Les libertins du Cantal 3 – Le facteur, la crémière et les autres par Enzo_Cagliari

Les libertins du Cantal
3 – Le facteur, la crémière et les autres
par Enzo_Cagliari

Malgré cette folle journée, je me suis levé de bonne heure le lendemain matin… et avec la trique. Je descends à la cuisine en pyjama. Florence est en robe de chambre. Me voyant arrivé elle ouvre sa robe de chambre, du coup on s’embrasse et je lui pelote les seins pendant qu’elle me tripote la bite. Quelques instants plus tard, la voilà qui se met à me sucer… Voilà une journée qui s’annonce bien… Mais on sonne, elle se relève précipitamment, se réajuste…

– C’est le facteur ! Passe derrière la porte de l’escalier, ne la ferme pas à fond, comme ça, s’il y a du spectacle tu pourras en profiter…

Je ne cherche pas à comprendre, effectivement placé comme je suis, j’ai une vue très partielle sur l’évier de la cuisine, et j’entends entrer le facteur, probablement un antillais vu l’accent.

– Bonjour Madame Florence, c’est un paquet pour vous !
– Merci, vous voulez une signature ?
– Non, pas la peine, vous êtes toute seule, Madame Florence ?
– Et oui, mon mari est déjà parti et mes locataires sont en train de ronfler… Mais pourquoi me demandez-vous ça, petit coquin ?
– D’après vous ?
– Non je ne vois pas ! Plaisante-t-elle.
– Je peux ouvrir votre robe de chambre ?

Je n’entends pas la réponse, elle a dû approuver d’un geste de la tête, mais il est en train de la peloter…

– Doucement, doucement avec mes seins, ce n’est pas de la pâte à modeler… Attends, attends, arrête de t’agiter, je vais m’occuper de ta bite… et puis viens par ici, là on est en plein courant d’air.

Elle l’emmène jusque devant l’évier en plein dans mon champ de vision. C’est bien un antillais. Florence lui sort sa queue, un chibre impressionnant qu’elle est incapable de mettre entièrement dans sa bouche. Elle lui suçote le gland, lui lèche les couilles. Hummm, ça me fait bander tout ça, dommage qu’il ne soit probablement pas bi, le facteur, je l’aurais bien sucé à mon tour.

– Allez viens me prendre ? T’as une capote ?

Elle retire carrément sa robe de chambre et se met en levrette en bas de l’évier. L’autre se pointe.

– Non laisse mon cul tranquille, tu es trop gros.
– Je te donnerais un peu plus !
– Ce n’est pas une question d’argent, aujourd’hui je ne veux pas. Allez viens me baiser.

Je n’en reviens pas, elle se prostitue avec le facteur ? Et pourquoi ne m’a-t-elle pas demandé de l’argent à moi ? Bizarre tout ça ! Le facteur s’agite comme un forcené pendant une dizaine de minutes et finit par jouir en silence.

– Hummm, tu m’as bien baisé, le facteur !
– C’était bien, hein madame ?
– Très bien, n’oublie pas mon petit cadeau !
– Voilà Madame Florence.
– Merci, et surtout sois discret, je compte sur toi.
– Pas de soucis, Madame Florence, au revoir Madame Florence.

Je sors de ma cachette.

– Alors t’a bien maté ?
– J’ai surtout entendu et j’ai un peu vu aussi… il a une belle bite !
– Tu aurais bien aimé la sucer, hein petit cochon ?
– J’avoue !
– Pas de bol, il n’est pas bi !
– Dommage !
– Et regardez-moi, ça ! Rien que d’en parler, ça te fait bander… me dit-elle en me mettant la main là où il faut.

Mais à mon grand regret elle retire sa main, et s’éloigne.

– Bon, on va se boire un café, on verra le reste après…

C’est comme elle veut. Elle sert le petit déjeuner et s’assied en face de moi

– Faut peut-être que je t’explique deux, trois trucs… commence-t-elle. René et moi avons toujours été libertins. On habitait Lyon, on avait tout ce qu’on voulait sur place, les amis, les clubs… et puis les parents de René sont morts accidentellement, il a voulu reprendre la ferme, ça a toujours été son rêve. On a été bien accepté par les gens d’ici, mais côté libertinage, c’est pas tellement le genre du coin. Ici les gens sont hypocrites, on ne peut pas se dévoiler, on continue à voir quelques amis, pas beaucoup… et de temps en temps on va faire un tour à Aurillac ou à Clermont, mais ici on s’est efforcé d’être discret.

Elle fait une pause, se prépare une tartine.

– Le facteur, j’ai fait une bêtise, reprend-elle, j’ai fantasmé sur lui et quand il m’a fait des avances, j’ai craqué. Je l’ai regretté ensuite, il y a des hommes qui ne peuvent s’empêcher de parler de leurs conquêtes aux copains, qui les racontent aux autres qui les racontent à leur femme… et c’est comme ça qu’on se fait une réputation. Je lui ai donc dit que j’avais eu un coup de folie mais qu’il n’était pas question de recommencer… J’ai cru l’affaire terminée, mais il est revenu ensuite à la charge : « Juste encore une fois, on prend son temps, on fait ça bien et après on n’en parle plus… » J’ai dit non, mais c’est vrai que quelque part j’en avais envie… il fallait que je trouve quelque chose pour stopper ces avances. Alors j’ai eu l’idée de lui dire que j’étais une ancienne prostituée, que je conservais quelques clients et que je n’avais pas l’intention d’en avoir d’autres… mais que pour lui je pouvais faire une exception. Ça changeait complètement la donne et j’ai cru qu’il laisserait tomber… Et bien pas du tout, il m’a répondu qu’il était d’accord pour me payer. J’ai accepté, en me disant que vu les nouvelles conditions, le risque qu’il en parle à tout le monde devenait moindre… payer pour faire l’amour n’est pas un acte dont on se vante quand on est macho.
– Et pourtant avec moi…
– Mais ça n’a rien à voir… il n’y a peu de risque, je ne vois quand même pas un locataire aller raconter dans tout le patelin qu’il s’est envoyé sa logeuse…
– Et Claudine ?
– C’était un matin en hiver, elle m’avait commandé un lapin, et elle est descendue le chercher à pied. Elle était frigorifiée, je lui ai préparé une boisson chaude, mais elle avait des frissons, je lui ai proposé sans aucune arrière-pensée de lui frictionner le dos. Elle m’a alors complimenté sur la douceur de mes mains, je lui ai expliqué que j’adorais masser, les hommes, les femmes. La conversation a dévié, les gestes aussi, et dix minutes après on se broutait la chatte… Depuis on se connait mieux, on se voit de temps en temps, elle aime bien les jeux de domination, elle m’a un peu initié…

Puis sans finir sa phrase, elle ouvre sa robe de chambre.

– Il fait chaud non ?
– C’est vrai !
– Alors viens que je te suce, ça va me rafraîchir !

Je me lève, m’approche d’elle et lui caresse de nouveau les nichons.

– Bon tu me le quitte ce pyjama, tu vas crever de chaud !

Je m’exécute.

– Ça ne bande plus beaucoup, tout ça… Ne bouge pas, on va arranger ça !

Elle se lève, passe derrière moi et m’attrape les piercings de mes pointes de seins. L’effet est immédiat, me revoilà en train de bander comme un mulet. Je pense alors qu’elle va s’occuper de mon sexe, mais sa main, ou plutôt son doigt se dirige vers mon petit trou et le pénètre sans autre forme de procès.

– Alors tu aimes te faire enculer, maintenant, hein ?
– Oui, j’avoue !
– Tu aimes ce que je te fais avec le doigt ?
– Oui, continue…

Un raclement de gorge. C’est Dominique qui se pointe…

– Bonjour tout le monde ! Alors on commence la journée sur les chapeaux de roues ?
– Tu ne crois pas si bien dire, le facteur m’a fait une petite visite tout à l’heure, mais approche-toi donc, j’ai deux mains, je peux m’occuper de toi en même temps.

Elle baisse le pantalon de pyjama de Dominique, dégageant ainsi ses ravissantes petites fesses, puis nous doigte en même temps, puis se baisse pour nous sucer. Pendant ce temps Dominique me caresse… ça me fait drôle de me faire caresser par un mec, d’autant que ce matin non seulement il n’est pas travesti, mais il n’est pas rasé… J’accepte quand même son baiser, j’ai du savoir-vivre.

La sonnette.

Florence jette un coup d’œil.

– Super, restez à poil et continuez ce que vous faisiez…

Je m’apprête à protester mais Dominique me rassure.

– Faisons comme elle a dit, ne t’inquiètes pas.

Et voilà Claudine qui fait son apparition.

– Salut les petits pédés ! Quel joli spectacle ! Justement Florence, je venais t’acheter un lapin et en profiter pour te demander si je ne pouvais embarquer tes neveux pour quelques heures, j’ai envie de m’amuser.
– Si tu veux, mais j’ai quoi en échange ?
– Moi !
– Ça marche ! Alors les gars, ça vous dit de passer un bon moment avec Claudine… Dominique y a déjà eu droit, mais Thibault, si tu y vas, attends-toi à ce qu’elle te fasse des petites misères… Oh, rien de bien méchant, ce n’est pas une tortionnaire tout de même.
– Viens, tu ne regretteras pas ! Insiste Dominique.

Je donne mon accord, et on se donne rendez-vous trois quart d’heures plus tard pour le départ, le temps pour moi et mon complice de déjeuner, et de prendre une douche… et le temps pour ses dames de prendre du bon temps entre-elles… Et d’ailleurs elles ont commencé devant nos yeux en se roulant un patin d’enfer… avant de se diriger vers la chambre de laquelle nous n’avons pas tardé à entendre le bruit de leur jouissance

Une heure plus tard, Claudine, nous conduisait chez elle.

– Je me suis bien avancée, je n’ouvrirais la boutique que vers 16 heures, d’ici là on va pouvoir s’amuser, vous allez revenir avec des culs tous rouges, les mecs !

Surprise ! Claudine n’est pas seule chez elle, elle nous présente une grande brune à lunettes d’une quarantaine d’année :

– C’est Nathalie, ma grande sœur, elle vient de divorcer, et je lui fais un peu rattraper le temps perdu… Comment trouves-tu mes petits esclaves ma sœurette ?
– Humm… ils sont mignons, j’ai hâte de voir ce que tu vas leur faire.
– Tu ne vas pas être déçu ! Et l’autre dans sa cage, il a été sage, il n’a pas fait de saleté ?
– Non, il dort !

De qui parle-t-elle ? D’un chien ? D’un autre « esclave » ?

– Libère le et ramène le ici, on va l’exciter. Ou plutôt, non, on va tous aller le rejoindre. Allez, on descend !

Claudine a aménagé une pièce de son sous-sol avec une croix de Saint-André, un chevalet, des poulies, des cordes, et des planchettes garnies de divers instruments de flagellation et autres… Mais il y a aussi un pilori… et dans ce pilori ressortent le visage et les mains du… père Michel. Que fait-il ici, celui-ci ?

Nathalie libère le prisonnier, il n’est pas complètement nu, non ces dames l’ont affublé de bas auto fixant qui le rende assez ridicule.

– Oui, il vient une fois par semaine, et il me fait le ménage en grand, je le paie avec une petite séance de domination et il emporte quelques fromages et d’autres bricoles. C’est un échange de bons procédés… et il est tout content le père Michel, n’est-ce pas père Michel ?
– Oui, bien sûr Madame Claudine ! Approuve ce dernier.
– Tu as vu les deux mignons petits pédés que j’ai trouvés, tu les connais je crois ?
– Oui !
– Alors raconte, ma sœurette elle n’est pas au courant :
– Ben, Thibault a sucé Dominique devant moi, et après il s’est fait bien enculer. Après c’est Thibaut qui m’a enculé.
– Et après ?
– Après je me suis bien branlé en repensant à tout ça !
– Quels cochons ! Constate Nathalie.
– Tu vas voir, ils vont faire tout ça devant nous… lui confia Claudine.

Claudine nous demande de nous déshabiller, puis se tourne vers sa sœur.

– Nathalie tu vas me dire celui des deux qui a la plus belle bite, le perdant aura droit à vingt coups de martinets et le gagnant celui de te sucer le cul !
– Et tu crois que je vais être d’accord pour me faire sucer le cul ? Répond Nathalie faussement choquée.
– Ben si tu ne veux pas qu’il te suce le cul, on va dire qu’il gagnera un fromage !

Les deux nanas rigolent comme des bossues.

– Alors ?
– C’est lui ! Répond Nathalie désignant Dominique qui fait son fier.

Les deux nanas m’attachent sur la croix, et elles s’amusent à me fouetter alternativement, c’est un peu fort quand même, je supporte, mais il ne m’en aurait pas fallu dix de plus.

Nathalie enlève alors le bas afin d’offrir son cul à Dominique. Le bougre se régale plusieurs minutes, puis on me délivre.

– Bon deuxième concours, dit-moi maintenant celui qui a le plus beau cul ! Reprend Claudine.
– La punition reste la même ?
– Oui, par contre pour la récompense, qu’est-ce que tu pourrais lui offrir ?
– Je sais pas, moi, mes nichons par exemple !
– Non, ce sont des esclaves, les esclaves, ça ne lèchent pas les nichons de leur maîtresse… mais tu n’aurais pas une petite envie de pipi ?
– Oh, ben si !
– Et bien voilà le vainqueur gagnera ton pipi ! Alors c’est qui le vainqueur ?

Pourvu que ce soit moi, je n’ai vraiment pas envie de me retaper vingt coups sur les fesses !

– Ça aurait dû être lui, dit Nathalie en me désignant, mais maintenant qu’il a le cul tout rouge, c’est difficile de départager.
– Tu as raison, on va fouetter Dominique, comme ça leurs culs seront tous les deux dans le même état.
– Mais pour quel raison ? Il n’a pas perdu !
– Parce que j’ai envie que ça se passe comme ça, après tout, une maîtresse n’a pas besoin de se justifier.

Elles attachent Dominique, le fouette en s’échangeant des plaisanteries qui ne font rires qu’elles.

– Et vingt ! On ne le détache que s’il a gagné, sinon ce n’est pas la peine. Annonce Claudine.
– Il n’a pas gagné, les plus belles fesses, c’est lui.

Ah, mais !

Les nanas ne sont pas méchantes, la deuxième série de martinet sur le cul de Dominique est beaucoup moins forte.

– Je fais comment pour le pipi ?
– Ben Thibault va se coucher par terre, tu l’enjambes et tu lui pisses dessus, vise bien sa bouche, il doit avoir soif !
– Il va boire mon pipi !
– Je crois bien, oui ! Les esclaves adorent boire la pisse de leur maîtresse.

Je me positionne, Nathalie aussi…

– Accroupis-toi se sera plus pratique.

Me voilà donc réduit à l’état de chiottes à la turque… mais il a bon goût son pipi.

– Je peux faire caca, aussi ? Demande Nathalie.
– Oh, oui, Oh oui ! Répond Claudine.

J’aurais pu protester, mais parfois les circonstances et l’excitation qui avec font que… bref, je n’ai pas protesté.

La salope chie un long boudin qui m’atterrit sur le torse. Drôle d’impression ! Je cherche à me débarrasser de tout cela mais les deux femmes m’en empêchent.

– Il faut que tu lui nettoies l’anus, maintenant me dit Claudine.

Ça ne coute rien d’essayer et ma langue sert donc de papier à cul a cette jeune débauchée. Et pendant ce temps-là la Claudine ne trouve rien de mieux à faire que de m’étaler le caca un peu partout, j’ai l’air intelligent comme ça !

A l’autre bout de la salle, le père Michel bande comme un bienheureux.

– Dis donc, toi la vielle salope, quelqu’un t’a autorisé à bander ?
– Euh, non !
– Détache Dominique, on va t’attacher à sa place.

Le pauvre vieux reçu à son tour une volée de martinet.

Claudine s’harnacha ensuite d’un gode-ceinture, puis après l’avoir détaché, demanda au sexagénaire de s’arcbouter sur une table. Elle l’encula avec l’objet pendant quelques minutes avant de refiler son instrument à sa sœur !

– Tu as vu comment il faut faire, à toi de jouer.

Nathalie, à ce jeu se montra assez douée, elle pilonna le père Michel pendant de nombreuses minutes. Ce dernier poussait des petits cris bizarres et s’écroula à moitié quand l’exercice fut terminé.

– Bon, maintenant, disparaît, il reste du ménage à faire en haut ! Lui ordonna Claudine.

Les deux femmes revinrent vers nous :

– Alors les garçons, on a le cul qui chauffe ! Bon dis-moi Nathalie, qu’est-ce que tu voudrais qu’on leur fasse maintenant ?
– Ben j’aimerais bien voir ce qu’ils se font entre eux.
– Bon, vous avez compris les gars, faites-nous un petit spectacle, mais attention : défense de jouir !

O.K. on y va et comme je préfère sucer qu’être sucé, je me mets à genoux devant mon partenaire et lui gobe la bite, ça a beau faire je ne sais combien de fois que je le suce, le plaisir est toujours le même. Je fais en sorte de l’exciter au maximum, afin qu’il soit bien raide pour la suite annoncée. Quand je sens qu’il est à point, je lâche son sexe et me positionne en levrette. Dominique demande une capote se l’enfile, puis m’encule sans difficulté. Il faudra que je compte le nombre de sodomie que j’ai subie depuis que je suis arrivé… Quand on aime on ne sait plus compter.

– Stop ! Dira Claudine après quelques minutes.

Dommage, c’était bien, par contre je ne suis pas encore bien habitué à l’après sodo, ces instants où on a le trou béant et où on se demande un peu ce qu’il se passe.

Les deux femmes nous demandent de les suivre. On se retrouve dans la chambre. Là elles se mettent à poil, et je peux enfin admirer leurs charmes, leurs jolis seins pyriformes, leurs petits culs et leur zézette assez poilues.

– Allez, je t’offre Dominique ! Lui dit Claudine.

J’ai compris, c’est donc le final, en double couple. La crémière me suce, elle fait ce qu’elle peut mais elle a des progrès à faire. Je suis soulagé quand elle écarte les jambes, le temps de mettre la capote et on y va, je la besogne pendant que Dominique fait de même avec Nathalie. Claudine au bout d’un moment me demande de changer de trou. Dominique aura-t-il aussi ce privilège ? Non, on, ne peut pas tout avoir !

Claudine gueule, je décharge un peu après, à côté c’est un peu plus laborieux, ce qui fait que la crémière rampe vers sa sœur et lui suçotent les tétons pour l’aider à prendre son pied. Miracle, ça marche !

On s’est fait une petite douche, à cinq avec le père Michel, puis Claudine nous a ramené chez Florence et René

Belle matinée, mais qu’est-ce que j’ai mal au cul !

A midi, je me suis fait une omelette, tout seul comme un grand, Dominique était parti en ville chercher je ne sais quoi ! Florence qui avait déjà déjeuné passe en coup de vent :

– Bertrand m’a signalé qu’ils ont pété une ampoule électrique, tu veux bien t’en occuper ? Je suis débordée.

Je voulais faire une sieste, tant pis, ce sera pour plus tard.

Je vais d’abord voir quel est le type d’ampoule. Bertrand est carrément à poil, Sophie est en maillot de bain. On se dit bonjour et Sophie me roule carrément un patin baveux. Je monte sur un tabouret afin de dévisser l’ampoule usagée. Puis je vais pour descendre :

– Humm, reste là-haut, je vais vérifier un truc.

Elle me met la main sur la braguette :

– Tu vois c’est juste la bonne hauteur. Tu veux jouer ?

Je réponds d’un sourire entendu, tandis qu’elle appuie sa caresse. Je bande comme un cerf. Je décide néanmoins de changer l’ampoule de suite.

– Je reviens tout de suite !
– J’espère bien, on t’attend de pied ferme !

Cinq minutes plus tard, j’étais de retour. Je remonte sur le tabouret, je change l’ampoule. On fait un essai.

– Reste là-haut !

En disant cela, Sophie a descendu mon bermuda et me branle la bite. J’ai beau être fatigué, je me laisse faire bien volontiers, d’autant qu’une fois la chose ayant atteinte sa taille optimale, elle se la fourre sans la bouche, la gobe, la suce, la lèche ! Je craque.

Bertrand ne loupe rien du spectacle et se branle frénétiquement.

– Tu veux venir à ma place ? lui demande Sophie.

Bien sûr que le voilà qui arrive, à son tour il me prodigue quelques bons moments de fellation. Il est doué, il a encore du progrès à accomplir, mais pour un mec qui n’avait jamais fait ce genre de choses avant la veille, il ne faut pas se plaindre.

Je profite d’un répit de mon fellateur pour descendre de mon perchoir.

– Rien ne vaut la terre ferme ! Commentais-je.
– Tu veux rester t’amuser un peu avec nous ? Demande Sophie, en retirant son haut de maillot.

J’acceptais, bien évidemment.

– On a un jeu ! Reprend-elle, pile c’est moi qui commande, face c’est Bertrand ! Et au bout d’une demi-heure on change ! Ça te va ?
– Ce n’est jamais moi qui commande alors ?
– Ben non !
– D’accord on y va !

Elle lance une pièce, c’est Bertrand qui a gagné. Sophie sans rien dire se met à genoux. Leur jeu doit être super rodé !

– Ça te dirait de lui pisser dessus ? me demande Bertrand ? Elle adore ça, cette catin !
– Pourquoi pas, j’ai justement une petite envie.

Sophie est devant moi, la bouche ouverte, elle vient de retirer son bas de maillot et attend. J’essaie de mon concentrer, mais ce n’est pas facile de pisser quand on a la bite en érection. D’autant que Bertrand croit intelligent de passer derrière moi afin de m’introduire un doigt dans mon fondement.

– Elle aime, ça… et bien justement on va la faire attendre, tu aimes mon doigt ?
– Bien sûr, tu peux continuer !

Il m’en met un deuxième, j’adore ça ! Je vais pour lui proposer de m’enculer, mais à quoi bon, l’acte viendra dans la logique des choses, et puis on joue, et le jeu c’est Bertrand qui commande pendant une demi-heure, alors je me tais, je me laisse dominer.

– Allez suce moi bien, et quand elle sera bien raide je vais te la foutre dans le cul !

Qu’est-ce que je vous disais !

Je le suce donc, et me régale de cette fellation, sa bite n’a pas été lavé depuis le matin, elle sent un peu la pisse, mais ça ne me dérange pas, je la suce, je la lèche, je la tète, c’est trop bon !

– T’aimes ça, sucer des bites, hein ma salope ?
– J’adore !
– Ma femme aussi elle adore ça, une fois on avait été dans un club échangiste à Paris, ce n’était pas terrible, ma femme se faisait draguer sans arrêt, ce que je n’avais pas vu, c’est que cette coquine avait donné rendez-vous à trois types à notre hôtel, ils nous ont rejoint, et moi je me demandais ce qu’ils venaient foutre ici. Sophie m’a demandé de me laisser faire. Alors on m’a attaché sur une chaise et on m’a mis un écriteau au cou marqué « cocu ». Elle a sucé à fond les trois mecs, pas les uns après les autres, mais un peu l’un, un peu l’autre, ils avaient des bites superbes, je fantasmais vraiment dessus, mais apparemment ces mecs n’étaient pas bi du tout. Elle a fait durer l’affaire presque une heure, et à la fin les a fait jouir dans sa bouche. Puis elle leur a demandé de nous laisser. Après on a baisé tous les deux, ce fut rapide mais très intense. Bon allez tourne-toi, je vais te baiser le cul !

Je me mets en levrette, j’ouvre mon cul, et j’accueille sans difficulté la bite de Bertrand. Et hop, le voilà qui m’encule en cadence ! Quand je pense qu’il n’y a même pas une semaine, j’étais vierge du cul ! Il m’encule bien, mais il ne se contrôle pas, je le sens s’exciter et le voilà qui se met à jouir dans la capote, il reste quelques instants comme groggy avant de déculer.

J’ai légèrement débandé (effet du frottement de sa bite sur ma prostate ?). Sophie s’en aperçoit et ouvre une large bouche, en voilà une qui ne perd pas le nord ! Quelques instants de concentration, et allez hop, je lui pisse dessus sans me contrôler, elle en avale une partie, le reste dégouline sur son visage, son cou, ses seins son ventre ses cuisses… et sur le carrelage !

– Tu as encore droit à un petit quart d’heure ! Dit-elle à Bertrand.
– Je t’en fais cadeau, je suis « out »
– On continue à jouer ou pas !
– Laisse passer 10 minutes et vas-y, mais là je souffle un peu.

C’est assez surréaliste, nous voilà tous les trois assis au bord du lit, on est à poil et on discute de choses et d’autres. En fait ils vont partir en randonnée le lendemain et me demande si je connais des circuits. Ben pas vraiment, je suis nouveau dans la région… Mais j’ai quand même l’idée de leur parler du père Michel (en revanche par discrétion je ne parle pas de Claudine, la fromagère perverse). La suggestion a l’air de les amuser.

Mais voilà que les dix minutes sont déjà passées et la douce main de Sophie me masturbe bien efficacement.

– Toi le PD, tu restes à genoux un peu plus loin pendant que ce beau jeune homme va me baiser ! Et te plains pas, je te donne la permission de regarder, tu vas pouvoir t’en mettre plein la vue, hein cocu !

Mon portable sonne, c’est ma mère :

– Allo, Thibault, alors tu ne m’appelle pas ?
– Mon portable est tombé, je n’arrive plus à appeler, mentis-je
– Est-ce que ça se passe bien ? Est-ce que c’est joli comme coin
– Oui, oui, la vue est magnifique ! Là en ce moment je vois de belles collines.

Fin

Note de l’auteur : j’aurais pu continuer mais le risque était de faire de la répétition, ce troisième épisode sera donc en principe, le dernier…

Avril 2010

(c)Enzo Cagliari

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5 réponses à Les libertins du Cantal 3 – Le facteur, la crémière et les autres par Enzo_Cagliari

  1. Orsini dit :

    Je remercie mon voisin
    (Qui se reconnaitra)
    Qui m’a conseillé de lire, ce matin
    Cette histoire digne du kamasoutra
    Venu me trouver
    Pour recueillir mes appréciations
    J’ai compris qu’il en avait après mon fion
    Je le lui ai confié volontiers
    Je lui devais bien ça !

  2. Rouleau dit :

    Cette excellente série en 3 épisode se termine en feu d’artifice

  3. Verdier dit :

    Le beurre, l’argent du beurre et le cul de la crémière… en fait non par l’argent du beurre !

  4. Germain Palinski dit :

    Un régal, j’adore ces personnes qui font du sexe avec une décontraction et un naturel qui fait plaisir à lire

  5. Baruchel dit :

    L’auteur a eu parfaitement raison de s’arrter là et je partage sa conclusion
    Quand à cette épisode il est fabuleux… et en plus il y a une crémière… 😉

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