Les pipis de Martine en vacances Chapitre 2 : « Je m’éclate ! » par Jean-Michel_et_Martine

Les pipis de Martine en vacances
Chapitre II : « Je m’éclate ! »
par Martine et Jean-Michel

Après les jours passés dans la famille de Martine, ces quatre jours de frustration où il avait fallu éviter toute manifestation sexuelle ou urophilique, nous étions rentrés à l’appartement pour changer nos valises et repartir pour une location en baie de Somme.

Vendredi, tout en s’activant pour préparer le nouveau départ du lendemain, Martine tirait des plans et faisait des projets.

– Oui… Les vacances dans la famille c’était bien. Tous sympas… La mère… La sœur… Le neveu… Les voisins… Les amis… Mais alors… Bonjour l’intimité. Et ce lit qui craquait ? Tu imagines Jean-Michel, sur quatre jours on a juste pu faire un pipi ensemble et un petit coup vite fait dans la remise du tracteur. Pourtant je te jure que le tas de compost de mes premiers pipis de jeune fille me tentait avec toi. Et la forêt de Montigny… on aurait pu en faire des choses là… Non ? … Il y en avait toujours un à nos trousses. Je pensais bien me rattraper dans cette forêt… Et non… y avait la frangine. Tu as juste eu droit à mes fesses et à un pipi de petite fille bien éduquée. Mais je te jure, les prochains jours… Je vais me rattraper. Tu pourras même faire des photos… Sans ma tête bien sûr.

Cette journée du vendredi passa vite dans l’enthousiasme du départ du lendemain. Les valises étaient bouclées. Les quelques victuailles à emporter étaient dans le coffre. Nous n’avions plus qu’à penser à la douche. Ce fut Martine qui ouvrit la soirée.

– Dis Jean-Mich’, çà fait une semaine qu’on ne s‘est pas lavé le dos. Ce soir je compte sur toi pour me savonner et réciproquement si tu veux.

Bien sûr que je voulais. Une cabine de douches n’est pas une salle de bal et il est difficile de s’y tenir à deux sans se toucher. Comme dit Martine :

– Il faut penser « douche » et rien d’autre.

Oui, évidemment, mais pas facile quand même, et souvent un début d’érection que feint généralement d’ignorer Martine trahit parfois mon trouble.

Depuis déjà un quart d’heure au moins, elle allait et venait toute nue dans la salle de bain pour ranger et mettre un peu d’ordre, quand elle annonça :

– Allez… On y va… Tu viens ? Je t’attends pour faire couler.

Nous nous retrouvions face à face, son ventre contre le mien, me tenant par les épaules, son regard dans le mien.

– Tu te rends compte ?… Je n’ai pas compté, mais çà fait un bon moment que l’on ne s’est pas trouvé sous la douche à deux.

Puis, elle se tut, ferma les yeux avec un soupir et pencha la tête en arrière dans une attitude complètement relax. C’est alors que je sentis le chaud de son pipi sur mon sexe et mes jambes.

– Ouah !…Tu ne peux pas savoir comme c’est bon Jean-Mich’…murmura t’elle. Il y a des jours que j’avais envie de çà. Tu aimes toi aussi ?

Je la rassurais, goûtant au même plaisir érotique que ma petite pisseuse. Le flot durait….durait….puis s’arrêta ;

– Plus d’une heure que je le retenais celui-là. Pour rien au monde je ne l’aurais fait autrement. C’est pas chez ma mère que j’aurais pu faire cela.
– Tu m’as surpris, c’était d’autant meilleur.
– Ah, pardon… Je t’ai dit : Je t’attends pour faire couler.

Et elle partit de son rire de petite fille avant de s’informer :

– Et celle-là… Elle est comment ?

Et prenant ma queue à pleine main elle conclut :

– Avec une érection pareille, pas la peine de lui demander de pisser. Qu’est-ce qu’on fait ? On se caresse et tu jouis sur mon ventre ?
– Comment tu es toi ? Lui demandais-je en passant mes doigts dans sa fente… Ah dis donc, elle a l’air d’être prête pour le départ elle aussi.
– Oui, je reconnais qu’elle dit O.K. Mais c’est moi qui choisis.

Sortant de la cabine, elle s’installa en levrette sur le tapis de la salle de bain où je la rejoignis. Ses fesses contre mon ventre, mes mains attrapèrent ses petits seins et je commençais à les masser, puis je descendis sur le ventre et les cuisses. Je la sentais se tortiller. Je faisais durer le plaisir de l’attente quand elle assura :

– Pas la peine de frapper à la porte… Elle est déjà ouverte.

Et passant sa main entre ses jambes, elle m’attrapa et me mit d’office à l’entrée de sa petite chatte toute mouillée. Ses petits soupirs suivaient mes va et vient. Ils devinrent des petites plaintes, et j’espérais qu’elle s‘éclate rapidement, ma pression étant de plus en plus difficile à contenir. Elle le sentit et entre deux petits cris elle m’invita :

– Là… C’est bon… Viens.

Ce fut le signal pour tous les deux et je la sentis se crisper sous mes mains pendant que je m’épanchais en elle.

Puis, sous la douche, ce fut plus que le dos que nous nous sommes lavé, sans suite, la pression contenue toute la semaine était tombée.. Les frustrations commençaient à s’estomper.

—–0—–
La maison qui nous attendait était une fermette rénovée avec tout le confort… Il y avait même une ancienne petite grange où l’on pouvait mettre la voiture. Elle se situait en bordure d’un chemin qui allait vers les étangs de la baie de Somme avec mares aux canards et huttes de chasseurs.

– Idéal pour les petites ballades en soirée et les petits pipis…. avait observé Martine.

Grande découverte pour nous, dans la salle de bain, une baignoire sous une douchette.

– Au poil… déclara Martine… Ouah ! …Un bain bien chaud le soir… C’est super, et il y a de la place pour deux.

Je reconnaissais son sens pratique et ses intentions. Oui, c’est vrai c’est mieux que l’habituelle douche de l’appartement ou des hôtels où nous séjournons parfois.

Nous étions là depuis deux jours et déjà habitués au quotidien. Nous savions où était supermarché, poste, resto pour les dimanches, le passage du petit train touristique etc… La première grande sortie fut Cayeux sur mer où Martine voulait faire des photos. Elle eut aussi un autre désir : un pipi. Derrière les cabines, le long de la rue, il y a des toilettes. Cabine et urinoirs. Une dame prise du même besoin venait d’y entrer et notre surprise fut grande de la voir ressortir aussitôt.

– Tiens… Ca n’était vraiment pas un gros pipi…. en conclu Martine.

Et elle alla à son tour vers la cabine me laissant son sac fourre-tout en garde. Qu’elle ne fut pas ma surprise de la voir ressortir aussitôt elle aussi.

– Alors ?… Je te savais rapide mais à ce point là, je ne l’aurais pas cru.
– Jamais vu cela. A l’intérieur, il n’y a pas de verrou. Une fois installée, n’importe qui peut ouvrir la porte pour jouir du spectacle ou faire une photo. C’est ce qui a fait préférer à la dame de pisser dans sa culotte peut-être. Mais moi je te nomme gardien, tu as l’habitude, et tu veilles à ce que la porte reste fermée… et pas de photo. Tu me supportes bien dans la nature, tu peux bien veiller encore une fois ?

Je vérifiai qu’effectivement il n’y avait pas de verrou. Sans doutes pour des raisons de sécurité et je m’installai dos à cette porte en bon gardien pour satisfaire et rassurer ma petite pisseuse. Je ne perdis rien du bruit de la source, mais j’avais du mal à qualifier le bruit de la chute. Sortant de la cabine, Martine m’expliqua :

– Des toilettes à la turque. Accroupie ou debout, c’est plein les chaussures. Mais debout j’ai réussi à en mettre un max. dans le trou.

Ce qui expliquait les bruits désordonnés. Puis ce fut mon tour aux urinoirs mitoyens de la cabine.

– Je ne t’ai pas tenu la porte puisqu’il n’y en a pas, et comme il n’est venu personne…tiens… j’aurais pu t’accompagner ;
– C’est partie remise. Je retiens ton intention pour une autre fois…

Petits rires bien sûr.

—–0—–
Au début des vacances, Martine avait nettement déclaré ses intentions.

– Enfin… Deux semaines relaxes. Et comme c’est ma mauvaise saison pour le risque de cystite, je peux boire toute l’eau et tout le thé que je veux. Dans ce pays pas de problèmes pour vidanger dans la nature. Et puis j’ai toutes mes frustrations de chez ma mère à évacuer. Alors, çà risque d’être la fête Jean-Mich’.

Et elle tenait ses promesses.

Nous étions en touristes au Hourdelle. Le petit port de pêche se meurt enlisé dans la vase, mais il attire du monde avec les phoques qui ont investi la baie de la Somme. Une place de parking se libéra devant nous. Une vraie aubaine en cette saison touristique.

– Tiens…Regarde Martine… Juste à côté des toilettes en plus.
– Beurk… Avec l’odeur qui arrive jusqu’ici…Ca ne doit pas être triste.

Il s’agissait en effet d’un vieil édicule en plaques de ciment ajourées qui ne voyait de monde qu’aux vacances.

– Non… On va aller plutôt boire quelque chose, les toilettes seront plus accueillantes.

Donc, après le passage aux toilettes du bar, ce fut la visite du port et pas question de manquer les phoques. De temps à autres on apercevait une tête sortant de l’eau. Nous avions marché plusieurs centaines de mètres le long de la baie. Plus de touristes mais de superbes photos à faire avec un immense ciel et une immense baie. Ce fut moi le premier qui, profitant des lieux, tournant les dos aux touristes lointains, posa le sac photo pour un pipi. Je fus immédiatement stoppé.

– Eh ! …Attends moi !…Moi aussi !
– Mais tu viens de faire il n’y a pas quarante cinq minutes au Bar ?
– Et alors ? …. C’est le temps qu’il faut à une tasse de thé pour descendre. Ca te gêne ? Il y a un problème ? Tiens… On fait un concours. A celui qui ira le plus loin.

En disant cela, elle s’était mise côte à côte avec moi. Devant de la jupe levée, fond de culotte tiré d’une main, je vis ses doigts de l’autre main se placer avec soin en bonne place pour faire un exploit.

– A trois on y va… Un… deux… trois.

Et son jet partit à prés d’un mètre devant elle pour s’écraser dans le sable. Quant à moi, j’avais bien de la peine à faire à trente centimètres, ce genre de situations me donnait souvent un semblant d’érection.

– J’ai gagné ! …triompha t-elle.
– Pas gênée ! ….Tu sais bien ce que me font tes démonstrations.
– Pas ma faute si Mooosieur fait une érection quand Mooosieur voit une fille pisser. Ton gage sera l’entretien de ma foufounette ce soir.

Elle insista en me montrant le kleenex passé lentement, plusieurs fois sur sa fente qu’elle tenait toujours bien dégagée. Les touristes, un peu plus loin, ne se doutaient pas de ce qu’il venait de se passer. Quant aux phoques, ils s’en moquaient éperdument sans doutes. De retour à la voiture ce fut le coup de Contrex avant de rentrer.

Il y eut encore un pipi catastrophe, toute foufoune dehors, dans la grange quand j’ai eu garée la voiture. Une véritable trombe devant elle le long de la voiture.

– Ouah !…Dit-elle… Je ne sais pas si j’aurais eu le temps de rentrer et d’arriver aux toilettes.
– J’ai l’impression que tu pisses plus que tu bois ?
– Possible… Je n’ai sans doutes pas d’éponges à l’intérieur.

—–0—–
Par habitude, nous utilisions la douchette même si certains soirs nous nous trouvons à deux dans la baignoire. Mais ce soir là, Martine voulut innover.

– Tiens, j’ai envie de prendre un bain plutôt qu’une douche pour changer. On a bien marché, çà me reposera. J’y vais en suite je te laisse la place si çà te dit.

Et elle alla en chantonnant vers la salle de bain. Bientôt j’entendis le bruit de la baignoire qui se remplit. Puis tout à coup :

– Au fait Jean-Mich’, pourquoi n’irions nous pas à deux dans la baignoire ? On va bien à deux sous la douche ? Ce serait nouveau hein ?

Son idée me plaisait aussi. C’était la première fois que nous allions nous trouver dans une telle situation. En entrant dans la salle de bain, je la trouvais déjà toute nue. Elle me dit :

– J’ai dit plus de frustrations. On fait ce qu’il nous plait.

Cela dit, elle s ‘avança vers le lavabo, et debout devant, elle y appliqua le haut de ses cuisses.

– Tout à l’heure, tu as perdu au pipi en longueur. Je t’ai dit qu’en gage tu devrais t’occuper d’elle ce soir. Et bien c’est le moment… Fais lui faire son pipi d’avant le bain.

En disant cela elle avait attrapé mes mains et les avait collées au bas de son ventre. Maladroitement, comme elle me l’avait déjà expliqué, je mis une main de chaque côté de sa fente et je l’écartais un peu pour laisser libre les petites lèvres.

Elle ne disait plus rien mais le pipi attendu tardait. Il est vrai que, comme moi, ces situations lui donnaient d’autres envies et souvent le pipi calait. Je devinais qu’elle faisait tout ce qu’elle pouvait pour se décontracter, et le bonheur arriva enfin, abondant et généreux. Un peu désordonné, certes, mais je n’étais pas si habile qu’elle pour diriger la manœuvre.

– Merci Jean-Mich’. Qu’est-ce que je ferais sans toi ? dit-elle en riant. Tu deviens bon sur ce coup là !
Elle ferma le robinet et enjamba la baignoire.

– Super… C’est bon le chaud… Dit-elle en s’allongeant.

C’est alors qu’il me vint une idée.

– Comme cela dans l’eau, tu es une vraie naïade, la lumière, les reflets, c’est formidable. Tu m’avais promis des photos. Je te fais celle-là… tu me dois bien cela après le super pipi que je t’ai fait faire ?
– Bon…Soit. Mais pas la tête hein !

Je trouvai vite son petit « numérique » dans son sac et je fis la photo. Après avoir vérifié à l’écran, elle m’invita à la rejoindre et comme sous la douche, ce fut un savonnage mutuel. Avant de nous rincer pour nous débarrasser du bain moussant, ce fut encore elle qui prit l’initiative. Elle décida :

– Tiens, allonge-toi sur le dos.

Quand ce fut fait, elle s’allongea elle aussi le dos contre ma poitrine, en prenant bien soin de placer ma bite entre ses cuisses. Je passais mes mains sur sa poitrine et sur son ventre baignés d’eau parfumée. Elles les attrapa et les fit descendre plus bas. Je compris ce qu’elle souhaitait et je me mis à faire de lents va et vient sur sa fente, puis je trouvais le clitoris sous mes doigts.

Elle tressaillait et sa respiration devenait plus bruyante. J’étais prêt à la faire jouir ainsi, mais elle se ravisa :

– Je ne sais pas ce que cela va donner, mais on va essayer… dit-elle.

Se relevant, elle plaça ses genoux de chaque côté de mes hanches et réussit ainsi à faire que je la pénètre. Elle entama de lents mouvements, créant des vaguelettes à la surface de l’eau. Je sentais le plaisir monter en moi. J’espérais la même chose pour elle. Quand elle me souffla :

– Tu viens Jean-Mich’ ?

Elle accéléra et fondit quand elle sentit mon éjaculation l’envahir. Elle se redressa de sa situation acrobatique et se dégagea lentement de moi.

– Non seulement c’était nouveau, mais c’était bon hein…mon Jean-Mich’ ? J’avais une envie terrible qui montait de plus en plus à chaque pipi que je faisais. C’est pour cela que tout à l’heure au lavabo, j’ai failli caler.

Il fallut à nouveau quand même repasser un petit coup de douchette sur les bas-ventres, plus par principes que par obligation.

– Cà n’est pas chez ma mère que l’on pouvait s’offrir cela.

Puis l’eau témoin de notre plaisir partit à l’égout avec notre reconnaissance

Jean-Michel et Martine
janmich59@wanadoo.fr

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