Françoise et Snoopy – 2ème partie par Françoise_Z

Françoise et Snoopy 2ème partie pat Françoise_Z

Deuxième partie

Je retourne dans le salon, j’y retrouve Nicole, le cheveu en bataille et Snoopy ravi, les deux pattes sur ses cuisses. Il lui lèche les joues.

– Eh ! Bien… De mieux en mieux !!! Je ne peux pas te laisser une seule seconde avec ce chien sans que cela ne vire au scabreux !
– Scabreux ! Il ne faut tout de même pas exagérer ! Il est affectueux, c’est tout. Après ce que tu m’as laissé entendre, nous sommes bien innocents… N’est-ce pas mon Snoopy ?

« N’est-ce pas mon Snoopy » ? Non, mais je rêve !
– Dis donc Nicole, tu ne serais pas intéressée par ce chien, bien plus que tu ne veux bien le dire, espèce de cachottière ?
– Euh… Non… que vas-tu imaginer ? C’est n’importe quoi !
– Je n’imagine rien. Je constate simplement ! Tu me dis avoir peur des chiens et en quelques minutes, tu te laisses rouler une pelle par Snoopy…
– Il n’est pas comme les autres ce chien, avoue-le !
– Ça je le sais qu’il n’est pas comme les autres. Regarde-moi dans les yeux Nicole, quand j’étais occupée au téléphone, tu n’aurais pas profité pour le caresser ?
– Si un peu… Mais ce n’est pas un crime !
– Où ?
– Que veux-tu dire par « où » ?
– Où l’as-tu caressé ?
– Sur la tête…
– Et ?
– Le dos…
– Et ?
– Un peu… le ventre…
– Ensuite ?
– Entre les pattes…
– Avant ?
– Euh… non… arrière…
– Tu as touché son sexe ?
– Juste un peu… par curiosité…
– Et alors ?
– Ben… C’est tout doux… Comme il avait l’air d’aimer… j’ai un peu insisté…
– Et alors ?
– Ben… au bout de quelques secondes, son bout rose est sorti lentement… J’ai craint de lui avoir fait mal… J’ai arrêté.
– Tu plaisantes non ?
– Non. Je pensais être allée trop loin, j’ai eu peur.
– Est-ce qu’il donnait des signes de douleur ?
– Non… Pas vraiment, au contraire.
– Tu vois, il n’y a donc pas maltraitance, puisque le chien a aimé que tu le touches. Tu veux que je te fasse une confidence Nicole ? Je peux te faire confiance, n’est-ce pas ?
– Bien sûr Françoise, je suis ton amie…
– Et bien, quand tu es arrivée, j’étais en train de le masturber…

D’un bon, Nicole se lève, blême, elle me regarde sans comprendre. Elle se dirige vers la porte d’entrée…

Je la rattrape avant qu’elle ne sorte,

– Nicole, je ne te comprends pas. Tu as osé caresser le sexe de ce chien, et quand je te dis que j’ai fait la même chose, juste un peu plus poussé, tu t’offusques !
– Ce n’est pas possible Françoise, je ne te crois pas !
– Si ! Je te jure que j’étais en train de le caresser. Je peux même dire qu’il aimait rudement… Tu ne me crois pas ?
– Euh… Je m’attendais à tout de ta part, mais là, je suis sans voix !
– Avoue que ça t’excite !?
– Et bien…
– Avoue !!!!
– Oui…
– Tu vois, tu es en fait comme beaucoup de femmes qui fantasment sans oser l’avouer, ni concrétiser.
– Françoise, tu es folle, je crois…
– Pas du tout, tu serais étonnée de découvrir le nombre de pratiquantes… secrètes !
– Je suis sidérée…
– Sidérée et excitée ?
– Oui, un peu…
– Un peu ?
– Beaucoup en fait. J’ai peur des chiens, mais j’ai toujours regardé leurs sexes à la dérobée.
– Seulement celui des chiens ?
– Non… tous en fait. Un cheval qui bande dans un pré, j’avoue honteusement que je regarde avec intérêt, si personne n’est témoin bien sûr. Je sais que ce n’est pas bien…
– Je te rassure Nicole, c’est mon cas également. Mais nous sommes victimes de notre trop belle éducation.
– Il n’empêche, j’en ai un peu honte.
– Tu serais étonnée de savoir le pourcentage de femmes qui se font au moins lécher par le chien de la maison, en cachette de la famille bien évidemment.
– Tu crois vraiment qu’il y en a tant que ça ?
– Bien sûr Nicole, c’est fatal. Une femme qui est seule toute la journée, délaissée par un mari qui travaille trop, qui la néglige sexuellement, finit par se faire chier à cent sous de l’heure, excuse-moi d’être vulgaire.
– C’est vrai que moi aussi, par moment, je m’ennuie un peu. Heureusement que j’ai mes petits dérivatifs.
– Tu vois, toi aussi tu l’admets. Encore toi, ton mari te laisse la liberté de faire ce que tu veux et tu es motorisée. Il y a des femmes qui n’ont pas de permis. Elles restent seules du matin au soir, dépendantes de leurs maris pour tout ! Il est fatal qu’un jour ou l’autre, elles finissent par regarder d’un autre œil le chien de la maison. Surtout quand il est en chaleur et le manifeste ouvertement.
– Oui, j’admets que cela doit être troublant pour une femme normalement constituée.
– Et un beau jour, madame finit par craquer. Elle se laisse renifler les cuisses. En présence d’un tiers, bien sûr, elle repousse le chien en rigolant trop fort.
– C’est vrai que souvent les chiens sont pénibles à te renifler sans cesse.
– Oui, mais un jour ou l’autre, seule avec le chien, elle ne repoussera pas cet assaut flairé… Juste par curiosité.
– Oui ce doit être troublant de le laisser faire…
– Si l’odeur plaît au chien, il y a fort à parier qu’il finisse par passer la langue sur le tissu de la culotte… Et là, dis-moi Nicole, quelle femme peut résister à pareille politesse ?
– Pas moi en tout cas, Françoise, tu me connais…
– Oui Nicole, je te connais. Je sais que nous avons toutes les deux les mêmes besoins.
– En plus, c’est tellement bon…
– Oui. Mais une langue de chien ce doit être autrement efficace !
– C’est sûr. C’est plus gros, plus long, plus fort ! Je te jure, c’est à mourir sur place !
– Hein ? Ne me dis pas que tu as déjà essayé !
– Si, juste avant que je masturbe Snoopy, il m’a léchée…
– Tu plaisantes Françoise ?
– Pas du tout. Je te dis la vérité. Je peux te dire que j’ai même pris un pied d’enfer ! Tu veux essayer ?
– Jamais !
– Comme tu veux… Je garde Snoopy pour mon usage personnel jusqu’au retour de Catherine.
– Tu oserais ?
– Et comment ! Mais comme tu es mon amie et que tu sembles prête à de nouvelles expériences, je l’aurai bien partagé avec toi, en toute discrétion, bien évidemment.

Ma voisine semble hésiter entre s’en aller et tenter une expérience nouvelle.

– Bon… écoute, juste pour voir. Mais s’il me saute dessus, tu le retiens, d’accord ?

Sans lui répondre, je file vers la porte d’entrée que je verrouille. Je sais confusément que la partie est gagnée. Si Nicole se laisse lécher, je ne me fais plus aucun doute, elle va succomber. Nous serons tranquilles, il nous reste deux bonnes heures avant le retour de mon mari.

À mon retour dans le salon, Nicole me lance :

– Tu sais Françoise, je dois te faire un aveu. Si je suis venue te voir, ce n’est pas pour la farine… C’est surtout que ce week-end, je t’ai vue dans le jardin avec Snoopy. Je voulais le voir de plus près, il est trop beau !
– Dis-moi petite cachottière, ça fait longtemps que tu fantasmes sur les chiens ?
– Je ne fantasme pas vraiment… Mais la première fois que j’ai vu un chien qui avait un début d’érection, j’ai été très troublée. J’ai été très honteuse des idées qui me sont venues à l’esprit… Ces pensées me font peur.

Je m’installe sur le pouf, face au divan. J’appelle Snoopy. Il s’assoit à mes pieds, me regarde, il doit s’imaginer que l’on va jouer. Je le retiens momentanément par son collier. Il ne bouge pas, tout sage et attentif.

– Bon assez bavardé, enlève ta culotte Nicole !
– Là… tout de suite ?
– Ben oui, tu veux bien qu’il te lèche non ?
– Oui… oui, mais je trouve cela abrupte, trop précipité.

Nicole s’exécute cependant. Elle se lève, passe les mains sous sa jupe, sans la soulever, un reste de pudeur amusant, fait glisser un joli tanga noir le long de ses jambes. Au moment où elle s’apprête à la jeter sur le divan, je le lui prends des mains pour l’examiner. Il présente une petite tache humide.

– Dis donc, il y a un moment que tu cogites ! Allez, installe-toi sur le divan, petite dévergondée !

Sans un mot, Nicole s’installe. Je la sens encore très nerveuse et subitement intimidée. Elle semble toutefois soumise à mes exigences. Bizarrement cette petite domination envers ma voisine me plaît bien. Je pense que je vais bien m’amuser avec elle. Je profite de mon avantage pour être encore plus autoritaire :

– Remonte ta jupe et écarte les cuisses !

Je suis moi aussi troublée, bien plus que je ne l’imaginais. Je ne suis pas trop attirée par les filles en général, mais ma voisine, cul nu dans mon propre salon, j’en suis tout humide de joie.

Je lui demande :

– Si tu as une protection, il te faut la retirer.
– Zut, j’avais oublié.

Discrètement, elle s’exécute. Cette petite pudeur m’amuse.

– Dans quelques mois, tu seras débarrassée de ce problème Nicole.
– C’est vrai que c’est chiant… Mais bon, ça veut dire aussi que j’approche de la vieillerie !
– Tu es bête Nicole, tu es encore très bien… Tu vois, si je n’étais pas une femme, de te voir les fesses à l’air dans mon salon pourrait me donner des idées !
– Nan nan… Françoise, je ne mange pas de ce pain-là !

Elle s’installe sur le canapé, cuisses serrées, les yeux fermés comme si cela atténuait sa culpabilité.

Snoopy s’approche et sent les genoux de Nicole.

– Si tu restes comme ça il ne va pas avoir la tâche facile !

Elle écarte lentement les cuisses, j’en profite pour mater… Pas mal le minou de Nicole… Mais le chien ne semble guère attiré par ce minou-là.

– Zut ! Dis donc, il est hyper vexant ce chien ! Il semblait plus intéressé tout à l’heure. On fait quoi dans ce cas ?
– Ne bouge pas Nicole, je vais chercher le nécessaire.

Je les laisse quelques instants, juste le temps de trouver un reste de miel dans un pot entamé. Je le passe brièvement au four, teste la chaleur du miel qui me semble parfaite. Je rapplique au salon et découvre Nicole les yeux grands ouverts en train de caresser Snoopy, sans aucune retenue, entre les pattes arrière.

– J’essaie de le stimuler…
– Je constate qu’en dehors de ma présence, tu es bien plus spontanée !
– Oui, je suis stupide parfois… Excuse-moi. Tu fais quoi ?
– Je vais enduire ta chatte avec du miel, il adore…
– Tu en mets dedans aussi ?
– Bien sûr…
– Hum j’ai honte, mais c’est très excitant !

Je graisse largement son sexe. Cela me fait tout drôle de tripoter ma voisine. Je n’aurai jamais imaginé me trouver ainsi accroupie entre ses cuisses écartées. J’en profite un peu pour bien insister entre ses lèvres. Elles gonflent encore sous mon massage de miel. Malgré ses dires, elle semble fort apprécier. Comme une sale gosse vicieuse, j’en profite au passage pour dégager et caresser son clito, lui arrachant un long soupire de bonheur.

– Hum… continue Françoise, c’est divin.

Je poursuis ma caresse en la pistonnant doucement de mon majeur tout collant de miel. Le miel se mêle à sa cyprine qui coule d’abondance. La jugeant à point, j’appelle Snoopy. Je lui maintiens la truffe en place, je l’oblige à sentir l’entrecuisse de Nicole. Cette fois, il est bien plus intéressé. Il passe sa large langue rose sur les grandes lèvres. Ma voisine émet des tout petits « ho… ho », très touchants.

Nicole vient de mettre le doigt dans un engrenage infernal; ce n’est qu’une étape, mais je ne doute plus qu’elle va en demander davantage.

De mon côté, je trouve le spectacle ravissant.

Ravissant et furieusement érotique. Je relâche mon étreinte sur Snoopy. Victime de sa gourmandise, comme tout à l’heure avec le beurre de cacahuètes. Il est maintenant très absorbé par son léchage consciencieux. Nicole coule de plus en plus. Je vois une belle trainée brillante couler dans la raie de ses fesses entre sa chatte et son anus qu’il imprègne. Mais ce gourmand ne laisse rien perdre, sa langue fouille de plus belle, ma voisine n’a toujours pas ouvert les yeux.

Cette fois les petits « ho ! » du début ont laissé place à de véritables gémissements de plaisir sans équivoque.

Je m’installe sur le pouf en face d’eux pour mieux les admirer. N’y tenant plus moi-même, je glisse ma main entre mes cuisses, la tentation est trop forte.

En quelques minutes, Nicole parvient à un premier orgasme libérateur et fort sonore. Mais Snoopy ne se laisse pas distraire pour autant. Il ne lâche plus sa proie. On le sent un peu plus fébrile, je pense que l’excitation sexuelle a maintenant pris la place de la gourmandise. Sa langue mène une belle farandole, les fesses de Nicole, ses cuisses, la raie de ses fesses, son anus et sa chatte, rien n’est oublié. Nicole les bras croisés sur le visage s’ouvre à la langue canine avec une délectation évidente. Pour cibler un peu mieux elle écarte elle-même les lèvres de son sexe pour que le museau de Snoopy la fouille plus profondément. Rapidement, agrémenté de petits gémissement et couinement de bonheur, un deuxième orgasme déferle, bien plus puissant que le précédent. Nicole se détend, mais le chien manifestement n’est pas encore satisfait.

– Houaaaaaaaaa… Françoise, mais c’est géant ! Jamais je n’ai été léchée comme ça. J’imagine le reste !

Elle se lève brusquement. Snoopy à ses pieds l’observe. Elle se désape complètement, ouvre son top qui est en fait un cache-cœur, libère deux énormes seins lourds, agressifs. Effectivement, elle a une superbe poitrine. Elle dégrafe sa jupe. Le tout valdingue sur le bout du sofa. Ma belle voisine, qui l’eut cru un jour, enseignante locale de la bonne parole ecclésiastique, est complètement à poil, au milieu du salon.

Elle ne semble plus du tout décidée à refouler ses instincts.

Je suis complètement interloquée par ce très rapide changement d’attitude.

– Aide-moi Françoise, je n’en peux plus, j’ai trop envie de lui !
– Que veux-tu faire ?
– J’ai trop envie de me faire sauter Françoise ! Reste près de nous, au cas où. Il me fait quand même un peu flipper ce chien.
– Pourquoi ? Tu as bien vu qu’il est adorable.
– Oui, adorable et très excitant.
– Tu vois, toi aussi tu succombes à son charme !
– Tu sais Françoise, avant, j’aimerai beaucoup te voir avec lui… Pour me rassurer.
– Comment ça ?
– Ben… tu m’as dit que tu t’occupais de lui au moment où je suis arrivée. J’aimerai trop vous voir.

S’il y a une chose que je n’aime pas, c’est décevoir mes amies. À mon tour, je fais passer mon tee-shirt de nuit par-dessus ma tête, je me retrouve aussi nue que ma voisine. Elle ne se prive pas de me lorgner :

– Hum Françoise, je t’imaginais bien foutue, je ne m’étais pas trompée.

Joignant le geste à la parole elle passe doucement la paume de sa main sur mon sein droit, le soupesant doucement, me faisant frémir.

Sur le coup, j’en oublie presque Snoopy tant Nicole soudain, me donne envie de déviances saphiques. J’étais loin, en me levant ce matin, d’imaginer que nous nous retrouverions ainsi toutes les deux, nues dans mon salon et que Nicole me caresserait les seins sans aucune vergogne. Je la laisse faire, les yeux plantés directement dans les siens. Elle se rend compte de mon trouble et me demande :
– Pourquoi ne suis-je pas venue plus tôt te voir lorsque tu es seule ? J’en avais envie, tu sais, mais je n’osais pas.
– Moi aussi Nicole tu me faisais fantasmer, mais je n’imaginais pas que tu aimais les femmes et que tu étais aussi cochonne.
– Je préfère les hommes bien sûr, mais la douceur féminine est aussi très agréable et sensuelle. Mais avec toi, c’est encore mieux, bien plus excitant car nous sommes déjà amies et voisines.

Ses paroles me troublent. Je me colle contre elle, écrasant ses gros seins contre les miens, bien plus modestes. Cette douce sensation me plait particulièrement.

Nos bouches s’ouvrent et nos langues se rencontrent pour la première fois, scellant notre découverte l’une de l’autre et notre commun secret. Doucement je fléchis les jambes, descends doucement jusqu’à ce que ma bouche se trouve à la hauteur de son sexe. Quand mes lèvres touchent son clitoris trempé, elle jette le ventre en avant pour que je boive son miel qui coule doucement.

Sa jouissance est rapide et les cris qu’elle pousse me font comprendre qu’elle en veut encore.

Tout ne fait que commencer entre nous deux.

Je me relève sans la quitter des yeux, lui donne ma bouche à lécher, puis j’appelle Snoopy qui vient immédiatement me renifler les fesses. Pas besoin de lui expliquer très longuement. Je suis intimement persuadée qu’il a compris ce que j’attends de lui et de suite son museau cherche ma fente.

Je suis trempée, tremblante par l’excitation qui me prend le corps. Sans mot dire, je me mets à quatre pattes, puis les reins relevés, les fesses écartées, je lui présente mon sexe affamé et gluant.

Snoopy lui aussi semble nerveux, il gémit, me sent puis me lèche. Hum quel délice !

Je tends davantage ma croupe à Snoopy. Excité comme il est, le petit coquin ne met pas longtemps pour se mettre sur mon dos, donnant dans sa précipitation des coups de reins dans le vide. Je sens la pointe de son sexe cogner mes fesses et les premières giclées de sperme couler le long de mes cuisses. Je me cambre pour présenter l’entrée de mon vagin face à son sexe. Il s’énerve, saute sur le côté en m’envoyant un jet encore plus puissant sur les fesses.

– Aide le Nicole. Il ne trouve pas l’entrée.
– Je vais essayer de le maintenir et de le guider. Mais ce n’est pas facile, il gigote tellement… C’est dingue ce qu’il peut gicler !
– C’est tellement bon de sentir son sperme chaud sur mes fesses que j’en jouirais déjà sur le champ.
– Tu es vraiment une perverse toi !
– Oui comme toi Nicole… espèce d’hypocrite ! Allez, vite dépêche-toi, j’en peux plus, j’ai vraiment trop envie.

Snoopy se replace de lui-même et me monte à nouveau, son sexe cherchant toujours l’entrée de ma chatte.

La tête posée sur mes avant-bras, je regarde entre mes jambes et je vois la main de Nicole attirer le fourreau d’où sort un bout du sexe du chien et le présenter enfin devant mes lèvres gonflées et impatientes. Au contact chaud de mon intimité, le chien pousse violemment et rentre d’un seul coup toute la longueur de sa hampe en m’arrachant un cri de douleur, de surprise et de bonheur.

Nicole s’inquiète :

– Il t’a fait mal ?
– Un peu, mais c’est surtout le plaisir total. C’est trop bon : il va falloir que tu essaies aussi Nicole. Tu as vu avec quelle force il m’a enfilée ?
– C’est fou ! Tu me fais mouiller avec tes trucs de dingue !

Bien logé dans mon vagin, Snoopy entame des va-et-vient frénétiques. Je sens sa barre de chair rentrer en moi, la boule gonfle progressivement à sa base. Je suis trempée par sa semence et ma mouille mêlées. À chaque entrée, il va encore plus loin poussant la pointe de son sexe fin et dur dans ma chatte en feu, son extrémité frappe avec une telle force mon utérus, que j’ai l’impression qu’il le traverse.

Je tremble sous le plaisir regardant mon sexe rejeter le trop-plein de sperme qu’il déverse en moi et qui s’écoule le long de mes grandes lèvres avant de faire de longues traînées brillantes et gluantes le long de mes cuisses. Puis Snoopy ne bouge plus: il vient de me faire prisonnière.

Il me retient, le museau contre ma nuque. Il vient d’entrer la totalité de son engin en moi, déversant à grands jets une semence épaisse au fond de mon vagin. Je le sens grossir encore, s’allonger me remplir intégralement le ventre. Je suis prise, collée à lui. Je sais que Nicole apprécie de me voir dans cette position.

Se détendre avant tout, je dois me détendre pour profiter pleinement de cette délicieuse saillie.

À présent son sexe pousse plus avant, pénètre davantage, comme je ne l’ai jamais été, pleine de sa chair brûlante. Sa boule presse délicieusement les muqueuses sensibles de mon intimité. Je sens à présent mon corps frissonner, trembler, comme pris de spasmes incontrôlables. Je gémis, râle, je couine mon plaisir. Nicole est éberluée par le spectacle qui lui est offert. Elle se caresse, se doigte aussi vite qu’elle le peut, hypnotisée par le tandem contre nature que nous formons.

– Tu ne dis plus rien ! Tu as mal ?
– Non, caresse-moi, vite, je ne vais pas tarder de jouir, lui ordonnai-je d’un ton qui n’accepte aucune contradiction.

Aussitôt elle se glisse sous mon ventre. Elle me gratifie de douces caresses sur les flancs puis entre les jambes, pince au passage mon clito gonflé à éclater.

La joue collée contre le carrelage du salon, je suffoque, je suis en nage. Snoopy affalé sur mon dos ne bouge plus.

Est-ce l’odeur de Nicole en chaleur ou qui a ses règles et le fait de me saillir simultanément qui le rend aussi vigoureux ou alors simplement il a pris goût à me monter. Le fait est, il me baise royalement comme jamais je ne l’ai été. C’est décidé: j’en ferais mon amant quand Catherine voudra bien me le laisser. Je me promets même de le prêter à Nicole de temps en temps, mais uniquement en ma présence.

Justement, les doigts de Nicole font en ce moment merveille. Je ne contrôle plus rien. Je ferme les yeux, me concentre sur mon plaisir immense, imminent, imparable : je vais jouir, c’est fort. Je sens la déferlante qui grossit… inexorablement.

– Ahhh, ahhh, ouiiiii !!! Nicole… Continue, c’est divin.

Mon cri déchire le silence qui n’était jusqu’alors rythmé que par les halètements du chien. Je sens un voile noir arriver, des mouches dans les yeux, des picotements dans la tête qui descendent le long de ma colonne vertébrale et remontent de mon bas ventre en de longs papillons frissonnants.

Snoopy continue de me baiser, en donnant de temps à autre quelques petits coups de reins afin de bien assurer la prise de ma croupe. Dans ma semi-inconscience, je regarde sa semence suinter de mon sexe et s’écouler sur le sol.

– Lèche-le !
– Qui ? Quoi ? Toi ou le chien ?
– Lèche-moi, je te dis ! Colle ta bouche à mon sexe.

Comme une bonne soumise, Nicole se penche sous moi, plaque sa bouche contre ma chatte toujours prise. Par dessous, je la regarde laper, avaler le sperme qui dégouline de ma chatte distendue. C’est sublime, elle sait y faire la salope. Je suis à présent persuadée que ce n’est pas la première fois qu’elle lèche une femme.

Ce faisant, par la position qu’elle a été obligée de prendre pour se glisser sous mon ventre, elle m’offre ainsi une vue imprenable sur sa toison pubienne, fort bien entretenue. Son sexe est ouvert, ses poils gluants de mouille : elle a visiblement aimé la représentation, peut-être même serait-elle prête à y participer ? Je suis persuadée qu’elle n’en restera pas là, qu’elle demandera sa part.

Sa langue titille mon bouton, suçant, léchant aussi les lèvres et sans doute la tige de Snoopy toujours plantée en moi. De loin, je sens arriver une nouvelle déferlante de plaisir, les premières vibrations me le disent.

Le sexe fiché en moi excite les parois de mon vagin. Les caresses buccales de mon experte partenaire ainsi que les odeurs musquées de sa vulve dans laquelle je viens de plonger ma langue avide m’amènent sans coup férir à l’apogée de la jouissance.

La précédente vague avait été sublime, mais celle-là s’annonce dantesque.

Snoopy toujours imperturbable m’inonde de son jus : Nicole elle, se délecte du trop-plein coulant de long de ma fente et moi je sens que je perds tout contrôle, mon bassin s’agitant frénétiquement à la rencontre du chien. Je le veux encore plus en moi, plus loin.

Sa pointe est fichée au plus profond de ma chatte, son bout tapisse mon utérus de jets de sperme et sa boule écartèle mes lèvres. Mes seins sont tendus comme jamais, mes tétons hypertrophiés. Tout en moi n’est plus qu’une zone érogène.

Je dévore la chatte de Nicole qui me le rend bien. Elle geint comme une possédée. La situation lui a échappé à elle aussi. Les contractions dans mon anus et dans mon ventre précédent l’arrivée proche d’un nouvel orgasme.

Comme une malade, je souffle, halète, gémis, grogne et crie enfin ma jouissance. Pour la première fois, je jouis grâce à un chien en présence d’une autre femme ! C’est contre nature mais c’est merveilleux. Tout mon être n’est que tremblements, spasmes, frissons de plaisir. Ma jouissance est si forte, que le sexe de Snoopy est éjecté, laissant échapper par ma chatte béante, une giclée de sperme sur le visage de Nicole.

Elle n’a jamais vu pareille abondance. Ses cheveux maculés, la bouche gluante d’un mélange de salive, sperme, mouille, elle fixe l’énorme queue qui pend devant ses yeux et continue à déverser les dernières giclées sur sa bouche affamée.

Épuisée, je tombe inanimée sur le sol, parcourue par des décharges résiduelles, c’est à peine si je vois Nicole se précipiter sur Snoopy, observer sa tige et la prendre en bouche goulûment.

– Prends-la dans la bouche ! Avale-la, suce-la !


Elle n’a pas attendu que je lui dise ce qu’elle a à faire. Sans dégoût, elle attrape l’énorme pénis entre ses mains et l’embouche, lui laissant lâcher les dernières gouttes de semence sur sa langue.

La taille de l’engin est toujours aussi impressionnante !

Je la regarde pomper comme si c’était le sexe d’un homme, léchant, glissant sa langue autour de la boule énorme. Je suis heureuse pour elle. Elle vient en moins de deux heures de m’embrasser, de me lécher, de se faire lécher par un chien et maintenant sans aucune gêne, sans aucun dégoût, elle le pompe avec avidité.

Nicole lâche sa proie et se tourne vers moi:

– Alors! Tu as aimé ? Et moi, tu trouves que je me débrouille bien ?
– C’était divin ! Je ne sais quoi faire pour te remercier et pour ce qui est de tes prestations: à un moment, je me suis demandé si tu ne t’étais pas déjà servi d’un chien toi aussi.
– Je te jure que c’est la première fois, mais je ne regrette pas ma visite.

Je me lève, mais avant de foncer à la salle de bains, je me retourne vers Nicole et lui demande :

– Tu veux bien répondre à deux questions et me parler franchement ?
– Lesquelles ?! me répond-elle, ne relâchant toujours pas le sexe, le laissant s’écouler le long de ses seins.
– On recommence cette séance demain matin, et cette fois, c’est ton tour ?
– J’hésite, tu sais, mais si tu m’aides, comme je viens de le faire pour toi, je crois que je vais me laisser tenter ! Vous m’avez rendue complètement dingue ! J’ai le ventre en feu maintenant.
– Je t’aiderais si tu en as envie, je te le promets. D’ailleurs, tu peux tout me demander, tu peux faire et essayer tout ce que tu veux avec moi désormais, je serais toujours partante. Même quand le chien ne sera pas là. Dommage qu’il ne puisse te saillir maintenant. Regarde-le, le pauvre, il est complètement vidé…
– Ce n’est pas grave, je dois partir de toute façon. Mais je reviens demain matin, dès que ton mari sera parti.
– Tu ne perds rien pour attendre Nicole, demain, ça va être ta fête ! Allez, viens dans la salle de bain faire un brin de toilette. Je vais m’occuper de toi. Après, il faut que je fasse un peu de ménage avant le retour de Philippe.

Ma voisine rassemble ses effets et nous nous dirigeons toutes deux vers la salle de bain, main dans la main, abandonnant notre Snoopy à un repos momentané, mais bien mérité.

Fin

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

6 réponses à Françoise et Snoopy – 2ème partie par Françoise_Z

  1. Nina dit :

    J’ai adoré cette histoire, moi-même parfois pratiquante

  2. Sapristi dit :

    Comme quoi la zoo bien écrite et sans surenchère peut être très agréable à lir et même excitante

  3. Pilouface dit :

    C’est exceptionnel ! Le sujet ne m’attirait pas au départ. Mais j’ai rapidement été subjugué dès le premier épisode. Merci pour ce petit bijou.

  4. Vorimore dit :

    Fantastique, absolument fantastique

  5. Lucia dit :

    Encire mieux que le premier épisode, puisque nous avons maintenant deux coquines

  6. boumboum dit :

    On sort de cette lecture dans un drôle d’état… en ce qui me concerne je me suis tapé une bonne branlette ! merveilleux récit, auteur talentueux, fantasme extrême, respect, que demande le peuple ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *