Lucie et sa fille par ashland30

Lucie et sa fille par ashland30

Je m’appelle Lucie, j’ai 42 ans, une fille de 18 ans et un mari souvent absent à cause de son travail.

J’ai pris l’habitude depuis quelques temps de me caresser pour pallier ce manque et j’avoue que j’en tire un plaisir inouï. Le début a été de frêles mais douces caresses faisant frissonner ma peau jusqu’à de mini orgasmes. Maintenant j’ai acquis de nouvelles pratiques grâce aux forums et aux témoignages de chaudes lectrices. J’ai maintenant un gode qui ne quitte plus mon tiroir de ma table de chevet, il faut qu’il soit à portée de main, juste pour le plaisir, ça me rassure. Mon mari aime que je porte de jolis dessous sexy, moi aussi j’aime me sentir désirée. Les caresses sur des jambes gainées de soie éveillent en moi toujours un désir profond de faire l’amour. Ce soir, ça fait deux jours que Paul mon mari est absent et là je ressens monter en moi le chaud désir et l’appel de caresses sur mon corps. Je m’apprête d’un joli porte-jarretelles blanc, je fixe des bas de soie couleur chair, un soutien-gorge ouvert sur mes tétons dressés par l’excitation et finis par me vêtir d’un déshabillé transparent qui ne cache rien mais qui laisse deviner quelle salope je suis. Devant la glace de la chambre je me trouve désirable, très sexy. Mes mains caressent doucement mon corps par-dessus le tissu, s’attardent sur mes bouts de seins qui sous la caresse et les pincements ne tardent à se dresser tels de petits clitoris. Je sens que mon sexe s’humidifie et l’intromission d’un doigt me le confirme, je suis trempée. J’ai besoin maintenant de quelque chose de plus conséquent et je vais chercher le gode dans le tiroir.

Horreur ! il n’y est plus; hier il était encore là. J’ai quand même cherché un peu avant de me demander si ce ne serait pas  Léa ma fille qu’il l’aurait. Je décide donc d’aller voir dans sa chambre bien que je n’aime pas fouiller dans ses affaires en son absence. Arrivée devant la porte j’entends le ronronnement significatif et reconnaissable de mon gode, j’en suis toute retournée, ma fille est venue dans ma chambre et m’a emprunté mon sex-toy et maintenant je ne sais plus quoi faire. La porte est mal fermée et je me risque à glisser un œil, ma fille est à quatre pattes sur le lit offrant sa croupe à ma vue, elle fait glisser facilement ce gode assez gros dans sa chatte trempée, je le vois entrer et sortir de sa vulve qui émet un petit bruit de mouille au passage. J’ai du mal à contenir la chaleur qui m’envahit, le spectacle ainsi offert m’excite au plus haut point et mes mains retrouvent mon corps pour des caresses encore plus chaudes que tout à l’heure. Ma main gauche fouille ma chatte par la fente du string et ma main droite titille mes pointes de seins qui sont au paroxysme de la jouissance.

Ma fille se masturbe comme sa mère et cela me met en transes, je mouille et les clapotis de mes doigts dans ma chatte et mes petits cris de plaisir font retourner Léa.

– Maman, que fais-tu là ? tu es en train de regarder ta fille se caresser et tu te branles en même temps, tu serais vicieuse que cela ne m’étonnerait qu’à moitié, entre ne reste pas là et viens te régaler d’un peu plus près.

J’obéis facilement et m’approche de ma fille qui n’a pas arrêté de s’introduire le gode.

– Je ne peux pas arrêter maintenant je vais jouir sous tes yeux, maman !

Je viens, je coule, je jouis. Mes caresses se font plus rapides et d’un ultime soubresaut mon corps jouit en même temps que celui de ma fille. Léa vint se blottir contre moi, cherchant une chaleur réconfortante après cette jouissance qui a secoué tout son corps en entier.

Ses bras s’enroulèrent autour de mon cou et doucement son corps se détendit jusqu’à s’endormir. Il faut dire qu’après une telle jouissance le repos était nécessaire. Je la couchais et m’endormis auprès d’elle. Durant son sommeil sa main vint recouvrir mon sein encore dans son écrin de soie, je ne fis rien pour la retirer ayant peur de la réveiller ou trouvant seulement ça pour me rassurer mais j’aimais cette caresse. Sa main glissa sous le tissu et prit mon téton durci entre ses doigts et joua avec. Dormait-elle ou…

J’étais de nouveau excitée par ma fille et entrepris mon petit bouton d’amour en le faisant rouler entre mes doigts, mon corps avait chaud, ma chatte commençait à couler et je récupérais ce doux nectar du bout des doigts et je le suçais avec envie.

– Attends me dit Léa,

Elle se glissa sous les draps, m’écarta les cuisses et enfouit sa tête dans mon intimité, sa langue et sa bouche trouvèrent rapidement ma vulve et le cunni qui s’en suivit me fit monter au septième ciel. J’ai joui comme jamais avouais-je, j’ai oublié un moment que c’était ma fille qui me faisait l’amour.

– Oublie et laisse-toi aller, moi aussi j’ai aimé te lécher et te doigter et maintenant j’aimerai que tu me fasses l’amour, maman.

N’écoutant que le plaisir, je me mis en 69 sur le corps de Léa et lui fis minette avec mes doigts, ma bouche et ma langue sans oublier sa petite rondelle.

Nos deux corps se dénouèrent et nos bouches se retrouvèrent pour un baiser lesbien des plus torrides.

Il faut bien avouer que maintenant nous apprécions mieux les absences de mon mari car nous dormons ensemble, enfin dormir…

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11 réponses à Lucie et sa fille par ashland30

  1. Roques dit :

    Un peu maladroit, mais courageux et sincère !

  2. Denise dit :

    Le récit est un peur rapide, mais c’est bien d’avoir osé l’écrire
    Et merci au site de l’avoir publié

  3. Borneo dit :

    Il a a les incestes nuisibles, mais il y a les incestes utiles et il y a aussi les incestes jolis…. comme les papillons 😉

  4. Sapristi dit :

    Il fallait oser, les tabous sont fait pour être brisés surtout quand ça ne fait de mal à personne

  5. vistyle dit :

    Et vous n’avez pas honte de publier ça ?

  6. Jugan dit :

    Y’a pas de mal à se faire du bien

  7. Claire dit :

    le scénario est à peu près le même que « Olivia et sa mère », sauf qu’ici c’est moins bien

  8. Caribou dit :

    N’importe quoi ! Vous rendez vous compte qu’après un tel acte la fille va rester traumatisée à vie ?

    • Anglade dit :

      S’il n’y a ni forçage, ni marché de dupe, je ne vois pas bien le pourquoi du traumatisme. Ce genre de situations est d’ailleurs bien plus répandue qu’on le croit. L’inceste est un tabou social que nos sociétés n’ont pas encore dépassés et qui est irrationnel. Quand un mec de 50 ans regarde avec insistance une fille de 25 ans, et qu’un pisse-vinaigre lui sort la réflexion d’usage « tu te rends compte que ça pourrait être ta fille ! » Dites moi ou est le rationnel là dedans ?

    • Denise dit :

      Il y a le discours dominant qui nous rabâche que l’inceste est obligatoirement traumatisant quelles que soit les circonstances.
      Et puis il y a la réalité : si tout ce passe entre personnes majeures et consentantes, je ne vois pas bien ou serait le traumatisme.
      J’ai pour ma part eu des rapports incestueux avec mes parents, avec ma mère ce fut des câlins prolongés et poussés à chaque fois que nous dormions ensemble, Avec mon père, je ne l’ai fais qu’une fois, les circonstances étaient particulières, mais il m’a demandé, j’aurais pu refusé, il n’aurait pas insisté, mais je ne demandais que ça. La pipe a d’ailleurs été ultra rapide.
      J’ai aujourd’hui 44 ans, tout cela fait partie de mes bons souvenirs…

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