Plaisirs de femmes par Micheyl

Plaisirs de femmes par Micheyl

La soirée commençait à se terminer. Comme d’habitude chez Sophie et Marc les buffets étaient excellents, les boissons abondantes et les gens devisaient agréablement sur la grande terrasse ou autour de la piscine. Mais il était l’heure de rentrer et la plupart des convives prenaient congé de leurs hôtes. Sauf certains… Sophie discrètement avait distribué des petits cartons de couleur à quelques invités pour leur demander de rester. J’en avais reçu un bleu, avec le numéro 8, ma femme également, un rose avec le numéro 2. C’était mystérieux mais les souvenirs des soirées passées nous excitaient.

Bientôt, Sophie et Marc compris, nous étions vingt-quatre à nous retrouver dans le jardin, autour de matelas judicieusement disposés pour former une grande arène. Sophie nous expliqua alors ce qu’elle attendait de nous.

– Chaque femme a un numéro sur son carton rose. Elle va se rapprocher de l’homme qui a le même numéro sur son carton bleu.

Ce fut vite fait, les couples s’étaient formés, je me retrouvais avec une jeune femme très fine, presque androgyne mais avec beaucoup de charme. De son côté elle ne semblait pas indifférente à ma personne.

– – Bien. Maintenant Mesdames, vous allez déshabiller entièrement votre cavalier.

Mon effeuillage commença donc, avec un sourire carnassier de mon effeuilleuse qui ne se priva pas de regarder mon entrejambe. Ma verge avait déjà pris de l’ampleur lorsque Sophie reprit la parole.

– – Qu’ils sont mignons ces angelots. Voyons quand même s’ils vont pouvoir nous servir. Mesdames, faites-les bander, je les veux tous au garde-à-vous.

Stupeur générale chez les hommes qui se regardaient les uns les autres, rires canailles chez les femmes qui se mirent immédiatement au travail. J’aperçus la mienne qui gobait déjà les testicules de Marc tout en lui pinçant les tétons. Une caresse que je pensais m’être réservée. Mais pas le temps de réfléchir, mon gland venait d’être aspiré par deux lèvres gourmandes. Une langue tournoyait autour pour mon plus grand plaisir, tandis que le pouce et l’index de ma cavalière formaient un anneau bien serré à la base de ma verge. Inutile de dire que mon érection ne se fit pas attendre.

Sophie demanda la fin des hostilités, nous fit mettre en rang. Douze hommes alignés, le sexe en rut, prêts à en découdre. Toutes les femmes défilèrent devant nous, sans se priver de commentaires sur nos attributs, entretenant nos érections avec de discrètes caresses. Où cela allait-il nous mener ?

– – Bien Messieurs, nous avons vu le côté face, voyons le côté pile maintenant. Mettez-vous tous en levrette, et écartez bien vos fesses avec vos deux mains.

Les femmes éclatèrent de rires, applaudissant à cette idée fantasque. Nous évidemment nous étions très gênés. Déjà nous avions pu chacun regarder le sexe en érection des autres hommes. Des fois qu’ils soient plus grands, plus beaux, que nous ayons l’air ridicules ou peu gâtés par la nature.

Sophie était intraitable et il fallait bien obéir. Après tout ce n’était qu’un jeu. Certains durent quand même être forcés, sous peine d’exclusion. Et nous voilà tous soumis, les fesses en l’air, le trou de balle dégagé, et notre ego en berne.

– – Mesdames, ne vous privez pas d’une petite inspection générale de nos étalons.
Ensuite chacune va reprendre son cavalier attitré.

Et le défilé recommença, toutes venant regarder nos petits plissés, avec force de commentaires salaces. Les voix étaient quand même très troublées. Mon érection se maintenait en imaginant ces douze femmes regardant notre intimité, le ventre chamboulé, les culottes humides.

– – Bien. Tenez, voici pour chacune un tube de lubrifiant. Vous allez nous préparer tous ces culs. Qu’ils glissent bien. La langue d’abord si vous voulez, ensuite un doigt et puis deux. C’est parti.

Il y eut bien quelques protestations dans les rangs des mâles mais je les ignorais vite en sentant deux lèvres se poser au milieu de mes fesses. Une langue montait et descendait dans ma raie, humidifiait mon anus, forçant l’entrée. J’oubliais également ma position, profitant de la caresse et de l’étrangeté de la situation. Puis je sentis un liquide froid et épais sur ma petite porte, avant qu’un doigt inquisiteur s’introduise dans mon fondement. Avec application ma cavalière lubrifiait mon rectum, remettant du gel, allant le plus loin possible avec son index. Changement de doigt, c’était à présent le majeur qui venait d’aller encore plus profond. Une apparente Sainte Nitouche qui ne manquait assurément ni d’expérience ni de goût pour toutes les facettes d’un homme. Deux doigts me firent sursauter en élargissant le passage. C’était à la limite de la douleur, mais cette douleur redescendait vite, laissant place à un vrai plaisir. Celui d’être totalement offert, sans pudeur et de profiter pleinement d’un plaisir anal que les hommes n’osent souvent pas découvrir. Pour ma part, entre mes parties de jambes en l’air avec ma femme et quelques parties fines y compris avec des hommes, mon pucelage de ce côté n’était plus qu’un lointain souvenir.

– – Bien. Changement de programme. Maintenant qu’ils sont prêts, apprêtons-nous aussi. Mesdames, déshabillez-vous et venez vous placer devant votre cavalier.

Ce fut vite fait tant elles étaient excitées. Faire bander des hommes nus sans être touchées, les voir le cul à l’air, les pénétrer, les avait profondément troublés.

– – Messieurs, relevez un peu la tête et montrez-vous experts en coups de langue. Vérifiez que votre cavalière est bien en forme ! Et bavez bien, je veux du mouillé ! Cette séquence s’arrête dès que chacune a pris son pied.

Cette fois sans me faire prier, me voilà parti dans un cunni, elle debout, moi dans une position pas très confortable, mais enivré par son odeur. Son sexe était un parfait abricot, bien fermé. Ma langue s’y insinua timidement et je me préparais à l’ouvrir doucement. En fait il était déjà inondé. La belle crochait se mains dans mes cheveux guidant mes va-et-vient. La situation follement érotique me faisait bander à en avoir mal pendant que ma langue ne savait plus où donner de la tête et que ma tête ne guidait plus ma langue ! J’aurai voulu pouvoir en même temps explorer ses fesses, ses minuscules seins, sucer sa petite porte, mais je devais suivre les règles.

Le ventre commençait à onduler, le souffle à s’accélérer et brusquement les mains se crispèrent sur ma tête, m’enfonçant profondément dans ce sexe offert. Elle était prise de tremblements, elle avait crié et j’étais détrempé.

– – Ça y est ? Vous avez toutes pris un acompte ? Alors venez toutes vers moi. Et vous les p’tits culs, restez en position.

En tournant un peu la tête, je vis Sophie ouvrir un coffre et distribuer à chaque femme un objet bizarre avec me semblait-il des sangles. De quoi s’agissait-il ? Sur les ordres de Sophie, chaque cavalière se plaça devant son partenaire et c’est alors que je compris, secoué de frissons à la fois d’appréhension et de désir inavoué.

– – Mesdames vous avez chacun un gode ceinture. Ajustez-le bien, il va grandement vous servir. Vous constaterez aussi pour votre plus grand plaisir, qu’un second gode intérieur est prévu pour vous. Mettez-le d’abord dans votre vagin, puis ajustez les sangles. Si ça ne rentre pas bien, redemandez des coups de langue à votre soumis.

Pour ce qui concernait ma cavalière, elle était tellement excitée qu’elle n’eut pas besoin de mon aide pour se pénétrer, fixant calmement ensuite le gode ceinture avec des sangles sur sa taille et le haut de ses cuisses. Le gode, qui me semblait énorme, bandait fièrement entre ses jambes, formant un tableau obscène et impressionnant. Je sursautais en apercevant ma femme pas loin de moi, pareillement équipée. C’était hallucinant. Douze hommes les fesses en l’air, le fondement luisant de gel, soumis volontaires mais impuissants à se rebeller, face à douze femmes dotées d’un chibre bien droit, prêtes à en découdre, terriblement excitées par la situation. Combien d’entre elles ressentent en ce moment un profond sentiment de revanche, devenant dominatrices. Pas une n’a certainement la rosette inexplorée, mais combien ont été un jour dans une telle situation ?
Pour ma part, n’ayant aucun caractère de soumis, ni d’ailleurs de dominateur, je trouvais cette soirée particulièrement originale et j’étais bien décidé à jouer le jeu jusqu’au bout. A ce moment il est vrai, je ne connaissais pas la suite !

Sophie avait mis en place son propre gode ceinture et donna le top départ des festivités de ces dames !

– – Mesdames, vous avez quartier libre. Amusez-vous, jouissez de ce qui est dans votre vagin, jouissez de votre nouveau sexe de mâle, jouissez des cris, des soupirs et des supplications de nos douze troudebalisés. Vous commencez par sodomiser votre partenaire, mais ensuite vous avez toute liberté pour échanger et tester tous ces trous du cul. Allez-y, gel et orgasmes à volonté pour vous, ne vous souciez pas d’eux.

Ce fut une hystérie collective. Les femmes étaient déchaînées, certaines criant de joie, d’autres gloussant, d’autres encore nous assurant nous, les mâles, que nous allions en prendre plein le cul. Chacun d’entre nous fut très rapidement « en mains ». Ou plutôt en gode. La mienne m’a demandé de bien ouvrir mes fesses, posa le bout du gode sur ma petite porte, se ravisa et remit un peu de gel, puis revint, et l’explosion commença. Le gland de latex m’a pénétré d’un coup, je ne l’attendais pas si vite. J’étais instinctivement un peu fermé et j’ai crié sous l’assaut. Heureusement ce n’est pas sa première fois. Elle fait une petite pause, j’ai la tête dans un étau, je ne vois ni n’entends plus rien, ne vivant que par mon anus violé. C’est peut-être dans un rêve qu’il m’a semblé qu’elle me disait quelque chose. Du genre « tu peux crier tant que tu veux, je vais quand même te l’enfoncer au plus profond du cul ». Mais je ne peux le jurer d’autant que le gode vient de s’enfoncer un peu plus, forçant les deuxièmes sphincters. Nouvelle pause, elle croche à nouveau se mains dans mes cheveux et me tire la tête en arrière.

– – Gardes tes mains sur tes fesses et écartes bien mon bonhomme. Sinon je te garanti que tu vas implorer ta mère !

Ouille ouille ouille. Elle est à fond dans le jeu et va jouir de la situation. A peine j’ai pensé ça que le gode reprend sa progression. J’ai mal. Ça continue. J’ai très mal. Puis tout semble s’accélérer, le gode est entièrement en moi, la douleur s’estompe, fait place à une sensation d’apaisement, de plénitude. Au milieu de douze coreligionnaires je suis là, dans ce jardin, le cul gluant, sodomisé par une femme qui ahane derrière moi. Ses mouvements sont pour l’instant réguliers et je sais bien qu’en réalité elle se cale sur ce qui frotte l’intérieur de son ventre, les yeux rivés sur un sexe contre nature pour elle qui entre et ressort sur toute sa longueur, entre deux fesses d’homme. Un homme qui se tortille sous elle, gémissant. Pas très obéissant puisqu’une de ses mains arrête d’écarter ses fesses pour aller se tripoter par en dessous. Peu importe, elle sait qu’une sodomie bien profonde fait plaisir au mâle mais n’est pas du plus grand effet sur son érection. Elle a donc tout le temps d’en profiter. Non, en fait pas vraiment car le plaisir monte de son ventre sans signe annonciateur et elle s’effondre sur le dos de son souffre-douleur.

Le gode ressortit de mon fondement, laissant l’anus largement ouvert et moi pantelant, toujours en levrette. C’était bon ; je voudrais maintenant qu’elle me suce, me redonne vigueur et me fasse jouir. Mais c’est incroyable, elle est carrément partie.

– – Moi je veux celui là-bas avec le gros cul. Moi le petit serré du milieu. Moi les filles vous faites ce que vous voulez mais je me réserve celui qui est couvert de poils. Tiens, je vais m’envoyer celui-là, ça a l’air d’être un timide. Oh regardez, lui il a encore le cul grand ouvert…

Incroyable ! Elles étaient toutes incroyablement excitées, sans plus aucune pudeur, nous n’étions plus que des objets de plaisir pour elles. Elles avaient des godes et des trous du cul d’hommes pour jouir sans retenue. Pour s’exploser le vagin, s’exploser la tête en brisant tous les tabous et tous les interdits, et accessoirement, mais sans s’en soucier, en brisant à la fois nos réticences et la partie la plus intime de notre fierté d’homme.

Combien en ai-je pris ? Impossible à dire tellement j’étais laminé, broyé, à la fin de la soirée. Je me souviens de la deuxième qui s’est positionnée sur moi et m’a enculé d’une seule poussée avec un mugissement féroce. Elle jouissait sans discontinuer avec plus de vocabulaire ordurier que n’en propose mon dictionnaire d’argot. Il y en a eu d’autres. Peut-être pas douze mais d’autres. Et ma femme n’était certainement pas de reste puisque venue derrière moi je l’ai entendu distinctement :

– – Ah non. Celui-là, je l’ai quand je veux.

La salope, la dépravée, je suis sûr qu’elle en profite à fond et qu’elle doit avoir les cuisses ruisselantes à grand renfort d’orgasmes répétés. Moi je n’en peux plus. Impossible de tenir la levrette, je me suis écroulé. Mais même allongé, l’une d’elle s’est encore vautrée sur moi profitant de ma rondelle. Elle entrait et sortait avec application, prenant tout son temps. C’était presque adoucissant après ces assauts violents. Je ressentais un petit début de vigueur dans mon sexe, mais à son tour elle m’abreuva de son orgasme et me quitta sans plus de formalités !

Nous étions tous les douze hommes allongés, pantelants, ivres du cul. Une expérience pour nous tous. Certes bien peu devaient regretter. Certains avaient franchement éjaculé parfois aidés par une main féminine charitable, mais bien plus de chibres avaient tout au long de la soirée laisser perler des coulures, d’autres encore, comme le mien restaient avec leur semence mais rassasiés . Mais comment nous relever, comment regarder en face ces femmes complices, rieuses, qui nous avaient réduits à l’état de sex-toys ? Il fallut bien nous mettre debout, nous suivre vers la douche, nous dire pour nous rassurer que nos femmes étaient des salopes et qu’elles ne perdaient rien pour attendre.

Nous sommes revenus sur le ring, nos femmes étaient habillées et sirotaient un verre. Certaines avaient un regard de victoire, d’autres d’ironie, d’autres fermaient les yeux encore à leur plaisir. Ma femme me regardait avec tellement de tendresse que j’allais l’embrasser et me perdre dans sa poitrine.

C’est elle qui a conduit pour rentrer. Nous ne disions rien, j’avais les yeux fermés en repensant à toutes les sodomies dont moi, libertin certes mais mâle viril et averti, j’avais été l’objet. Une fois à la maison ma femme m’a demandé si j’avais aimé. J’ai bien dû reconnaître que oui, pourtant je n’avais joui à aucun moment.

– – Ce n’est pas grave, la nuit n’est pas finie…

Sa bouche s’est posée sur mon sexe. Il a fallu toute son expérience et sa patience pour obtenir une érection, mon ventre tout entier étant tourné vers les soubresauts de mon intérieur intime. L’orgasme m’a dévasté. Il a été long à venir, de très loin, il s’est manifesté d’abord par une érection plus forte, plus sensible, par une démangeaison de mon chibre, puis par des contractions de mes reins. J’ai alors senti ma semence monter, forcer le passage puis exploser dans une bouche complice.

J’étais lessivé. Ma femme aussi, mais avant que je sombre dans un sommeil béat, elle m’asséna la dernière surprise de la soirée :

– – Au fait, Sophie nous a fait un cadeau à chacune. Regarde.

Très fière, elle me montrait le gode ceinture qu’elle avait utilisé sur je ne veux même pas savoir combien d’hommes.

fin

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2 réponses à Plaisirs de femmes par Micheyl

  1. Jugan dit :

    Engodez-moi les filles, je vous offrirais des fleurs

  2. Pilouface dit :

    J’ai bien aimé cette ronde infernale. Le sixième à partir de la gauche, c’était moi.

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