Le fantasme de la ligne 69 par Alntz

Le fantasme de la ligne 69
par Alntz

Voici un petit récit qui traite de fantasmes exhibitionnistes, de masturbation, de triolisme HHF, de bissexualité, avec un peu d’humour pour finir. Bonne lecture.

J’ai une petite manie, je l’avoue, j’aime bien me caresser le sexe dans des endroits insolites, avec du public autour, mais de manière très discrète, sans que personne ne se doute de rien.
Cela remonte à mon adolescence, alors lycéen, il m’est arrivé quelques fois de me masturber pendant les cours, une main sous la table, passée dans le jogging. C’était d’autant plus excitant que cela se passait sous le nez du prof, ou de la prof, parfois au premier rang, et surtout assis à côté de ma meilleure amie, qui ne s’en est jamais aperçue… le plus difficile était de jouir en silence, et de bien maîtriser l’éjaculation, généralement dans un mouchoir en papier, ou bien a même la peau, dans le slip.
Après ces exploits de jeunesse, est venu le temps du travail et des transports en commun. Cela a représenté pour moi une nouvelle source d’inspiration, le bus. Il est très excitant de se branler tout en ayant l’air de rien, dans un bus bondé des gens qui rentrent de leur boulot, quelle jouissance que de s’accorder ce petit plaisir solitaire, entouré de 30 personnes, et avec un voisin ou une voisine qui ne se doute pas une seconde de ce qui se passe sur le siège à côté… enfin ça, c’était jusqu’à l’autre jour…

Je rentrais donc tranquille, content d’avoir mis un jean avec zip, plus facile a dégrafer pour sortir l’engin…je retrouvais ma place favorite : un peu vers le fond du bus, sur l’avant dernière rangée de sièges, et je m’installais le long de la vitre, sortait mon sexe du caleçon, et du pantalon, posais ma sacoche dessus et commençais gentiment à me caresser le bout du gland, en titillant juste la partie turgescente du bout des doigts, histoire de se donner un petit frisson… puis ensuite on alterne avec un lent va et vient, en faisant rouler la peau du prépuce sur le bord du gland, tout doucement, tout en douceur. Sans oublier de temps en temps d’humecter les doigts avec de la salive, histoire de lubrifier un peu.
Le temps passant, la sève montant, le bus avait déjà accompli une bonne partie de son trajet, nous n’étions plus que quatre ou cinq à bord, et je sentais l’envie de terminer monter en moi, je devais commencer à m’agiter un peu sur mon siège, à ne plus maîtriser totalement mes gestes, mais ma voisine de siège n’était toujours pas descendue… et le temps du trajet se raccourcissait grandement.

Pourvu qu’elle descende au prochain arrêt, me disais-je sans cesse, j’en était là de mes réflexions quand l’incroyable se produisit : toujours perdu dans mes pensées, et concentré sur ma branlette, je n’ai pas senti ma sacoche se soulever, c’est quand j’ai senti une main sur mon sexe que j’ai réalisé que j’étais démasqué ! Je tournais alors la tête sur la droite, découvrant ainsi le visage de ma voisine, que je n’avais pas encore vraiment détaillé. Elle devait avoir une petite trentaine, un assez joli visage, un nez fin, des yeux noisette et une chevelure teintée rousse avec des mèches blondes, pour environ 1m65, et un 85 C – à vue de nez. Bref, je me tourne vers elle, et elle me dit :  » alors petit coquin, on s’amuse tout seul, c’est pas bien du tout ça, laisse moi t’aider un peu « . Elle prend alors ma sacoche, la retire et me la tend pour la poser le long de la vitre.
Ensuite, elle enlève ma main de mon sexe, et plonge la sienne dans l’ouverture de mon jean pour en ressortir mes testicules, qu’elle masse entre ses doigts, puis elle saisit la verge, et commence à me branler doucement de haut en bas, sur toute la longueur,… un peu surpris, mais très heureux de ce qui m’arrive, je reste passif et me laisse faire, me contentant de savourer chaque instant de cette chance.
Soudainement, elle me dit :  » mais c’est qu’elle est en forme cette queue, je la goûterais bien « , je n’eus que le temps de murmurer,  » mais faites donc comme il vous plaira  » que déjà je sentais le contact de ses lèvres chaudes sur mon gland. Elle y déposa quelques baisers, avant de l’enfourner très progressivement dans sa bouche, procurant cette incroyable sensation de chaleur et de velours qui entoure la verge, comme si on revêtait un habit de jouissance autour du sexe. Le plaisir inouï de cette fellation était décuplé par son côté interdit et son caractère exhibitionniste, il ne m’en fallait pas plus pour atteindre le septième ciel, je savais que j’allais venir, et je le dis alors à ma voisine, qui pour toute réponse activa l’allure, en faisant des petites séries, deux ou trois va et vient, puis elle retire sa bouche, puis m’enfourne de nouveau jusqu’à la base du sexe, au bout de la jouissance, et de la souffrance que peut procurer un tel état d’excitation sexuelle, je lui pris la tête par la base du cou, et la maintenais sur mon sexe, me cambrant alors au maximum, laissant partir mon sperme tout au fond de sa gorge…………….. Aaaaahhhhhhhhhh !

Elle termina d’absorber mon sperme dans sa bouche, j’eus encore quelques secousses, encore quelques gouttes, qu’elle léchât avant de se redresser et de m’embrasser goulûment, me restituant alors une partie de mon foutre dans la bouche. Moi qui n’aime pas trop le goût du sperme habituellement (même si je n’ai goûté que le mien jusqu’à ce jour), je dois reconnaître que, mélangé a la salive d’une femme, et échangé lors d’un long baiser, cela avait presque bon goût, et achevait de me consumer de plaisir……..
Elle retira lentement son visage du mien, me regarda droit dans les yeux, et me dit :  » maintenant, nous sommes en dette, petit coquin. Il va falloir que tu te montres à la hauteur de ce que je viens de te faire vivre…  »

Nous avions un peu oubliés où nous étions, et alors que je reprenais mes esprits, je m’aperçus qu’on avait dépassé depuis longtemps mon arrêt, un coup d’œil circulaire me permis de m’assurer que nous n’étions plus que tous les deux dans le bus,……. Avec le chauffeur ! Je levais alors la tête et croisais son regard dans le rétroviseur intérieur, un regard, et un sourire, qui en disaient long : il n’avait rien perdu du spectacle, et ne nous avait pas interrompus. Il avait pris le chemin du dépôt, et nous étions en train d’y arriver.

Je dis alors à ma partenaire de hasard :  » ne t’inquiètes pas, je crois que tu vas être servie au delà de tes espérances « , et d’un hochement de tête, je l’invitais à regarder en direction du chauffeur. Nous venions de pénétrer sur le dépôt, il était en train de garer le bus vers le fond du parking, dans un coin un peu reculé, tout en jetant de nombreux coups d’œil en arrière, histoire de voir notre réaction.
Je me dis que nous n’allions pas tarder à savoir s’il était plutôt du genre actif ou passif, et décidais de ne pas perdre l’initiative une seconde fois, moi qui m’était laissé submergé par cette inconnue, que j’avais bien croisée et remarquée quelques fois auparavant dans le bus en me disant,  » hum , celle là, je lui ferais bien des choses, si elle le voulait « . Eh bien nous y étions, et il s’agissait d’être à la hauteur des sommets d’extase où elle venait de me mener.

Pour commencer, je me tournais de côté, et me mettais à genoux devant elle, puis la faisais pivoter sur son siège pour qu’elle soit tournée vers moi. Je fis glisser mes mains sur ses jambes, du haut des cuisses vers les mollets, puis remontais mes mains, tout en lui donnant de petits baisers sur les jambes. Arrivé à hauteur des cuisses, je remontais lentement sa jupe pour atteindre la culotte. C’était un joli string en dentelle blanche, qui cachait délicatement une toison abondante, et foncée. J’approchais alors mon visage pour humer ce sexe moite d’une journée de travail, et tout empli des sécrétions hormonales de notre petite aventure précédente….Ce parfum de femme excitée ne demandant qu’à être stimulée m’enivra, et je poussais mon visage contre son string, elle se cambra à ce contact, et souleva son bassin, en guise d’invitation à poursuivre. Je profitais donc de ce soulèvement du bassin pour tirer à moi le string, découvrir ainsi son triangle d’or, libéré de toute contrainte. Au passage, je m’imprégnais de son odeur en passant sa culotte sur mon visage. Je relevais alors complètement la jupe sur ses hanches, et posais un premier baiser sur ses lèvres humides – quel pied ! Son bassin fit un bond en avant, écrasant mon visage entier sur son sexe, je commençais alors une exploration en règle des lèvres, grandes lèvres, petites lèvres, puis cherchais le clitoris, que pour une fois je trouvais sans peine, tant il était proéminent. Au premier coup de langue, j’eus droit à un nouveau sursaut de plaisir, et je m’enfouissais encore plus profond dans ce sexe.
Pendant ce temps mes mains n’étaient pas restées inactives, elles allaient et venaient sur les jambes, le haut des cuisses, les fesses, et saisissaient par les hanches ma partenaire d’un jour pour l’empêcher de se dérober aux assauts en règle de ma langue…je poussais alors l’exploration plus haut, caressant le dos en remontant, pour finir devant sur les seins.
C’est à ce moment que je me suis aperçu :
1° – qu’elle avait dégrafé son corsage et me présentait une fière poitrine aux tétons dressés et fébriles
2° – que le chauffeur n’était pas du genre passif. Il s’était approché de nous, pantalon baissé, et sexe au garde à vous. Profitant que j’étais occupé en bas, il avait approché son sexe de mademoiselle, qui ne s’était pas fait priée pour l’enfourner à son tour et lui faire une fellation pendant que je la broutais vigoureusement.

Je reprenais donc mon exploration, tout en lui massant les tétons du bout des doigts. Puis, tout en continuant à lui stimuler un sein, je sentais bien qu’elle commençait à s’agiter en tous sens, et à devenir liquide. Je décidais alors de lui donner le coup de grâce : je partais avec ma main droite explorer la rondelle de son anus, pendant que la gauche restait sur les seins. Je commençais par faire des petits ronds autour, puis approchais un doigt de l’entrée, elle se cambra alors encore plus sur le siège, facilitant le passage d’un doigt, bientôt rejoint par un deuxième.
C’en était trop. Elle se mit alors à râler, à gesticuler, se cambrant, se dérobant aussitôt, mais ne pouvant se défaire de l’emprise que nous exercions sur elle, moi sur son sexe et sa croupe, le chauffeur lui maintenant fermement la tête sur son membre tendu, une belle bite de black, bien longue, et bien dure.
C’est à ce moment qu’elle a vécu la délivrance d’un premier orgasme, je recueillis alors son jus dans ma bouche, un pur délice d’amertume et de sueur. Et au moment où j’allais lui rendre le baiser de foutre qu’elle m’avait donné, je vis un jet de sperme éclabousser son visage, elle avait dû relâcher la bite du chauffeur au moment de son orgasme, et lui s’était terminé à la main pendant ce temps, avant de se rapprocher de sa bouche au moment d’éjaculer. Elle eut à peine le temps d’ouvrir la bouche, qu’elle se retrouva le visage couvert de sperme, en ayant plus reçu au dehors qu’en dedans.
Tant pis, je voulais quand même lui restituer sa semence, je lui léchais donc d’abord le visage pur récupérer le jus du chauffeur, puis l’embrassais de nouveau langoureusement, mêlant ainsi sa cyprine et le sperme du chauffeur à nos deux salives. C’était la première fois que je goûtais un sperme autre que le mien, et je dois reconnaître que si la différence de goût est faible, c’est autrement plus excitant d’avaler le sperme d’un autre que le sien, j’en bande encore en écrivant ces lignes.

Et je ne saurais sans doute jamais par quel hasard j’ai eu cette idée, mais je me tournais subitement après avoir embrassé ma partenaire, j’empoignais le sexe encore raide et dégoulinant du chauffeur et entreprenais un nettoyage complet de sa verge et de son gland. Je suis pourtant hétéro, me dis-je en moi-même, mais je sais bien que ça faisait longtemps que je me demandais ce que ça fait de sucer un mec, et quel goût ont les autres spermes.

Sachant que l’occasion était trop belle, je saisis alors ma chance, et le chauffeur me laissa faire, il me dit alors des trucs crus, des insultes, du genre  » alors comme ça t’aime aussi les mecs petite salope « ,  » vas-y alors, suce moi p’tite lopette « . Je n’eus pas le temps de dire ouf, qu’il me traînait dans l’espace du bus où les voyageurs restent debout, me fit agenouiller devant lui et me dit encore  » ah, tu veux sucer une queue, et bien vas-y p’tit mec, fais-moi jouir « . Aussi étrange que cela puisse paraître, son vocabulaire ne me choqua pas, il m’excita plutôt qu’autre chose, et je me lançais avec application dans la première pipe de ma vie.
Force est de constater qu’il est à peu près aussi jouissif de sucer que de se faire sucer. En tous cas à titre personnel, c’était un moment que j’attendais depuis si longtemps que je l’ai savouré au maximum, enfonçant bien ce sexe au fond de ma bouche, lui faisant des caresses sur le scrotum, prenant les testicules en main, les faisant rouler entre mes doigts, en les comprimant légèrement par moments pour envoyer des petites décharges de douleur à mon partenaire. Tout en le pompant goulûment, je me décidais à explorer aussi son anus, ce qui me valu un nouvel encouragement rageur. Non seulement, je me suis mis à lui masser l’anus, mais je ne traînais pas avant de lui mettre un doigt, puis deux, puis trois, tout en faisant des mouvements circulaires dans son sphincter. Ce qui eut pour résultat d’achever sa résistance, il déchargeât alors pour la seconde fois, en moins d’un quart d’heure ! Mais cette fois ci je n’en perdis pas une goutte, je gardais bien en moi ce sexe, et l’empêchais de se retirer en l’enlaçant par les fesses. Je le pompais alors doucement pour bien vider le phallus de tout son contenu, avalant jusqu’à la dernière de chacune des gouttes qu’il a bien voulu me donner.

Pendant ce temps, ma voisine de bus était restée bouche bée devant ce spectacle effarant, mais la main sur le clitoris, elle qui croyait être l’attraction principale, elle assistait à une véritable fuite des bites en furie !

Ne voulant pas en rester là, elle décidât de s’attaquer à la seule disponible : la mienne. Elle se faufila donc dans l’allée, me releva doucement puis s’inséra entre ces deux hommes en action. Elle recommençât alors à me sucer, mais je sentais qu’on pouvait aller encore plus loin. Je m’arrêtais donc et proposais un jeu à trois à mes partenaires : que le chauffeur prenne mademoiselle en levrette, pendant que je prendrais le chauffeur de la même manière. Alléchée par les mensurations du chauffeur, mademoiselle s’empressa de prendre la pose, en se tenant aux barres du bus, la croupe fièrement tendue vers ce braquemart ardent, et encore toute chose du spectacle qu’on venait de lui donner. Je me présentais alors derrière le chauffeur, et je recommençais à assouplir son anus, qui était déjà bien dilaté par mes stimulations précédentes. Je pus sans difficulté lui mettre trois doigts, puis quatre.

C’est alors qu’il m’ordonnât de le prendre. A côté de mes doigts, la pénétration de mon sexe en son anus fût pour lui un soulagement. En effet j’ai un sexe fin et pas très long, environ 15cm en action et 8 cm de périmètre, alors que le chauffeur devait atteindre sans forcer les 22 cm. Donc je le pénétrais assez facilement, introduisant mon sexe au fond de son cul d’un seul coup, en ne lui arrachant qu’un petit gémissement rauque.

J’entrepris alors de le limer furieusement, ce qui me fit arriver dans son cul relativement rapidement. Quand il sentit que je me relâchais, il demanda alors que l’on change les rôles… je me suis di en moi-même,  » tout de même, c’est peu être beaucoup d’être dépucelé de la fellation et de la sodomie le même soir « , mais en apercevant devant moi la croupe tendue et déjà offerte de ma voisine, je me dis, ma foi, dépucelons nous aussi de la sodomie féminine !
Alors que je préparais consciencieusement la rondelle de mademoiselle a m’accueillir, je sentais le chauffeur qui me faisait le même traitement, et je ne pus réfréner une certaine appréhension lorsque je sentis son gland ouvrir doucement mon anus, dilaté certes, mais tout de même il y a des limites, surtout une première fois. Me sentant hésitant, le chauffeur fit une pose pour laisser mon orifice s’habituer à la présence de son sexe en moi. J’en profitais pour pénétrer tout aussi doucement l’anus de mademoiselle, encore inexploré ce soir. Et c’est ainsi, en calquant nos pénétrations sur le même rythme et la même cadence, que nous sommes allés au plus profond de chacun. Je n’ai même pas ressenti de douleur alors qu’il était tout entier en moi, ce sexe énorme de black, tant nous étions synchrones, et tant j’étais occupé par le cul de ma partenaire, bien plus étroit que celui du chauffeur, mais bien plus serré autour de ma verge et de mon gland, procurant ainsi des sensations intenses tout le long du pénis. C’est alors que l’on était fous de plaisir, fous d’extase de cette situation inédite pour chacun, que nous avons joui tous les trois une dernière fois quasiment ensemble, comme sur un nuage, bercés par cette ondulation harmonieuse de nos corps dans le même élan.

Après ce happening, nous nous sommes assis côte à côte dans le bus, puis nous sommes regardés, béatement, ravis et comblés de bonheur sexuel, et charnel, les vêtements en désordre, les pantalons sur les chevilles, la jupe toujours autour des hanches, débraillés, souillés, cuits dans notre jus.
Je m’appelle Alain, a dit le chauffeur, moi c’est Laurence, a dit ma voisine, et moi c’est Antoine, ai-je répondu. . . . .

Alain venait de nous proposer de prendre une douche aux vestiaires du dépôt avant de partir, histoire de ne pas rentrer à la maison dans notre état, mêlés de nos odeurs de stupre, de fornication, de sodomie, … quand j’ai entendu taper à la vitre du bus ! Je me suis alors éveillé en sursaut – et j’ai vu penché sur moi les visages de ma voisine et du chauffeur qui me disaient  » Monsieur, Monsieur, il faut vous réveiller, on est arrivés au terminus…  »
Horreur !! Tout cela n’était qu’un rêve ! … mais quel rêve réaliste ! Je fus bien gêné en effet pour me lever de mon siège et sortir du bus en gardant ma sacoche serrée sur le haut de mon pantalon, et ma dignité. Comment aurais-je pu leur expliquer cette tâche humide, moi qui venais d’éjaculer dans mon caleçon ?…

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3 réponses à Le fantasme de la ligne 69 par Alntz

  1. Breton dit :

    Délirons mes sœurs, délirons mes frères, et baisons dans la joie et la bonne humeur !

  2. Ronin dit :

    Dans le genre débridé, c’est pas mal du tout

  3. senator dit :

    Joli fantasme bien décrit, très excitant

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