Les pipis de Martine en vacances. (Chapitre 1 : Les frustrations) par Jean-Michel_et_Martine

Les pipis de Martine en vacances.
(Chapitre 1 : Les frustrations)
par Martine et Jean-Michel

Nous avions réussi à prendre ensemble trois semaines de vacances. Mais la médaille avait son revers. Pas question d’échapper aux quelques jours que réclamaient depuis longtemps la maman, la sœur et le neveu de Martine qui habitent prés de Chably. Il est vrai que nos séjours chez eux sont rares et brefs. Arrivés samedi soir, c’est retour dimanche soir pour être à l’agence lundi matin. Belle-maman avait déclaré sur un ton sans équivoque :

– Cette année, je vous attends au moins trois ou quatre jours.

Elle habitait la maison familiale que leur avait laissé son mari décédé. Elle l’occupait avec la sœur de Martine et le fils de celle-ci. Lors de nos rares séjours, on ouvrait le divan du rez-de-chaussée, et Marie-Jeanne, la grande sœur nous laissait sa chambre. Mais ils étaient tous heureux que nous soyons avec eux ne serait-ce que vingt-quatre heures.

Cette année donc, nous avions promis d’arriver dimanche pour les quitter jeudi soir, nous réservant le vendredi pour changer de valises et aller vers la location louée pour notre séjour en baie de Somme. Nous savions très bien que ces quelques jours ne seraient pas de tout repos. D’ailleurs, tout était programmé, pas de temps perdu, nous en étions avertis : visite aux cousins, aux amis, aux voisins, etc…et hélas, à chaque fois difficile d’échapper au déjeuner ou au dîner de circonstances. Bye….bye le régime diététique.

Mais nous n’avions pas pensé au plus dur

—–o—–
Dimanche après le déjeuner nous prenons la route. La météo nous y invitant, c’était pantalon de toile et chemisette pour moi. Jupette en jean et tee-shirt pour Martine. Direction porte de la Chapelle, périf, porte d’Orléans et autoroute. Nous connaissons bien la route l’un et l’autre. Cet itinéraire avait l’avantage d’être facile, rapide et de présenter des stations-service et des aires de repos si utiles pour une pisseuse comme Martine. Malgré tout, prévoyante, elle avait précisé avant de partir :

– Bon….On n’a rien oublié…ma bouteille vide et mon entonnoir sont dans le plastique dans le coffre comme d’hab’. En cas d’urgence….hop….ça dépanne !

Franchi Orly la circulation était fluide. Le rush des départs c’était pour la veille. Nous suivions un semi-remorque qui respectueux ou presque des consignes roulait à 90 km/h.

– Oui….Il est bien lui. Mais les gaz d’échappement dans la clim’ merci. Double le Jean-Mich’

C’était d’ailleurs mon intention. Je me suis déporté vers la gauche, le doublant sans me presser. Arrivé à la hauteur de sa cabine, il nous envoya un énorme coup de trompe qui nous fit sursauter.

– Mais il est dingue ce mec !…..tempêta Martine.
– Mais non…..Il applaudit le spectacle de tes belles jambes que tu lui offres.

En effet, Martine en minijupe bien calée sur le fond du siège passager, donnait à voir bien haut ses longues cuisses blanches.

– Ah, c’est ça ? Il ferait mieux de regarder devant lui au lieu de fantasmer.
– C’est vrai qu’elles ne sont pas mal… assurais-je en les caressant.
– Oh, oh !….Les mains sur le volant Jean-Mich’. C’est mieux pour conduire. Et en plus on risque d’attraper une « urgence » et ça n’est pas l’heure…..dit-elle avec un petit rire. Par contre si tu rencontres une aire de repos sympa ou une station-service pas trop encombrée, je sens que bientôt j’aurai un petit pipi.
– Station-service ou aire de repos ?
– Il y a souvent moins de monde sur une aire. Les stations doivent faire le plein à cette heure. Allez…..va pour l’aire de B……Et tiens….s’il n’y a pas trop de monde et si c’est possible…..je t’offre ce premier pipi de vacances.
– Ouais !….Mais après comment tu assumes les conséquences ?
– On verra. C’est vrai que sur une départementale il y a toujours un moyen pas bien loin. Ah, mon pauvre Jean-Mich’, c’est vrai que tu es toujours aussi émoustillé par mes pipis. En vacances on s’en donnera à cœur joie.

L’aire de B…..n’était qu’à quelques kilomètres. Il fallut chercher pour trouver une place de stationnement. Continuer pour une autre aire ou une autre station c’était trouver le même problème.
Côté « Femmes », vue la file pas question d’entrer à deux dans la cabine. Côté « Hommes » il restait constamment des urinoirs de libres, mais même en attendant un moment, il y avait peu de chance de se trouver seuls. Il restait les cabines libres, mais vu le va-et-vient, difficile aussi de ne pas se faire voir entrant et sortant.

– Bah !…..se consola Martine…..on aura encore bien d’autres occasions. Ca n’est que le premier jour de vacances. C’est une petite frustration sans importance… Allez…chacun pour soi Jean-Mich.

Et chacun partit faire sa vidange là où les bonnes manières le prescrivent.
J’attendais à quelques pas de la sortie. Elle râla en me rejoignant :

– Je ne sais pas comment font certaines. Elles en foutent partout. Pourtant debout par la jambe du slip, je n’en ai pas mis une goutte à côté
– Mais tout le monde n’a pas ton habileté. Dommage qu’elles ne puissent pas toutes bénéficier de tes conseils.
– Ne ris pas. J’ai éduqué quelques élèves dont j’ai tout lieu d’être fière. Par contre, il y avait la place pour deux. On aurait pu partager la même cuvette si les circonstances avaient été meilleures. Mais je t’ai dit….çà n’est qu’une petite frustration. Comme dit l’autre…..c’est l’intention qui compte. On va y revenir !……comme dirait P.P.D.A

Après cette consolation en forme de promesse, c’est reparti sur l’autoroute. Après un coup de Contrex…..évidemment….. pour préparer le prochain pipi.

—–o—–
La suite du voyage s’effectua dans la banalité et la voiture une fois dans la cour, le comité d’accueil était sur le pas de la porte. Il s’agissait d’une vieille bâtisse ayant appartenue jadis à une entreprise vinicole dont le père de Martine avait été propriétaire. Elle avait été remise en état et était occupée par la maman, la sœur et le neveu de Martine.
L’accueil était toujours chaleureux.

– Comment allez-vous ?….Et vous ?…..Oui merci…..Avez-vous fait bon voyage ?…..Ah, tant mieux….mais il fait chaud…..Mais entrez donc.

Martine sortit quelques cadeaux et nous avons reçu plein de remerciements.

Au début, notre vie en commun entre Martine et moi, n’était pas approuvée, mais les mois et les années passant, Martine était devenue la plus grande photographe de France et moi, sans doutes, un influent P.D.G. Martine gagnait tous les concours et moi… tous les marchés. Bref on nous recevait royalement. La grande sœur, Marie-Jeanne, dormait en bas dans le salon, et nous laissait sa chambre à l’étage.

Traditionnellement, belle-maman nous faisait visiter fièrement son jardin qu’elle cultivait encore malgré ses soixante-cinq ans. Nous retrouvions à chaque visite le tas de compost sur lequel Martine, imitant sa sœur qu’elle avait surprise, s’essaya au pipi debout par la jambe du slip. Elle avoue que les premières fois ne furent pas brillantes, mais ensuite, au fur et à mesure, avec la compréhension du fonctionnement de son anatomie, elle pouvait concourir avec n’importe quel adversaire masculin.

Après le dîner, ce fut l’heure de la salle de bain. En tant qu’invités nous avions la prérogative de l’utiliser les premiers. Nous avions une envie terrible l’un et l’autre d’y aller ensemble après l’épisode des toilettes de l’autoroute. Mais belle-maman, vieille école, n’aurait vraiment pas apprécié cela. Que l’on vive ensemble ce fut déjà dur. Alors ?…..Comment ?…..A deux tout nus ? …..Dans la salle de bain ?….. C’était vraiment contre ses principes. Ah !…si elle savait belle-maman qu’à l’appartement il se passe certaines choses dans la salle de bain ! Elle en serait malade. Comment ?…..Sa fille ?….Faisant son pipi debout devant son copain ? …..Et dans le lavabo en plus ? …..C’est juste bon pour aller en enfer ça !

Je rencontrais Martine dans le couloir :

– Tiens…..dit-elle….j’ai oublié de mettre cela dans mon sac sous le lavabo. Tu peux t’en charger ?
Et elle me mit son slip dans les mains après l’avoir passé volontairement sous mon nez. Il y avait là deux messages. Le premier : je n’ai plus rien sous ma robe de chambre, et le second : je l’ai bien imprégné de l’odeur de ma fente dont tu aurais dû profiter. Une nouvelle frustration pour l’un et l’autre.

Après un peu de télé, ce fut l’heure de rejoindre nos chambres. C’était presque une habitude pour nous à l’appartement le dernier pipi du soir était souvent fait en commun, ce qui évidemment présageait une suite…..en commun également. Mais pour ces quatre soirées passées ici, ce sera pipi chacun son tour et au lit.

Chacun retrouva donc sa chambre et Marie-Jeanne son divan au salon.

Certes, si les murs étaient épais et le plancher solide, le fait de nous retrouver dans une chambre entre celle de la maman et celle du neveu ne nous incitait pas à des ébats. De plus la boiserie du lit ne nous semblait pas très discrète. Nous nous parlions à l’oreille et à voix basse.

– Ca va être dur…..quatre jours sans salle de bain.
– Bah….On peut essayer sans faire de bruit.
– Tu crois ? Dans ce silence ? Et en plus ce lit qui craque et le vieux plancher ? Marie-Jeanne est juste en dessous. Et puis tu sais que quand je jouis, même en faisant attention, je ne suis pas toujours discrète. Comment tu es toi ?

Et en disant cela, elle avait attrapé ma bite déjà quasiment prête à la pénétrer.

– Attends….J’ai une idée.

Elle repoussa le drap, pris un kleenex sur la table de nuit et à genoux sur le lit elle entreprit de me faire de lents va et vient.

– Laisse-moi faire. Quand tu seras pour jouir fais signe, je mettrai le kleenex pour ne pas salir le drap.

Ce ne fut pas long pour elle arriver à ce qu’elle souhaitait. Elle sentit arriver mon éjaculation et le kleenex reçu plusieurs fois le fruit de son massage particulier.
Avec grand soin, en experte, elle récupéra bien les dernières gouttes attardées en pressant ma queue entre le pouce te l’index.

– Bon…..C’est mieux que rien. C’était bon quand même dit ?
– Tu m’a fais cela comme une championne. Viens….je vais te faire un cunni.
– Non….je ne saurai pas être silencieuse moi. Essaies avec tes doigts.

Elle prit le paquet de kleenex entre les dents et je glissais mes doigts entre ses cuisses pour sentir sa fente déjà bien humide. Je sentais à ses soubresauts que cela ne lui déplaisait pas. Elle avait pris la précaution de glisser sous ses fesses une serviette prise dans sa valise. Elle avait du mal à rester immobile, sans doute une fois de plus frustrée par la situation.

Soudain, ses cuisses se serrèrent et sa main bloqua la mienne quelques secondes. Puis elle ôta le paquet de kleenex de sa bouche pour dire tout bas :

– Heureusement que j’étais muselée, ou alors je me trahissais.

Habitués à faire ce que l’on voulait, il fallut pourtant les autres soirées, nous montrer aussi soucieux de notre image pour ne pas heurter belle-maman. D’autant plus que le neveu était peut-être aux aguets. Quant à Marie-Jeanne, elle devait bien se douter que nous n’étions pas des anges et peut-être, divorcée, nous enviait-elle.

—–o—–
Les journées passaient rapidement entre les visites chez les amis, les voisins, les courses, et la préparation des repas auxquels tout le monde traditionnellement participait.
Nous cherchions des créneaux de solitude pour nous éclater. Nous pensions nous échapper un après-midi pour une promenade « sexuelle », mais le neveu insista pour nous accompagner. Il fallait trouver autre chose. L’occasion arriva presque par hasard.

Le neveu était chez un copain. Marie-Jeanne pas encore rentrée de son travail et la maman était occupée à son repassage en bavardant avec nous.

Soudain elle demanda à Martine.

– Tu te souviens de l’abri à matériel…..Là où on remisait les machines et le tracteur ? On l’a remis en état et il sert d’abribus. Tu devrais le faire voir à Jean-Michel Martine. S’il aime les vieilles mécaniques…le tracteur y est toujours.

Un éclair à dû jaillir dans la tête de Martine qui comprit que l’occasion était unique.

– Oh oui ! …Viens voir Jean-Mich’. Tu as déjà vu un tracteur de vignoble ?

Cela dit, passant prés du tas de compost dont Martine m’avait déjà parlé plusieurs fois, on arrivait par un chemin à l’abribus et à l’annexe où restait entreposé du matériel d’exploitation sous un toit à demi crevé.

– Tu vois, à la période où je m’exerçais sur le tas de compost, tout cela servait encore et voilà ce qu’il en reste. Plus bon a rien.

Le lieu était retiré de tout et parfaitement tranquille. Je pris l’initiative de vidanger ma vessie dans un coin de la remise.

– Tiens…. ça c’est une bonne idée…. affirma Martine qui devait y penser depuis la proposition de sa mère…. et ici on ne risque pas d’être dérangés.

Sans avertissement, elle s’installa prés de moi, leva sa jupe et écarta l’entrejambe du slip. S’agissant sans aucun doute d’un pipi-provocation il tardait à venir.

– Ah ! …Et pourtant, après le verre d’eau de quatre heures, la tasse de thé de cinq heures et une heure trente sans pisser…. C’est pas vrai Martine…. s’excusa t-elle. Tu vois mon Jean-Mich’, tu me troubles encore. C’est plutôt bon signe non ? Tiens le voilà qui vient.

Elle faisait face au mur. Dès que le jet arriva, elle se tourna vers moi pour que je puisse mieux voir sa petite fontaine qui se mit à murmurer de bonheur. Je la félicitai pour la qualité de sa prestation, regrettant avec elle que ce pipi ne durait pas plus longtemps.

– Voilà…. Il était bien hein ? J’avais l’impression qu’il y avait une éternité que je n’avais pas fait comme cela. Quelle heure est-il ? Dix huit heures trente. On a le temps. Dis, Jean-Mich’…. T’as pas envie ? Ici on est peinards. Viens. Rentrons dans la remise.

Evidemment j’approuvais cette possibilité, moi non plus je ne voulais pas laisser passer cette occasion, bien meilleure que ce que l’on pouvait espérer pour le soir dans la chambre.

Les possibilités que nous offraient les lieux étaient peu nombreuses. Fort heureusement notre taille à tous les deux faisait que la chose dans de telles circonstances était relativement facile. Elle me tourna le dos. Je passais mes bras autour de sa taille, glissais ma main sous sa jupe puis dans son slip pour sentir sa petite touffe encore un peu humide de son pipi. Elle appuya les mains sur une vieille charrette écarta un peu les jambes et mes doigts se glissèrent dans sa fente. Je descendis le slip sur ses cuisses. Plus relaxe que dans la chambre évidemment, sa respiration devint plus rapide et plus bruyante. Puis ce furent comme des petites plaintes. J’introduisis un doigt et lui imprimai des petits mouvements de va et vient.

– Ah oui….. C’est bon comme çà ! Mais viens toi aussi.

J’espérais bien me joindre à son plaisir. Je ne me fis pas prier. J’ouvris rapidement la braguette de mon jean. J’étais prêt. Je baladais un peu le bout de ma queue dans sa fente ruisselante. Elle glissa une main entre ses jambes et me guida. Je n’eus aucune peine à la pénétrer. Je sentis aussitôt la douceur soyeuse de son vagin accueillant. Ses petits gémissements augmentèrent. Mes mains qui, tenaient ses hanches sentaient son corps se raidir de plus en plus.

Je ne sais pas combien cela dura mais en soufflant elle me dit :

– Oui c’est bon…. Là…. Maintenant. Toi aussi tu peux venir.

Je crois bien que même sans son invitation je me serais éclaté en elle sans aucune retenue. Son petit rire qui suivit quand elle a senti mon plaisir envahir son vagin se passe de commentaires. Trois jours d’abstinence étaient rattrapés.

Fort heureusement, je ne sors jamais sans kleenex dans la poche.

En rentrant à la maison elle s’écria :

– Oh là…. Ta braguette Jean-Mich…. elle est toute tachée ! On va dire que l’on s’est salis sur les machines et en se lavant les mains on passera un peu d’eau sur la tache. Pas grave. Ca part facilement.

Et ainsi ce mensonge fut accepté par belle-maman qui n’en aurait pas cru ses oreilles si elle avait connu la vraie cause de la salissure.

—–o—–
Le lendemain, jeudi, était le dernier jour de notre séjour. Il était prévu qu’après le déjeuner nous reprendrions la route pour rentrer. Marie-Jeanne avait pris un jour des repos pour être présente au départ. Belle-maman ne voulant pas que nous l’aidions pour le repas et Martine qui avait sans doutes une idée derrière la tête proposa :

– Tiens…. me dit-elle…Tu ne connais pas la forêt de Maligny ? On va y aller faire un tour et peut-être prendre quelques photos. Je me souviens qu’il y a des lumières super et çà n’est qu’à dix minutes de voiture.

– Ah oui…. s’écria Marie-Jeanne…. Je vous accompagne.

Je crus lire une déception sur le front de Martine. Mais comment dire non quand on est parfois si longtemps sans se voir ? Et c’est à trois dans la voiture que nous avons pris le départ.

Depuis une demi-heure nous marchions dans les chemins ombragés. Bavardant de tout et de rien. Martine photographiant les rayons du soleil filtrant au travers des feuillages. Marie-Jeanne nous parlant de son secrétariat. C’était la détente. Promenade relaxante au possible. Martine changea de chapitre en annonçant :

– Tiens…. J’ai envie de pipi. Ici ça n ‘est pas comme en ville. En forêt c’est vraiment quand on veut et comme on veut.

Cette remarque me fit sursauter. Elle avait dit : « Comme on veut » Malgré la présence de Marie-
Jeanne, allait-elle comme d’habitude, relaxe et négligemment, pisser debout ? Après tout, c’est d’elle qu’elle tenait sans doutes sa façon de faire depuis qu’elle l’avait surprise arrosant de cette façon le tas de compost du jardin. Compatissante, elle demanda :

– Et toi, Marie-Jeanne…. tu n’as pas envie ? Tu sais faut pas te gêner. Jean-Michel se retournera.

Evidemment je n’envisageais pas de garder mon regard sur la belle-sœur faisant une vidange.

– Non…. moi ça va. Ca peut attendre le retour à la maison.

Elle avait dit : « Ca peut attendre » C’est donc quand même…qu’elle avait une petite envie. Tant pis.
Restait la question : Comment ma Martine allait s’y prendre et allait-elle nous demander de nous retourner ? En ma présence seul, et en présence de sa sœur seule, elle n’avait pas de raison de le demander. Mais nous étions là tous les deux. Allait t-elle faire croire à Marie-Jeanne que moi habituellement je ne regardais pas ? Et surtout comment allait-elle s’y prendre. Ces questions trouvèrent bientôt leur réponse.

Elle fit quelques pas vers un muret qui longeait l’allée, puis nous tournant le dos, elle leva sa robe, descendit son slip sur ses genoux et fléchit les jambes comme assise sur une cuvette. Un réflexe me fit sortir le petit « numérique » de ma poche et faisant signe « silence » à Marie-Jeanne, j’immortalisais cet instant. A peine en position, le pipi survint, tranquille, comme si ma petite pisseuse était sans témoin. Marie-Jeanne parue quand même un peu surprise de l’aisance et du manque de gène de sa « petite sœur ». Ah ! …si elle pouvait deviner comment cela se passe d’habitude en ma seule présence ! Elle se mit à rire en me voyant faire la photo. Martine ne me demanda pas si j’avais un kleenex et ce fut le slip qui, sans doutes, eut la mission de récupérer les dernières gouttes.

Relevée et alertée par le rire de sa sœur, elle demanda :

– Pourquoi tu ris ? Il a fait une connerie je le sais. J’ai vu l’éclair. Montre-moi cet appareil.

Je le lui tendis et elle amena le cliché à l’écran. Elle pouvait l’effacer, elle ne le fit pas.

– Tu vois Marie-Jeanne…. un vrai gosse ! On ne peut même pas lui confier un appareil photo sans qu’il en fasse des bêtises.
– Tu te vois rarement sous cet angle là…. c’était l’occasion de te rendre service, je croyais te faire plaisir.
– Eh ben oui hein….allons donc…. évidemment !….dit-elle sur un ton ironique.
De retour à la maison, il ne fut plus question de ce cliché devant sa mère.

—–o—–
Le retour à l’appartement ce jeudi soir fut sans problème. Juste, évidemment, un arrêt pipi sans histoire dans une station service où je devais aussi faire le plein de la voiture.

Nous avions une journée pour changer les valises avant notre départ pour de vraies vacances en baie de Somme où Martine se promettait de se lâcher quand, où, et comment elle le voudrait et sans contraintes.

– Plus de frustrations…. assura t-elle. Mais tiens…. en parlant de frustration. C’est parce que tu n’as pas vu pisser ma frangine que tu t’es vengé en photographiant mes fesses ?

Son éclat de rire me dispensa de répondre. En fait elle connaissait ma réponse et mes bonnes manières.

(A suivre en baie de Somme)

Jean-Michel et Martine

Janmich59@wanadoo.fr

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *