Les culottes de tante Simone par Cosi-cosa

Les culottes de tante Simone par Cosi-cosa

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Enfant, ma mère qui m’éleva seule m’envoyait souvent passer une grande partie des vacances d’été dans l’Isère, dans une petite maison à la sortie d’un petit village situé à une vingtaine de kilomètres de Grenoble chez ma tante Simone. Elle n’était d’ailleurs ma tante que par alliance, ayant rompu avec le frère de ma mère, mais les deux femmes avaient continué à entretenir de bonnes relations.

Ma tante qui exerce le métier d’infirmière indépendante est, comment dire, une forte personne, c’est une grande brune qui doit bien faire ses 1,75, mais elle bien proportionnée, enfin disons que ses rondeurs sont appétissantes…

C’est à l’adolescence que j’ai commencé à fantasmer sur elle et de cette époque que me vient ma passion immodérée aussi bien pour les femmes « fortes » que pour les femmes matures. Elle avait l’habitude de s’enfermer le matin dans une petite pièce que l’on ne peut même pouvait même pas qualifier de salle de bain mais qui était munie d’un petit lavabo, c’est là qu’elle faisait sa toilette. La porte de ce local était munie dans sa partie supérieure de deux vitres sur lesquelles avaient été apposées du papier adhésif afin d’en masquer l’intimité. Un jour que j’étais seul dans la maison, je me suis amusé alors à l’aide d’un petit canif à pratiquer une minuscule ouverture, elle devait faire environ 3 mm², je testais, ça suffisait…

Le lendemain dès que j’entendis la porte du local se refermer après que Tante Simone y eut pénétré, je me mis en position d’observation. Je pu observer ainsi pour la première fois de ma vie une femme entièrement nue, j’avais déjà vu des seins à la plage, mais là c’était de l’intégrale et c’était ma tante. Je pu la regarder se savonner ses gros seins ! Ah ! L’image de ses seins mouillés recouvert de mousse qu’elle faisait gigoter à coups de gants de toilettes, et puis il y avait tout le reste, ses cuisses, ses fesses, son ventre… Elle se pencha malheureusement du mauvais côté pour pratiquer sa toilette intime, mais qu’importe… j’avais ma ration d’excitation et sans en attendre davantage, je me précipitais dans ma chambre me masturber comme un malade.

Je n’eus malheureusement pas l’occasion de renouveler cette séance de voyeurisme, le lendemain son ami, qui était chauffeur routier revenait et je n’avais plus le champ libre.

Il est inutile de vous dire, je pense, combien cette image à hanté mes nuits et pas seulement mes nuits, je me suis repassé dans ma tête cette séance, et dans mes fantasmes j’allais plus loin, c’est moi qui lavais ma tante, passant le gant sur ses seins, faisant sa toilette intime, la caressant et l’embrassant avant de finir dans une folie sexuelle la plus complète ou après s’être mutuellement sucés, j’écartais ses majestueux globes fessiers pour la sodomiser.

J’avais bien sûr souhaité revenir l’année suivante ! Déception, ma tante avait fait installer une « vraie » salle de bain avec une porte pleine, j’en fus profondément dépité et contrarié…

Puis le temps passa. L’image de ma tante m’obsédait à ce point que les filles de ma génération ne m’intéressaient guère, j’eus une liaison de plusieurs mois avec une femme de dix ans mon aînée, mais qui ne dura pas. Ce fut ma seule expérience sexuelle. Je passais mes diplômes, devint ingénieur en informatique et cherchais du travail. En attendant mieux je m’inscrivis chez un prestataire de service qui me proposa une mission de plusieurs mois à Grenoble.

– Allo, tante Simone, c’est Thibault, figure-toi que je vais travailler à Grenoble pendant un petit bout de temps, ça te ferait plaisir que je vienne te dire bonjour ?
– Bien sûr, passe quand tu veux, tu n’as qu’à venir pour manger, un soir par exemple, je te ferais des bonnes choses… Mais dis-moi, tu loges où à Grenoble ?
– Pour l’instant nulle part, j’ai pris une chambre d’hôtel en attendant, je suis sur plusieurs pistes…
– Pourquoi tu ne viendrais pas loger à la maison, on a de la place…

Super !

J’avais une chambre assez spacieuse que je louais pour un prix symbolique. Nous prenions les repas ensemble soit à deux soit à trois lorsque Henri, son ami routier était là.

Je trouvais ma tante toujours aussi désirable, malheureusement aucune image nouvelle, hormis celle de son sourire ne venait alimenter mes fantasmes, je m’arrangeais pour me lever de bonne heure afin de la croiser dans ses activités matinales, mais en vain, elle devait posséder une collection de robes de chambre, de peignoirs et de pyjamas tous aussi anti érotiques les uns que les autres. Je me masturbais donc sur mes souvenirs, m’imaginant qu’elle m’entraînait dans les « pires » perversions.

J’étais loin d’imaginer que ces rêves éveillés allaient se concrétiser quelques semaines plus tard…

Cela a commencé un lundi matin, dans la salle de bain, je m’apprêtais à prendre ma douche, et en profitais pour mettre au sale mon caleçon et mes chaussettes de la veille que j’avais gardés dans ma chambre. Je ne sais alors quel démon m’a poussé à fureter dans le panier à linge, mais toujours est-il que j’en sortis rapidement une large culotte blanche, appartenant à ma tante, bien entendu, la défroissant je constatais qu’elle était copieusement tachée, une large auréole d’urine maculait le devant, je ne pus m’empêcher de porter à mes narines ce petit bout de tissus qui dégageait un fumet qui me troublait profondément. L’arrière de la culotte n’était pas moins net, une belle tache marron trônait à l’endroit où le sous-vêtement avait été en contact avec le trou du cul de ma tante.

J’humais alors aussi cette partie-là, m’imaginant en train de lécher l’entrefesse de ma tante. Je bandais maintenant comme pas possible, mais je ne pouvais trop m’attarder, il fallait que je me prépare pour aller au travail, j’avais donc le choix entre une masturbation rapide, ou l’autre solution consistant à subtiliser cette culotte pour fantasmer tranquillement le soir venu dans ma chambre. A bien y réfléchir je me dis que ces deux options n’étaient pas forcément contradictoires et me branlait, le nez dans ma trouvaille.

L’image de cette culotte me poursuivit toute la journée, à ce point que je regrettais de ne pas l’avoir emportée au travail.

J’avais donc prévu une longue séance de masturbation le soir après le repas, mais rentré chez ma tante en fin d’après-midi, je fus incapable d’attendre, je m’enfermais dans ma chambre, me déshabillait complètement, sortis la culotte de sa cachette, commençais à en humer les odeurs, celles de devant, puis celles de derrière. Mon érection fut immédiate. M’enhardissant, je me mis à lécher les taches d’urines, jurant mes grands dieux que je ne lécherais que ça, mais on ne devrait jamais jurer, quelques instants plus tard je posais ma langue sur les taches marrons tandis que ma verge était sur le point d’éclater. Je pris alors la culotte et éjaculais dedans !

Je ne savais plus quoi faire de cette culotte, tout cela n’était qu’une folie, il fallait redevenir raisonnable, il n’était pas question de la remettre au sale ni de la garder, je la jetais donc.

Le soir Tante Simone me trouva fatigué.

Le lendemain matin, je fouillais à nouveau dans le coffre à linge, mais n’y trouvais pas de culotte. Sans doute l’avait-elle mise directement en machine ? Le mercredi, pas de culotte non plus et j’en déduisis que ma tante ne les stockait pas toujours ici !

Par contre le jeudi matin, j’eu la surprise d’en trouver une ! Si l’avant était aussi imprégné d’urine séchée que la dernière fois, l’arrière était carrément maculé, il ne s’agissait plus cette fois de taches, mais de larges traînées, comme s’il elle avait oublié de s’essuyer le cul ! Je ne pus résister à l’envie de me masturber à nouveau, et cette fois n’attendit pas le soir pour jouir dans la culotte après l’avoir reniflé et léchouillé.

Je venais donc de gâcher sa deuxième culotte ! Ça posait un problème… perdre une culotte, elle se dirait sans doute qu’elle ne savait plus où elle posait ses affaires et ne chercherait pas indéfiniment, Par contre deux ? Bof, est-ce qu’une femme tient la comptabilité de ses culottes ?

Ce manège dura deux semaines, j’avais décidé de faire attention et de ne me pas jouir dans ses culottes, mais je ne pouvais m’en empêcher… Je sacrifiais encore deux ou trois culottes supplémentaires, je ne sais plus exactement, mais me disant à chaque fois que juré, craché ce serait la dernière ! Je me posais quand même des questions ? Pourquoi ne trouvais-je pas de culottes tous les jours, pourquoi étaient-elles si sales derrière. Est-ce que ma tante gardait sa culotte plusieurs jours ? Est qu’elle ne savait pas s’essuyer ? Tout cela était d’autant plus bizarre que Tante Simone ne me paraissait absolument pas comme une personne sale, bien au contraire.

C’est le samedi de la seconde semaine après ma première découverte que les choses se compliquèrent :

Toujours comme ça le week-end, alors que je pourrais dormir, et bien je suis réveillé… Je me rends donc à la salle de bain, pas de culotte ce jour-là, ce qui me parait normal, je n’en ai jamais trouvé deux jours de suite. Je prends donc ma douche, enfile un peignoir et descend à la cuisine pour me préparer mon petit déjeuner. Tante Simone est là, elle me fait un petit bisou amical. Elle est vêtue d’une sorte de haut de pyjama en coton, qui lui descend jusqu’en haut de ses cuisses nues, c’est complètement boutonné, mais ses seins bougent à l’intérieur à chaque mouvement ! Voilà une journée qui commence bien, moi qui me plaignais que ma tante ne m’offre rien d’érotique, voici que j’avais une superbe vue sur ses cuisses…

J’étais loin d’imaginer que je n’avais encore rien vu ce matin….

On cause de tout et de rien, je me suis attablé devant mon bol de café. Tante Simone est debout et soudain fait tomber une cuillère, elle se baisse pour la ramasser, elle me tourne alors le dos, Et au lieu de s’accroupir pour la ramasser, elle laisse ses jambes tendues, le pyjama se relève et j’ai soudain devant moi ses fesses nues. Je pense qu’elle ne se rend pas compte de ce qu’elle fait, mais voilà que je bande comme un bout de bois. En ramassant la cuillère, elle lui échappe des mains, elle se penche à nouveau, prolongeant la scène quelques secondes, puis elle se redresse, se retourne et me fait face.

– Ça va Thibault ?

Elle a dû voir mon trouble !

– Oui, ma tante !
– Tu veux voir autre chose maintenant ?

Qu’est-ce qu’elle raconte ?

– Pardon ?
– Parce que je viens de réaliser que tu viens de voir mes fesses !
– Oh ! Mais non, ma tante !
– Comment ça non ? Alors pourquoi tu bandes ?

Et en disant cela elle me met la main sur mon sexe. Je suis paralysée, je ne sais pas comment gérer la situation ! Fuir ? Assumer ? Mais elle ne me laisse pas choisir, en remettant une couche !

– Forcément que je suis les fesses à l’air ! Il y un zigoto qui me pique toutes mes culottes !

Cette fois je suis rouge pivoine.

– Pardon, ma tante, je suis désolé, je vais te laisser et chercher à me loger ailleurs, je ne dois pas être très normal et je ne voudrais pas….
– Mais qu’est-ce que tu me racontes ! M’interrompit ma tante. Tu es très bien ici. Je le sais depuis longtemps que tu fantasmes sur moi, rappelle-toi quand tu me regardais faire ma toilette à travers les vitres…

Mon Dieu, elle savait !

– Je pensais que ça c’était passé avec l’âge, mais faut croire que non, et pour moi c’est plutôt flatteur !

Elle s’approche de ma chaise, se tourne, relève son pyjama

– Vas-y caresse moi les fesses !
– Mais ma tante !
– Allez tu en meures d’envie
– Je …. je ne peux pas !
– Tu veux que je t’aide peut-être !

A ces mots, elle se retourne, me fait face et enlève son haut de pyjama, je peux enfin revoir ses seins. Ils sont là devant moi, ils sont gros, ils sont beaux, ils luisent dans la lumière du soleil du matin, elle les approche de ma bouche. J’y pose mes lèvres. Simone défait la ceinture de mon peignoir et me masturbe à présent ma verge tendue, je suis au paradis, je crois !

– Si tu m’expliquais ce que tu foutais avec mes culottes !
– Non, je n’ose pas !
– Alors moi je vais te le dire, tu te branlais en les reniflant, en sentant l’odeur ma chatte, l’odeur de mon cul ! C’est ça ?
– Oui !
– Ben l’odeur tu vas l’avoir en direct ce matin ! Tu sais quand j’ai rencontré Henri j’étais déjà coquine, mais il m’a fait découvrir plein de trucs, des trucs super cochons, par exemple, il ne voulait pas que je change de culotte tous les jours, il ne voulait pas que je m’essuie ni devant ni derrière. Au début ça m’a amusé je faisais ça en fin de semaine puis le week-end quand il était là, et puis après ça m’a amusé de le faire tout le temps !

Je continue à lui lécher les seins pendant qu’elle me parle, elle n’ose plus trop toucher à ma queue prête à éclater et s’amuse avec mes testicules.

– Parfois quand je viens de pisser… Continue-t-elle. C’est Henri qui me nettoie la chatte avec sa langue, il fait ça très bien, un vrai délice. Dis-moi Thibault, ça te plairait de me le faire !
– Je crois… oui ! Balbutiais-je !
– Et derrière ?
– Derrière ?
– Oui, me nettoyer le cul quand j’ai fini mon petit caca !
– Je sais pas, ça me dit trop rien, mais je veux bien essayer !
– Alors viens !

Venir où ? Ce n’est pas possible je suis en train de faire un rêve érotique, je vais me réveiller avec mes draps tous gluants…. Tante Simone se met contre le plan de travail, les jambes légèrement écartées

– Viens sentir ma chatte !

Je m’élance, je me précipite, j’ai le nez dans ses poils, ça sent l’urine, ça sent la femme ça m’enivre, je lui écarte les lèvres, je me mets à lécher, la cochonne est déjà toute mouillée, ce doit être la situation qui l’excite !

– Je ferais bien, un petit pipi ! Me prévient-elle ! Ça te dit ?
– Un petit peu alors !
– Ouvre ta bouche, cochon !

Quelques gouttes arrivent déjà au fond de mon gosier, ç’est pas mauvais, je fais signe qu’elle peut continuer. Alors elle se lâche, j’en reçois plein la bouche, mais ne peut avaler une telle quantité, l’urine dégouline sur mon corps, coule de partout et finit par provoquer une belle flaque dans la cuisine.

– Dommage que le sol ne soit pas propre, sinon je t’aurais fait lécher par terre !
– Hi ! Hi !
– Ça te fait rire ? Tu n’aimerais pas qu’on se fasse un petit scénario comme ça un de ces jours, et si tu ne lèche pas bien je te foutrais des coups de martinet !
– Pourquoi pas !
– Bon, maintenant tu vas me lécher le cul !

Elle se tourne, écarte ses globes fessiers, son petit anus brun est tout attendrissant, elle a aussi quelques poils au cul dont la présence me plait bien, sinon il y a quelques taches marrons autour de l’anus, pas de quoi s’affoler !

– Alors ? Demande-t-elle. Nettoie ce qu’il y a à nettoyer !

J’ai bien léché ses culottes, je peux bien lécher ses traces merdeuses, en plus avec le contact de la peau sur la langue est loin d’être désagréable.

– Maintenant, fourre-moi ta langue dans le trou !

J’y vais, ça ne sent pas la rose, mais l’odeur ne me déplait pas, son anus s’ouvre sous la poussée, et j’essaie d’y pénétrer autant que je peux.

Un raclement de gorge !

– Ben alors, vous ne vous emmerdez pas tous les deux !

Catastrophe !

Henri vient de pénétrer dans la cuisine, juste « habillé » d’une serviette de bain autour des hanches, je me recule, attrape mon peignoir pour cacher ma nudité, mais c’est tout ce que je sais faire, je suis paralysé de terreur. Je réalise quelques secondes après qu’Henri n’a pas vraiment l’air en colère et que Simone est plutôt amusée de la situation.

– Rassure-toi, Thibault, Henri ne te fera aucun mal, il n’est pas jaloux !

Il n’est peut-être pas jaloux, mais moi ça me gêne, et je débande instantanément. Par contre Henri, lui, a laissé tomber sa serviette et arbore un sexe tout à fait sympathique et en pleine érection.

– Tu as vu comme il a une belle bite, mon Henri ?

Je réponds par un sourire de politesse.

– Et puis, elle est douce, tiens caresse-la pour te rendre compte !
– Heu, c’est pas trop mon truc !
– Oui, mais c’est le nôtre ! Allez vas-y ça ne mord pas !

Je tripote un peu la queue d’Henri, effectivement, la peau en est très douce.

– Qu’est-ce qu’il est beau son zob ! Reprend Simone, on dirait un esquimau.

Comme réflexion téléphoné c’est pas mal, dans une seconde si j’ai bien compris, elle va me demander de lui sucer. Je suis vraiment tombé sur un couple de pervers !

– Suce !

Tiens, je vous l’avais dit ! Mais je suis tellement excité que je n’hésite même pas, et puis c’est vrai qu’elle est belle cette bite. Je commence par y déposer ma langue, puis je l’engloutis complètement essayant d’imiter les fellations que j’ai vu pratiquer dans les films spécialisés…

– Il suce bien ! Commente Henri.

Quel menteur, je n’ai aucune expérience !

– J’ai une idée ! Reprend ce dernier !

Il s’approche alors de Tante Simone, et lui fout un doigt dans le cul !

– On va voir comment c’est ce matin !

Il le ressort, le doigt est tout maculé, il se l’essuie sur les fesses de sa compagne ! Il approche alors sa bite de son anus et force un instant le passage, avant de la pénétrer relativement facilement.

– Hum, j’adore l’enculer quand elle a le cul plein de merde !

Ça m’embête de ne pas participer plus, alors je me mets sur le côté et caresse les gros seins de ma tata…

– Ne les caresse pas, pince-les !

J’obtempère, elle pousse des petits cris. Puis Henri quitte le cul de Simone, il n’a pas joui, il se réserve sans doute pour d’autres jeux. Sa bite est pleine de merde.

– Suce !

Il n’est pas bien, l’autre ! Je lui fais signe que « pas question ! »

– Si tu lui suces, tu pourras m’enculer à ton tour ! Intervient la Tata.

Il y des arguments qui sont d’une efficacité redoutable. Et rangeant mes principes et mon refus dans ma poche je me mets à lécher le membre merdeux de l’amant de ma tante. Il n’y a d’ailleurs pas de quoi en faire un plat, c’est un peu âcre, mais ce n’est pas si désagréable et puis il y a l’odeur que j’adore, parce que c’est l’odeur du cul de ma tante.

– Un jour c’est toi que j’enculerais ! Me dit Henri.

Avec tout ce qu’ils me promettent, je vais devenir le roi des pervers, bof, pas grave, on ne vit qu’une fois…

J’ai ensuite enculé ma tante, elle m’a fait mettre un préservatif, on est prévenant dans la famille, le sachet était dans un tiroir de la cuisine, preuve supplémentaire s’il en fallait que tout cela était prémédité.

– Essaie tout de même de ne pas jouir, on va finir en apothéose ! Me demande-t-elle.

Je me retire me demandant de quelle apothéose il peut bien s’agir !

– Bon, les gars, faut que je me vide ! Thibault couche-toi par terre !

Elle ne va pas faire ça ! Pourtant je ne proteste pas ! Je m’allonge sur le sol. Simone s’accroupit au-dessus de mon sexe. Un bel étron commence à sortir de son anus, il atterrit juste sur mon sexe, un second le rejoint. L’odeur de merde envahit la cuisine. Henri demande à Simone de s’asseoir alors sur la table, elle y dépose son gros cul merdeux, il place ensuite son visage entre ses cuisses afin de la faire jouir et se masturbe en même temps, ils ne s’occupent plus de moi, et je me branle dans la merde de ma tante.

Cosi cosa alias le Professeur Scato 12/2003

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9 réponses à Les culottes de tante Simone par Cosi-cosa

  1. Georges dit :

    Certes la conclusion n’a rien d’un modèle de délicatesse, mais puisqu’on est dans le fantasme

  2. Volniak dit :

    Je ne comprend pas ceux qui rouspètent
    La couleur est annoncée dès le départ, non ?
    Pour ma part le fantasme me branche et j’ai lu ce récit avec beaucoup de plaisir

  3. Verdon dit :

    Eh bien franchement l’apothéose on s’en serait bien passé….les histoires avec les Tantes sont toujours merveilleuses, et celle-ci l’était jusqu’à ce dérapage. Il est inutile de les gâcher par des anecdotes de fantasmes outranciers qui n’ajoutent rien au plaisir qu’on recherche en décrivant de si belles complicités.

  4. Forain dit :

    Ne pourrait-on pas narrer la même histoire avec davantage de délicatesse ?

  5. iwaruze dit :

    Franchement dégoûtant mais néanmoins excitant

  6. esteban dit :

    La couleur est annoncée et on n’est pas déçu ! Si vous pouviez voir l’érection que je me tape !

  7. Iseli dit :

    Je n’ai rien contre la scato, mais là c’est limite

  8. Claire dit :

    On ne peut pas dire que l’auteur fasse dans la poésie, mais ça passe quand même plutôt bien

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