Le Cadeau du « Père Noël » par Jean-Michel_et_Martine

Nous n’avions pas envie de faire la fête à Noël.

Nous envisagions simplement un petit dîner « crudités » en tête à tête devant
la télé, jusqu’au jour, où Martine a parlé de nos intentions à une voisine
de palier.

La dame, divorcée, devait confier ses deux enfants à son ex-mari pour cette
fête. Elle insista tellement que Martine accepta son invitation pour ne pas
la laisser seule. Après tout elle était sympa, et nous avait juré qu’elle ne
ferait pas de folies pour le repas.

– Ce sera tout simple… prés du sapin, …vous verrez.

C’est vrai, il y aura le sapin qu’elle avait préparé pour les enfants.
Martine, en invitée avertie, avait convenu avec elle, qu’elle se chargeait
des desserts. Elle me demanda ennuyée :

– On devrait pas aussi lui porter un petit cadeau… hein… tu crois pas ?

Evidemment, c’était dans les convenances.

On lui acheta un foulard, ce qui devait lui plaire puisqu’elle en portait
souvent. Quant aux cadeaux réciproques que nous avions décidé de nous faire,
ils seraient mis eux aussi au pied du sapin.

Cela me posait un problème. Les cadeaux étant faits pour être ouverts, je
pensais vivement que l’un d’eux, destiné à Martine, ne devait pas être
ouvert devant notre hôtesse. Je le mis dans un emballage bien fermé sur
lequel j’écrivis au feutre : « A n’ouvrir que dans l’intimité », espérant,
pour son bien et le mien, que cet avis vaincrait sa curiosité.

Reçus à bras ouverts et tout sourire, après les échanges de politesses, les
cadeaux allèrent au pied du sapin, dans le séjour. Deux paquets y étaient
déjà disposés qui portaient les noms de Martine et Jean-Michel. Nous avions
été inspirés de prévoir un cadeau pour elle.

Dans le respect de nos souhaits, l’apéritif se fit au jus d’orange.

– … mais vous boirez bien un peu de Champagne au dessert n’est-ce pas… ?

Bien sûr… on ne peut pas toujours dire non sur tout.

Les langues se déliaient. La dame parlait beaucoup. Tous les sujets y
passaient. Puis subitement elle proposa :

– Tiens… et si on ouvrait les cadeaux du Père Noël ?

Elle en brûlait d’impatience. Elle fut ravie du foulard, et avait prévu pour
Martine un superbe napperon brodé à la main. Pour moi, elle avait acheté un
CD de jazz, car elle avait entendu en passant sur le palier que j’aimais
cette musique. Martine avait mis dans le paquet qu’elle me destinait un
super polo qui me préserverait des rigueurs de l’hiver, puis elle se décida
à ouvrir les siens. Elle prit le plus gros, décolla le scotch avec fébrilité
pour trouver à l’intérieur une chemise en satin doré, petit col officier,
sur laquelle je l’avais vu « flasher » il y avait quelques semaines.

– Le satin j’adore cela… ça glisse… ça satine… C’est sensuel… .

Et notre voisine d’ajouter :

– C’est vrai… C’est sensuel…

Qu’elle termina par un petit rire plein de sous-entendu. Cette chemise en
satin glissait entre les doigts. Martine la posa devant elle. Je l’imaginais
se faufilant à l’intérieur pour la mettre ou l’enlever. Ca devait glisser
sur la peau. De plus elle descendait juste un peu sous son sexe, pour
inviter à deviner ce qu’il pouvait y avoir dessous : culotte ? String ?…
rien ?

Deux bras arrivèrent autour de mon cou provoquant un sourire béat chez notre
voisine.

Soudain, elle sursauta :

– Mais Martine,… vous avez encore un autre cadeau !

Martine plia la chemise, la remit avec beaucoup de soin dans l’emballage et
prit le dernier petit paquet qui restait sous le sapin. Ce fut pour moi,
sans doutes, un moment très dur.

Allait-elle lire ce que j’avais écrit dessus ? Allait-elle respecter mon
avis ? Qu’allait-il se passer dans sa tête ? Elle prenait son temps pour
lire et relire. Notre obligatoire complicité professionnelle prit le dessus.
Des doigts elle palpait le paquet essayant de deviner ce qu’il contenait.
Son regard trouva le mien et elle eut un sourire que je traduisis par :

– J’y suis !

Notre voisine nous tira d’embarras en disant;

– C’est certainement un bijou. Il a raison Martine. Un bijou, ça s’offre en
tête à tête.

Je poussais un soupir de soulagement. L’alerte était passée. Martine déclara
solennellement :

– Bon… Je respecte ton désir… Je freine mon impatience jusqu’à ce que
nous soyons en tête à tête. Mais je dirai à Lucie (j’appris ainsi qu’elle
s’appelait Lucie) un autre jour de quoi il s’agit.

Nous parlions par le regard. Le mien disait :

– Je t’ai tentée… mais tu as bien fait de ne pas croquer la pomme.

Et le sien accompagnant un sourire coquin disait :

– J’ai compris. Je sais ce que c’est. Quel culot d’avoir pris le risque !

Puis, on se mit à table. La conversation était facile bien que nous nous
connaissions à peine. L’actualité faisait la majeure partie de nos échanges.
Lucie était gérante d’un magasin de chaussures, et les bonnes et les
mauvaises affaires étaient aussi au programme.

Nous fûmes surpris d’atteindre une heure du matin. Après une coupe de
Champagne, on se sépara avec l’intention de se revoir de temps à autre.

L’immeuble était calme et on se dit au revoir à voix basse en traversant le
palier.

A peine rentrés dans l’appartement, les cadeaux dans la main, les chaussures
abandonnées dans le couloir, comme je le prévoyais, Martine se précipita
vers le bureau, empoigna des ciseaux, et se mit à l’oeuvre pour décortiquer
l’emballage de son mystérieux cadeau.

– J’ai la certitude d’avoir deviné. Je ne sais pas comment tu as réussi à te
le procurer, mais j’ai sens au travers du paquet la forme de l’objet. Ah,
mon cochon… tu voulais m’embarrasser devant notre voisine ? J’aurais voulu
voir ta tête si je l’avais ouvert ! Après avoir coupé scotch et ficelles
dont j’avais fait un gros usage, Martine réussit à sortir un « Travelmate »
(voir ce mot dans le « Dico » Vassilia), que nous cherchions à nous procurer
depuis longtemps.
– Comment j’aurais pu lui expliquer à quoi sert ce « truc » ?
– J’avais prévu de lui dire qu’il s’agissait d’une petite cuillère servant à
décorer et à déposer la crème sur la pâtisserie. Cela ressemble très fort
non ?
– Et tu crois qu’elle aurait avalé une couleuvre pareille, avec, en plus,
moi rouge comme une pivoine ?
– C’est pour cela que je voulais te laisser libre choix. Je voulais que tu
saches que tu avais deux cadeaux : un de ma part et un du Père Noël.
– Merci toi… et merci Père Noël. Je vais m’entraîner à l’utiliser et tu
auras bientôt une démonstration.
– Je croyais que tu allais l’essayer ce soir ?
– Non… ce sera ta punition mon coquin. Pas aujourd’hui. Mais je te promets
que dans quelques jours, je serai prête à te faire voir les talents de la
reine du Travelmate qui fait son pipi comme un homme.

Dans tous nos jeux uro, c’est elle qui décide. Je la mettrais dans de
mauvaises dispositions si j’insistais. J’attendrai donc qu’elle m’invite à
une démonstration.

Par contre, avec le jus d’orange, un grand verre d’eau et une coupe de
Champagne, j’étais surpris qu’elle n’ait pas encore fait un passage aux
toilettes. Surtout que le Champagne a deux conséquences souvent vérifiées
sur elle, nos lecteurs habituels le savent bien : Il la rend un peu fofolle
et surtout amoureuse, et en tant que boisson diurétique lui donne deux ou
trois fortes envies rapprochées de pisser. J’avais pu personnellement faire
ma vidange pendant qu’elle se déshabillait, et elle me rejoignit toute nue
dans la salle de bain.

– On prend une douche ensemble ? Dit-elle en nouant ses cheveux en
chignon… J’ai envie que tu me frottes le dos.

Ses souhaits sont pour moi presque des ordres. Je la rejoignis dans la
cabine de douche. Elle n’ouvrit pas les robinets de la douchette, mais passa
ses bras autour de mon cou. Elle fixa son regard dans le mien pour me dire :

– Tu sais… je n’étais pas fâchée hein… j’aurais bien trouvé une
explication pour la voisine… et je te faisais confiance. Comment as-tu
fait pour le trouver en France ?… Je te remercie et je te jures que je
vais m’en servir.

Je venais de retrouver ma Martine d’après Champagne. Il y manquait encore
une chose qui ne tarda pas.

– C’est tout bête… Je t’expliquerai… Sur le net tout simplement. Je ne
te l’avais pas dit pour t’en faire la surprise à Noël. C’est fait.
– Merci mon Père Noël ! Pour te prouver que je suis contente de tes deux
cadeaux,
– Viens… Je vais essayer de te faire quelque chose. Laisses-moi faire !

Ses bras toujours autour de mon cou, elle prit mes pieds entre les siens.
Nos deux visages et nos deux ventres se touchaient. Ses petits tétons tout
durs appuyaient sur ma poitrine. Je passais mes mains doucement sur ses
petites fesses comme pour l’encourager dans son intention que j’avais
facilement devinée.

– Je te jure… j’ai une de ces envie de pisser… et une autre envie
aussi… c’est pour cela que je cale. Je suis comme toi… quand je pense à
autre chose ça bloque… et en plus je sens ton érection sur mon ventre,
alors tu parles ! Tiens… je crois que le voilà qui arrive… il est prêt à
jaillir… Tu en veux ? Pour mon père Noël !… dit-elle en riant.

Je sentis un torrent tiède qui m’arrosait en chuintant. Elle semblait
prendre un grand plaisir à s’arrêter puis à reprendre son jet.

– Il était bon son Champagne hein !… …Mais quelle envie il m’a collée !
Oh !…Je t’en ai mis partout. J’en ai eu pas mal aussi, on a vraiment
partagé. Mais dis donc… il t’a mis en forme mon gros pipi mon Jean-Mich’ ?

En disant cela, elle avait attrapé ma queue en pleine main pour apprécier
mon érection.

– Allez… Viens !

Elle s’appuya les mains sur les carreaux de faïence et me tendit ses fesses.
Je devais sortir de la cabine l’espace étant trop juste dans cette position,
mais cela me mettait à la bonne hauteur. Un plaisir réciproque ne tarda pas.
C’est vrai que le Champagne est aphrodisiaque et pas seulement pour Martine.

Après la douche prise en ensemble, le lit fut accueillant car il était tard.
Il y eu encore un pipi la nuit, mais sage cette fois, ce fut chacun son tour
dans les toilettes

Les jours qui suivirent, il ne fut plus question du travelmate, au point que
je me demandais s’il intéressait encore Martine. Nous avions une activité
sexuelle normale. Les pipis restaient discrets.

Nous avons passé le réveillon du Nouvel An dans un restaurant avec
animation. Piste de danse et numéros de music-hall. Bien sûr, Champagne à
minuit, puis retour à l’appartement car le lendemain jeudi, premier janvier,
à 13 heures, nous devions recevoir à l’agence nos collaborateurs et les
correspondants de la presse locale pour entretenir nos bonnes relations.
Rencontre relaxe, jean’s et cols ouverts souhaités.

Martine et moi avions préparé un petit buffet. En repoussant les bureaux,
nous avions de quoi recevoir la douzaine de personnes attendues. L’ambiance
fut décontractée. Un rien faisait rire. On se rappelait les mésaventures et
les rencontres insolites de l’année écoulée. Fatigués par le réveillon de la
veille, après l’inévitable et traditionnelle coupe de Champagne offerte par
l’agence, à 14 heures, tous avaient quitté notre compagnie. Il ne nous
restait plus qu’à ranger et à rentrer.

Il faisait froid. La neige tombait. Fatigués et pourtant chaudement
habillés, nous ne pensions qu’à la chaleur et au confort de l’appartement.

Un petit sac à l’épaule, le col de la veste relevé d’une main, et l’autre
entassée dans une poche, Martine me suivait en évitant de glisser sur la
première neige. J’avais la charge d’un panier rempli de bouteilles vides, de
cartons de verres, et d’emballages avec quelques restes d’amuse-gueule.

L’abri que nous offrait notre voiture fut bien accueilli. Il nous fallait
une bonne vingtaine de minutes pour rentrer, et alors que je démarrais,
Martine annonça :

– Tiens… repasse par la place de la tour… j’ai une envie de pisser.
– Ah, toi alors !… Tu avais tout le confort et le temps à l’agence il y a
cinq minutes ?
– C’est vrai, mais n’y ai pas pensé. C’est le froid et la marche qui m’ont
donné envie.

Place de la tour, se trouvait des toilettes publiques que Martine
fréquentait souvent quand elle travaillait en ville. Cela lui coûtait
cinquante centimes chaque fois. A force, elle s’était fait une amie de l’une
des gardiennes des lieux, Alphonsine, qui n’avait plus de guadeloupéen que
le prénom et le physique, tant elle était adoptée.

– En plus cette semaine, l’après midi, c’est ma copine Alphonsine.
– Vous pouvez être copines ! Avec tes envies rapprochées et tes cinquante
centimes, tu lui fais une rente.

Nous étions arrivés. L’endroit recherché était édifié juste au milieu de la
petite place et entouré par un parking. Pas une voiture, sauf la notre.

L’escalier descendu et la porte poussée, nous nous trouvons devant
Alphonsine régnant sur les lieux, derrière son comptoir, et entrain de lire,
bien au chaud.

– Ah !… Madame Mâtine ! Dehors par ce froid ? Et il neige alors ? Comment
allez-vous ? Bonjour Monsieur ! Meilleurs voeux à tous les deux. Beaucoup de
santé et de bonheur.

Pendant les congratulations, je cherchais quelques pièces de monnaie qui
traînent toujours dans mes poches, prêt même à me montrer généreux pour les
étrennes. Mes doigts engourdis ne me facilitaient pas la chose.

– Ne cherchez pas Monsieur, vous me donnerez un autre jour, quand Madame
Mâtine reviendra !

Sur le comptoir étaient fixées deux plaques avec des flèches : « Hommes » vers
la droite, et « Dames » vers la gauche.

Je pris la porte de droite, surpris que Martine me suive sans hésiter.
Erreur ?… Inattention ?… Elle connaissait pourtant les lieux. Mais après
tout il y avait aussi des toilettes côté « Hommes ».

Pour d’autres clients que nous, Alphonsine, gardienne des lieux et des
bonnes moeurs aurait sans doute dit :

– Non Madame !… Les dames c’est de l’autre côté !

Mais après tout, sachant que nous vivions ensemble, qu’il n’y avait
personne, et que Martine trouverait aussi côté « Hommes » les toilettes dont
elle avait besoin, elle se replongea dans sa lecture et se tut.

Arrivés au bout d’un petit couloir, il y avait encore une porte à pousser.
J’ouvrais la marche et m’installai face à une des deux stalles en pensant
que si un intrus survenait, Martine serait à l’abri des regards dans les
toilettes fermées, même côté « Hommes ». Mais à cette heure et un lendemain de
réveillon par ce froid, il y avait peu de chance d’être dérangés.

J’en étais là de mes conclusions en commençant à me soulager quand elle dit
d’un air innocent :

– Ah, mais c’est vrai… J’ai ce qu’il me faut maintenant !

Elle plongea une main dans son sac et en retira l’étui de son « Travelmat ».
Elle le sortit de son plastic et prit place juste à côté de moi à la stalle
restée libre. J’entendis nettement descendre la fermeture « Eclair » de son
jean’s. Son regard était lointain, face au mur. Sa main gauche levait juste
un peu la veste. De sa main droite, elle tenait son « Travel ». Elle
l’introduisit par la braguette ouverte. Elle lui imprima un petit mouvement
de va-et-vient de droite à gauche, puis chercha un peu verticalement et
l’immobilisa.

Elle baissa enfin son regard vers ce petit tuyau et au bout de quelques
secondes un mignon petit pipi doré alla s’écraser sur la paroi. Pas de bruit
de ma petite source. Juste celui du jet sur la faïence en face d’elle. Les
pieds presque joints, elle paraissait complètement à l’aise.

Moi, je l’étais de moins en moins. Elle n’ignorait sans doutes pas l’effet
que sa démonstration provoquait sur moi. Ce spectacle me donnait un début
d’érection qu’elle feignait sans doutes de ne pas connaître.

– Le seul problème… précisa t-elle… c’est que je dois freiner un peu,
car la sortie est vraiment un peu étroite. Mais on y arrive.

Soulagée, elle secoua un peu l’engin, le retira, replaça son
slip, referma sa fermeture « Eclair ». Elle prit soin d’utiliser un peu l’eau
de la chasse pour le rincer avant de le remettre dans son sac.

– Ben voilà !… Tu as fini aussi toi ?… Alors on y va.

Et toujours ignorante, en apparence, de l’effet produit sur moi par cette
scène, elle sortit, moi, derrière elle, saluant une dernière fois au passage
Alphonsine, complice involontaire.

Je repris le volant direction l’appartement. Elle était trop calme, trop
silencieuse, surtout après la coupe de Champagne bue à l’agence. Ce calme
dura encore quelques minutes. La regardant discrètement, je l’a vis se
pincer les lèvres, et soudain elle éclata d’un grand rire sonore :

– Alors ?… Quel effet ça t’a fait mon Jean-Mich’ ?… dit-elle en posant
sa main sur ma braguette… pas mal hein… ma démonstration impromptue ?
– C’est vrai que tu m’as surpris par ton audace. Il y avait peu de chance
d’être dérangé évidemment, mais quand même ! Et ton assurance !… Tu t’es
souvenu de la démonstration faite par ta copine lilloise ? (Lire
« L’initiation de Martine ») Pas une goutte à côté je suppose ?
– Non… Encore moins de gouttes qu’avec un pipi classique. Je me suis
entraînée depuis Noël. Il ne quitte plus mon sac.
– La tête d’un arrivant qui t’aurait surprise… ..
– Nous l’aurions entendu parler avec Alphonsine, et le temps qu’il cherche
sa monnaie, je me serais repliée vers la cabine voisine. Et puis tu as vu,
c’est rapide, ça prend moins de temps qu’autrement. Rien à baisser et à
remettre.
– Et Alphonsine aurait pu t’arrêter quand on est entrés ?
– J’aurais pris un air étourdi, et selon la façon dont elle l’aurait dit, je
partais de l’autre côté ou j’aurais dit, Ah oui ! Bah ! ça ne fait rien
c’est mon homme. Elle aurait ri et c’était tout. Là c’était un pipi sage,
enfin … presque. J’en ferai d’autres rien que pour toi… promis. Tu
pourrais même éventuellement m’aider. Je pourrais peut-être t’aider aussi
toi quand tu fais, non ? Tu ne calerais peut-être pas. Mais aujourd’hui…
dit-elle en baillant… c’est lendemain de réveillon. En rentrant, un
déjeuner léger, puis petite sieste sage… et après on verra. O.K. ?

Ca c’est Martine : « Quand je veux… Comme je veux ». Mais je ne m’en plains
pas.

Merci Père Noël.

Jean-Michel et Martine

P.S S’agissant d’un produit commercial, nous ne donnons pas dans ce récit
les coordonnées pour acheter le « Travelmate », mais nous les donnerons à ceux
qui en feront la demande par Emails, y compris aux « Sex-shop » puisque ce
produit n’est pas encore ne vente en France. Pas de C.B. mais un chèque
postal en euros. Prix avec étui et transport, environ 15 euros.

Janmich59@aol.com

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