Les délices d’un abandon total par Daniel952

 

Les délices d’un abandon total
par Daniel952

– Carole ! Carole !!!

Elle se retourna et vit Julie qui l’appelait si fort par crainte de ne plus avoir la chance de la revoir.

– Oh Julie, mais c’est toi ?…

Elles tombèrent dans les bras l’une de l’autre, tellement heureuses de se retrouver.

– Ça fait combien, trois mois au moins non ?
– Oh oui une éternité, comme je suis contente de te revoir. Tu es toujours aussi resplendissante, recule toi que je t’admire.

Carole est un petit bout de femme tellement mignonne, brune aux cheveux mi long, très fine avec des hanches splendides, une petite poitrine délicieuse, des yeux marrons en amande très perçants et malicieux décorent un visage ovale très doux, son petit nez attire le regard par sa finesse, sa bouche ornée de lèvres gourmandes s’entrouvrait former un sourire si tendre.

– Que tu es belle ma Carole. Vient avec moi, tu sais que je n’habite pas si loin…
– Julie tu es toujours aussi belle, bien sûr que je viens, surtout que Karl est parti pour tout le weekend voir ses parents.
– Non c’est vrai ? Une coïncidence formidable, Damien ne revient que demain. Dis, tu crois qu’ils sont partis ensemble faire la fête ?
– Oh tu sais ils en seraient bien capables nos deux coquins…

Elles éclatèrent de rire en s’éloignant bras dessus, bras dessous.
De temps à autre, à la faveur d’une pente ou d’un accident de terrain, leurs corps se pressaient l’un contre l’autre comme pour bien marquer une intimité retrouvée.

Toutes deux habillées très courtes ne laissaient pas les passants indifférents. Julie, un peu plus grande que Carole, avec ses cheveux longs d’une blondeur presque surnaturelle, son petit minois si doux d’où éclataient deux yeux bleus dans lesquels on aurait pu se voir, sa poitrine petite mais si attirante sous son chemisier légèrement déboutonné aurait fait acquitté n’importe quel obsédé…

De dos, nos deux belles dandinaient naturellement des hanches. La transparence de leur jupe laissait entre voir leurs petites fesses qui dansaient au rythme de leur pas. C’était un délicieux spectacle d’une beauté sans égale.

– Viens ma Carole, entre dans notre petit nid. Tu veux boire quelque chose ?

Mais Julie n’eut pas le temps de finir sa phrase. La porte à peine fermée, Carole l’avait enlacée et la serrait fort, si fort…

– Comme je suis heureuse ma chérie, oh comme tu me manquais. Embrasse-moi, maintenant !

Ce baiser fût long, si long, tendre si tendre mais fougueux à la fois, comme si le temps de leur séparation devait se rattraper là, tout de suite sans aucune perte d’aucune sorte.

Leurs bras, leurs mains s’agitaient sur leurs visages, leurs épaules, leurs poitrines, leurs tailles, leurs dos, leurs fesses… C’était à qui caresserait l’autre la première.

Leurs langues s’entre lassaient, leurs bouches s’aspiraient. Elles étaient folles d’amour, en manque évidente de caresses.

Pourtant ce n’est pas qu’elles en manquaient, leurs amoureux leurs en donnaient tant, mais cet amour-là était un autre amour qui n’avait vraiment rien à voir avec celui que pouvait leur donner leurs amants.

Cet amour-là était leur amour à elles, leur tendresse, leur intimité à toutes les deux, à elles toutes seules. Ce partage à la fois sexuel et sensuel était là pour se donner entièrement à toutes les deux, pour laisser en toute confiance leurs sens se déclarer, leurs envies de sexe et d’amours, cet abandon total n’était que pour elles, ce soir, demain, toujours, pour l’éternité. Il fallait qu’elles se donnent totalement l’une à l’autre, elles devinaient les appétits sexuels de l’autre, allaient au-devant de leurs désirs les plus inavouables mais rendus possible par leur complicité retrouvée.

Elles courraient presque tout en s’embrassant pour entrer dans la chambre, se jetèrent sur le lit, se déshabillèrent en arrachant presque leurs vêtements, l’une déshabillant l’autre, s’aidant mutuellement tout en se caressant à la faveur d’un mouvement.
Très rapidement elles se retrouvèrent nues, leurs corps mélangés se cherchant, leurs jambes si bien galbées formant des nœuds inextricables, leurs chattes se frottant sur leurs cuisses pour mieux se sentir.

Puis soudain elles se calmèrent pour mieux se regarder, se respirer, sentir la douceur de leurs peaux. Leurs mains se caressèrent avec douceur, s’arrêtant sur leurs seins si fermes, leurs dos si doux, s’attardant sur leurs fesses tendues, réclamants plus de plaisirs.

Carole était au-dessus de Julie, l’étouffant presque, puis commença des mouvements de reptile sur le corps de son amante voulant apprécier la plus petite forme de sa peau. Sa bouche, sa langue s’activait doucement sur les seins de Julie tandis que sa main descendait doucement sur son ventre, insistant un peu vers le bas ventre, puis tendrement, doucement, alla vers son intimité qui n’attendait que cela pour ensuite aller franchement sur son pubis épilé.

Julie se laissait faire, bras écartés, ses cuisses s’écartant aussi dans un mouvement naturel pour accueillir la main de Carole, pour sentir ses doigts remuer gentiment sur son clitoris, sur ses lèvres mouillées de désir, sans toutefois la pénétrer, Carole jouait à faire monter le désir de Julie tout en frottant sa chatte gluante sur sa cuisse.
Carole embrassait les seins qui s’offraient à elle, mordillant les tétons, les aspirants en formant des mouvements circulaires avec sa langue, ses tétons qui pointaient fièrement déclaraient ainsi sa demande d’amour.

Puis en laissant ses doigts sur le sexe de Julie et en les faisant pénétrer très légèrement sur la surface de son vagin trempé de sa mouille, elle descendit sur son corps, léchant son nombril, son ventre, la naissance de son sexe qui se mettait en avant dans des mouvements de hanches, pour réclamer les caresses.

– Oh oui encore, suppliait-t-elle, embrasse ma chatte je t’en supplie, lèche-la, pénètre moi, masturbe moi, j’en ai si envie. Aime-moi !!!

La langue de Carole léchait maintenant les lèvres mouillées de Julie qui amplifiait les mouvements de son bassin, le mettant le plus en avant possible pour offrir son sexe aux caresses de Carole qui maintenait ses lèvres brûlantes, les suçaient, les malaxaient avec sa bouche puis entra sa langue gourmande dans son vagin pour mieux boire sa mouille.

Elle pénétrait sa langue dans son vagin d’abord doucement, puis de plus en plus vite sur son clitoris pour revenir dans sa chatte de façon à entrer le plus loin possible à l’intérieur de son corps, dans des mouvements de vas et viens en remuant sa tête comme pour rentrer en elle. Ses doigts se mélangeaient avec sa langue pour écarter ses lèvres de manière à ce que Julie apprécie de plus en plus ses caresses.

Et elle appréciait oh oui, tellement que ses mains n’en pouvaient plus d’être aussi loin de tant de caresses, il fallait qu’elles s’en mêlent et c’est ce qu’elles firent, d’abord en se caressant ses seins, les malaxant avec douceur en insistant sur leur formes, puis en descendant doucement sur son propre ventre qu’elle caressa avec tendresse, puis très vite car elles en avaient envies, se mêlèrent aux doigts et à la langue de Carole.

Ce fût une joie pour Carole de sentir les doigts de Julie venir partager leur plaisir. Elle embrassait ces doigts si familiers, passait sa langue dessus pour revenir reconquérir la place qui pourtant n’était pas perdue. Chaque mouvement, chaque léchouille, chaque baiser, chaque caresse étaient partagés. Quel bonheur, quelle joie intense dans l’attente d’une jouissance qui devra éclater, mais le plus tard possible.

La langue de Carole glissa vers le petit trou de Julie, la laissant se masturber sa chatte pour leurs plus grands plaisirs à toutes les deux.
Julie avait levé ses jambes, sentant les avances de sa coquine qui ne tarda pas à entrer dans son petit cul qui en demandait encore plus. Carole avait bien sentie que Julie avait trouvée quelque chose sous l’oreiller et quand l’objet toucha sa bouche, elle s’en empara et le mêlant avec sa langue, le lubrifia de sa salive et l’enfonça doucement dans le petit cul dilaté de Julie qui le reçu avec délice tout en continuant de se masturber.

– Oh oui Carole ma chérie, met-le moi, enfonce-le, j’aime ça, oh que j’aime ça tu le sais mon amour. Oh que c’est bon, encore, encore, plus loin, ressort-le, remet-le, oooh encore. Oh ouiiiiii !!!

C’en était trop, les doigts de Julie s’activaient sur sa chatte brulante, son gode pénétrant dans son cul, ressortant, revenant grâce aux mouvements de vas et viens de Carole qui devinait si bien ses désirs, allait au plus profond de son intimité, au plus profond à l’intérieur de son corps. Julie s’abandonnait à tous ces plaisirs si intenses et finie par jouir avec tant de force, dans des gémissements et dans un râle de bonheur, de jouissance si parfaite, elle cria son extase, eu des soubresauts brusques, longtemps elle apprécia sa jouissance, Carole ralentissant ses mouvements pour calmer son amante.

Oh douceurs et plaisirs si parfaits, se donner corps et âme, s’abandonner entièrement, se mettre à la merci de Carole qui maintenant se donnait du plaisir, approchant le gode sorti du petit cul dilaté de Julie vers sa bouche pour le lécher et ainsi sentir l’odeur et la chaleur du corps de Julie. Sa bouche le reçu avec gourmandise pour le sucer longuement, puis le porta vers sa propre chatte qui réclamait à présent son plaisir.

Elle entra le gode de Julie dans son propre vagin si chaud, si accueillant, tout ouvert pour le recevoir, lui donnant des mouvements de vas et viens en se caressant son clitoris avec son autre main.
Elle était à quatre pattes entre les cuisses de Julie et se donnaient du plaisir en sachant que sa Julie la regardait. Julie à peine remise de sa jouissance prit la tête de Carole.

– Viens ma chérie, viens j’ai envie de t’embrasser.

Elles s’étaient assises sur le lit de tous leurs plaisirs.
Carole prit la bouche de Julie et la ronde de leurs langues reprit avec douceur, elles éloignèrent leurs bouches, leurs lèvres se touchant à peine, mais leurs langues se mélangeaient, se happaient, de temps en temps une bouche suçait une langue, ce délice dura suffisamment longtemps pour redonner envie à Julie. Carole n’en pouvait plus.

Elles s’éloignaient un peu l’une de l’autre en séparant leur visage et leur corps pour mieux s’admirer et se caresser. Tout en se regardant dans les yeux, Julie porta une main à sa propre chatte qui réclamait déjà un autre plaisir, caressant de l’autre main les seins de Carole.
Carole amena le gode de Julie vers son propre vagin où elle le fit entrer tout en caressant aussi les seins si chauds de Julie.

Qu’il était bon et jouissant de se masturber tout en se regardant l’une et l’autre le faire, quelle complicité, toutes les deux se comprenaient, s’abandonnaient pour se donner un plaisir si intime et si intense.

Julie se pencha sur les cuisses de Carole, léchant à chaque vas et viens le gode la masturbant.
Ses lèvres, sa langue, sa bouche, tout devenait l’objet du désir pour la belle Carole qui se pencha également sur les cuisses de Julie. Elles s’allongèrent sur le coté de manière à sucer leurs chattes dégoulinantes de leurs mouilles.

En position de 69, tout leur était permis. Les mains prenaient leurs fesses galbées, les caressant, les pelotant et les écartant pour glisser quelques doigts dans leurs petits culs tout mouillés, tandis que leurs bouches suçaient le jus de leurs désirs dans leurs petits minous ouverts pour recevoir leurs langues mélangées de leurs salives.

Les langues s’activaient, allant de leurs clitoris exacerbés à leurs petits culs brulant pour le pénétrer à chaque mouvement. Parfois l’une ou l’autre réussissait à entrer sa langue plus profond dans leur petite rosette dilatée et en profitait pour l’entrer et la ressortir avec délectation, ce qui avait pour effet de la faire se cambrer un peu plus pour réclamer autre chose d’un peu plus gros… Là le gode venait toujours en secours, imbibé de salive et de mouille il entrait plus profond, doucement, déclenchant des soupirs et des gémissements de plus en plus intenses, ce qui avait toujours un effet très jouissant pour celle qui le pénétrait.

Elles se firent jouir toutes les deux du mouvement de leurs doigts trempés, de leurs langues et de leurs bouches gourmandes emplies de leurs mouilles si chaudes.
Leurs petits cris augmentaient leurs plaisirs, leurs corps remuaient sans cesse pour accueillir leurs caresses de plus en plus intenses et profondes.

Ce soir fut un soir merveilleux, sublime d’amours et de tendresses, de plaisirs et de jouissances où toutes deux purent se donner toute entière à l’autre pour ne former qu’un seul corps emplit d’abandons sexuels et sensuels.
Elles se retrouvèrent épuisées dans les bras l’une de l’autre, se serrant très fort, les jambes emmêlées, les seins comprimés par les seins de l’autre. Ces deux-là s’aimaient d’une criante évidence.

Damien se branlait, encore et encore… Il avait joui plusieurs fois, éjaculant sur la moquette. S’en était trop pour lui de les avoir vues et entendues s’aimer par l’entrebâillement de la porte. Mais il était infiniment heureux d’être rentré un peu plus tôt que prévu…

Post scriptum : Si je n’ai pas décrit d’usage de préservatif dans mon texte, il est bien évident qu’une telle protection est malgré tout indispensable pour le bien de toutes et de tous…

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2 réponses à Les délices d’un abandon total par Daniel952

  1. Oreste dit :

    je dirais même plus : » Du bon lesbos,, mais sans vraiment d’originalité »

  2. supreme dit :

    Du bon lesbos,, mais sans vraiment d’originalité

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