Le sac à main de Megan par Belle-cour

Le sac à main de Megan par Belle-cour

Attention : Texte contenant des passages scato explicites

J’étais content ce soir-là, j’avais emballé Megan. Nous étions allés au restaurant. Un petit restaurant de quartier parce que je n’ai pas de grands moyens.

– Que prendrez-vous comme dessert ? Salade de fruits ou amandine ? Nous demande la serveuse avec un sourire de circonstance
– Non rien ! Répondis-je.

Je lui proposais alors de prendre le dessert à la maison, voilà qui change du traditionnel dernier verre.

Chez moi, nous nous sommes dirigés vers ma chambre pour y déposer nos manteaux, et c’est là que tout commença.

– Tu te laisses faire ? T’as confiance ? Dis-je.
– Non !
– Pourquoi non ?
– Parce que non !
– Je voulais t’attacher !
– Pas question, mais tu peux faire semblant !
– D’accord !

O.K. je pousse Megan sur mon lit. Toute déboussolée, elle se demandait ce qui se passait. Habituellement j’ai un caractère quand même doux et non-violent, mais ce soir-là, j’avais une envie folle de la faire jouir. Ça faisait une semaine que je n’avais déchargé mon poireau, et j’étais vraiment en manque du côté sexuel. C’est alors que je l’attache à plat ventre à l’aide d’une corde déjà préparée à la tête de mon lit. (En fait je l’attache de façon non serrée de sorte qu’elle puisse se libérer si le cœur lui en dit). Les points d’interrogation lui sortaient de la tête. C’est alors qu’elle me demanda :

– Alex, qu’est-ce que tu fais au juste ?
– Je prends mon dessert, lui répondis-je, et je te donne le tien en même temps.
– Alex, arrête, je n’aime pas te voir comme ça, t’es pas le Alex que j’connais.

Effectivement, je n’étais pas moi-même, je m’étais transformé en bête sauvage. Et je lui ai répondu :

– Laisse-moi faire, tu vas voir !

Après avoir retiré mes fringues, j’ai commencé à la déshabiller à son tour ! Je ne réfléchis pas toujours à ce que je fais, j’aurais dû la déshabiller d’abord et l’attacher après. Enfin, ce n’est pas grave, le résultat donnait une image de grand débraillement qui n’était pas désagréable. Je lui fis monter son derrière pour pouvoir me glisser entre ses jambes. Sa chatte dégoulinait de jus d’une saveur exquise.

– Humm… ça c’est un bon dessert.

Je lui léchais toute la chatte, mais sans toucher au clitoris pour la faire languir un peu. Tout en y parcourant le minou de ma langue, mes mains se baladaient sur son joli petit cul et atteignirent son trou. Son trou de cul était lui aussi lubrifié, faut dire qu’elle était vraiment excitée. Elle me suppliait de lui lécher son clitoris, mais je la faisais languir encore. D’une main, j’enfonçai mon index à l’intérieur de sa chatte et de l’autre, je lui enfonçai mon index dans le cul. Quand je l’ai ressorti, il était un peu merdeux. Qu’à cela ne tienne, je l’ai sucé un peu et l’ai replanté aussi sec. Je me suis dis alors que si son cul polluait mon doigt, qu’est-ce que ce sera quand je l’enculerai !

En même temps, j’atteignis son clitoris avec ma langue, et je le mordillais. J’ai eu droit à une symphonie de cris de jouissance. C’était tellement excitant de l’entendre gémir de la sorte que ma queue était dure comme du roc, et était grosse comme je ne l’avais jamais vue. Après avoir fait une série de va-et-vient à l’intérieur de son intimité, je me suis mis à genoux en arrière pour pénétrer son cul avec ma queue. Wha…c’était tellement lubrifié, je n’ai pas eu de difficulté à l’enfoncer. C’était tellement jouissif… là aussi j’ai eu droit à une symphonie, mais en duo cette fois-ci !

Après quelques efforts de ma part, je sentis qu’elle était épuisée, ses jambes s’étaient dépliées et elle était à nouveau couchée. J’ai sorti ma queue, maculée de matière, et j’ai retournée Megan afin de lui mettre ma queue entre ses gros nichons. Ses gros seins avec les tétines bien hautes que je poussais de chaque côté de ma queue. Evidement sa poitrine n’a pas tardé à s’orner de trainée marrons. Toujours dans la position du notaire en cravate, je me sentis venir, c’est alors que je me suis approché de sa bouche pour lui donner son dessert.

– Sperme et merde ! J’espère que tu apprécie ?
– Un peu salé pour un dessert, mais ça va !

Tranquillement, je la détachai, et je m’excusai d’avoir été un peu brusque !

– Non, non ça va… Mais t’es un sacré cochon, toi !
– Si, je suis un peu confus ! Si je pouvais faire quelque chose pour me faire pardonner !
– Alors dans ce cas à ton tour de te laisser faire !
– OK, mais on se boit une mousse d’abord !
– Un coca pour moi ! Et laisse ta mousse je vais te donner ma bière.
– Pardon !
– Mais il ne comprend rien celui-là ! Mets-toi à genoux et ouvre ta bouche de porc que je te pisse dedans.

– Mais…
– Tu étais d’accord pour te laisser faire, alors maintenant à genoux et discute pas. Et la bouche bien ouverte.

Elle m’a d’abord craché dans la bouche avant de m’y envoyer sa bonne pisse. Je me suis régalé, elle est vraiment très bonne.

On a en a mis un peu partout, on a attrapé le fou rire et on a épongé. Après, on a un peu trainé, j’ai branché la télé, on a regardé des conneries, on s’est resservi à boire, bref, une heure a passé. Je pensai qu’il ne se passerait plus rien tout juste peut-être un dodo ensemble dans mon lit…

– On retourne dans la chambre ! Propose-t-elle.
– Pour dormir ?
– Pas vraiment ! Allonge-toi sur le dos, je vais te faire une surprise

Elle prend ma queue dans ses mains et me masturbe, mais elle le faisait avec une intensité que je n’avais jamais connue. Elle était sur un rush d’adrénaline, et elle s’en donnait à cœur joie. Elle plaça des oreillers sous mon cul pour le soulever et se mit le cul devant mon visage, nous étions en 69 :

– Mange-moi le cul !
– Oui, oui !!
– Et tu ne fais pas semblant, tu y vas carrément, je veux sentir ta langue dans mon trou du cul !

Je m’empressai de lui manger le cul. Elle ne l’était pas essuyé le derrière après ma sodomie sauvage de tout à l’heure. Je compris qu’elle l’avait fait exprès.

– Mieux que ça ta langue, nettoie toute la merde.

Je m’acquittais de cette tâche avec application, les délires scatos ne m’ayant jamais bloqué. De plus sa merde avait un bon petit gout.

Ensuite Megan se mis à me sucer et encore là, avec une intensité incroyable, je pensais qu’elle allait me l’arracher. Elle aspirait ma peau comme un petit veau assoiffé. Elle arrêta tout d’un coup, se leva et alla chercher quelque chose dans son sac. Je ne pouvais rien voir de tout ça, la seule chose que je voyais c’était ma queue qui ne demandait qu’à en avoir plus.

Elle défait la ceinture de mon pantalon qui gisait sur le dossier d’une chaise et m’en donne des coups : sur les cuisses, sur mes fesses… Je me tortille, j’en reçois sur le ventre, sur torse…

– T’aime ça te faire maltraiter ? Me lança-t-elle. T’en veux plus ?

Elle s’assoit de nouveau sur mon visage, mais cette fois-ci, en me présentant sa chatte, encore une fois, très mouillée. Elle me dit, d’un ton autoritaire :

– Allez ! Mange-moi ça, et fais-moi jouir !

Je m’exécutai sans dire un mot. Elle gémissait des petits sons, elle aimait ça… C’est à ce moment qu’elle se pencha pour me sucer à nouveau. Cette fois-ci, avec moins d’ardeur, mais elle me préparait autre chose. Elle flattait mon trou de cul qui se trouvait lui aussi être bien humide. Elle planta son index dans mon cul et fit des va-et-vient… de plus en plus rapidement. Oooh… C’était une sensation que je n’avais jamais vécue. Encore autoritairement, elle dit :

– Bon on passe aux choses sérieuses !

Je me demandais bien ce que cela voulait dire. Elle prit alors son godemichet… C’était donc ça qu’elle était allée chercher dans son sac ! Il y a des filles qui se baladent avec des godes dans leur sac à main ! On en apprend tous les jours ! Et elle me l’enfonça au plus profond de moi. Whaaaa… Inutile de vous dire que j’ai crié un bon coup, pas seulement de douleur, mais aussi de surprise. Mais c’était quand même bon…

Quand elle ressorti l’engin, elle me le fit sucer ! Je m’y attendais !

Pour terminer, elle s’agenouilla en face de moi. Toujours en me suçant la queue et en me masturbant, elle me regardait jouir jusqu’à ce que je vienne encore une fois, dans sa bouche. Et tout ça finit par un baiser dégoulinant de ma semence. C’était la première fois que j’ai eu autant d’orgasmes dans une même soirée…

– C’était bon le gode dans ton cul ?
– Oui, j’avoue !
– Il faudra que tu essaies une vraie bite, c’est encore meilleur !
– Ça va pas, non ?
– On pourrait faire un de ces jours une petite partie avec Ludo, tu connais Ludo ?
– Le gars des pizzas ?
– Oui, il a une très belle bite et il aime bien enculer des mecs…
– Ecoute, Megan, arrête, il n’en est pas question.
– T’es vraiment spécial, toi tu fais des trucs scatos et quand je te proposes de te faire mettre par une vraie queue, tu fais ta jeune fille.
– Bon, on va au lit ?

On a dormi ensemble, au petit matin, je bandais, et quand Megan s’est réveillée, je lui ai demandé :

– Pour la petite partie avec Ludo on pourra faire ça quand ?

Belle-cour

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4 réponses à Le sac à main de Megan par Belle-cour

  1. Jugan dit :

    Ben moi j’ai aimé !

  2. Mignard dit :

    Dommage qu’à la fin l’auteur s’emballe.

  3. Muller dit :

    Ah ! ces nanas qui se baladent avec un gode dans leur sac à mains ! Mais enfin c’est de la fiction et tout est permis !
    Un récit légèrement bourrin dont la fin nous laisse sur notre fin.
    Encouragement à son auteur.

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