Le petit ours par Bitophile25

Permettez-moi tout d’abord de me présenter. Je suis un homme de 41 ans, bi. Je vis avec ma compagne depuis plus de 10 ans. Très classique avec les filles, je peux devenir une véritable truie avec les hommes. Docile, soumis, buveur de pisse et vraiment pas douillet…

J’ai rencontré un homme sur Vassilia, bisexuel lui aussi, qui est vite devenu mon Maître (ça reste un jeu, évidemment…). Il me fait quelquefois l’honneur de me donner sa queue à sucer et son cul à bouffer, et de me pisser dans la raie. Comme il sait que j’ai un CV très chargé, il me demande parfois de lui raconter ce qui m’est arrivé. Avec son autorisation, j’ai eu l’idée de poster certains de mes petites histoires vraies… En voici déjà une que je racontais dernièrement à mon Maître.

« Bonjour Maître

Comme vous le souhaitiez, voici donc la belle histoire d’un jeune ourson que votre p’tite pute à aidé à se découvrir un « sapré » petit mâle dominant… les forêts haut-saônoises ont décidément des ressources insoupçonnées!

C’était au sauna. Parmi les mecs présents il y avait un tout jeune homme, environ 20 ans, qui avait l’air tout timide et un peu perdu. C’était le genre « petit râblé », vous savez, pas grand, large d’épaule, une bonne tête de petit nounours, et… tout poilu ! Une véritable fourrure des pieds à la tête, avec un pelage tout noir, court et lustré. D’habitude, les petits jeunes, ce n’est vraiment pas mon truc, mais là, je ne sais pas pourquoi, peut-être la toison? En tout cas, vous me connaissez, je suis du genre à rendre service, et à la première esquisse de sourire qu’il m’a faite en me croisant pour la nième fois, je me suis dis que je ne pouvais décemment pas le laisser comme une âme en peine dans cet endroit mal famé, et le lui ai mis la main au paquet, tout simplement. Comme il a eu un petit cri de surprise et un brusque mouvement de recul, je n’ai pas insisté et je me suis éloigné pour faire offre de service ailleurs. Je vous passe les deux mecs que j’ai sucés vite fait, pour revenir dans les couloirs où la jeune bestiole paraissait de plus en plus mal à l’aise et désœuvrée. Là j’ai eu le droit à sourire nettement plus appuyé; mais je me méfiais quand même car prendre une veste une fois dans un sauna, je m’en fous complètement, mais deux dans l’après midi par le même mec, il y a plus agréable, surtout quand le gars a 20 ans de moins que vous… je me suis donc laissé approcher sans rien faire…

– Tu sais tout à l’heure, ça m’a surpris, mais ça voulait pas dire que j’étais pas d’accord, m’a-t-il dit.

Si vous aviez entendu l’accent! Je sais que ce n’est pas gentil de se moquer, mais l’accent de Haute-Saône, ça fait tout de même rustique!

– Mais j’ai jamais fait avec un mec, tu comprends, alors je suis pas sûr, je suis venu parce que je voulais juste voir. ».

Et puceau en plus. Je ne sais pas pourquoi, j’ai trouvé ça assez excitant !

Je lui ai donc proposé d’aller dans une cabine, qu’il ferait comme il voudrait, et que si ça n’allait pas on arrêterait tout de suite, ce ne serait pas grave du tout. Il m’a regardé avec méfiance, et m’a dit.

« Mais je te touche pas, hein, et je suce pas, c’est pas la peine, ça faut pas m’en parler. »

Sourire angélique de ma part (s’il savait…), qui lui assure que ça n’a pas d’importance, que c’est juste pour essayer, et qu’on fera seulement ce qu’il voudra. Je me suis dit qu’il fallait que j’y aille doucement au début si je ne voulais pas le choquer à mort dans les premières secondes. Il finit par accepter, et nous voilà dans une cabine. J’ai préféré garder ma serviette, puisque manifestement il n’avait pas l’intention de se servir de ce qu’il pouvait y avoir dessous, et je me suis agenouillé doucement devant lui, en effleurant sa serviette qui commençait à présenter une bosse prometteuse. Comme il ne protestait pas, j’ai glissé ma main sous la serviette, lentement et j’ai senti que ses cuisses tremblaient. J’ai remonté ma main, à rebrousse-poil (et poil il y avait!) jusqu’à une imposante paire de couilles que j’ai malaxées gentiment, ce qui a fait soupirer fortement le jeune homme… Je ne pouvais plus attendre, j’ai retiré ma main et lui ai enlevé lentement sa serviette. Je me suis donc retrouvé nez à nez avec une fort belle bite ma foi, sombre, en pleine forme et tout à fait appétissante. Elle n’était pas très longue, même presque un peu courte, mais d’un diamètre plus que respectable, voire même impressionnant ! Quand je l’ai empoignée doucement, j’ai cru que le gars allait jouir tout de suite. Il m’a fait

« Arrête, je vais venir! »,

…et j’ai tout de suite lâché l’engin pour revenir à ses couilles pendant qu’il se calmait un peu. Je me suis bien douté que cette histoire n’allait pas pouvoir durer bien longtemps, et j’ai décidé de lui réempoigner la queue pour le faire jouir tout de suite, et ce malgré ses protestations, afin de pouvoir en avoir l’utilité un peu plus longtemps avant la deuxième fois. Et ça n’a pas traîné : j’ai pris une impressionnante giclée de sperme sur la gueule au bout de quelques secondes de branlette. Le temps qu’il reprenne ses esprits, que je fasse un brin de ménage sur mon visage et sur sa queue, et il rebandait dur comme du bois : c’est beau d’être jeune !!! C’est lui qui a pris l’initiative de s’allonger sur la banquette, et il m’a demandé si j’avais déjà sucé un mec. Me demander ça, à moi. J’ai simplement répondu un sobre « quelques uns », et j’ai attendu, pour voir…

« Moi, j’aime bien quand une meuf me suce, pas toi ? »
– Si, bien sûr, ai-je répondu en reprenant sa bite en main, sans bouger ensuite

Ce n’était pas très gentil, je sais.

– Tu… tu voudrais pas me sucer un petit peu ?


Tout de même! J’ai enfourné le morceau sans rien dire et je me suis mis au boulot avec enthousiasme. En fait, c’était super excitant, de se dire que j’étais le premier mec à lui faire une pipe. Il y allait de mon honneur de salope, et je ne plaisante pas avec ces choses-là. Vous vous rendez compte s’il m’avait dit « en fait, les filles ça suce mieux », la honte ! Mais pour l’instant, ma prestation avait plutôt l’air de lui convenir.

Quand j’ai senti qu’il valait mieux faire une petite pause pour lui (et pour mes maxillaires, car c’était vraiment épais, comme morceau), il m’a posé, évidemment, la question suivante dans l’ordre normal des choses, au moins dans les films porno :

– Et tu t’es déjà fait enculer?
– Oui, et j’adore ça.
– Mais t’es vraiment pédé, alors?

Que répondre à ça… Il valait mieux faire simple et ne pas entrer dans de longues explications sur la bisexualité, le sens de la vie, le prix de l’essence, la recette de la tête de veau, tout ça… j’ai donc préféré me taire et je me suis remis à le sucer.

– Je connais une meuf, c’est une vraie salope, mais elle veut pas que je l’encule, elle dit que ma queue est trop grosse. C’est vrai que ça fait mal ? Putain, moi, je pourrais pas !

Ce n’est de tout façon pas ce que je vous demande jeune sot, ai-je pensé. Et pour finir, l’inévitable:

– Tu voudrais bien que je t’encule?

J’ai eu du mal à me retenir de ne pas sauter directement sur sa queue sans lui laisser le temps de comprendre quoi que ce soit, et j’ai simplement répondu qu’on pouvait essayer. J’avais quand même un peu peur du diamètre de la chose, et surtout des doutes sur la délicatesse du propriétaire.

Donc, l’ourson voulait m’enculer. Je lui ai demandé de rester allongé dur le dos, je lui ai enfilé une capote, et je me suis assis sur lui. J’adore ça, sentir une grosse bite qui commence juste à me défoncer le cul. Une fois que je l’ai fait rentrer complètement, j’ai attendu un peu sans bouger le temps que ma rondelle s’habitue, parce que quand même !… mais le jeune homme ne l’entendait pas comme ça, il a commencé immédiatement à me baiser, et je peux vous assurer qu’il avait un sacré coup de rein ! Moi, dès qu’on commence à me chatouiller dans ce coin-là, je perds pas mal de mon légendaire self-control. Et il se trouve que ça a dû plutôt flatter son ego, car il s’est mis à me baiser encore plus vite en me disant de continuer, qu’il voulait m’entendre bien fort. Il m’a dit aussi qu’il n’y avait que les salopes qui criaient comme ça, et que je devais être une « saprée putain » [sic], ce que j’ai confirmé sans me faire prier. Il a voulu me sauter à quatre pattes, « comme une chienne », et je me suis donc mis dans la position adéquate, attendant avec impatience qu’il me remette sa queue dans le trou. Mais au lieu de ça j’ai entendu « putain, ce cul ! » juste avant de recevoir une bonne claque sur la fesse droite. Vous savez, Maître, que si on prend ce chemin-là avec moi, on a du mal à m’arrêter. Je l’ai donc supplié de continuer, ce qu’il a fait avec une excitation manifeste et une énergie toute juvénile. En fait, c’est terriblement humiliant de prendre une fessée à quatre pattes, donnée par un gamin de 20 ans !
Et c’est qu’il avait une sacrée force, le gamin en question, et qu’il n’y allait pas de main morte. Ce qui fait qu’à un moment j’ai eu vraiment trop mal, et que j’ai voulu me redresser. Et ça ne lui pas plu. Pas du tout. Il m’a agrippé la nuque, m’a plaqué sur la banquette en criant

« Putain, j’ai pas fini, bordel de Dieu! »

On ne pouvait lui dénier une certaine autorité naturelle, en quelque sorte! Il a donc continué à me foutre sur les fesses pendant encore un bon moment avant de m’enfoncer brutalement son énorme bite dans le cul, en une seule poussée. Puis il s’est retiré aussi violemment qu’il m’avait pénétré, et m’a fait retourner, toujours à quatre pattes pour me violer la bouche en me traitant de tous les noms et en me disant qu’il allait « tout me cracher à la gueule », ce qui s’est affectivement produit quelques instants plus tard, quand il s’est fini à la main. Couvert de foutre, que j’étais.

A peine fini, il s’est transformé en gentil garçon timide, et a pris la fuite presque instantanément, en bafouillant juste un « merci, salut ». Moins de 5 minutes plus tard, il avait quitté le sauna.

Voilà Maître. Je ne sais pas pourquoi ce plan m’a particulièrement excité, car ce n’était pas la première fois, et de loin (!) que je faisais baiser par une grosse bite et que je prenais une bonne fessée, mais rien que de vous le raconter ça me chauffe bien de nouveau!

A bientôt, Maître

Respectueusement

Votre « p’tite pute »

N’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires. Et si parmi les internautes ça peut intéresser quelqu’un, sachez que mon Maître étudiera avec attention toute proposition malhonnête…

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Le petit ours par Bitophile25

  1. Sorenza dit :

    Heureusement que le style est alerte, le ton décontracté, saupoudré d’un peu d’humour, sinon c’est du classique de chez classique.
    Remarque subsidiaire : Le fait d’inclure ce récit dans une forme épistolaire, ça apporte quoi au juste ?

Répondre à Sorenza Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *