Les visites de belle-maman par Serge Virinoviev

 

 

Mais je vous en prie, entrez belle-maman,
Heureux d’une telle visite à l’improviste,
Asseyez-vous, prenez place sur mon divan,
Votre fille s’étant rendue chez sa modiste.

Permettez que je vous dise sans flagornerie
Que cette robe noire vous sied à merveille,
Ne voyez là que le reflet de ma galanterie
Sachant qu’en moi un gentleman sommeille.

Mon épouse a une mère vraiment charmante
Et les années sur vous n’ont aucune emprise
Si j’en crois votre sensualité tant dévorante,
Ce qui ne signifie pas que je vous courtise.

Mais que faites-vous ? Cessez tout de suite !
Rhabillez-vous sans délai je suis votre gendre,
Enlevez vite vos mains et lâchez-moi la bite,
On peut ici à tout moment nous surprendre.

Et puis au diable tous les principes moraux !
Je cède à ma belle-mère qui me fait bander,
Qui me tripote coquine les organes génitaux
Et à qui des bienfaits j’ai envie d’accorder.

Mon visage enfoui entre vos cuisses écartées
Je m’enivre de vos suaves effluves féminines,
Votre chatte a les mêmes senteurs convoitées
Que celle de votre fille m’offrant sa cyprine.

Oui sucez moi madame, je vous offre ma pine,
Friponne soyez assurée de toute ma gratitude
Attendant que votre clitoris durci je butine,
A notre après-midi de folie délicieux prélude.

Vous m’avez belle-maman tendu vos fesses
Me disant que vous vouliez que je vous encule,
Plaisir auquel votre progéniture cette bougresse
Se refuse parfois alors que son anus je stimule.

Ah te voilà ma chérie, ta maman est passée,
Nous avons bu un café et discuté un moment,
De s’en aller elle n’était vraiment pas pressée,
S’incrustant et provoquant mon agacement.

Serge Virinoviev

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Une réponse à Les visites de belle-maman par Serge Virinoviev

  1. Paul Forsac dit :

    très beau rythme pour cette contine charmante
    Le chant des vers est un hymne à la sensualité qui nous transporte et nous élève.
    Le thème, un tantinet pervers, est délicieusement excitant.

    Bravo

    [internet m’apprend à l’instant que contine s’écrit comptine, puisqu’il s’agit de compter et non de conter. Quelle horreur!]

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