Le petit Train….
Germaine dans son lit
Par des bites, alléchée,
Croyait d’une bouchée
Se payer trois maris.
Mais les trois grosses pines
Tant sa bouche était fine
Ne purent en même temps
Faire son contentement.
Alors d’une culée
La Belle aurait voulu
Que par les trois crochus
Elle se fasse enculer.
Mais beaucoup trop pressées
Les trois bites serrées
Comme des parigots
Dans une bouche de métro,
N’ont pas pu pénétrer
Sa rondelle marbrée.
Fallut donc en conin
Lui combler son chagrin.
Deux frères côte à côte
Ont rempli sa cagnotte
Le troisième malin
Par le cul les rejoint
Et les trois compagnons
A travers la cloison
Ont toqué leur pilons
Les couilles corps à corps.
Le cul étant jaloux
Il en voulait encore…
Et changement de décor
Les trois pines coquines
Serrées comme des sardines
Ont voulu faire l’union
Tout au fond de son fion.
Une pine est entrée
Mais la place étant prise
La seconde s’est mise
Dans le trou du premier
Et le troisième vié
Ne s’est pas fait prier
Pour sauter dans l’œillet
Du second qui baillait.
Les wagons amarrés
Le train a démarré
A voile et à vapeur
Et avec tant d’humeurs
Que Dame à chaque bordée
En fut bien débordée.
Et poussent les trois pines
Que bientôt la coquine
En fut toute essoufflée.
Alors d’un chef de gare
Sorti de nulle part
Elle ne fit qu’une bouchée
De son joli sifflet.
Tandis que sur les quais
Tous les gens se niquaient
Et voulaient à leur tour
Aller faire un p’tit tour
Dans le train de l’AMOUR.
31.12.2019
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Joli poème ! J’ai pratiqué dans ma jeunesse le triolisme avec ma femme et un charmant collègue, Le collègue et moi étions assez portés sur les fantaisies bisexuelles d’autant que mon épouse s’excitait à nous regarder, au programme, fellation et sodomie. Nous avons essayé plusieurs figures en improvisant mais quand nous avons voulu jouer au petit train, ça n’a jamais marché, mais ça nous a bien fait rigolé. C’est difficile à coordonner et ensuite il fait tenir la distance, alors autant faire plus simple ! Bonne soirée à tout le monde