Le contrôle technique de Martine par Jean-Michel_et_Martine

Le contrôle technique de Martine
par Jean-Michel et Martine

Les vacances approchent à grands pas. Petit à petit, nous laissons l’agence entre les mains de nos collaborateurs. Chaque soir, au retour à l’appartement, le même sujet de conversation revient : Ne rien oublier avant le départ. Les mots les plus utilisés sont sans doute : Il faut penser à…

Comme chaque année fin juillet, Martine a un rendez-vous avec sa gynéco.

– Ça non plus il ne faut pas que je l’oublie. Demain à 15h00 je dois lui présenter ma petite affaire pour une inspection annuelle…. Un contrôle technique quoi. Je vais lui faire une petite beauté.

En disant cela elle partit vers la salle de bain, fredonnant en même temps que la radio. L’approche du départ la rendait joyeuse. Les bruits de vêtements que l’on accroche au portemanteau, le bruit du couvercle du panier à linge, indiquaient que Martine se livrait à un petit strip-tease en solitaire. Quelques bruits de flacons que l’on déplace, de tiroirs qui s’ouvrent et se referment et soudain un grand cri :

– Oh la laaaaaa !…… La honte !…..T’as vu Jean-Mich’ ?

Me demandant ce qui pouvait être une telle honte, j’allais rapidement la rejoindre.

Je la trouvais debout, la cuvette des toilettes entre les jambes, tenant d’une main un miroir face au bas de son ventre, et de l’autre passant les doigts entre les poils de son pubis.

– Dis, tu te rends compte ? …..Il n’y a pas si longtemps que je l’ai épilée. Je dégage toujours les bords du slip sans m’occuper du reste et là vraiment…..C’est la touffe ! Comment tu t’y retrouves quand tu me fais un cuni ? Tu trouves encore la route du clito ? Tu aurais pu me dire que j’étais limite. Je comprends pourquoi on appelle cela une chatte, et encore une chatte est moins fournie. Moi je la vois de loin mais toi tu la vois de prés. A moins que maintenant tu la préfères chevelue ?
– Non…Franchement je la préfère épilée. Mais tu sais d’un jour à l’autre, on ne remarque pas. Et vraiment ça ne me dérange pas de fouiller pour arriver à mes fins.
– Oui….Peut-être….Mais je n’oserais pas la présenter ainsi à ma gynéco. Je n’ai pas le temps de m’épiler aujourd’hui. Je vais lui « filer » un coup de tondeuse.

Pour Noël l’année dernière, le père Noël à court d’idée cadeaux mais avec un bon sens pratique, avait offert à Martine une petite tondeuse sur batterie rechargeable, spécialisée, disait la notice, dans les usages intimes de la femme. Habituellement plus attentive, elle l’avait utilisée plusieurs fois avec satisfaction et…petits rires.

– S’il te plait Jean-Mich’, avance-la moi. Tiroir de gauche de l’armoire. Je vais faire tomber les poils directement dans la cuvette.

Avant d’accéder à sa demande, je tentais une proposition au risque de lui déplaire.

– On devrait immortaliser une telle végétation inhabituelle chez toi. Je te fais une photo ? Demandais-je avec hésitation.
– Oui….Mais alors incognito évidemment.

Avant qu’elle ne change d’avis, je pris rapidement son « numérique » dans son sac et accroupi pour mettre l’objectif à la hauteur du « délit », je la parodiai au studio photo quand elle travaillait avec un modèle :

– Détendez-vous mademoiselle…..et souriez !
– Ah, merci !….Je te fais une pose sympa et toi tu te fous de moi ? Tiens j’ai une autre idée….Mais tu mériterais que je ne te la fasse pas. J’ai peut-être une surprise pour toi. Attends un peu avant de déclencher.

Je gardais son sexe dans le viseur attendant son signal.

Soudain, je réalisais ce qu’elle me préparait. Elle avait abandonné le miroir, et, bien droite, les mains sur les cuisses, elle me préparait un pipi provoc.

J’avais bien deviné et au bout de quelques secondes elle demanda :

– Tu es prêt ? Alors j’y vais.

Et sans plus attendre, elle envoya un super jet propre et bien décidé à éblouir qui tombait devant elle dans la cuvette avec un petit chuintement enchanteur. Un régal pour les yeux et les oreilles. Le flash partit et j’eus tout le temps de faire une autre photo.

– Regarde comme il est super. Et sans accessoire…..Comme toi….Et même sans les mains. Je l’ai vraiment bien éduquée ma foufoune hein ? Pas mal mon pipi chevelu. Il t’a plu ?

En disant cela, elle avait déroulé un bout de kleenex et essorait doucement et avec insistance sa toison de brune et sa fente.

– Bon ….Maintenant les choses sérieuses.

Je lui passais la petite tondeuse. La batterie était encore bien chargée, et pendant que d’une main elle tendait un peu, de l’autre elle passait l’appareil doucement de haut en bas. Je voyais tomber ses poils par petites touffes dans la cuvette. Ce fut un côté puis l’autre, et avec encore plus de soins et d’attention, les bords de la fente.

– Là….on fait gaffe…..dit-elle…..de ne pas en mettre un morceau dans la tondeuse. Bien sûr, ce n’est pas vraiment la boule à zéro. Mais c’est présentable pour la gynéco. Demain ou avant les vacances je passerai la crème à épiler ou le rasoir. Il est bien pratique le cadeau du père Noël et rapide avec cela. Juste un petit reproche à cet engin : ça vibre et sur les foufounes sensibles ça rappelle un peu le vibro des plaisirs solitaires. Sur la notice il n’est pas prévu pour cet usage.
– Au fait ?…..Où est-il ton vibro de célibataire ?
– Dans sa boite avec mes frelax, mon travelmate et compagnie. Il y a belle lurette que je ne m’en suis pas servi maintenant que j’ai un vibro en chair et en os. Enfin en os…..Ca dépend des moments…..Dans quelles dispositions il est, pas vrai ? Et ce soir ? Après un beau pipi comme celui que je viens de faire, bien droit, bien net, joli comme tout et gazouillant comme les canaris de Monsieur L…..Comment est-il mon petit vibro chéri ? On peut voir ?

Sûre d’elle elle glissa sa main dans ma braguette, descendit l’élastique du slip et sortit ma bite de sa niche.

– Oh mais…..Il est déjà pas mal !

Accroupie à son tour, elle se mit à passer la langue sur le bout en prenant un grand plaisir à me sentir sursauter à chaque coup de langue.

– Tiens ….Je suis contente. Je te l’ai mise au garde à vous, et maintenant moi aussi j’ai une super envie. Allez….On reste dans la salle de bain. Assieds-toi sur le tabouret et laisse moi faire.

Je m’installai comme elle le demandait, et elle vint à son tour au-dessus de mes jambes en me tournant le dos. Elle empoigna ma queue et la promena un peu dans sa fente avant de s’asseoir. Elle était mouillée au point que je sentis à peine que je la pénétrais. Dans cette position son plaisir et le mien étaient au maximum. Elle, parce qu’elle aimait être active et moi parce que j’aime qu’elle prenne les initiatives.

Elle montait et descendait profondément mais très lentement, comme pour déguster son plaisir. S’arrêtant parfois pour retarder l’éclatement. Je m’efforçais de me freiner pour l’attendre. Elle s’arrêta, attrapa une de mes mains et la posa sur le haut de sa fente Je compris ce signe habituel entre nous. D’un doigt je titillai son clito dur et saillant hors de son repaire.

– Oui….Continue…..insista t-elle….

Et elle reprit son va et vient en disant :

– Allez….Pour toi…Je te suis.

De toute façon je ne pouvais plus me retenir et c’est tous les deux que nous nous sommes éclatés, mes mains la tenant calée contre moi comme si je devais insister pour rester encore en elle. Il y eut un silence avant qu’elle dise :

– Ouah !….On a bien fait de ne pas le garder celui-là. Pas vrai Jean-Mich’ ? Demain je pourrai dire au contrôle technique que tous les deux on tient encore bien la route. Je suis claquée !

Après un rinçage rapide, la faim nous poussa à dîner avant la douche. Martine avait prévu un gratin de légumes qui fut vite réchauffé pendant que l’on buvait le traditionnel jus d’orange d’avant repas et que l’on regardait les photos à l’écran.

– C’est plein de vitamines C, les oranges, et on en a bien besoin ce soir…..assura t’elle après avoir vu les photos.

La table desservie, ce fut la douche en commun. Le shampooing passa de main en main, puis le gel douche. Toute guillerette, en se lavant, Martine chantonnait :

– Alouette…..je te laverai la tête…..et les bras…..et les fesses…..et le reste…..alouette….Ah…..

Les gants de toilettes passèrent d’un dos à l’autre.

– Tiens….Pendant que tu y es Jean-Mich’, reprends du gel douche et lave-moi entre les jambes…..sans gant de toilette…..tu lui dois bien cela à ma foufoune sans poils …ou presque.

J’ai toujours considéré les invitations de Martine un peu comme des ordres que j’aurais plaisir à exécuter. Je remplis donc d’eau le creux de ma main, j’y ajoute un peu de gel et la glisse en l’agitant un peu entre ses cuisses,

– Prends ton temps, qu’elle s’imprègne bien de l’odeur de lavande.

J’insistai donc plus que nécessaire quand soudain je sentis nettement la paume de ma main se remplir d’un liquide chaud. Voyant ma surprise, Martine se mit à rire et le courant chaud s’arrêta.

– Excuse-moi de ne pas avoir demandé ton avis, mais j’en avais envie et l’occasion était trop belle. Tout à l’heure c’était le plat de résistance, maintenant c’est le dessert.
– Je ne m’y attendais pas. Je m’appliquais à te laver. Je dois recommencer maintenant.
– Ben oui…Tant soit peu elle a perdu se son parfum de lavande. Attends, avant je vais finir. Tant pis pour tes pieds.

Vu l’étroitesse de la cabine, je ne pouvais plus reculer et ce furent effectivement mes pieds qui firent les frais du reste du pipi de ma petite pisseuse.

– Puisque tu as si bien lavé ma petite chatte, du moins si on peut encore l’appeler comme cela, je vais te laver moi aussi d’accord ?

Encore une invitation qui vaut un ordre. Elle remplit elle aussi sa main de gel, m’empoigna et commença à me laver la queue comme une experte et avec application.

– Elle va être toute belle elle aussi. On voit que tout à l’heure je l’ai épuisée, c’est à peine si elle durcit un peu. Il n’est pas midi, ….. pas six heures et demi non plus, .allez…..disons six heures vingt. Il faut qu’elle récupère….Je la comprends.

Et la douchette rinça tout cela. Ce fut le dernier acte des fantaisies pré-contrôle technique de Martine.

Le lendemain soir, elle rentra en annonçant :

– Tout va bien…..Pas de pièces à changer…..Bonne pour le service. Encore tranquille un an. Ma gynéco m’a demandé côté sexualité comment ça allait. Je lui ai répondu … « Hier soir çà marchait encore très bien, aujourd’hui on verra »

Et ce fut le grand éclat de rire qui n’appartient qu’à Martine

Jean-Michel et Martine

Janmich59@wanadoo.fr

Ce récit à eu l’honneur d’être nommé Prix Spécial Uro pour 2007

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