Le strip-tease de Noémie par Nostal01

Noémie est une jeune fille charmante, une créature superbe. Je la connais depuis peut. Elle pose pour moi de temps en temps. Je suis photographe amateur. Aujourd’hui, elle m’a promis une séance dont je me souviendrai. C’est l’après midi que je préfère travailler ; la lumière est idéale et je suis souvent plus inspiré. Noémie arrive donc comme prévu, à quinze heures. Elle porte une petite robe rouge, assez courte, moulante, des escarpins à tallons aiguilles et ce que je suppose – et espère – être des bas noirs. Sa chevelure brune lui descend jusqu’au bas du dos. Elle est impeccablement maquillée, juste ce qu’il faut. Comme toute jeune femme élégante, elle porte quelques bijoux : une paire d’anneaux aux oreilles, un collier, un bracelet et deux bagues – certes un peu voyantes – à l’annulaire de chaque main. Mon matériel de prise de vues étant prêt, nous pouvons commencer.

Noémie dégrafe le haut de sa robe. On entrevoit de la dentelle noire enchâssant ses magnifiques seins. Elle fait au moins du 100, bonnets D et je ne pense pas qu’elle soit du genre à tricher ! Noémie remonte doucement sa robe le long de ses hanches. Cette fois c’est sûr, elle porte bien des bas, avec un petit porte-jarretelles lui aussi en dentelle noire. Je suis déjà tout excité. Elle s’en aperçoit et me souri gentiment.

– Laisse donc tes appareils photos ! Me dit-elle.  » Profites plutôt du spectacle !  »

Noémie se dirige vers le lit et monte langoureusement à quatre pattes dessus. Elle dégrafe encore sa robe et je peux admirer la transparence de son soutien gorge à balconnets. Elle commence à se caresser les seins en glissant une main sous la dentelle. Elle ne tarde pas à les faire sortir et elle tire délicatement sur ses tétons pour les faire se redresser. Elle remonte ensuite complètement sa robe pour me montrer sa petite culotte. Celle-ci est assortie au reste de sa lingerie. Je devine les poils de sa chatte qui dessinent une bande étroite. Elle est certainement épilée. Je ne me pose d’ailleurs pas la question très longtemps, car Noémie se tourne et me présente ses fesses. La ficelle de son string lui dessine une croupe ravageuse. Elle se penche en avant, ses seins lourds et turgescents pointent vers le sol. Elle glisse une main le long de ses hanches et écarte délicatement la « dite » ficelle.

– Alors, qu’en penses-tu ? Me lance t-elle.

Je ne puis détacher mon regard de cette merveille. Sa chatte est lisse, entièrement épilée. Comme elle fait incessamment glisser sa culotte entre sa fente et le coté de son porte jarretelle, sa vulve ne tarde pas à s’entrouvrir. Ses lèvres sont sublimes. Son anus est lui aussi très excitant. Noémie s’allonge maintenant sur le dos. L’un de ses deux énormes mamelons se remet en place tout seul dans sa robe. Le second reste dehors pour mon plus grand plaisir. Noémie écarte les cuisses et se redresse pour lécher son genou du bout de la langue. Sa culotte est toujours sur le coté et la légère toison qui subsiste sur son pubis frotte doucement la dentelle à chaque petit mouvement. Elle défait définitivement sa robe et la pose sur le haut du lit. Noémie se caresse longuement les jambes en faisant monter ses pieds au-dessus de sa tête. Elle recommence à se caresser tout le corps. Ses seins sont plus gonflés et plus pointus que jamais. Elle les masse par dessous et par dessus la dentelle.

Tout en écartant doucement sa petite culotte, Noémie commence à se toucher les lèvres et le clitoris. Elle entrouvre si bien sa vulve, que je peux voir l’intérieur ! Après un bon moment de cette stimulation manuelle, Noémie se remet à quatre pattes, face à moi.

– Hum, c’était bon ! Soupire t-elle.

Ses seins sont magnifiques. Ils sont sortis tous les deux et j’ai très envie de les embrasser. Noémie se redresse en dégrafant son soutien gorge pour rester à genoux. Elle le pose devant moi. Elle joue avec une jarretelle tandis que sa culotte reprend naturellement place sur sa jolie chatte. Elle suce alors son doigt, à la manière d’une petite fille qui prépare une bêtise. Son bras passe sous un sein et le fait grossir encore. Noémie se remet une nouvelle fois à quatre pattes. Elle se place de profil par rapport à moi et dirige sa croupe afin que je puisse admirer son anatomie. Si sa petite culotte avait repris sa place devant, il n’en est rien derrière ! Je ne vois certes pas son anus, recouvert par la ficelle, mais son vagin est bien là sous mes yeux. Noémie fait tomber sa longue chevelure sur le coté et ses mouvements font onduler ses seins lourds.

– Ma culotte me gêne ! Me dit-elle en se couchant sur le flanc.

Noémie allonge ses jambes en travers et me montre ses fesses. Dans la manœuvre, sa culotte a encore glissé et je distingue nettement sa fente… Noémie se masse vigoureusement un sein avec sa main droite, tandis que la gauche maintient ses jambes. J’adore le bruit des ongles qui courent sur les bas. Elle pousse des gémissements de contentement. Brusquement, elle se retourne sur le ventre avec un cri beaucoup plus fort.

– Allez, ça suffit ! Lance t-elle en empoignant la pauvre culotte.

Elle remonte ses pieds sur ses fesses et elle tente de l’enlever en la tirant sur ses chevilles. La position n’étant pas idéale, Noémie se met promptement à genoux et défait enfin son string en me lançant un regard vainqueur. Débarrassée de cet encombrant morceau de dentelle, elle se retourne vers moi, toujours à genoux sur le lit, et prend une pose provocante. Elle se dresse fièrement, en pressant ses seins de ses deux mains par le dessus. On dirait deux énormes fruits mûrs. Mais Noémie remarque tout de suite que je regarde aussi une de ses lèvres qui ressort effrontément de sa fente. Elle vérifie ainsi que mon intérêt pour son exhibition reste élevé. Noémie s’allonge alors langoureusement sur le dos. Elle remonte un bras sous sa tête en étalant dû même coup ses cheveux sur le lit. Elle écarte les cuisses en gardant ses pieds l’un près de l’autre. Avec son autre main, la droite, elle recommence à se masturber. Ses paupières se ferment à demi, sa bouche s’entre ouvre, le plaisir arrive. Ces seins bougent doucement, comme bercés par le va-et-vient de ses doigts sur son sexe. Mais ce serait mal connaître la petite coquine ! Noémie se reprend et remonte s’adosser aux oreillers, couchée sur le flanc.

Elle reprend ses esprits en suçant ses doigts ; ceux avec lesquels elle s’est donné du plaisir, bien sûr ! J’aimerais bien goûter moi aussi ! Elle regroupe ses jambes vers ses seins. Sa vulve est redevenue sage, comme un sexe de petite fille. Ses bas sont toujours parfaitement en place. Après quelques instants, Noémie se remet sur le dos, et bien calée dans les oreillers, recommence à se masturber de plus belle. Je suis au bord du lit, aux premières loges. Avec son index et son majeur, elle écarte ses grandes lèvres et se caresse avec insistance. Sa petite culotte est arrivée là. Son talon aiguille se prend dedans et gigote au rythme de ses doigtés. Son clitoris turgescent est un véritable appel au peuple ! J’ai une envie folle de la lécher partout entre les cuisses. Voyant que je n’y tiens plus, Noémie jette ses jambes au-dessus de sa tête. Cela me stoppe net dans mon élan. Cette cochonne continue à se branler comme une folle. Les jambes et les fesses en l’air, elle écarte sa vulve avec ses deux mains, une de chaque coté. Ses cuisses qui remontent sur son ventre font gonfler ses nichons comme jamais. Sa bouche ouverte, son trou du cul, tout en elle me donne envie !

Cette fois, je n’en peux plus, il faut que je la baise !

Alors que je commence à déboucler ma ceinture, Noémie redescend ses jambes et fait basculer tout son corps en avant.

– Attends encore ! Me dit-elle dans un souffle.

Elle s’assoit sur le bord du lit. Sa chatte est trempée (comme moi) sa vulve est colorée par le plaisir, totalement dilatée. Noémie dégrafe une première jarretelle et fait glisser son bas le long de sa cuisse que je devine brûlante. Elle lève sa jambe bien haut pour que je puisse continuer à fantasmer sur son sexe. Lorsque qu’elle arrive sur sa cheville, elle retire sa chaussure, puis son bas. Noémie se penche alors en arrière en s’appuyant sur un bras. Elle remonte sa jambe nue, le talon vers ses fesses. De la même façon que précédemment, elle lève son autre jambe bien droite en dégrafant les dernières jarretelles. Elle fait rouler son bas jusqu’au genou en me regardant tendrement. Ses porte-jarretelles repose sur son ventre, les attaches de dentelle viennent toucher son pubis tout ébouriffé. Je voudrais être à leur place !

Noémie passe sa main derrière le genou et se lèche de la même façon que lorsqu’elle avait encore ses vêtements. Mais cette fois, elle parcourt directement sa peau en suivant le bord de son bas à demi défait. En me regardant avec malice, elle fini par l’enlever en même temps que sa seconde chaussure. Maintenant, Noémie est entièrement nue. Je ne peux plus mettre mon excitation sur le compte de sa lingerie. Elle se renverse sur le coté, puis elle se met en position de levrette. Sa tête repose sur le coté pour continuer de me regarder. Ses seins effleurent le dessus de lit. Elle est si désirable ! Noémie passe une main (toujours la droite) entre ses cuisses et écarte doucement ses grandes lèvres. Ses doigts glissent, tant elle est encore mouillée de tout à l’heure. Elle se caresse lentement, avec application. Sentant l’orgasme monter le long de ses reins, Noémie se couche doucement sur le dos. Sa chevelure s’étale tout autour de son beau visage. Elle se caresse toujours, les cuisses langoureusement écartées. Elle presse doucement ses seins avec son bras droit, tout en continuant à stimuler son clitoris de l’index. Son pouce frotte sa toison qui n’est plus sèche le moins du monde. Paupières mi-closes, bouche entrouverte, elle arrive au plaisir ultime dans une sorte d’état second. Elle jouis enfin, dans un dernier petit souffle qui me fait définitivement fondre. Son corps épuisé et satisfait, elle s’abandonne totalement. Elle remplit légèrement ses jambes, comme pour que son sexe se referme de lui-même. Sa respiration calme et régulière fait onduler ses seins sublimes.

C’est pour elle un moment d’intense apaisement ! Je m’approche du bord du lit… Je déboucle lentement ma ceinture en demandant son approbation du regard, je fais glisser mon pantalon sur mes pieds. Je n’ose plus bouger. Noémie me dit :

– Viens.! En me souriant.

Mon caleçon est trempé, mon sexe brûlant. Sans pratiquement bouger, elle passe sa main sur l’intérieur de ma jambe pour sortir mon pénis. Elle me caresse quelques secondes ! Je jouis sur elle ! Je me vide sans retenue. Son joli corps est recouvert de mon plaisir. Sur son ventre, sur ses hanches, sur sa chatte, sur ses seins et sur son visage, je continue de me répandre pendant de longs et merveilleux instants.

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3 réponses à Le strip-tease de Noémie par Nostal01

  1. barry dit :

    C’est quasiment un exercice de style, le challenge n’était pas évident ! essayez vous verrez !

  2. Fechaud dit :

    Oui, bof…

  3. Dutar dit :

    Pas trop alternatif, mais il faut saluer la performance, décrire un striptease n’est pas si facile.

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