Les années 70 2 – Le client par Alban

Les années 70
2 – Le client
par Alban

LES ANNEES 70 (Suite)

En acceptant que ma femme se fasse baiser par d’autres, et en l’encourageant même dans cette voie, il y avait pour moi le coté excitant de la chose, mais aussi ça me donnait bonne conscience pour baiser de jolies secrétaires. Je m’inventais pour l’occasion des réunions et je n’en bandais que mieux en imaginant de son coté ma femme en train de se faire enfiler.

Mais bizarrement, alors que je lui permettais tout, elle n’aurait pas supporté l’idée que je touche à une autre femme. C’est sans doute une des raisons, au-delà de l’excitation qui l’amenèrent à se faire baiser en ma présence. Au moins j’étais là. Je n’eus pas besoin de lui demander de me présenter ses autres collègues. Le uns après les autres ils la baisèrent devant moi. Parfois elle me prévenait :

« Si tu veux ce soir je te présenterais un autre collègue. »

Parfois c’était en faisant une allusion à mes cornes que l’invité avait contribué à faire grandir.

Elle n’avait rien d’une femme soumise et aurait pu sans se soucier de moi mettre la main à la braguette de nos invités, sortir leurs bites et se mettre à les sucer mais, et je lui en sais gré, en fine psychologue elle préférait que ce soit moi, son mari qui la trousse et l « ’offre » à nos invités.

Toujours égale à elle-même, ensuite elle écartait les cuisses et suçait les bites avec un naturel et une impudeur qui parfois me déconcertait.

Devant une belle bite elle était comme une gamine devant une friandise la suçant avec application, sans me quitter des yeux, s’arrêtant pour la branler en faisant des commentaires. Rapidement elle avait acquit un vocabulaire de circonstances et certains mots dans sa bouche étaient encore plus excitants sans être vulgaires. Il était assez fréquent qu’en revenant de certaines « réunions » je la trouve au lit avec un de ses collègues, ou le copain de l’un d’eux.

Malgré une soirée agitée et une fatigue certaine, voir ma femme se faire baiser me redonnait juste suffisamment de vigueur pour ne pas perdre la face.

Elle savait que ça m’excitait, que j’aimais la voir avec une nouvelle bite entre les cuisses et dans la bouche et sans aucune gêne si le type était d’accord ne voyait aucun inconvénient à ce que je fasse une photo. Des photos j’ai pu en faire car c’était au moins 3 fois par semaine que je la trouvais à poil au lit avec un collègue ou un inconnu.

Un soir après le départ d’un « copain de Jacques » excédé que d’autres que moi pourvoient à l’appétit de bites de ma femme, je lui dis que moi aussi, comme Jacques, j’avais des copains à lui mettre entre les cuisses, capables d’apprécier ses innombrables qualités de bonne salope.
Elle me sauta au cou :

« Mon chéri, comme tu ne me l’as jamais proposé, je pensais que ça te posait problèmes de faire baiser ta femme par quelqu’un que tu connaissais, mais si ce n’est pas le cas, moi je suis tout à fait d’accord. »

Elle se fit chatte et me murmura à l’oreille :

« Tu en as beaucoup dis des copains ? »

Ma femme avait vu juste. Je me voyais mal dire à des copains ou à des collègues :

« Ma femme est une salope, elle aime se faire baiser devant moi, viens donc un de ses soirs lui glisser ta bite entre les cuisses ».

Maintenant, en 2007, ça se passerait sans doute différemment, les parties fines entre amis, sans être courantes, sont quand même plus répandues qu’en 1967 car ce que je viens d’évoquer se passait en effet vers la fin de cette année là.

Des copains, bien sur j’en avais. Après les avoir passé tous en revue, je ne voyais que Michel un collègue, célibataire, représentant comme moi, à qui je pouvais proposer de venir baiser ma femme. Il restait à trouver comment lui faire une telle proposition.
Ma femme ne me parlait plus de mes copains et continuait certains jours à se faire baiser par les « copains » que Jacques nous proposait.

Noël arriva, avec ses obligations familiales. La famille de mon épouse était plutôt BCBG, bourrée de principes et de bonnes manières et c’était très excitant de les entendre pérorer sur la décadence morale de la société devant leur fille, une bonne salope qui se faisait presque quotidiennement baiser et enculer.

En début janvier j’étais bien décidé à parler à Michel. J’étais de plus en plus convaincu qu’il plairait à ma femme. J’en trouvais l’opportunité en début d’année pour l’anniversaire de mon patron. Il avait invité chez Le Doyen les cadres les représentants et leurs épouses ainsi qu’une quarantaine de clients parmi les meilleurs.

C’était une première, aucun de nous ne connaissait l’épouse de l’autre. Sans rien dire de mes projets, j’avais insisté auprès de mon épouse pour qu’elle soit la plus discrète possible. Quand je la vis enfiler une longue robe noire au décolleté généreux, sans soutien gorge ni slip, j’ai commencé à être très inquiet, mais elle promit de s’efforcer d’être sage.

Michel comme à son habitude arriva en retard.

J’étais en conversation avec un de mes clients tout en surveillant ma femme qui discutait avec un autre client, un beau mec, à la tête d’une grosse entreprise. Quand mon client se dirigea vers le buffet, Michel s’approcha de moi et me glissa à l’oreille.

« Il y a du beau linge ! T’es venu avec ta femme ? Tu me la présenteras ». Bien sûr que j’allais la lui présenter c’était l’occasion ou jamais.

Il promenait son regard sur l’assistance :

« Il a ce soir pas mal de femmes que j’aimerais bien me mettre sur le bout du gland. »

J’aurais bien ajouté que me femme ne demandait que ça, mais le laissais poursuivre. Il m’indiquait les femmes qui à son avis devaient être de bonnes salopes, j’espérais qu’il désignerait aussi ma femme qui se trouvait pourtant dans son champ visuel et c’est moi qui demandais :

« Et la brune qui discute avec J. D… »

La réponse se fit attendre :

« Oui ! Elle a de la classe et c’est souvent celles qui n’en ont pas l’air qui sont les plus belles salopes »

Je ne pouvais pas louper l’occasion. J’avalais ma salive et m’éclaircissant la voix :

« Tu as raison c’en est une ! »

Ca y est, c’était dit et j’appréhendais un peu la suite. Michel étonné demanda :

« Ah bon ! Tu la connais ? Tu l’as sauté ? C’est un bon coup ? »

Plus question de faire machine arrière

« Excellent coup, et tu ne t’es pas trompé c’est une vraie salope ! »

J’étais un peu mal à l’aise de parler ainsi de ma femme et pourtant je commençais à bander. Michel aussi s’excitait.

« Remarque ton client avec qui elle discute à la réputation d’être un bon queutard, il va certainement se la faire cette salope. Faut que tu me la présentes »

Il enchaîna sans transition,

« Au fait ta femme, elle est où ? »

C’était le moment ou jamais :

« Elle discute avec le bon queutard »

Ouf ! C’était lâché ! Michel resta un moment complètement interloqué, il me regarda, regarda ma femme :

« Non ! Tu déconnes ou quoi ? »

C’est un peu à l’écart que je lui expliquais que je ne déconnais pas. En quelques phrases préparées à l’avance et mille fois répétées dans ma tête je lui relatais l’essentiel des relations entre mon épouse et moi. Michel qui ne m’avait interrompu que par des « oh ben merde » ou « oh la vache » conclut en disant :

« C’est incroyable ta femme est un vrai gouffre à bites. »

Il nous fallait bien sûr bavarder un peu avec chacun de nos clients, vider une coupe à leur santé et à celle de notre collaboration. Dans la mesure du possible je ne quittais pas ma femme des yeux, toujours avec mon client. De temps en temps nos regards complices se croisaient et je commençais à bander en imaginant la bite de mon client se glisser entre ses cuisses. Michel depuis ma révélation ne la quittait pas non plus des yeux. A un moment il s’approcha de moi

« Tu veux parier qu’il va se la faire ta salope, je ne serai pas étonné qu’il se la fasse en levrette dans les chiottes ».

Je connaissais trop ma femme pour parier et pourtant j’aurai du.

La soirée s’avançait certains clients avaient déjà pris congé quand ma femme vint me dire à l’oreille

« Sois pas inquiet, je pars avec ton client, ne m’attends pas il me raccompagnera à la maison ».

Oui j’aurais du parier. Ce n’est pas dans les chiottes que ma salope allait se faire baiser mais chez mon client. Malgré les quelques coupes bues avec mes clients je bandais mais un peu mou car je sentais confusément que je me trouvais en porte à faux. La baise dans le boulot ce n’est jamais bon. Michel qui les avait vu partir discrètement et séparément n’était pas de mon avis, il pensait qu’au contraire : ma femme en baisant avec un de mes clients ça ne pouvait qu’être bon pour mes affaires. La suite lui donna raison.

Rentré à la maison je passais le reste de la nuit à attendre ma femme puis finis par m’endormir dans un fauteuil. C’est elle qui me réveilla à l’aube. Elle avait les traits tirés et une expression de femme comblée que je lui connaissais bien.

« Alors espèce de salope j’espère que mon client avait une belle bite, et qu’il a aimé ta chatte et ton cul ».

Ma femme aimait que je lui parle ainsi, que je la traite de salope et ça m’excitait autant qu’elle.
Pour toute réponse elle enleva sa robe et la voix un peu altérée par l’excitation me dit

« Viens baise moi ou encule moi, je suis encore pleine de foutre, je l’ai gardé pour toi, j’aime quand tu me baises dans le foutre des autres ».

Je pensais que l’aventure avec mon client serait comme tant d’autres éphémères et dès le lendemain lui parlais de Michel. Ma femme prit son air coquin :

« Merci mon Chéri ! Ca y est tu te décides à me faire baiser par tes copains. Il est beau mec j’espère ce Michel, on l’invite quand ? »

Elle prit l’air d’une petite fille qui a fait une bêtise pour ajouter :

«Tu sais ton client est vraiment un bon baiseur et il souhaite me revoir, je dois le rappeler ça ne t’ennuie pas ? »

Elle me mit la main à la braguette et continua :

« Non ! Je sais que ça ne t’ennuie pas, ça te fait même bander que ta femme soit une salope qui se fait baiser par des tas de mecs. »

Oui ! Elle avait raison ça me faisait bander, et je bandais encore bien plus quand elle me tenait ce langage et elle le savait.

Ce qui me préoccupait le plus c’était l’attitude que je devrais avoir vis-à-vis de mon client.

Trois jours plus tard Michel baisait ma femme. J’étais pourtant habitué à voir de belles bites se glisser dans la chatte de ma femme, mais je crois que je n’ai jamais été autant excité qu’en voyant la belle bite, un peu tordue, de mon collègue la pénétrer jusqu’aux couilles.

C’était aussi sans doute parce que Michel employait ce vocabulaire qui plaisait à ma femme et qu’à l’époque j’avais parfois du mal à employer. Chose pour laquelle Michel dès la première fois ne se gêna pas de faire.

Le gland appuyé contre la rosette de ma femme, qui à genoux lui tendait sa croupe, il lui demandait de répéter après lui :

« Je suis une salope j’aime me faire enculer, défonce moi le cul avec ta grosse bite »

Et ma femme docilement répétait, pendant que sa rosette se dilatait impatiente de sentir le gland de Michel la dilater un peu plus.

Après le départ de Michel ma femme me sauta au cou :

« Merci ! Merci mon chéri ! Quelle bite il a ton copain ! Et il a une façon de s’en servir ! Ca t’a plut hein, affreux mec, de voir cette belle queue baiser ta femme, maintenant à ton tour de m’enculer, je suis encore pleine de foutre »

D’avoir bien été baisée par Michel, ne fit pas à ma femme oublier mon client (chose que j’espérais). J’essayais bien de lui dire que ça me mettait mal à l’aise, mais elle m’assura que, bien au contraire cela ne pouvait qu’arranger mes affaires, et en ma présence elle prit rendez vous. Je n’avais pas revu ce client depuis la soirée et jugeais plus judicieux d’attendre qu’il baise de nouveau ma femme pour le rencontrer.

Le jour J ma femme rentra vers 16h je l’attendais à la maison. Elle arriva avec cet air rayonnant que je lui connaissais bien de salope bien baisée. Elle ne s’était pas donné la peine de se rhabiller et était à poil sous son manteau de fourrure. Elle le laissa glisser sur le sol s’allongea sur la table, releva les jambes comme quand elle venait de se faire baiser par ses collègues, et de me demanda de l’enculer dans le foutre de mon client qu’elle avait gardé pour moi.

Ce n’est qu’après qu’elle me dit que mon client souhaitait me voir pour une grosse affaire. Je pris rendez vous avec mon client. Il m’invita à déjeuner, c’était une première. Lui si sûr de lui habituellement semblait presque gêné. Après l’échange de quelques banalités alors qu’un long silence embarrassé de part et d’autre s’installait, Il le rompit en disant

« Bravo ! Votre épouse m’a un peu expliqué comment votre couple fonctionnait et je vous admire tous les deux d’avoir trouvé cet équilibre. Vous avez une femme absolument délicieuse avec les qualités que d’autres que moi ont pu apprécier. J’aimerais, avec votre accord la revoir régulièrement »

Je ne pouvais qu’accéder à sa demande et je lui suis reconnaissant d’avoir eu la délicatesse de me passer une commande importante qu’une dizaine de jours plus tard.

(à suivre)

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Une réponse à Les années 70 2 – Le client par Alban

  1. gaston dit :

    C’est très cru mais c’est bien écrit et surtout c’est très politiquement incorrect. Bravo.

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