L’initiation de Pauline. L’anus de Pauline par Mondoi

 

L’initiation de Pauline.
L’anus de Pauline
par Mondoi

Nous sommes trois étudiantes en Fac à partager un appart depuis la rentrée, six mois de cohabitation qui se passent bien, nous bossons dur chacune de notre côté mais nous nous autorisons de temps en temps, une petite soirée ensemble pour décompresser, petite bouffe, petites boissons qui font rire, nous nous connaissons mieux depuis quelques temps et donnons dans les confidences intimes quand l’alcool fait son effet.

Il y a Pauline, un peu coincée, un peu ronde, vingt et un ans, blonde mais pas trop, Hélène l’intello, vingt deux ans, rousse auburn, grande avec des jambes de rêve avec petites fesses et petits seins et moi, Solenn, je me trouve banale, vingt deux aussi, brune avec yeux vert, un mètre soixante, des seins pas trop petits, des fesses rondes.

Ce soir, c’est veille de week-end à rallonge et nous avons décidées de trainer plus que de coutume, l’ambiance est chaude, limite délirante passé une heure du mat, nous en sommes aux confessions sur nos relations sexuelles avec nos mecs, forcément, comme d’habitude dans ces moments là, il y en a toujours une pour en dire plus que les autres et ça dérape grave vers des sujets très intimes, tout y passe, les fellations que l’on fait ou pas, celle qui avale ou pas, les cunnis qu’ils nous font ou pas assez souvent, ceux qui burine sauvagement, celle qui aime ça et forcément, on en est arrivées a un sujet tabou, la sodomie.

Nous, les nanas, ont est toutes pareilles sur ce point, il n’y en a aucune qui le fait mais ont a toutes un avis la dessus, voir des connaissances.

– A non, ça je le fais pas dit Hélène, ça fait trop mal.
– Si tu sais que ça fait mal, c’est que tu as essayé ?
– Heu, non, je le sais, déjà qu’un doigt c’est limite.
– Ben voila, tu avoue avoir goutté à un doigt ?
– Et alors, tu n’y as pas goutté toi, à un doigt ?
– Je ne dis pas que je n’y ai pas goutté mais de la à dire que cela fait mal.
– Je ne dis pas qu’un doigt ça fait mal, je dis qu’une bite ça fait mal.
– Alors tu avoue avoir essayé avec une bite ?
– Holala, bien sûr que j’ai essayé, c’est surtout mon mec qui le voulait.
– C’est toujours les mecs qui veulent par derrière de toutes façons, les filles non.
– Moi, je voudrais bien savoir ce que ça fait.

C’est Pauline qui vient de parler, elle ne disait rien depuis un moment, depuis le début de la discussion sur la sodomie d’ailleurs, comme si elle était gênée, nous restons quelques secondes à la regarder, stupéfaites par sa demande, Hélène rompt le silence.

– Tu veux dire que tu voudrais goutter à la sodomie ?
– Ben oui
– Avec un homme ?
– A moins que tu connaisses une femme avec une verge ?
– Ok, ce que je veux dire, tu veux essayer une verge dans les fesses ?
– Oui, toutes les filles en parlent, personne ne le fait, mais toutes savent de quoi elles parlent on dirait, comme toi et Solenn, je suis sur que vous êtes déjà passées à la casserole toutes les deux, pas vrai ?

Hélène me regarde, comme si je devais avouer la première avoir goutté à la chose sodomite, je suis sûre qu’elle aussi en a fait plus qu’elle n’en dit, je ne cède pas.

– Solenn l’a déjà fait dit-elle, je l’ai vue.
– Comment ça tu m’as vue, tu es gonflée quand même d’inventer ça.
– Oui, je t’ai vue, dans la salle de bain, faut pas oublier de fermer sa porte quand on se fait des trucs.

Je blêmis, elle a touché juste, merde, elle m’a vue jouer avec mon gode, je me rappelle de quand c’était, il y a un mois, je me le suis rentré dans les fesses sous la douche en me touchant le clito, je croyais pourtant être seule ce jour là, je n’avais pas fermé la porte pour entendre la musique sur la chaine laser, cela ne m’arrive pas souvent mais je n’avais pas vue mon mec depuis deux semaines et ça me démangeais grave d’être prise par là et oui, j’aime ça, quelle garce.

– Tu faisais quoi Solenn, demande Pauline ?
– Rien, elle déconne la Hélène
– Mais certainement pas, je ne déconne pas comme tu dis, je t’ai vu te rentrer un objet dans les fesses sous la douche, ça devait te faire du bien, je dis cela à cause des gloussements que j’ai entendue, Mademoiselle se sodomisait avec un gode en se caressant le minou.

Je dois trouver quelque chose pour la moucher l’intello avec ses airs de sainte-nitouche, combien de fois je l’ai entendue gémir le soir, seule dans sa chambre, elle aussi est une adepte du travail manuel, je ne sais pas ce quelle utilise comme jouet mais ça à l’air d’être bien.

– Et tu es restée me regarder faire, tu aimes regarder les filles qui se masturbent ?
– Ca ne va pas non, je ne suis pas attirée par les filles.
– Quand même, si tu m’as entendue glousser comme tu dis, c’est que tu es restée jusqu’à la fin, de plus, pour voir que c’était un gode que je me rentrais, c’est que tu étais là au début aussi et à la fin quand je l’ai retiré de mes fesses, tu as aimé regarder, tu t’es caressée ?

Elle vire au pourpre, touché, coulé, elle ne trouve plus ses mots, elle tortille ses doigts comme une gosse prise en faute, Pauline est morte de rire.

– Tu es une gouine Hélène ?
– Mais non, je ne le suis pas, arrêtez!
– Ecoute, dis Pauline, je n’ai rien dis l’autre jour quand tu m’as embrassé sur la bouche, j’ai pris ça pour une marque d’affection, d’amitié mais maintenant, je vois les choses autrement, si tu regarde les femmes sous le douche en train de se faire des trucs, ce n’est pas pareil.
– Ouaaa, elle t’a roulé une pelle, elle en est, c’est sûr ?
– Non, juste sur les lèvres mais quand même, j’ai des doutes maintenant.

Hélène se met à pleurer, honteuse, j’ai peut-être mis une couche de trop, mais bon, ça lui apprendra à être discrète, je vais essayer de rattraper le coup.

– Tu sais Pauline, je ne crois pas qu’elle soit une vraie lesbienne, sinon elle serait venue me rejoindre sous la douche, elle a juste regardé.
– Oui, je pense aussi dit-elle, ce n’est pas grave.

Hélène a un sourire de soulagement, j’en profite pour la prendre par le cou et lui faire un bisou sur la joue, elle me repousse un peu mais je la tire vers moi fermement, elle finit par se laisser faire, j’essuie ses larmes avec ma langue, je les bois, elle se laisse aller, je suis toute émue d’avoir provoqué ses pleurs et de savoir qu’elle m’a vu en pleine masturbation anale et vulvaire, je sens ma culotte qui s’humidifie.

– Et moi demande Pauline, je n’ai pas le droit à un bisou ?
– Mais si, viens avec nous

Pauline se lève du fauteuil et vient nous rejoindre sur le canapé, elle se place entre nous deux et de suite nous la couvrons de bises qu’elle nous rend chacune à notre tour, les baisers glissent d’une joue à l’autre, les bouches s’effleurent au passage, je ferme les yeux pour déguster cet instant d’amitié affectueuse, je ne sais plus qui me bise, qui je bise, une bouche se pose sur mes lèvres, je me laisse faire, entre-ouvre les paupières, c’est Hélène, sa langue cherche l’entré de ma bouche, je m’entrouvre en envoyant la mienne à sa rencontre, à ce moment une deuxième bouche se pose et sa langue se mêle aux notre, maintenant les trois langues se caressent comme des serpents enlacés, allant d’une bouche à l’autre, mêlant les salives.

Les mains ne restent pas longtemps inactives, nous nous prenons par la taille pour nous serrer les une contre les autres puis les miennes commencent à explorer les corps, descendant sur les fesses, je caresse celles d’Hélène, petites et fermes, celles de Pauline, plus grosses, je lui passe même des doigts dans la raie, pour voir, elle réagit de suite.

– Alors les gouines, dit-elle avec un petit rire, vous me montrez comment ça fait dans les fesses ?
– Tu veux vraiment, demande Hélène ?
– Tu sais que la première fois, c’est presque comme un dépucelage, rajoutais-je ?
– On saigne ?
– Non, mais tu vas te sentir envahie, écartelée.
– Oh oui, s’il vous plait, envahissez-moi le petit trou.
– Bon d’accord, viens dans ma chambre, j’ai ce qu’il faut pour les préliminaires
– Et moi, je peux venir aussi demande Hélène ?
– Cela dépend, lui répond Pauline, tu l’as déjà fait, oui ou non ?
– Bien sur que je l’ai fait.
– Une fois ou plusieurs fois ?
– Plusieurs fois
– Tu es donc une enculée lui rétorque pauline en éclatant de rire

Nous nous marrons toutes les deux en voyant la tête qu’elle fait, Pauline l’a prend par la main.

– Mais oui tu viens aussi, j’ai besoin de vos connaissances à toutes les deux pour mon initiation et puis, les femmes sont toutes un peu lesbiennes non?
– Mais je ne suis pas…
– Oui, on sait, répondons nous ensemble, tu ne l’es pas mais tu regarde quand même.
– Salopes, vous êtes mes petites salopes adorées, je vais vous faire voir de quoi je suis capable répond-elle en nous claquant les fesses et à toi Pauline, je vais te casser ton petit cul.
– Houlala, j’ai peur ricane Pauline en s’enfuyant vers ma chambre, une gouine veut m’enculer, au secours Solenn, viens aussi te faire mettre avec moi.

Aussitôt dans ma chambre, les habits volent et nous nous retrouvons en petite tenue sur mon lit, je me glisse contre Pauline, nos bouches se trouvent de suite et nous nous embrassons comme des folles en nous caressant sur tout le corps, des mains finissent de nous déshabiller, c’est Hélène qui enlève nos soutifs, libérant nos poitrines, les seins de Pauline plus gros que les miens, se frottent à ma poitrine, nos tétons sont durs, Hélène enlève nos culottes en humant nos sexes au passage puis elle se déshabille complètement, je voie sa motte rousse sur sa peau blanche pour la première fois et cette vision me fait mouiller encore plus, j’ai souvent entendue parler du parfum intime des rousses, on le dit corsé, musqué, envoutant, je veux savoir, je lui dis de nous rejoindre, je veux sentir sa chatte.

Elle se love contre mon dos, appuyant son nid de poils frisés contre mes fesses, elle se frotte à ma raie, cela m’électrise, à l’oreille elle nous dit des choses cochonnes.

– Vous sentez bon, vous sentez la femelle en rut, j’aime votre odeur de chatte et de pipi, je vais vous manger le minou à toutes les deux.

Elle glisse le long de nos corps en nous léchant partout et choisit de s’occuper de Pauline en premier, normale, il lui faut de bons préliminaires pour être réceptive et détendue pour ce qui va suivre, Hélène lui écarte largement les cuisses pour faire apparaître une vulve trempée, bordée d’un duvet soyeux de blonde, elle embrasse les chaires rose pâle, suçote les nymphes, passe la langue entre les replis des grandes lèvres pour arriver au capuchons du clitoris qu’elle prend entre ses lèvres, Pauline sursaute sous la caresse buccale et pousse un soupir de contentement, je lui masse les seins en lui pinçant les tétons, je lui demande à l’oreille.

– Tu veux goutter à un sexe de femme ?
– Ouiii dit-elle dans un murmure, je veux tout faire.

Je passe une jambe par-dessus son visage pour me mettre en position de 69 et lui donne mes fesses et ma chatte à sentir, je me frotte doucement sur son nez, je sais que je dois dégager un parfum intime enivrant, Hélène nous l’a dit tout à l’heure, tout ça n’était pas prévu et je n’ai pas fais de toilette intime avant mais Pauline à l’air d’aimer car je l’entends me renifler la fente et la raie sans protester, sa langue, timide au début, part en exploration dans mes replis odorants, elle visite mes deux orifices, faisant son chemin dans la forêt de mes poils brun pour remonter sur mon clito et redescendre sur mon anus en passant par l’entrée de mon vagin dégoulinant de désir et de mouille, elle s’applique à me donner du plaisir.

Hélène s’applique aussi, à entendre les gémissements de Pauline qui d’elle-même écarte et replie ses jambes en arrière, je lui les maintiens sous mes bras, elle se retrouve exposée dans une position sublimement indécente, je vois les deux doigts d’Hélène coulisser dans le sexe de Pauline, le cratère de son anus serré réclame des caresses.

Hélène à compris la muette demande et entame une feuille de rose de connaisseuse, elle lèche le pourtour de la rondelle plissée, la masse avec ses lèvres, darde le bout de sa langue en son centre contracté, sa salive se mélange aux sécrétions du plaisir vaginal ruisselant de la pucelle de l’œillet, son clito est sortit de sa cachette, je me penche pour le prendre en bouche, Pauline gémit, son bassin est agité de petits tremblements, la jouissance monte en elle, c’est ce moment que choisie Hélène pour lui rentrer une phalange de son index lubrifié de mouille dans les fesses après en avoir titillé l’entrée, Pauline pousse un râle qui en dit long sur ce qu’elle ressent.

– Haaa, c’est trop…
– Trop gros, demande Hélène ?
– Nonnn… trop…
– Trop sec, demandais-je ?
– Nonnn… trop bon…, finit-elle par avouer
– Pousse maintenant, comme aux WC, je vais le rentrer entièrement.

Je vois l’anus s’ouvrir sur le doigt d’Hélène et celui-ci entrer au ralentis dans les plis rectaux, pauline pousse, elle a compris que cela facilite la pénétration digitale, l’index disparaît entièrement dans son fondement, je continue à lui branler le cornichon, les deux doigts d’Hélène dans son vagin, entrent et sortent dans un rythme lent, elle bouge celui qui est dans le sphincter, elle le fait gigoter à l’intérieure, le vrille et entame des petits va-et-vient.

Pauline est une bonne fille, malgré le plaisir qui la secoue, elle continue à s’occuper du mien, elle me mange le minou et je sens des doigts caresser mon trou de balle, je pousse aussi pour m’ouvrir de ce côté et sans faire exprès, je lâche un petit pet à son nez, je m’excuse de suite, lui demande pardon.

– Ce n’est pas grave dit-elle, je suppose que ça arrive à tous le monde quand on joue de ce côté et puis tu sens bon des fesses, j’aime bien.

Là, je suis sciée, pour une jeune nana qui débute en gouinage et en sodo, je trouve qu’elle assure bien, après tout, je ne connais rien de sa sexualité, elle a peut-être des pratiques un peu extrêmes, emportée par mon désir de jouir et la folie des corps, je pousse une fois encore et un autre pet lui parfume les narines.

– Ouiii, vas-y encore supplie t’elle entre deux léchouilles.

Hélène a tout entendue et me regarde les yeux écarquillés de surprise, elle ne doit pas connaître ce genre de fétichisme pour faire cette tête là mais apparemment ça stimule son envie de sodomiser Pauline et elle rajoute son majeur dans le cul de la renifleuse de pets.

– Haaailll ! crie la petite salope, c’est gros!!!
– Tu veux que j’arrête demande Hélène ?
– Nooon, continuuuu

Je suis hypnotisée par le spectacle des doigts enfoncés dans l’anus de Pauline, Hélène les ressorts plusieurs fois pour mieux lui dilater le sphincter et les lui renfonce profondément, le spectacle est d’un érotisme sulfureux, je frotte ma vulve de plus en plus vite sur la bouche de Pauline, ses doigts dans mon cul me procure un plaisir anal démentiel, l’orgasme arrive comme une envie de pisser, brulant et incontrôlable, je jouis sur le visage de ma copine, sans retenue, sans pudeur, je lui arrose la bouche de mes giclées de plaisir, je l’entends boire mon jus, elle aime ça aussi, elle prend son pied en même temps que moi en poussant des petits cries de sourie puis nous nous affalons l’une sur l’autre, comblées par ce premier orgasme.

Nous sommes étalées sur le lit depuis dix minutes, les mains se baladent, caressant les seins, les vulves ou les anus, nous somme lascives comme des chattes repues de plaisir, Pauline remet le couvert.

– Alors les filles, vous me cassez le cul oui ou non ?
– Attends deux minutes dit Hélène, je vais chercher une surprise pour toi dans ma chambre, Solenn vat te préparer l’orifice en attendant.

Je fais pendre à Pauline, la position de levrette au bord du lit, je lui prépare l’anus avec une pommade lubrifiante, lui rentrant un puis deux doigts facilement puis je prends mon gode dans ma table de chevet, un phallus de latex de 18 centimètres de long et d’un diamètre de 3,5, il est très bien pour une initiation, c’est celui que j’avais dans les fesses quand Hélène m’a matée sous la douche, elle voit l’engin et veut le sucer avant de se le prendre dans le cul, comme on fait avec un mec, elle fait une pipe à mon gode comme sur une vraie queue, elle sait y faire, ce serai un mec à la place du gode, il prendrait un super pied.

– Mets le moi maintenant dit-elle en me le tendant

Je passe derrière elle, son cul est tendu vers moi, elle s’écarte les fesses avec les mains, quémandent la pénétration rectale, son œillet est entre-ouvert, bordé de poils folâtres, je pose le bout de l’engin sur l’entrée du rectum en titillant les trente six plis, elle pousse pour être accueillante, je caresse sa vulve chaude et gluante en insistant sur le clito puis j’enfonce lentement la verge factice dans son cul, elle se cambre en cherchant de l’air.
– Uuuuch, putain que c’est gros, haaa, arrête, non n’arrête pas, haaa.
– Pousse, pousse encore, ça va te détendre l’anneau.
– Ouiii, je pousse, tu as tout rentré là ?
– Ben non, tu as juste le gland dedans, il y en a encore 12 cm à enfoncer, patience.

Hélène revient de sa chambre harnachée d’un superbe gode ceinture, imitation réaliste d’une bite d’africain, toute noire, seul le gland est rose vif, plus longue, au moins 25 cm et plus large que celle que je suis entrain de mettre à Pauline, veinée comme une vraie avec deux grosses couille qui pendent, elle est fière d’arborée un tel engin, si elle n’est pas lesbienne avec un truc pareil, pourquoi elle en possède un, pour faire le cul des mecs ?

– Et là, dedans, il y a ce qu’il faut pour arroser les intestins, chuchote t’elle en soupesant les grosses couilles, je les ai remplies de lait tiède, ça lui fera une bonne éjac à recevoir.

Pauline ne l’a pas vue entrer, en levrette, la tête dans les oreillers, subissant avec un peu de mal, la sodomie qu’elle a réclamée, Hélène vient s’accroupir à côté de moi pour observer la progression du gode dans l’anus de Pauline, elle se lèche les lèvres d’un air gourmand, lui caresse les fesses et le dos, descend sur ses seins pour lui pincer les bouts, Pauline gémie.

– Tu as mal lui demande t’elle ?
– Hummm, ça va, caressez moi encore
– Oui ma chérie, donne bien tes fesses, on va te faire jouir du cul.
– Donnes moi ta place Solenn que je m’occupe un peu de son petit trou, tu devrais aller sous elle lui faire des câlins.

Je lui cède ma place et me glisse sous Pauline en 69, j’ai sa foune sur la bouche et je voie la fausse queue dans son trou de balle, Hélène a pris l’objet à pleine main et commence des petits vas et viens dans le sphincter de la jeune enculée, la jute de Pauline me coule dans la bouche, je lui saisis le clit entre les lèvres et le suce comme un bonbon, j’écarte les cuisses pour lui faire comprendre que j’ai aussi besoin d’affection, elle ne se fait pas prier et se met à me bouffer la chatte, je me dis, en me laissant aller aux caresses bucco-génitales, qu’Hélène est la seule a donner du plaisir sans en recevoir, quand je pense au matériel Africain qu’elle a entre les jambes, c’est du gâchis, je me promet de m’occuper d’elle plus tard.

Pauline gémie toujours mais l’intonation n’est plus la même, les sons qu’elle émet sont plus lascifs, plus sensuels, les mouvements de la queue de latex dans son fion lui procurent maintenant du plaisir, je la vois rentrer et sortir de son anus, Hélène manie bien l’objet, elle sait doser ses gestes, du burinage puis de la douceur et re-burinage, une experte je dirais, elle ne doit pas en être à son premier cassage de cul, j’entends son souffle saccadé et je me dis qu’elle prend du plaisir à le faire, un côté dominatrice sans doutes, le dépucelage d’anus doit faire partie de sa libido.

– Pauline, veux-tu que je fasse l’homme maintenant que tu es accueillante de la petite porte demande t’elle ?
– Ben, tu n’es pas déjà en train de le faire questionne Pauline ?
– Pour l’instant, tu as eu le droit aux hors-d’œuvre, j’ai le plat de résistance entre les jambes, tu veux voir ?

Pauline se retourne pour voir de quoi parle Hélène, qui se redresse dans une attitude machiste, l’énorme braquemard black à la main, elle l’agite en l’approchant de la bouche de Pauline qui a un mouvement de recul devant l’énormité de la chose, je maintiens mon gode enfoncé jusqu’à la garde dans son rectum pour qu’il conserve sa souplesse et son élargissement en vue de l’enculade Africaine.

– A non, pas ça, c’est trop, tu vas me déchirer dit-elle apeurée.
– Mais non, ne crains rien, tu es bien préparée et puis tu sais, il a déjà perforé des petits trous plus vierges que le tien, hein, parce-que depuis que l’ont joue avec, il s’est habitué à l’élargissement, allé, fait toi plaisir, ton initiation sera complète de cette façon, une fois que tu auras goutté à ce calibre, tu pourras donner tes fesses à ton copain sans appréhension.
– Et toi Solenn, tu ne dis rien, qu’en penses-tu ?
– Ho moi, je m’en suis pris un de cette taille une fois, un vrai, en chair et sans os, j’en garde un souvenir impérissable, mais bon, après je n’ai pas été aux chiottes pendant trois jours, j’avais le cul en choux fleur.
– A ça c’est vrai, mais quand tu y retourne au bout de trois jours, ça te fait un effet terrible, comme si il était encore dedans, en te branlant ou en te faisant lécher, tu auras une nouvelle révélation, crois moi.
– Oui, c’est vrai, rajoutais-je.
– Bon ok, allons-y pour le défoncement total, puisque je vois que vous avez envie d’élargir le cercle de vos amie dit pauline en ricanant, mais je crois qu’elle rit jaune, elle sait qu’elle va ramasser du côté rectal.

Je reste couché sous elle, lui prodiguant maintes caresses buccales sur sa foune ruisselante, quand Hélène se positionne derrière elle, je guide le gode vers l’entrée de sa fente, Hélène s’en étonne, sodomite perverse qu’elle est.

– Un petit tour dans son fourreau à plaisir en premier ne lui fera pas de mal, au contraire, ça va la préparer psychologiquement à prendre gros, tu ne penses pas ?
– Oui ok, mais dommage, je l’enculerais bien directement pour l’entendre pleurer sa mère.
– Tu es une chienne perverse, je te souhaite de te faire fister le cul un jour, tu verras si tu ne pleure pas ta mère toi !
– Pfff, c’est fait depuis longtemps et je n’ai pas pleuré ma mère moi, nananère !
– Allé, tais-toi vantarde et donne du plaisir à la petite, lui dis-je pour arrêter la discussion, vraiment cette nana a tous les vices, se faire mettre une main dans le cul quand même, faut t’y pas être perverse et maso en plus.

Le gros gland rose trouve de suite sa place dans le vagin de Pauline, elle a un râle mais de bonheur cette fois, c’est pas tous les jours qu’on se prend une bite de cheval dans la foune, et un gode dans l’anus, Hélène la baise comme un homme expérimenté, avec douceur mais fermement, d’un bon rythme de hanches, elle lui lime la chatte avec tendresse, elle est capable de bonnes choses me dis-je, cela n’empêche que je lui réserve une gâterie manuelle, je continue de manger le clito de pauline qui vibre sous ma bouche, elle m’arrose de ses sécrétions vaginales que j’avale avec délectation, c’est mon truc ça, boire à la source, elle aussi me lèche le sexe et même l’anus, elle me le doigte ainsi que ma chatte, je miaules quand elle prend mon bouton entre ses lèvres, j’adore cette caresse, bucco-génitale-anale, mon plaisir monte d’un cran à chaque fois qu’elle me la fait.

– Tu es prête à me recevoir dans ton trou de balle maintenant demande Hélène en se retirant du vagin de Pauline ?
– Oui, je crois que tu peux me le faire, vas-y doucement quand même.
Je retire lentement le gode de ses fesses, il est propre, son orifice anal reste ouvert, elle est prête, Hélène se lubrifie le dard, touchante attention la connaissant mieux, je pensais qu’elle chercherait à enfiler Pauline à sec, je saisis le braquemard et le dirige dans sa rosette, elle se cambre pour s’offrir le mieux possible et doit pousser fortement car un vent silencieux, chaud et sans parfum, s’échappe de son fondement, déjà le bout turgescent disparaît comme avalé par la bouche plissée de son anus, elle ne crie pas, ne proteste pas mais reste crispée sur mes cuisses écartées, attendant une hypothétique douleur, la longueur du chibre progresse lentement dans son conduis rectal, elle suffoque.

– Arrrhhh, je suis pleine, la vache le morceau, ouchhh ça m’écartèle, hummm.
– Tu veux que l’on arrête, proposais-je ?
– Non, allez-y, baisez moi comme une truie, enculez moi, défoncez moi le cul, je veux jouir des fesses.
– Ok dit Hélène, maintenant je passe à la vitesse supérieure

Et elle se met en mouvement, des mouvements lents au début mais qu’elle accélère petit à petit, elle lui lime le trou de balle comme un mec qui n’a pas baisé depuis six mois, elle lui rentre toute la longueur de la queue d’ébène dans le ventre, à chaque butées, pauline pousse un petit crie, je la lèche du mieux que je peux pour faire coïncider les coups de boutoir avec mon doigtage vaginal et le cunni que je lui fais, elle se met à crier de plus en plus fort, des mots incompréhensibles, sa bouche dans ma vulve en étouffe la moitié, je suis émue par son plaisir et la vision du dard qui la fouille devant mes yeux, le mien commence à monter, ses doigts son toujours dans mon anus, Hélène saisit les testicules laitières dans la paume de sa main, elle attend l’orgasme de la petite pour lui les vider dans les intestins et continue à lui mettre sa secouée, aux spasmes qui l’agitent, cela ne vat pas tarder.

Quand Pauline m’écrase sa fente sur la bouche, je devine qu’elle atteint l’orgasme, les giclées de pisse que je reçois en pleine gorge et le hurlement qu’elle pousse, confirment la chose, je vois Hélène presser les couilles, elle lui arrose le sphincter, Pauline est secouée de tremblements, elle s’empale complètement sur le morceau de latex, remuant son cul en cercle pour mieux en profiter, elle jouit du cul, le but est atteint, je jouis en même temps, sa jouissance provoque la mienne, j’entend mon liquide lui asperger le visage.

Pauline s’est affalée sur moi, Hélène lui a retiré le manche Africain des fesses, il est sortit avec un bruit de succion comme si elle voulait le garder encore un peu, du lait s’est échappé m’arrosant encore, Hélène s’est accroupie pour en recevoir, puis a collé sa bouche à l’orifice pour en boire directement à la source, quelle truie vicieuse.

Nous sommes restées sans voies pendant de longues minutes, seuls nos souffles et les quelques pets qui s’échappaient de nos anus ramonés et encore ouverts, meublaient le silence de la chambre, j’aime ce moment d’effondrement complet du corps, qui succède à l’orgasme, c’est Hélène qui, la première, se leva pour détacher sa ceinture sodomite, je savais en moi- même qu’elle n’avait pas pris encore son pied.

– Hélène, viens à côté de moi, j’ai envie de te faire des câlins lui dis-je en l’attirant sur le lit, tu veux que je m’occupe de toi, tu n’as pas jouis encore ?
– Ben oui, je voudrais bien du plaisir moi aussi, j’ai la chatte en feu et pas que la chatte d’ailleurs.
– Moi aussi, je veux te voir jouir ma chérie dit Pauline, donne moi ta chatte à bouffer, je veux boire ton jus.
– Hummm, faites moi ce que vous voulez mes petites poules, je me donne à vous dit-elle en posant sa moule sur la bouche de Pauline et en me tendant sa croupe.

Hélène n’a pas été déçue, Pauline s’est mise à lui manger l’entre-jambe comme une goinfre, j’avais eu le droit à ses merveilleuses caresses buccales et je la voyais se donner à fond pour faire jouir Hélène, les fesses de celle-ci étaient tendues vers moi et je ne résistais pas à l’envie de visiter sa petite entrée, pas si petite que cela d’ailleurs car elle eu à peine un sursaut quand je lui enfonçais trois doigts dans l’anus, après tout, elle prétendait avoir goutté au fist anal, cela expliquait la souplesse de son orifice, je lui ramonais le sphincter pendant le cunni que lui faisait Pauline, puis je m’harnachais du gode ceinture Africain pour lui faire le cul comme un homme, Pauline lui a rentré mon gode dans le vagin et lèche autour, je ne vaseline même pas l’anus, je l’enfile à la hussarde d’un coup de rein, là elle crie un peu plus quand le sexe de 25 cm la remplit, de suite je me met à lui pilonner le fion, elle gueule de bonheur en bouffant le minou de Pauline.

Je décide de changer de position en attirant Hélène à la renverse pour bien lui empaler le cul, elle se retrouve couchée sur moi, la fente béante, je lui maintiens les cuisses écartées, Pauline se retourne, interrogative.

– Fiste la, mets lui ta main dans la chatte!, ordonnais-je.
– Toute la main ? demande Pauline effarée.
– Oui, jusqu’au bras, elle aime ça dans le cul, elle l’a dit, alors tu peux devant aussi!
– Hummm ouiii fistez-moi, supplie Hélène.

Pauline lui rentre trois doigts et les bouge dans le sexe ouvert pour l’élargir encore plus puis elle en rajoute un quatrième, je ne bouge plus, la queue de latex est au fond de son ventre, il ne reste plus que le pouce à passer, je la vois mettre sa main en fuseau pour l’ultime pénétration, elle la vrille de gauche à droite pour faciliter la progression, Hélène gémie, Hélène pousse, Hélène fait le petit chien comme si elle allait accoucher, la main est aspirée par son gouffre vaginal, Pauline me regarde avec un sourire victorieux, c’est son premier fiste, elle n’en revient pas que l’on puisse rentrer une main entièrement dans cet endroit, Hélène brame de plaisir.

– Arrrr, hummm, ouiii comme çaaa!!!

Pauline lui branle le clito et commence son vas et vient, le vagin produit un bruit de succion à chaque mouvement, je crois qu’elle pisse aussi à voir le flot de jus qui dégouline sur l’avant-bras de ma copine, Hélène a l’air de bien supporter cette double pénétration et j’en profite pour donner des petits coups de reins dans son cul, l’effet est immédiat, elle se met à s’agiter et dans des cris saccadés, monte vers l’orgasme, un orgasme terrible, violent, accompagné de grandes giclées, on pourrait croire qu’elle souffre, mais non, elle jouie.

Quand je me suis retirée de ses fesses, j’ai laissé un anus dilaté, explosé, ouvert, quand Pauline a retirée sa main, c’était comme un gouffre, on voyait dedans, Hélène n’était plus qu’une femme entièrement défoncée baignant dans son liquide.

Plus tard, elle nous remerciera pour le plaisir donné en demandant que la prochaine fois, ce soit dans son anus que l’on rentre la main, quelle chienne lubrique.

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3 réponses à L’initiation de Pauline. L’anus de Pauline par Mondoi

  1. Montel dit :

    C’est tellement mécanique que ça en devient lassant et que ça tue l’érotisme.

  2. Steph dit :

    J’ ai aimé le récit, la description des situations mon permis de suivre l’ histoire de ces trois gouinottes.
    Je goûterais bien au miel de ses demoiselles. .. ;-¤

  3. Robert dit :

    Assez bonnes descriptions mais malheureusement trop « mécaniques »

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