout je me dis que cette nuit a été si agréable que je m’en fous et que si ca peut lui faire plaisir de me voir Galatée en train de me sucer…

Galatée se lève avec son Marc, toujours complètement abruti par ses médicaments et en passant me caresse tendrement la nuque du bout des doigts…

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2 réponses à Ma petite vie gay 14 – Cocooning méditerranéen par Emmanuel_2

  1. Bertrane_TV dit :

    Assez bandante cette tranche de vie

  2. villeneuve dit :

    Un peu long, mais ça m’a fait bien bander ma queue

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