Le cul de Fanchon par Serge Virinoviev

Le cul de Fanchon par Serge Virinoviev


Le cul de Fanchon

Innocente Fanchon qui penchée sur la rivière
Vient ici chaque jour pour observer les poissons,
Son cul mignon provoquant en moi des frissons,
Sa croupe nue m’étant pourtant tant familière.

La jouvencelle ne s’encombre jamais de culotte,
Appréciant sur son derrière du vent les caresses
Elle offre à la brise accorte ses blanches fesses
Mais aussi sa douce et croquante petite motte.

Elle sait que je l’épie dissimulé dans les herbes
Et tortillant son arrière-train afin de m’exciter,
M’incitant à mon membre impatient me tripoter
Elle ondule de ses deux globes opalins superbes.

La nymphe comprenant ce que faisait ma main,
Amusée et me tournant le dos s’adressa à moi
Consciente que sa nudité provoquait mon émoi,
Un supplice que je pourrais qualifier d’inhumain.

« Viens donc près de moi et ôte ton pantalon »
Me dit-elle ajoutant « puis ton slip également
Pour laisser Eole te cajoler les prunes aisément
Et effleurer de son souffle ta virilité d’étalon. »

J’eus préféré la douceur de sa langue humide
Sur mon sexe tumescent au bord de l’implosion,
Ou bien alors une simple et lente masturbation
Sur ma colonne qu’elle savait gonflée et rigide.

J’eus préféré en son grisant fessier m’introduire,
Me glisser avec délicatesse en sa fleur de chair,
Mais tournant la tête elle me vit la queue à l’air
Me branlant et je n’eus droit qu’à un sourire.

Serge Virinoviev

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4 réponses à Le cul de Fanchon par Serge Virinoviev

  1. Pilah dit :

    Délicieux poème, délicieux hommage à ce que nous aimons tous

  2. asemir dit :

    puisque le cul fait marcher le monde, il est normal qu’il inspire nos poètes

  3. rubi dit :

    Il fallait bien qu’un poète du site se décide à rendre hommage au cul. Et celui ci est fort réussi !

  4. Rebel dit :

    Un bel hommage au sourire vertical

  5. Verdon dit :

    Délicieux le poème et charmant le beau cul de la petite ingrate…mais bon sang ce fendu me semble faire la nique au malicieux sourire dont se fend la coquine !

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