L’entrée de l’Hiver 1 et 2 – La pause suivie de La Soirée du Dr R. par Lovelace


L’entrée de l’hiver
1 – La Pause
par Lovelace

Cette série fait suite à « Une sortie en mer  » et « Retour à la terre »

Les semaines qui ont suivi, ont été très calmes. Nous nous sommes retrouvés, Alice et moi, comme avant, enfin presque.

Nous faisons certes l’amour aussi souvent, mais plus à la « papa » ! Plus d’exploits, que des choses simples, mais avec beaucoup d’intensité; certainement plus qu’avant. Bien sûr nous repensons souvent à ce long week-end et toutes ces aventures, ces découvertes sur nous et nos amis, les fantasmes que nous avons exprimés, sortis du fond de nos pires pensées ! Nous re visionnons de temps en temps des séquences du film tourné et monté par Pierre.

Tiens ! On ne s’est parlé qu’une fois au téléphone depuis; eux aussi ont eu besoin de se refermer sur eux-mêmes.

Nous avons reçu un mail de Lucie et Yann également. Ils ont repris leur train-train quotidien, le boulot, les courses, etc. eux aussi regardent régulièrement la vidéo. Ils s’excitent avec et se lancent dans des nouvelles expérimentations. Lucie s’est vraiment révélée, durant ces quatre jours de folie et Yann a parfois du mal à suivre le rythme.

Viviane aussi, d’après Pierre, ne pense plus qu’à recommencer, mais elle, il est vrai, n’a eu qu’un aperçu de ce dont nous avons été capables !

Au boulot, ma jeune assistante a toujours un petit regard pétillant, sûrement le souvenir de cette matinée d’août, mais nous n’en avons pas reparlé et c’est tant mieux.

Le mois de septembre se déroulera ainsi, jusqu’aux premiers frimas. Nous rallumons la cheminée et le craquement des bûches dans l’âtre amène des envies de peletonnage, de tendresse, de douceur de vivre aussi.

Je suis retourné sur le bateau, en ce début d’octobre, pour le préparer à l’hivernage. Retirer les coussins et les tissus, amener les voiles en révision, bref, toutes les petites choses indispensables pour qu’au printemps prochain, on puisse sans problème reprendre la mer.

Après avoir tout rangé à bord, je me dirige vers la brasserie qui nous sert de rendez-vous. J’y rencontre, inopinément, notre fameux toubib.

Il me rappelle qu’il nous avait appelés après le week-end du 15 août.

– Je sais, Alice, me l’avait dit
– Martine aimerait bien vous rencontrer, elle ne cesse de m’en parler depuis que nous nous sommes croisés en mer.
– Ce n’est qu’une question d’agenda, dis-je, percevant que la scène à laquelle ils avaient assisté leur avait certainement donné des idées. (J’en profite pour chercher une confirmation). Elle avait dû nous voir de près, non ?
– Je dois avouer, que nous n’avons pas manqué grand chose, répond-il un peu gêné.
– Et je suppose qu’elle avait apprécié cette rencontre inattendue ?
– Comme je l’avais dit à Alice, nous nous attendions à vous retrouver à Noirmoutier, mais vous aviez passé votre chemin.
– Nous étions tenus par le temps, sinon c’eût été avec plaisir !
– Que diriez-vous, de vous joindre à nous le week-end prochain, nous recevons quelques amis de longue date.
– On ne voudrait pas imposer notre présence, surtout si vous êtes entre amis. Dis-je commençant à entrevoir le plan.
– Si je vous le demande, c’est que ça ne nous dérange pas !
– J’en parlerai à Alice ce soir et, si nous sommes libres, ce sera avec plaisir.
– Très bien je compte sur vous, j’en parlerai à Martine en rentrant.

Piégé ! Mais que pouvais-je faire d’autre ?

J’en parle à Alice en rentrant, elle ne semble pas plus surprise que ça.

– Je m’attendais à ce qu’ils nous invitent plus tôt. Me dit-elle
– Ha, bon, tu t’y attendais ?
– Évidemment, depuis son appel du mois d’août, mais il ne savait comment l’amener !
– Ils ont quand même une quinzaine d’année de plus que nous !
– Et alors, ce n’est pas encore des grabataires !
– Tu penses qu’il s’agira d’une partouze ?
– Certainement, après tout, ça ne nous fera pas de mal, on est restés en quasi hibernation depuis la fin de l’été !
– Tu as raison, ça nous fera sortir et qui sait, découvrir autre chose.
– C’est possible, ils ont plus d’expérience que nous !

La semaine précédent cette invitation se passe tranquillement jusqu’au vendredi soir.

– Je ne sais pas comment je devrais m’habiller demain, me dit Alice, as-tu une idée ?
– Ma foi, je vais l’appeler pour savoir s’il y a un thème, après on avisera.

J’appelle le Dr R. à son cabinet, qui me dit qu’il s’agit d’une soirée tout à fait décontractée, tenue de ville, rien de sophistiqué.

Nous plongeons donc dans notre dressing, pour choisir notre tenue de demain soir. Alice portera une robe noire, courte à franges, et des talons aiguilles. Je mettrais un costume bleu nuit et un plastron cravaté en guise de chemise, plus facile à retirer si le besoin était.

A suivre

L’entrée de l’Hiver
2 – La Soirée du Dr R.
par Lovelace

Nous arrivons en fin d’après-midi dans la propriété du Dr R. Visiblement nous ne sommes pas les premiers. Six voitures sont garées dans la cour, près du perron.

La propriété est constituée d’une grande maison en pierre, façon petit château et de deux ailes perpendiculaires dont une abrite une écurie. Nous supposons qu’elle doit appartenir à son épouse, issue d’une riche famille de la région.

A peine avons-nous fait tinter la cloche pour annoncer notre arrivée, que la porte à deux battants s’ouvre. Une jeune femme, quasiment nue nous accueille. Nous sommes médusés par cette vision surprenante ! La jeune femme, elle a tout au plus 25 ans, ne porte pour tout vêtement, qu’une coiffe de soubrette en dentelle et des talons hauts. Le décor est planté ! Aucun doute sur ce qui nous attend ! Elle a remarqué notre surprise qui doit se lire aisément sur nos visages et s’en amuse :

– Madame et Monsieur vous attendent, si vous voulez bien me suivre, dit-elle avec un léger sourire.
– Avec plaisir, lui réponds-je, ne quittant pas des yeux ses jolies fesses rondes qui dansent à chaque pas qu’elle fait.

Elle nous conduit jusqu’au salon où discutent une douzaine de personnes qui visiblement se connaissent bien. Nos hôtes nos accueillent :

– Ha, bienvenue, mes amis, quelle joie de vous avoir enfin parmi nous ! S’exclame Dr R.
– Depuis le temps que je souhaitais vous connaître, vous voilà enfin ! Renchérit sa femme, bienvenue chez nous.

Elle nous prend chacun par un bras et se lance dans les présentations; Poliment, nous rendons les saluts sans retenir un seul nom !

– Vous avez dû être surpris lorsque la porte s’est ouverte, ne vous en offusquez pas, vous n’êtes pas, comme vous devez vous en douter, à une soirée de patronage ! La messe est dite !
– Ce que j’ai pu voir de vous sur votre bateau m’a tout de suite donné envie de vous compter parmi nous.
– Ce que vous avez vu, Madame, est peut-être trompeur ? Suggère Alice
– Allons, allons ! D’abord appelez-moi Martine et ne faites pas la mijaurée, nous ne sommes dupes ni les uns, ni les autres !

Au moins, ça a le mérite d’être clair !

L’assistance est composée de couples plus âgés que nous, en moyenne entre 45 et 50 ans ! Nous apprenons de notre hôtesse qu’ils ont l’habitude de se retrouver régulièrement chez les uns et les autres à tour de rôle, l’organisateur de la soirée définissant un thème.

– Le plaisir est notre seul leitmotiv, dit-elle, nous nous réunissons pour lui et rien que pour lui. Vous n’êtes pas choqués j’espère ?
– Pas le moins du monde, réponds-je, d’ailleurs nous nous y attendions. Mais quel est le thème d’aujourd’hui ?
– Vous le saurez bien assez tôt ! Répond-elle.

La jeune soubrette, qui est en fait une strip-teaseuse, nous apporte deux flûtes de champagne sur un petit plateau. Elle est ravissante, un corps ferme, deux jolis seins en poire la précèdent et elle est totalement glabre, ce qui offre la vision de son «abricot» mûr, mais ferme.

Le cocktail s’étale durant environ une heure au cours duquel nous discutons avec les uns et les autres. Il règne une atmosphère de joie dans cette assemblée, la bonne humeur est de rigueur.

Notre hôtesse, considérant sans doute qu’il est temps de passer à autre chose, intervient :

– Mesdames, messieurs, nous vous invitons à nous suivre au sous-sol où une représentation va vous être donnée. Ce soir ce sera : «la cave du Dr. H» ! – de la lettre initiale du prénom de notre toubib : Henri.

Nous suivons donc la troupe et descendons dans la cave qui a été aménagée pour la circonstance : une estrade, des banquettes, quelques fauteuils. La scène est éclairée de spots et tendue de rideaux noirs. L’ambiance est assez gore : aux murs, sont accrochés des attaches, des cravaches, des godes, toute une panoplie SM.

Nous comprenons qu’Henri va nous faire vivre une exhibition qui a pour but de «chauffer» l’assistance. Le Dr apparaît sur scène accompagné de la soubrette.

– Afin de satisfaire à ses penchants, mon assistante et moi allons vous proposer la guérison de Ghislaine.

La fameuse Ghislaine est la compagne d’un petit bonhomme rondouillard qui doit friser les 60 piges ! Elle semble bien plus jeune que lui, environ 50 ans, grande, brune, cheveux longs tressés, la taille un peu épaissie, des rondeurs bien placées.

– Ha, Dr. Je ne sais pas ce que j’ai, mais je ne me sens pas très bien ces jours ci, dit-elle en s’approchant.

Le topo semble bien rôdé, ils ont dû organiser la séance à l’avance.

– Déshabillez-vous, je vais vous ausculter; Prune aidez Madame, s’il vous plait.

La soubrette l’aide à se défaire de sa robe et cette dernière tombant à ses pieds la découvre; elle ne porte pas de sous vêtements, comme certainement personne ce soir ! C’est une belle femme encore, les seins lourds aux gros tétons, le ventre arrondi de belles fesses charnues. Elle est complètement rasée ce qui laisse apparaître une chatte aux grosses lèvres épaisses, très saillantes. Le médecin la tâte, la fait s’allonger sur la table au centre de la scène et lui écarte les jambes. Sa chatte nous apparaît en détail, la peau est très brune, les grandes lèvres très charnues et les petites lèvres épaisses semblent démesurées. On voit quelle a pas mal servi !

Il écarte les petites lèvres et nous expose la vulve largement ouverte, surmontée d’un gros clitoris muni d’un piercing.

– Je ne peux rien voir ainsi, dit-il, nous allons tenter d’y voir plus clair autrement ! Prune s’il vous plait !

La soubrette s’approche et attache les poignets et les chevilles à des cordes qu’elle tend. La femme se retrouve écartelée, suspendue au-dessus de la table que le toubib retire.

– On y voit plus clair, mais il faut que je teste le niveau de votre douleur !
– Bien docteur !

Il attrape deux cordelettes qui pendent du plafond et se terminent par des pinces. Il emprisonne les tétons avec ces dernières et la soubrette tend les cordelettes qui étirent et soulèvent les gros seins. La patiente lâche un couinement.

– Cette douleur est-elle supérieure à celle qui vous amène me voir ?
– Non, mon cri n’était que de surprise.

Il attrape deux autres cordelettes équipées de deux pinces chacune, au sol cette fois et pince les petites lèvres brunes. Les cordelettes tendues, elle se retrouve la vulve béante, les lèvres distendues par la tension exercée sur les cordes par la soubrette.

– Puisque la douleur n’est apparemment pas en surface, nous allons regarder à l’intérieur !

Je remarque que dans la salle ça commence à s’échauffer. Je dois dire que bien que je ne sois pas attiré par le SM, la scène m’excite aussi.

La soubrette a apporté un godemiché au Dr qui l’introduit dans la chatte ouverte. L’engin ne semble pas lui convenir, il en réclame un autre. La soubrette lui en apporte un plus gros et ainsi de suite jusqu’à atteindre une taille démesurée.

Ghislaine gémit et tente de se soustraire à cette infernale introduction, mais ses mouvements n’ont pour effet que de tirer plus sur ses tétons et ses lèvres.

L’assistance commence à agir ! Des robes se soulèvent, des braguettes s’ouvrent, des gémissements fusent. Nous même, nous nous sommes déshabillés, nous sommes ainsi prêts à agir ! Martine s’approche de nous et nous prend par les épaules.

– Alors les jeunes, vous aimez ?
– C’est assez excitant, dis-je, je ne suis pas indifférent au spectacle proposé.
– Et vous Alice ?
– Je dois avouer que je mouille pas mal, moi aussi la situation m’excite ! Je ne connaissais pas le SM.
– Peut-être pas, mais vous savez très bien vous occuper d’une femme, pour ce que j’en ai vu !,
– Asseyez-vous sur mes genoux, Alice va vous montrer, c’est ce que vous souhaitez, non ?
– Je n’osais pas le demander directement mais, oui !

Elle me chevauche, face au spectacle. Alice lui retire sa robe en la passant par dessus sa tête et s’installe à genoux devant elle. Martine est assise sur mes cuisses, j’écarte les miennes, ce qui a pour effet de la faire remonter un peu plus haut et de lui ouvrir franchement les jambes. Se faisant, elle se retrouve ma queue entre les fesses. Je me sens un peu écrasé et c’est légèrement douloureux, surtout que je bande fort !

Alice l’attaque en mordillant ses lèvres et son clitoris, puis commence à lui appliquer un cunnilingus. Pendant ce temps, je passe mes mains sous ses bras et lui pelote les seins, lui pince les tétons. La garce aime ça, se faire malmener et, cela dit, moi aussi ! Elle sent ma queue raide, tendue entre ses fesses, battre contre sa rondelle. Elle remonte alors légèrement, se place de façon que mon gland soit contre son œillet et s’enfile ma bite au fond du trou avec un soupir de satisfaction ! Alice reprend son activité de léchage et en profite pour me bouffer les couilles au passage !

Pendant ce temps, sur la scène, Ghislaine, toujours attachée et écartelée, l’énorme gode au fond de la chatte, se fait enculer par le Dr au moyen d’un Plug Anal gonflable. Il ne se prive évidemment pas d’activer la poire et dilate largement l’anus de la belle.

– Je vous élargis afin de mieux voir où peut se situer la douleur ! Lui dit Henri.
– Allez-y docteur, je vous fais confiance pour me guérir !
– Vous irez beaucoup mieux tout à l’heure, vous verrez !

C’est sûr, une fois qu’elle sera libérée de tout ça, elle se sentira soulagée !

Autour de nous, la partouze a commencé ! Tout le monde est à poil et se lèche, se suce, s’enfile, par deux ou trois, entre femmes, entre hommes, toutes les combinaisons possibles sont exploitées !

Pendant qu’ils s’activent, ils prodiguent des conseils à Henri; plus que des conseils, en fait, il s’agit de la réalisation de leurs fantasmes !

– Mets lui des poids, étire lui les lèvres, crie une grande blonde aux formes généreuses façon « GRETCHEN » pendant qu’elle se fait mettre en levrette.

– Oui, et fais lui couler de la cire à cette salope, reprend un autre à cheval sur une femme équipée d’un gode ceinture.

Henri, applique les demandes et place des poids au bout de chaînettes attachées à des pinces, ce qui étire encore plus les lèvres. Ensuite il fait couler de la cire de chaque côté de la chatte le long du pli de la cuisse. Ghislaine crie, gémit se tortille et se fait mal bien sûr, toujours attachée par les seins et les lèvres. Son mari, le rondouillard, se lève et s’approche de sa tête. Il est drôle de face avec son gros ventre et, dessous une grosse paire de couilles surmontées d’une petite bite à moitié molle. Il la met dans la bouche de sa femme qui a la tête renversée en arrière et se fait téter. Un éjaculateur précoce ! En effet, en moins d’une minute, il éjacule dans la bouche ouverte. Il prend alors un martinet et la fouette pour n’avoir pas su faire durer la pipe ! Il revient alors vers sa tête, remet sa queue dans la bouche de sa femme, mais cette fois c’est pour s’épancher différemment : il lui pisse dedans !

Pour une première dans ce domaine, nous sommes servis !

Pendant ce temps, Martine, qui n’a rien perdu du spectacle, jouit dans la bouche d’Alice.

– Hooo ! Je suis désolée, se lamente-t-elle; vous allez sûrement m’en vouloir ?

Alice, percute vite et comprends qu’elle doit se comporter en maîtresse.

– Sûrement, je ne vous ai pas autorisée à m’inonder la bouche ! Allez, à genoux salope !
– Oui, bien sûr !

Elle se précipite et ma queue fait un aller retour, comme un ressort, en déculant brutalement ! Alice se saisit d’une petite cravache au bout plat (un peu comme une tapette à mouches) et la fesse.

– Merci, Alice, je le mérite, je suis une garce, merci !
– Une garce ? Une vraie pute oui ! Tu devrais avoir honte, avec ton cul ouvert !
– Je le referme, promis !
– Pas assez vite ! Et elle la tape sur les épaules, sur le dos et sur les cuisses. C’est qu’elle y prend goût mon Alice ! Puisque t’es pas foutue de le fermer, je vais te l’éclater, moi !
– Comme vous voulez, oui, bien sûr !

Alice s’est enveloppée la main de gel lubrifiant et, un genou à terre derrière Martine, commence à travailler son anus. Un doigt, puis deux, entrent et tournent dans le cul offert. Martine appuyée sur ses coudes, se cambre et tend ses fesses pour mieux s’offrir. Alice n’a aucun mal à y enfoncer un troisième puis un quatrième doigt. Au bout de quelques instants, la main est introduite jusqu’au poignet ! Martine gémit, crie, se tortille, mais aime ça et le dit.

– Maintenant que les outils ont fait leur travail, je vais enfin pouvoir palper et savoir d’où vient la douleur ! Dit Henri sur scène
– Oui docteur, trouvez d’où ça vient, s’il vous plait !

Et il retire l’énorme gode et le Plug Anal, mais sans le dégonfler, ce qui arrache un cri à Ghislaine. Elle est vide des ustensiles, mais les enveloppes restent ouvertes à la tailles des instruments ! Elle bée de la chatte et du cul, c’est impressionnant ! Henri, introduit directement sa main droite dans le con dilaté et trifouille à l’intérieur. Il enfile sa main gauche, de la même façon, dans le cul et commence son inspection !

Dans l’assistance, ça commence à gicler de partout ! – vas-y, oui, je jouis ! – tiens prends ça avale ! – tout le monde se lâche.

Une femme, grande, aux cheveux courts à la garçonne m’aborde :

– T’en as une belle queue bien raide ! Faut pas rester comme ça ! Et elle me la prend dans la main et gentiment me décalotte franchement, et revient en douceur vers le gland, passe le pouce sur le méat en récupérant la mouille qui en sort et le porte à ses lèvres.
– Hummm ! C’est bon !
– Ne te prive pas, si tu en as envie !

Elle se penche et la prend en bouche. Elle a un sursaut et me mord.

– Aie ! Range tes dents !

Je tourne la tête, elle vient de se faire prendre par derrière, par un mec à lunettes qui se relève de s’être fait enculer par sa femme !

– Hooo ! Quelle vigueur ! Lance-t-elle, humm, vas-y bourre moi ! Désolée, j’ai été surprise !
– C’est bon ! Continue. Tout en me faisant pomper, j’admire le fist anal qu’Alice fait subir à Martine.

Son avant bras entre et sort rapidement maintenant, et elle se masturbe avec sa main libre.

– Alors, tu vas jouir salope ? Vas-y, c’est moi qui te le demande ! Ton cul est assez plein ?
– Oui, ouiii ! Dit Martine, vous me défoncez bien, je vais jouir, j’ai le cul en feu !

Elle s’effondre, s’étalant de tout son long sur le sol dans un long gémissement de plaisir. Alice se retrouve avec le bras tendu en l’air, le mouvement brutal ver l’avant de Martine l’a dégagé de l’antre voluptueux.

Je me dégage de la grande sauterelle et, Alice étant presqu’en bonne position, je me mets derrière elle, lui pousse la tête en avant et l’encule directement. Cette pénétration voluptueuse arrivant après plus d’une heure d’excitation, me fait lâcher prise très rapidement. Alice très excitée aussi, jouit en même temps que moi. C’est vraiment l’extase.

Alice reprend rapidement ses esprits et, tirant Martine par les cheveux, lui intime l’ordre de se mettre sur le dos. Elle se met à califourchon au dessus de son visage et lui ordonne de lui lécher le cul et récupérer mon sperme. Martine s’exécute avec ravissement et, très zélée, va jusqu’à introduire sa langue pour récupérer la moindre goutte restante.

Je regarde autour de moi et me rends compte que toute activité a cessée en dehors d’Henri qui, sur la scène se fait tailler une pipe par la soubrette qui ne met pas longtemps à le vider de son jus. Ravi, il jette un regard circulaire sur son assemblée et, voyant que le calme règne annonce :

– Et si nous allions nous restaurer un brin ?

Tout le monde se relève, et prend le chemin de l’escalier afin de remonter au salon.

– Martine, on ne détache pas Ghislaine ? Demandé-je
– Non, puisqu’elle est punie !
– Mais le jeu est terminé, non ?
– Il sera terminé à la fin de la soirée. Maintenant, tout le monde peut se servir d’elle et jouer à loisir !
– Vous êtes sadiques !
– Ce soir seulement ! L’invitant choisit le thème. Ce n’est pas toujours SM ! Le mois dernier c’était atelier d’art !

Nous remontons donc dans la salle à manger pour profiter du buffet.

Pendant que nous mangeons et buvons, tous à poil, nous discutons d’un peu tout et n’importe quoi, ce qui a un côté surréaliste ! Le mari de Ghislaine passe devant nous, Alice l’interpelle :

– Ça ne vous ennuie pas que votre femme soit esclave et isolée ?
– C’est le jeu. En fait elle aime ça, elle ne jouit jamais autant qu’en esclave !
– Et vous, vous n’êtes pas frustré ? Vous n’avez pas eu de rapports !
– Là, vous marquez un point ! J’aurai bien aimé baiser pendant qu’elle se faisait torturer, mais tout le monde était pris.
– Vous avez mal regardé ! J’étais libre, et des deux côtés encore !
– Il n’est peut-être pas trop tard ?
– Tant qu’il y a du jus, les lampes sont éclairées ! Et se disant, elle tend sa main vers ses couilles et les prends en les serrant. Vous en avez une sacré paire ! Il doit y en avoir là dedans, non ?
– Elles sont encore pleines, j’ai effectivement beaucoup de réserve. Dommage que le tuyau de la pompe ne soit pas proportionnel !
– Heureusement ! Voulez-vous dire ! Vous imaginez ce que ce serait ! Une vraie bite de cheval ! Le plaisir n’est pas dans la taille, enfin pas que ! Se reprend-elle en repensant au sexe de mon ami Pierre
– Effectivement, Ghislaine me dit la même chose. N’empêche que j’envie quand même Patrick.
– Qui est Patrick ? Demande Alice.
– Le gars à lunettes qui discute avec votre mari et Martine.
– Hé bien ?
– Attendez qu’il se retourne !

Effectivement, lorsqu’il se retourne, Alice peut voir, malgré qu’elle soit au repos, que la bite est grosse. Pas longue, d’une taille tout à fait raisonnable, mais deux à trois fois plus grosse que la mienne !

– Alors ?
– J’admets, dit Alice, mais ce n’est pas dans la longueur ! Et ce genre de gabarit ne peut pas convenir à toutes les issues. Certaines femmes sont étroites et n’aiment pas les « grosses cylindrées » !
– En tout cas ce n’est pas le cas ici ! Elles sont toutes plus élastiques les unes que les autres !
– Avec ce que vous leur faites subir, c’est un peu normal, non ? En plus l’âge avançant, les muscles se détendent !
– C’est gentiment dit ! Tiens ! Si nous redescendions ? Je vois que certains emportent de quoi se sustenter pour la deuxième mi-temps !

En effet, par petits groupes, tout le monde redescend certains avec un plateau, une bouteille, des verres…

Ghislaine est dans la même position, et pour cause ! Mais je constate que ses orifices ont commencé à se refermer, heureusement ! Ce n’est pas du goût de tout le monde, deux des convives s’approchent d’elle et, sans trop de ménagement, entreprennent de la « ré-ouvrir » ! Une main devant, une main derrière, se chargent de redilater les chairs.

– Je vais y prendre mon dessert, dit la grande qui m’avait mordu la queue tout à l’heure. Elle s’installe devant elle et insère dans sa chatte une grappe de raisin qu’elle grappille avec sa bouche.

Un autre se dirige vers sa bouche pour se soulager la vessie. Seule concession qui lui est faite, la défaire des pinces sur ses tétons qui ne se rétractent même pas tant ils ont été distendus. Mais elle soupire de soulagement d’en être libérée.

Je vois qu’Alice a décidé de faire plaisir à François, le mari de Ghislaine. Il est allongé sur le dos et elle a entreprit de le faire bander. Elle est assise sur son visage, en soixante neuf, et se fait brouter le minou pendant qu’elle le branle d’une main et, tant qu’à faire, s’occupe de Patrick de l’autre main. Mais quelle goulue, quand elle est lancée !

Finalement, elle obtient assez rapidement une érection de François et pompe Patrick pour obtenir une bonne raideur. Cela fait, elle se tourne et chevauche François, se penchant en avant afin d’offrir son cul à Patrick.

La bite de François dans la chatte, elle ouvre ses fesses avec ses mains et exhorte Patrick :

– Allez, viens me la mettre dans le cul, c’est tout chaud !
– Tu es sûre ? Demande Patrick, qui ne connaît pas les capacités d’Alice.
– Si je te le dis ! Allez encules moi, nom de Dieu !

Il s’exécute donc, entrant avec précaution. Alice n’ose pas trop bouger de peur de perdre celle de François.

– Houuaa ! Nom de nom, qu’elle est grosse ! Ho la vache !
– Tu veux que j’arrête ?
– Non surtout pas ! Vas-y, à fond, allez, jusqu’au bout, c’est bon ! !

Une fois Patrick enfoncé, sa grosse bite compresse celle de François dans le vagin.

– Comment te sens-tu ? Demande Alice à François ?
– C’est vachement bon, c’est serré ! J’adore !
– Tu vois qu’il y a toujours une solution à tout problème ! Allez vas-y, lâches toi !
– C’est sûr que là je ne vais pas tarder à jouir
– Patrick, bouges plus vite, s’il te plait, viens ! Tu vas nous faire jouir !

En effet c’est le cas ! Patrick fait jouir François et Alice, excitée par la situation se fait également plaisir.

Patrick continue quelques instants encore, jusqu’à lâcher lui aussi une grosse giclée de foutre dans le cul d’Alice.

Lorsqu’elle se relève, on se rend compte qu’effectivement François n’a peut-être pas un gros sexe, mais au niveau sperme, s’est démentiel. La chatte d’Alice n’arrête pas de dégouliner ! Un vrai ruisseau de sperme s’écoule le long de ses cuisses ressortant en abondance de son vagin. Et comme son cul est bien dilaté par l’introduction massive de Patrick, elle coule des deux côtés. Elle jette un regard du côté de Martine qui n’en a pas perdu une miette l’œil lubrique !

– Viens ici, ordonne t-elle et lèche moi tout ça !

Martine s’exécute, se met à genoux entre les jambes d’Alice et lui lèche d’abord les jambes, les cuisses et remontant jusqu’au sexe. Elle prend tout ce qu’elle peut au passage.

Alice se penche en avant :

– Lèches-moi le cul aussi, tout doit être nickel, si tu en laisse une goutte, gare à toi !

Et Martine obéit, se met à lécher jusqu’à l’intérieur des orifices afin de tout récupérer.

– Eux aussi, il faut les nettoyer ! Dit Alice en montrant les deux vîts ramollis.
– Bien sûr ! Et Martine s’emploie à les lustrer avec application.

La femme de Patrick, une belle fausse blonde, hyper musclée, s’est approchée de lui et regardant l’anus béant d’Alice dit :

– Tu l’as bien défoncée cette garce, tu as vu ton travail ?

J’interviens :

– Elle a l’habitude, si tu savais ce qu’elle est capable de s’enfiler !
– Plus que Ghislaine ?
– Non, pas jusque là tout de même ! Quoi que !

En effet, Ghislaine est approchée par un homme tenant une bouteille de champagne.

– Tu as soif ? Un peu de champagne ? Propose-t-il à la femme attachée.
– Avec plaisir, dit Ghislaine
– Il lui verse alors le contenu de la bouteille dans la bouche et sur le corps puis, une fois la bouteille vide, s’approche de son entrejambe et s’applique à investir l’anus avec la bouteille vide !

Voyant que ça ne peut pas passer, il la dilate en la fistant. Une fois sa main passée, il branle le cul de la belle et, estimant que l’ouverture est suffisante, revient avec la bouteille. Lentement, inexorablement, celle-ci entre dans l’anus offert. Ghislaine est prise de tremblements accompagnés de couinements. C’est monstrueux ! Et le pire c’est que ça nous excite un maximum !

J’ai la queue dure comme du bois, elle en est douloureuse, tant je bande fort. La femme de Patrick me la prend et commence à me branler. Je la retourne et, debout, la prend d’un coup. Son vagin est bien lubrifié et cette mouille abondante me fait du bien. Sur les fauteuils, les canapés, par terre, tous les acteurs de cette soirée sont occupés à baiser. Je vois Martine, à cheval sur son mari, se faire enculer par Alice qui a enfilé un gode ceinture ! La grande bringue qui m’avait mordu en début de soirée se fait un broute minou avec une femme qui la domine dans un soixante neuf endiablé; une autre, à genoux, bien cambrée, se fait sodomiser par Patrick qui a retrouvé sa vigueur. L’orgie est à son comble.

Je tiens ma partenaire par les seins. Ils sont durs comme de la pierre; tout son corps du reste est dur à cette « musclor » ! Je quitte la vulve accueillante, et installe madame sur un coussin, jambes ouvertes. J’admire le clitoris, si on peut appeler cela un clitoris ! C’est plutôt un micro pénis ! Il est long, gonflé et le capuchon laisse apparaître le bout d’un gland de belle taille. J’aime les gros clitos; je me mets à genoux et gobe l’engin; je fais tourner ma langue autour et sur le bout, c’est aussi doux que de sucer un lychee ! J’accentue les mouvements de ma bouche et de ma langue, elle commence à gémir, contracte ses abdos, tend ses jambes vers le plafond, son plaisir monte rapidement, sa position étant favorable, je glisse un doigt dans sa chatte, le mouille de son foutre et le glisse dans sa rondelle qui ne résiste pas, au contraire. Je branle l’anus au rythme de mon léchage et la voilà qui part dans un orgasme puissant. Je me redresse et l’enfile en reprenant le même rythme mais avec ma queue cette fois. Elle est trempée et ouverte au point que je sens à peine les bords. Je nage un peu dans cette mer de plaisir. Je ressors et me présente devant l’œillet gonflé, un peu en choux fleur, peut être à cause du diamètre du tuyau de Patrick, qu’elle s’enfile depuis plus de 20 ans ! Par contre, il s’ouvre immédiatement et largement pour me laisser entrer. Je glisse délicieusement d’avant en arrière, sur toute la longueur de ma queue, ressortant le gland jusqu’au bord du trou et m’enfonçant à nouveau jusqu’aux couilles. C’est bon, j’aime ça et apparemment elle aussi, qui gémit de plaisir. Je n’en peux plus, je vais jouir, elle le sent.

– Hooo, ouiii ! Viens, lâches toi, donnes moi ton jus, viens
– Toi aussi, viens, donnes tout !
– Haaaa, je jouis, oui, c’est bon, je jouiiiiis !
– Tiens, prend mon jus ! Et je sors de son cul pour lui arroser le ventre et les seins de deux jets puissants !

Elle se relève et gobe ma bite, aspirant le reste de sperme qui s’écoule en même temps qu’elle se badigeonne les seins avec la décharge qu’elle a reçu en premier.

Je m’assois à côté d’elle pour me reposer; j’en peux plus, j’ai le gland irrité, tout gonflé, comme après chaque sodomie.

– Tu as un beau champignon ! Me dit-elle
– Tu trouves ? C’est vrai que mes amis m’appellent le champignon. Quand je débande, le gland reste gonflé outrageusement, ça a toujours été.
– C’est impressionnant et attirant comme une friandise !
– Toi c’est ton clito qui est impressionnant, une vraie bite !
– C’est à cause de la musculation. Mais ça ne me gêne pas et puis il est sensible.

Apparemment, autour de nous le calme se fait également, tous les corps semblent repus, tout le monde souffle.

– Nous allons pouvoir libérer notre malade ! Annonce Henri. Venez !

Tout le monde se lève et entoure Ghislaine, pour la libérer de ses entraves. La bouteille de champagne, est extraite en premier, mon Dieu ! Ce cul ! Puis les pinces et enfin les chevilles et les poignets. Elle a du mal à se mettre debout, on la soutient. Elle sent le vin, la pisse, le sperme aussi, car certains sont venus décharger sur elle, bref c’est une loque ! La soubrette la prend en main et l’emmène vers une salle de bains.

Une demi-heure après, elle réapparaît, nous sommes tous remontés au salon. Propre, maquillée, parfumée, ce n’est plus la même. Tout le monde l’applaudit et la félicite de son exploit. Elle en est fière la bougresse !

Alice et moi pensons qu’il est temps de nous éclipser. Nous enfilons nos vêtements, faisons un petit signe à Henri et nous dirigeons vers la porte d’entrée. Martine nous rattrape :

– Alors, les jeunes ! Ça vous a plus notre petite soirée ?
– Oui, beaucoup, dit Alice, j’ai adoré nos échanges !
– Vous êtes prêts à vous joindre à nous une autre fois ?
– Certainement, dis-je, devant le plaisir qu’a pu prendre Alice et moi aussi du reste, il est sûr que nous reviendrons !
– J’en suis ravie, merci encore de votre présence. Je vous embrasse.

Quelques effusions plus tard, nous nous quittons, promesse faite de recommencer.

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3 réponses à L’entrée de l’Hiver 1 et 2 – La pause suivie de La Soirée du Dr R. par Lovelace

  1. Muller dit :

    Jolie partouze très bien racontée, on s’y croirait !

  2. Baruchel dit :

    Une grande partouze bien dans l’esprit du site et narré avec talent

  3. Mulmus dit :

    Quelle ambiance, j’en ai la bite toute raide !!!!

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