Le fantasme de Martine 1ère partie par Jean-Michel_et_Martine

Dimanche et lundi de Pentecôte, deux jours de liberté pour nous deux. Nous avons réussi cet exploit en poussant un peu le planning des autres jours. Toutefois, le téléphone de l’agence était sur « renvoi » et celui de l’appartement sur « répondeur » ce qui nous permettait de prendre éventuellement l’appel. Quant aux « portables », peu de personnes en connaissent les numéros.

Nous étions l’un et l’autre confortablement installés dans le canapé du séjour. Moi, avec les journaux de la veille que je n’avais pas eu le temps de lire, et Martine plongée dans »Photo-pro ». Soudain, elle poussa un :

– Wouaaaah ! Tu te rends compte Jean-Mich’… certains satellites-espions américains peuvent faire des photos où l’on peut lire les plaques minéralogiques des voitures. Avec mon « Canon » et ma focale de 300 millimètres je peux toujours courir derrière. On n’est vraiment plus à l’abri de rien. C’est du véritable espionnage. Mais là on ne parle pas d’atteinte à la liberté, ni de droit à la vie privée, ni de droit à l’image. Quand je pense que pour faire une photo dans la rue je devrais demander l’autorisation à ceux qui seraient dessus. Et je ne te parle pas de photographier un gosse.
– Et oui… C’est ainsi. Mais avec ta carte de presse ça aide quand même, et ça permet des choses discutables. Mais, tu sais, avec les performances de tels satellites tu devrais te méfier quand même.
– Me méfier ?… De quoi donc ?… De la concurrence ?… Les U.S.A ne vendent pas ces photos que je sache ?
– Non… Mais avec de telles possibilités tu pourrais avoir ton portrait, ou celui, de tes fesses en gros plan en train de faire ton pipi au coin d’un bois ou derrière un mur. Tu aurais les honneurs des revues de l’armée américaine pour le plus grand plaisir des G.I.
– Ah oui !… Il y avait longtemps que tu n’avais pas sorti une connerie. Bon… O.K…J e suivrai tes conseils ! Et pour être bien sûre, éventuellement tu en seras privé aussi.
– Tu pourrais te passer de garde du corps ?

Après cet échange de fausses menaces, chacun se replongea dans sa lecture. Au bout de quelques minutes, Martine rompit à nouveau le silence.

– Tiens… Puisque le soleil est de retour… et si on allait marcher un peu dans les remparts ? Il ne fait pas encore bien chaud, mais bien couverte, çà ne me déplairait pas. Un petit jogging Jean-Mich’ qu’est-ce que tu en dis ?

J’étais d’accord. J’enfile mon survêtement et Martine, frileuse, un pull, des collants, avant le survêtement.

—–0—–
Un quart d’heure de voiture et on trouve une place rapidement sur le parking de la guinguette où un rythme que certains appellent « musique » agitait une salle pleine de danseurs. Nous connaissons bien cet endroit but de promenades, pour y venir souvent. Plus de surprise dans les itinéraires possibles. Les détours des allées ne pouvaient plus nous surprendre. Nous connaissons chaque rocher, chaque voûte. L’été, nous avons même notre banc pour une petite pause. Nous connaissons même sur un certain itinéraire, une petite allée limitée à un bout par une petite muraille que l’on ne franchissait qu’en l’enjambant et qui se terminait en impasse en haut du rempart. Personne ne passait par là sans doutes, sauf nous car le manque de fréquentation de ce lieu permettait de vidanger nos vessies respectives.

– Tiens… On va faire un tour par-là ?….questionna Martine
– Si tu veux. Tu as une envie ?
– Bof… Peut-être.

Et l’escalade commença. Arrivé là-haut, on a une vue sur d’ensemble sur les fortifications et sur la ville. Martine sortit son petit « numérique » de la poche de son survêtement pour immortaliser, une fois de plus, de ce sommet une pièce d’eau et les cygnes s’y baignent. Un reste de muraille accueillant recevait habituellement nos pipis respectifs. Je commençais le premier pendant que Martine faisait ses photos.

– Tiens… C’est toi qui attaque le premier aujourd’hui ?….dit-elle. Il restait une place prés de toi, dommage qu’avec cette tenue je ne puisse pas t’accompagner pour arroser le rocher. Il y a quand même des moments où les hommes sont avantagés. Tiens, quand tu auras rangé ton «accessoire» met mon appareil dans ta poche. Moi pour pisser je dois tout baisser et j’ai peur de le faire tomber.

Elle me le tendit, et après un coup d’œil circulaire pris position le dos au rocher.

Depuis des années, je suis habitué à la voir toute nue dans l’appartement entrain d’exécuter toutes sortes d’activités. C’est devenu une routine pour nos deux. Je vois Martine dans la cuisine allant et venant de la table à l’évier, ses petites fesses se promenant de droite à gauche. Je la vois rangeant les armoires, penchée en avant dans les tiroirs m’exhibant son sexe rasé ou pileux. Bien sûr aucune réserve non plus sous la douche.

Bref, plusieurs heures par jour, elle m’offre un spectacle auquel peu d’hommes s’habitueraient. Je finis par la voir avec des yeux rendus presque indifférents par l’habitude. Au contraire, j’aime cette décontraction qui est la sienne. Mais une toute autre réaction se déclenche en moi si quelque chose d’insolite se passe : une attitude inattendue, un mot ou un geste provoquant, une situation inhabituelle comme celle que je vivais là, maintenant, et ma Martine devient involontairement ou volontairement provocatrice.

Dans son esprit s’il y a provocation, elle me le fait savoir. A moi de décoder. Là, à deux mètres de moi, elle occupait la place que j’avais tenue juste auparavant avant qu’elle m’eut confié son appareil. Elle baissa le survêtement. Avec un peu plus de soin ce fut le tour du collant noir. La petite culotte mauve descendit aussi sur les cuisses. Elle prit la position qui convenait en de telles circonstances : les pieds juste un peu écartés, les cuisses presque serrées, elle se pencha en avant et fléchit un peu les genoux.

Dans la nature, je suis plus habitué à la voir se soulager debout prés de moi que dans cette attitude pourtant plus habituelle chez une femme. Et c’est justement ce spectacle inhabituel qu’elle me présentait là, qui me donnait des impressions terriblement érotiques.

Comme pour cacher mon trouble, je lui lançai :

– Fais gaffe Martine, il y a un satellite qui passe.

Le petit jet qui arrosait le rocher s’arrêta pendant qu’elle riait.

– Arrête… Regarde moi ça ! …. En riant je vaporise et je m’en fous plein les cuisses.

Profitant de cette hilarité et de son attention toute à son pipi, je ne pu résister au désir de photographier cette scène. J’étais juste à la bonne distance et je comptais sur les automatismes du petit «compact» pour faire le cliché.

– Souris… C’est pour l’U.S Air Force… et je déclenchai cadrant ses cuisses et ses fesses au moment ou le jet partais effectivement un peu en tout sens.
– Cochon !… Chameau !… Bourreau !… Tu me le paieras. Tu as de la chance que c’est du « numérique », car en « argentique » je te faisais bouffer la cartouche. Pour commencer file moi un kleenex, de ta faute je dois essuyer partout. C’est quand même plus facile debout !
– Et tes accessoires alors ?
– Bon… ils sont au tableau de bord de la bagnole et dans mon sac. Le rêve serait d’avoir un «machin» comme toi dans ce cas.

Le survêtement remonté, elle s’empara de l’appareil pour jeter un coup d’œil au cliché.

– Et en plus la lumière est bonne. Le cadrage aussi. Il y a les cuises, les fesses, la foufoune et le jet tordu. Heureusement il n’y a pas ma tête. Bon… o.k….On va voir cela à l’appart’ ce soir avec les autres, sur grand écran çà fera grandeur nature. Mais je vais te trouver un gage c’est sûr. Tu as de la chance qu’ici çà n’est pas l’idéal, je te demandais réparation immédiatement, et tu aurais eu intérêt à être brillant.

Tout cela en fait, l’amusait autant que moi. Il fut un temps où une telle audace de ma part m’aurait valu un profond désaveu et sa tête des mauvais jours pendant une semaine au moins. Mais comme elle dit maintenant :

– Sous la ceinture, c’est anonyme.

La promenade se continua encore un peu dans les allées plus fréquentées avant le retour vers l’appartement.

—–0—–
Vers 19h30, en robe de chambre, Martine proposa :

– Tiens… et si avant la douche on regardait les photos de cet aprèm’ ?

L’appareil fut branché sur le P.C. et en quelques « clics » l’étang apparu à l’écran. Martine assise négligemment sur mes genoux se souciait peu de sa robe de chambre qui tombait de chaque coté et laissait à découvert ses longues cuisses blanches presque jusqu’au pubis. Elle commentait et analysait les clichés.

– Celle-là serait bonne si je n’avais pas pris tant de ciel. Ah !… et la lumière de dos
Çà écrase tout. Et celle-là… Tiens regarde… Je ne l’avais pas remarqué quand je l’ai faite… Regarde… Le cygne qui monte sur son copain !
– Ce serait plutôt sa copine non…tu ne crois pas ?
– Sans doutes… A moins qu’il y ait des homos chez les cygnes.
– Et alors ?… C’est le printemps non ? Je t’aurais bien fait le cygne moi aussi tout à l’heure.
– Et oui… Je m’en doute….Moi aussi s’il n’y avait pas eu un risque de voyeurisme….Je crois que je n’aurais pas été contre. On n’a encore rien fait dans la nature cette année. On y pensera.

Et arriva la photo du pipi de Martine.

– Je t’avais dit que sur un grand écran ce serait presque grandeur nature. Je ne m’étais jamais vue sous cet angle. Evidemment, si je ne savais pas que c’est moi, je ne me reconnaîtrais pas. Tu vois… Je te l’avais dit… Tu me fais rigoler avec ton satellite et j’en fous dans tous les sens. C’est un sale pipi qui part n’importe comment et qui me fait honte par ta faute.
– Excuse-moi trésor….Mettons cela sur le fait que, ayant laissé ton accessoire au vestiaire, tu ne pouvais pas adopter une autre position. Mais j’atteste que debout, même sans accessoire, tu nous fais des pipis super et que tu me bats parfois sur la longueur.
– Ah, quand même. De mon côté, la critique artistique est plutôt bonne. Bonne lumière, bon cadrage. Bon moment… Et comme tu n’as pas pris ce qui pouvait me trahir, je te félicite. Pour te récompenser, je vais te confier un secret. Tu me jures de n ‘en parler à personne ?
– T’ai-je déjà trahie d’une manière ou d’une autre ? Allez….Raconte.

—–0—–
La photo était restée à l’écran. Sa robe de chambre toujours ouverte sur ses jambes, elle passa un bras autour de mon cou, signe que nous changions de registre.

– Bon… Et ne ris pas hein ! Tu seras d’accord si je te dis que j’ai toujours eu avec toi et même avant toi, un comportement sexuel féminin ? C’est parce que j’ai voulu faire pipi comme ma grande sœur que cette façon de faire habituelle me plait aujourd’hui. Pourquoi ?… Pratique… Erotique… Amusante… Provocatrice… Et pourquoi pas ? Mais je me sens fille à cent pour cent et fière de l’être. Il n’y a pas en moi pour un euro d’homo ou de trans, je t’assure ! Pourtant, tu ne peux pas savoir combien je voudrais essayer de pisser avec une bite comme la tienne. Ah !….Juste deux ou trois fois… En avoir une à titre provisoire….Pour un week-end par exemple. Allez… Du samedi midi au dimanche soir. Juste affaire de voir comment ça fait de la tenir dans la main pour pisser. C’est pas une question pratique… Je m’en passe très bien…. Non, c’est juste avoir quelque chose à tenir à ce moment là. Tu crois que d’autres femmes y pensent aussi ?
– Sans doutes, parce qu’elles croient que certains hommes pensent que c’est un signe de domination. Mais sans cela, tu t’en tires aussi bien qu’un homme et tu fais aussi appel à tes doigts non ? Tu m’as souvent expliqué et démontré l’usage de tes doigts pour faire un pipi réussi. Et toi, ton travel-mat, ton freelax, ton P-mat, tout cela tu le tiens dans la main, et par la braguette de ton jean’s tu fais comme un mec non ?
– Ouais… Evidemment. Mais tous ces machins c’est du papier ou du plastique. C’est pratique… OK… Mais c’est pas un engin comme le tiens, en chair, vivant etc… Tu comprends ? Depuis longtemps je rêve de te la tenir quand tu pisses. Mais toi quand je te touche c’est l’érection et… plus de pipi possible.
– C’est plutôt flatteur pour toi. Mais toi aussi je te le rappelle, tu coinces parfois quand je te touche ou que je veux t’aider. Et comme mon conduit est plus long que le tien… Tu peux comprendre.
– Oui….OK…. Mais un de ces jours je vais tellement te remplir de thé vert que de gré ou de force, que érection ou pas, je te la tiendrai pour pisser. T’es d’accord ?
– Ca marche. D’autant plus que çà me plairait à moi aussi. Il faudra y penser. Après tout comme tu n’as aucune chance d’en avoir une comme moi un jour ou l’autre, ton fantasme serait en partie réalisé si nous réussissions.
– Mais je te répète… Tout va bien pour moi. Rassure-toi. Je ne me sens pas du tout avec un truc pareil à temps plein entre les jambes. Je préfère ma foufoune et ce que nous en faisons. Et tiens….A propos… Tu veux un pipi comme je l’ai fait tout à l’heure dans les remparts ? Bon je ne vais pas me rhabiller en survêt’, collant et slip. Il n’y a plus que la robe de chambre. Ca te plairait ? Qu’est-ce que j’aurais en échange ? Ah… ! J’ai une idée. Assise comme cela sur tes genoux, je sens sous mes fesses quelque chose qui n’y était pas tout à l’heure. Viens à la cabine de douche.

Elle se leva et m’entraîna dans la salle de bain.

– Je le refais comme tout à l’heure. Tu n’as plus l’appareil mais tu peux regarder ma foufoune.

Elle écarta à peine les jambes et appuya ses talons sur le bord de la cabine. La robe de chambre fut remontée jusqu à la ceinture. Elle se pencha bien en avant et fléchit un peu les genoux. Je n’avais plus qu’à me baisser un peu pour voir le bas de son ventre au-dessus du bac de la douche.

Complaisante, elle s’informa :

– Ca va comme cela ?… Tu vois bien ?… Le voilà qui vient.

Visiblement sans doute aussi excitée que moi par son exhibition, elle eut un petit problème pour démarrer. Elle se mit à rire ce qui, comme d’habitude, déclencha l’ouverture des vannes et je pus alors apprécier un superbe pipi cette fois sans bavures. Un vrai régal de voir cette petite chatte se libérer. Connaissant les possibilités de son anatomie, Martine prenait un vrai plaisir à faire jouer tous les moyens de ses lèvres intimes pour moduler le doux chant de sa petite source.

Hélas la dernière goutte finit par tomber. Ma petite pisseuse resta immobile encore quelques secondes comme un silence à la fin d’un morceau de musique. Puis elle m’invita à lécher le peu de gouttes qui restaient. Je laissais petit à petit ma langue pénétrer entre ses lèvres. Elle écarta un peu plus les jambes. Je sentais son clito s’épanouir de satisfaction. Son bas ventre commençait à d’agiter quand elle annonça :

– Tiens… On était bien sur la chaise tout à l’heure. On y retourne pour terminer ?

Ses questions en général marquaient toujours son choix, voire son désir. Je me laissais conduire. Elle me fit asseoir et elle s’installa sur mes jambes face à moi. Comme sa robe de chambre était restée dans la salle de bain, ses petits tétons en poires me visaient agressivement. Elle attrapa ma queue et la guida vers son entrée déjà bien lubrifiée puis termina de descendre lentement sur moi.

– Oui !… C’est bon comme çà. Tu te souviens tout à l’heure dans les remparts……Je t’ai dit que je me vengerai ? Ah tu as voulu voir ma foufoune entrain de faire pipi dans la nature et la photographier en plus… Et bien moi comme cela… Je vais te faire jouir comme je veux…. quand je veux… et je vais voir ta tête.

Ce disant, elle entama ses va et viens lentement, avec un petit sourire sardonique. J’avais du mal à contenir mon plaisir qui montait. Apparemment, elle aussi et elle précisa :

– Allez… J’y vais….si je pars avant toi c’est rien… Je continuerai.

Je la sentis se contracter, elle ferma les yeux, son visage se crispa.

– Ouais….dit-elle en arrêtant son mouvement. C’était vraiment bon. Allez….Ma vengeance maintenant.

Elle posa ses mains sur mes épaules pour avoir du recul et voir mon visage

– Je veux te voir jouir Jean-Mich’….et elle reprit lentement ses petits mouvements.
– Je vais doucement exprès… Pour savourer ma vengeance. C’est bon ? On n’est pas pressés hein ?

Moi je m’en fous j’ai déjà joui une fois, alors je prends mon temps. Si tu veux que j’accélère, dis moi que tu t’excuses

– Je m’excuse Martine chérie….dis-je en riant.
– Alors je te pardonne parce que je suis bonne fille. Allez… A nous deux !

Elle accéléra et arriva rapidement à ses fins. Je ne tardais pas à m’éclater en elle. Elle avoua après qu’elle aussi s’en était resservie une dose en même temps que moi.

(À suivre)

Jean-Michel et Martine
Janmich59@wanadoo.fr

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