Le domaine des quatre vents – 2 par Mathieu01

Le domaine des quatre vents – II
par Mathieu

Vous savez, au domaine, tous les mois se déroule une soirée spéciale, une soirée à thème. Ainsi, le second samedi de chaque mois, sont organisés des soirées déguisées, travesties, meurtre et mystère, moyen-âge, etc. J’affectionne tout particulièrement ces soirées car elles me permettent d’entrer dans la peau d’un personnage et de me permettre des choses qu’autrement je ne me permettrais qu’après cinq ou six verres de vodka ! Ainsi je me rends aux quatre-vents pour un spécial sex & food. Arrivé à l’établissement, je demandai à la femme le carton mauve, ce n’était pas Laurence à l’accueil, enfin, je pris le carton et entrai. (Pour les détails, se référer au texte Le domaine des quatre vents)

L’endroit était particulièrement animé; je parlai un peu ici et là quand j’aperçus une femme assise au coin du salon, sirotant une coupe de vin rouge. La femme, d’origine asiatique (probablement chinoise, vu sa physionomie), portait un charmant petit tailleur noir. Les cheveux sur les épaules et sa coupe aux lèvres, elle me jeta un regard profond. J’en fus gêné, plutôt « excitemment » gêné, il faut dire que malgré tout, les Asiatiques auront toujours été part entière de mes plus grands fantasmes… Alors que l’on se jouait de l’œil, s’évaluant, et que je m’apprêtais à aller lui parler, un homme m’interloquait, il était noir. (Ce n’était pas la soirée du sex & food mais celle de l’interracial ou quoi ?) Je l’avais déjà vu ici, il portait le carton bleu (cherche homme). Quoique me disant que je préférais la belle chinoise, je ne pus le brusquer, puisque mon carton mauve appelait les deux sexes, il n’avait donc rien à se reprocher et, de plus, la clientèle de l’auberge est relativement restreinte, alors une réputation fait rapidement le tour…

– Salut, je m’appelle Didier. C’est pas la première fois que je te vois ici. C’est quoi ton nom ?
– Salut, moi c’est Mathieu… (serrage de main conventionnelle) Euh… C’est pas pour te… je sais que j’ai le mauve… mais… (Me retournant pour désigner la dame, je m’aperçois qu’elle était partie, simplement, elle n’y était plus… Ayant l’air con un peu, je continu de l’air le plus naturel possible) ouais, je t’ai déjà vu aussi.
– Ouais, j’étais même là lors de ton initiation ! Ha ! Ha ! Moi je suis arrivé avant cette tradition, disons que Laurence était moins sélective quand le club était plus petit, maintenant, si elle ne veut pas que ça devienne trop gros, elle doit choisir les meilleurs… Tu veux descendre ?
– Euh… Ouais ok.

L’homme, Didier, mesurait environ 5’11 » (1m 80), il était toujours très chic. Il était d’origine Kenyane ou quelque chose du genre, ses parents avaient immigrés au Québec durant les révoltes du début des années 80. Je descendais donc avec lui au sous-sol quand, En bas des marches, j’aperçus la femme du salon agenouillé aux glory holes.

– Euh, t’es bisexuel toi?
– Bin ouais, mais ce soir je voulais un homme, pourquoi ?
– Et bien, tu vois la belle petite chinoise là-bas ? Avant que tu m’accostes, on se faisait des beaux yeux et elle me tente énormément…
– Tu veux un trip à trois?
– Ouais…
– Euhhh…ok. Va la chercher, on se rejoint à la chambre trois, je vais aller chercher quelques trucs avant, par contre…

Je vais donc vers la salle des glory holes. C’est une pièce carrée séparée en deux par un muret de contreplaqués dans lesquels sont découpés des trous à environ près trois pieds (90 cm) du sol. En entrant on arrive du côté où les gens sont agenouillés, il y a six emplacements et à la gauche une porte pour passer de l’autre côté. Trois personnes sont affairées à la tâche, une queue attend un petit plaisir et deux trous sont vides. Je m’approche donc de la femme et me mets à genoux, je lui chuchote :

– Bonsoir.

Surprise, elle lâche sa victime et se mets à la masturber.

– Euh, salut, me chuchote-t-elle.
– Je suis avec un gars dans la trois, ça t’intéresse…?
– Euh, ouais, mais je vais finir ce que j’ai commencé… T’en veux…?

Le membre en question n’était pas très imposant, 5 pouces ½ (14 cm) peut-être bien, je le saisi, le manipulai un peu et l’englouti enfin. Il avait un petit goût désagréable, je ne sais trop quoi, de canneberges ou autre. Vu le spécial sex & food, je trouvai un peu de crème fouetté proche que j’étalai sur le pénis et je continuai à le sucer ensuite. Pendant ce temps elle me susurra à l’oreille :

– Tu sais, deux hommes ça m’excite énormément… C’est qui qui est avec toi?
– Didier, tu sais le noir, dis-je, entre deux bouchées. T’as été adopté? T’as pas d’accent…
– Ha! Didier, ouais… Ha, oui, j’ai grandi à Ste-Foy, je m’appelle Caroline.

Quelques instants plus tard, l’homme vint dans ma bouche. Son sperme avait bon goût, il était chaud, évidemment, et était doux sur la langue. Je crachai le tout, pris Caroline par la taille, lui dit mon nom, et nous nous dirigeâmes vers la chambrette trois.

Arrivé à la chambre trois, j’aperçois Didier, couché sur le dos sur un petit lit. Chaque chambre est meublée d’un lit, d’une distributrice de condoms, et d’une petite table de chevet. Il est là, les yeux fermés, torse nu, avec un plateau empli de fruits et de légumes sur la petite table. Il y a des concombres, de la crème fouetté, des petits fruits, du sirop au chocolat et d’autres aliments. Je m’avance alors avec Caroline, nous commençons à nous déshabiller quand Didier dit :

– Attendez. Faites moi un strip-tease, en vous frottant. Oui…

Je regarde alors Caro qui me fait un petit sourire et commence à déboutonner ma chemise tranquillement. Je lui fais glisser son tailleur et l’embrasse dans le cou. Elle sent bon, un relent de pêche et de jasmin. Je déboutonne ensuite sa chemise laissant sa cravate en place. (Il ne faut pas enlever un apparat qui donne tant de charme à une femme!) Elle finit de déboutonner ma chemise alors que je suis rendu à la hauteur de sa poitrine, Elle me l’enlève et caresse mes flancs tout en m’embrassant dans le cou et sur les épaules. Je retire sa chemise et dégrafe tranquillement son soutien-gorge en dentelle noir, elle n’a plus que sa jupe, ses bas culottes, ses souliers et, bien sûr, sa cravate; pour ma part je n’ai plus que mes jeans et mes chaussures. Elle a une poitrine agréablement mignonne, une poitrine d’Asiatique typique des films pornographiques: petite mais ferme et merveilleusement proportionné aux petits mamelons bien dur. Elle doit faire du 32A (85A), je les embrasse, caressant ses fesses et descendant du même coup sa jupe et ses petites culottes, pendant ce temps, elle agrippe ma ceinture, l’ouvre et faire glisser mes pantalons sur mes pieds. Je m’agenouille et embrasse son entre jambes, son pubis rasé laisse voir un petit tatouage, un papillon bleu, je l’embrasse, elle appui ma main sur ma tête et recule, s’adossant au mur. De ma main gauche je monte afin de lui caresser les seins et de la droite j’aide ma langue à trouver le clitoris qui se dresse entre les petites lèvres de cette chatte chaude au goût, je dois l’avouer, délectable. Sa main gauche me tient l’arrière de la tête alors que sa droite s’agrippe au mon épaule, enfonçant ses ongles dans ma peau. La douleur, probablement une des seules choses dont j’ai peur, placé au bon endroit au bon moment, comme dans une relation sexuelle, peut faire un effet merveilleux… Ma langue ayant trouvé l’objet de plaisir, ma main droite va palper doucement ses fesses douces.

Je l’entends gémir. Je lève les yeux un instant, Didier s’est levé du lit, il a un concombre dans la main, il a toujours son pantalon, seulement on peut très bien voir une bosse énorme à la fourche. Je saisi donc Caroline dans mes bras et me lève, mon visage à la hauteur de ses seins, les embrassant et les goûtant, je la couche sur le lit, me place à quatre patte et continu de lui lécher le vagin, de lui caresser les seins et de me délecter des sons qu’elle émet… De la main, je saisi, dans le plateau sur la table de chevet, de la crème fouetté et quelques fraises. Je place sa cravate sur le côté et lui applique la crème sur le ventre et met une fraise à l’emplacement de son nombril, j’en met également sur ses seins et des fraises sur ses mamelons, je lui fait manger un fruit, le faisant frotter sur ses lèvres avant qu’elle le croque… Je mange la fraise du nombril puis celle du sein gauche (ma gauche) quand je sens Didier qui se place derrière moi et quelque chose de froid qui frotte mon anus. Je comprends assez rapidement que c’est le concombre qui force mon orifice. Il l’enfonce, sur l’impulsion je me recule vers lui, replaçant ma bouche sur la chatte de la belle qui rapidement replace ses mains sur ma tête, dirigeant mes actions. Il enfonce plus profondément le légume en moi, je sens sa main saisir mon pénis et me masturber.

J’entends et je sens, par ses mains et son ventre, Caroline qui jouit, je sens que je vais venir également alors je dis rapidement à Didier d’arrêter, il arrête donc de me masturber et sort l’aliment de mes fesses. Je remonte au visage doux en mangeant la fraise restante au passage et embrasse les lèvres qui s’offrent tout en continuant de la masturber des la main. Je me lève, en prenant Caro par la main, Didier a baissé son pantalon, son pénis bien exposé. Il a un pénis (ça me fait légèrement chier de perpétuer le cliché qui, à ce que j’ai vu est malheureusement vrai mais enfin ;~ ») énorme, probablement 8 pouces et demi (21 cm) de long. Je me place donc à côté de lui, présentant mon maigre (dans l’apparence de l’occasion) 6 pouces et demi (16 cm), je tire par la main la belle qui vient sur moi, m’embrasse, se place à genoux et prend mon pénis dans sa bouche, dans la main gauche elle prend l’autre le branlant dans toutes sa longueur. Ses lèvres sucrés et pulpeuses frottent mon membre déjà excité. J’éjacule rapidement, elle le recrache, prend Didier dans sa bouche, elle ne se défonce pas la gorge mais ne s’empêche tout de même pas d’y aller goulûment, suçant avec envie le pénis en érection, lichant les testicules dures et masturbant finalement énergiquement attendant la semence qui lui vole à la figure qu’elle essuie rapidement après avoir embrassé le membre une dernière fois puis le bas ventre et les pectoraux et puis les lèvres noires.

Je prends deux condoms dans la distributrice, lui en passe un et mets le second. Je vais derrière elle et l’embrasse dans le cou, caressant son ventre et ses seins. Elle tourne la tête, m’embrasse, je recule, l’amenant sur le lit, je me couche sur le dos, elle se place sur moi, à genoux, me présentant son buste. Didier se met sur le côté, elle prend son pénis dans sa main, j’en fait autant de la droite alors que de la gauche je saisi ses seins, sa cravate est suspendu au dessus de moi, allant et venant. Elle se penche, venant m’embrasser, tout en continuant son mouvement du bassin alors que l’autre homme va se placer derrière elle. Je saisi l’oreiller sous ma tête que je place sous mon derrière, question de confort pour mes deux compagnons. Je vais placer mes mains sur ses fesses, les pelotant, les écartant, l’embrassant toujours. Contre toutes mes attentes, c’est de mon anus que le pénis à Didier vient forcer l’entrée. Je me cale un peu plus, soulevant mon bassin, de la main gauche je viens caresser sa chevelure, je l’embrasse dans le cou et sur l’épaule. C’est douloureux, mais tout de même pas si mal, j’ai déjà vu pire, un fisting en l’occurrence, mais c’est tout de même douloureux. J’ai l’impression de serrer les cheveux féminins un peu trop fort, je lâche donc légèrement ma prise quand je l’entends me chuchoter :

– Non, continue…

Je ressaisis donc sa chevelure, tirant légèrement vers l’arrière, de mon autre main je pénètre quelques doigts dans son anus. Malgré le condom que porte Didier, je sens le sperme venir en moi, il se retire, puis jette le condom. Caroline se lève légèrement et se place à quatre pattes, je viens me placer derrière elle, saisis ses cheveux d’une main, la pénètre profondément et caresse ses seins de l’autre. Didier se place à l’autre bout et lui place son pénis semi-dur au visage, pénis qu’elle engouffre. Je me retire et la masturbe tout en entrant de plus en plus de doigts dans son anus, laissant reposer mon membre sur le point de venir. Quelques instants plus tard, quand j’ai trois doigts d’enfoncé dans son cul, je me replace à genoux et enfonce mon pénis violemment dans son petit orifice, je l’entent gémir, d’une main elle se masturbe, elle suce de plus belle Didier qui semble amplement ravit, me lançant un grand sourire. Je sens que je vais venir, je me retire, saisi Caroline par le flanc, la retourne, retire mon condom et me masturbe un instant pour enfin éjaculer sur son ventre. Didier, étant déjà venu deux fois, fait de même mais beaucoup moins de liquide vient choir sur cette plage de peau satinée… Son corps, est barbouillé de crème fouetté, des rose de fraise et de sperme. (Le mien également, pour ce qui est de la crème bien entendu)

Je l’embrasse, nous nous levons. Nous ramassons les vêtements qui traînent et nous dirigeons vers les douches publiques. Trois personnes, deux femmes et un homme, sont déjà là, il ne se passe pas réellement quelque chose, les femmes frottent le corps de l’homme qui, soit dit-en passant, n’est pas en érection. Nous laissons les vêtements dans un tas et nous dirigeons vers une douche. Nous nous laissons tremper depuis quelques instants quand je peux voir clairement que Didier est en érection et qu’il me chuchote :

– Tu sais, j’ai dis que je voulais un homme ce soir, et selon moi je ne l’ai pas encore eue… Allez, une petite pipe…

Je souris, caresse les fesses de Caro et lui chuchote :

-Tu aimes voir deux hommes ensemble? En veux-tu un peux…?
-Oh, ouiii…

Je me place donc à genoux et saisi le membre de Didier dans ma main, le masturbe un peu et puis l’engloutis, je me rends à la base mais dois reculer, sentant un malaise. Je continu donc de sucer cette belle grosse queue, Caro nous regarde de côté, elle se masturbe tout en se caressant les seins. Je retire le pénis de ma bouche, le masturbe frénétiquement à deux mains, étonnement, (étonnant à cause des traditions que ses parents auraient normalement) il n’est pas circoncit, je le remarque seulement maintenant. À mon avis c’est mieux comme ça, je ne le suis pas non plus et enfin… son pénis est si chaud, je lèche ses couilles lentement remontant jusqu’au gland que je tête quelques instants. Le jet d’eau s’arrête, il le fait repartir, je le masturbe de nouveau, il me vient maigrement au visage. Je me relève, continuant à manipuler son pénis, je l’embrasse puis me retourne et me laisse baigner par le jet de la douche…

Je sentis Caro venir derrière moi, elle m’enlaça, ne me dit rien et m’embrassa dans le cou. Je fermai les yeux, me retournai, m’accostai au mur. Je la saisis dans mas bras et l’embrassai de nouveau. Quand j’ouvrai les yeux, Didier n’était plus là et ses vêtements avaient disparus de la pile. Je sortis du jet et me fis sécher sous une machine à air puis m’habillai. Je remontai les escaliers, Caro à mon bras et je payai nos deux notes à la sortie. Dans le stationnement je lui dis :

-J’aimerais mieux te connaître, tiens, voici ma carte, lui tendant une petite carte coloré avec mes coordonnées, appelle-moi.
-Tiens, voici mon téléphone au cas où j’oublierais.

Elle me tends elle aussi un petit papier avec son numéro, prends ma carte et la serre dans la poche de son veston. Elle m’embrasse et puis nous nous quittons…

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Une réponse à Le domaine des quatre vents – 2 par Mathieu01

  1. belisaire dit :

    Du bon bisex très réaliste

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