Florence et César par Sylvain Zerberg

Florence et César par Sylvain Zerberg

C’était un beau samedi de printemps. Je décide donc d’emmener mon chien, un setter, pour une promenade digestive. Il y a un parc magnifique pas loin de chez moi dans lequel nos amis à quatre pattes sont admis. Mon chien est très obéissant et je peux me passer de le tenir en laisse. Il va ainsi à droite et à gauche pendant que je continue de marcher.

Je croise d’autres promeneurs jusqu’à ce que … :

– Tiens, Florence ! comment vas-tu ?
– Et bien comme tu vois, je fais du jogging.

Mon chien, me voyant arrêté, revient sur ses pas et s’approche de Florence par derrière et, comme n’importe quel chien, lui flaire les fesses. Surprise, elle sursaute et pousse un petit cri. Je la rassure aussitôt, m’excuse et fais asseoir César. Nous ne discutons pas longtemps car elle doit finir son jogging, mais elle me propose de passer boire un verre d’ici une heure et demie, le temps de rentrer chez elle et de prendre une douche. N’ayant rien à faire de mon après-midi, et Nicole, ma femme, ne devant rentrer que tard ce soir, j’accepte l’invitation.

Je dois vous dire que Florence n’est qu’une copine de notre couple. Nous la voyons de temps à autre sans jamais avoir essayé d’approfondir nos relations. Elle est sympa, sans plus. C’est une jeune femme d’une trentaine d’années, charmante blonde aux cheveux bouclés, avec des yeux d’un bleu profond et très souriants et une poitrine avantageuse.

Ayant fini la promenade, nous nous dirigeons, César et moi, là où habite Florence, un petit immeuble de deux étages ou elle occupe un appartement charmant. Je sonne et presque aussitôt la porte s’ouvre. Notre hôtesse a échangé sa tenue sportive contre une petite robe légère s’arrêtant juste au-dessus du genou. Une colonne de boutons la tient fermée. Je m’assois dans le canapé alors qu’elle choisit le fauteuil situé juste en face. Les rafraîchissements sont déjà sur la table et nous commençons à boire en discutant sur le fait que cela faisait un bon bout de temps que nous ne nous étions pas vus. Je lui expliquais que Nicole en moi avions une vie très dense, et que ce n’était pas facile de garder contact avec tout le monde. Pendant ce temps, César visitait l’appartement et flairait le moindre recoin.

– Si cela te gêne, je peux l’attacher sur le balcon ?
– Mais non, ne t’inquiètes pas, j’ai l’habitude des animaux.

Et, laissant faire toutou, nous continuons de parler de choses et d’autres. Les lieux ayant été inspectés, le chien vient maintenant quémander quelques caresses. Vers moi tout d’abord. Puis il se dirige vers elle, s’assoit, la regarde et attend la caresse. Florence lui pose la main sur la tête, et le chien, satisfait, pose sa tête sur les genoux de la propriétaire de la main. Pour mieux profiter des caresses, César s’avance un peu plus et vient se placer tout contre le canapé, entre les jambes de la jeune femme.

– Il a vraiment un poil soyeux, dit-elle en continuant de donner des caresses.

Elle a vraiment l’air d’aimer les animaux, et le chien le sent bien et se love de plus en plus entre ses jambes.

Mais c’est un mâle, avec tous ses instincts de mâle. Je vois son museau plonger devant lui et sa truffe aller flairer le pubis de Florence. Surprise par ce mouvement, elle tente de retenir César, mais n’osant lui faire mal, elle le laisse faire en continuant de le caresser. Je me lève, me préparant à le tirer par le collier.

– Non, laisse-le ! il ne fait pas de mal ! me dit-elle d’une voix légère.
– Tu es sure?
– Oui, il finira bien par s’arrêter…

Je me rassois donc, prêt à intervenir à nouveau, et je suis abasourdi par ce que je vois se dérouler devant moi. Florence, tout en lissant les poils de l’animal, se laisse aller en arrière et ne semble pas gênée du tout par ce qu’entreprend César. Son museau est planté dans le haut des cuisses de la jeune femme, et je l’entends flairer sa découverte.

Florence me sourit en remarquant que mon chien est un coquin, mais elle ne fait rien pour échapper à la truffe inquisitrice. Je vois ses mains se déplacer sur l’ouverture de sa robe et défaire le bouton situé au niveau de sa petite culotte. Le museau s’engouffre alors dans la brèche et commence à donner de petits coups de langue, comme pour déguster. Elle laisse aller sa tête en arrière et, un sourire béat sur les lèvres, s’abandonne totalement. Je n’en reviens pas, je n’ai jamais assisté à une scène pareille. Les mains posées sur le crâne du chien, elle émet de petits gémissements de plaisir.

Le spectacle est vraiment étrange, mais il me trouble un peu. Je rêve, ce n’est pas vrai, je vais me réveiller. Mais non, les images continuent de défiler sous mes yeux. Une érection naissante se fait ressentir et je pose ma main sur mon pantalon pour tenter de la contenir. Le chien, lui, continue son exploration et je vois sa langue fureter sur la petite culotte. Puis, soudain, une main se fraye un passage et vient tirer sur le côté cet obstacle de tissu. Le chien se met à trembler et son museau s’agite. Sa truffe poursuit l’exploration et se met à frotter la toison blonde de la demoiselle qui, le regard dans le vague, écarte le plus possible son slip en coton. Je vois ses cuisses continuer de s’ouvrir lentement, laissant ainsi plus de place au fouineur.

Je m’imagine à la place de mon compagnon, et l’érection se fait plus violente. Ma main pénètre par ma braguette ouverte et masse mon sexe qui durcit de plus en plus. La truffe de César a maintenant trouvé l’ouverture secrète et commence à s’insinuer entre les grandes lèvres du magnifique sexe féminin qui s’offre à lui. Sa langue continuant de laper à petits coups. Florence est aux anges, elle ferme les yeux et passe sa langue sur ses lèvres d’un air réjoui.

Moi, je suis dans un état second, et sans m’en rendre trop compte, je me lève et sors ma queue que je commence à branler. Puis, je vais me placer à côté du fauteuil où se trouve Florence. Ma main libre se pose sur sa poitrine. Aucune réaction de sa part, comme si elle s’attendait logiquement à cette suite. Juste son sourire qui se fait plus radieux. Je commence à masser sa belle poitrine à travers la robe, puis mes doigts se glissent entre deux boutons et vont au contact direct de la peau soyeuse de ses seins. Le bout de mon index entre en contact avec un mamelon qui se tend encore plus. Il se met à jouer avec, le fait rouler sur lui-même, ce qui a pour effet de tirer des gémissements plus forts de la gorge de notre partenaire. Florence, écartant toujours sa culotte de la main gauche, vient saisir mon sexe de la main droite et le presse doucement comme pour en tester la consistance. Je vois César s’exciter de plus en plus, son museau fait des mouvements de plus en plus désordonnés et sa tête donne l’impression de vouloir entrer de force dans cette grotte humide et odorante. La tête de Florence balance de droite à gauche et elle gémit de plus en plus.

Puis, soudain, elle repousse le chien, se met à genoux devant le canapé, relève sa robe, dévoilant ainsi une magnifique paire de fesses, et s’accoude sur le canapé. Aussitôt, César revient à l’assaut, et pointe sa truffe sur la zone sensible de Florence qui sursaute de plaisir au contact. Le chien, totalement excité, jette ses pattes avant sur le dos de la jeune femme, et enserre sa taille, son sexe venant se placer entre ses cuisses. En appui sur un coude, Florence le guide en elle avec un soupir de plaisir. César entame aussitôt « la danse du mâle sur la femelle ». Florence gémit de plus en plus et, de sa main libre, saisit mon sexe et le porte à ses lèvres. Sa langue se lance alors dans une farandole endiablée autour de mon pieu qui, me semble-t-il, va éclater. César s’active vivement dans le sexe de la jeune femme, ses yeux sont exorbités. Pendant ce temps, ma main s’est glissée dans ses cheveux et je la plaque contre mon bas-ventre avec l’envie d’être aspiré totalement par cette bouche pulpeuse. Le chien, lui, se crispe et se répand dans la chatte de Florence. Il se retire, et se met à la lécher, puis va se coucher dans un coin.

La jouissance n’est pas loin de nous gagner et c’est à longues saccades que j’éjacule au fond de la gorge de ma partenaire, pendant qu’elle se crispe et se met à pousser un long feulement et s’écroule sur le canapé.

– Je suis vraiment une salope ! Dit-elle en riant aux éclats

fin

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3 réponses à Florence et César par Sylvain Zerberg

  1. Robinson dit :

    Dommage qu’on ne sache pas grand chose sur les personnages. Et puis l’action arrive vraiment trop rapidement !

  2. Duchatel dit :

    Fallait oser, mais ce n’est pas mon truc

  3. Lucia dit :

    Faut toujours se méfier de l’eau qui dort

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