Le bêtisier du Nouvel-An (suite et fin ) par Jean-Michel_et_Martine

Le bêtisier du Nouvel-An
(suite et fin )
par Jean Michel et Martine

Hier soir, c’était le réveillon du Nouvel-An. Tout s’était magnifiquement bien passé pour nous en compagnie de quelques amis jusqu’au moment où, de retour à l’appartement, Martine voulu me faire une exhibition, histoire de m’échauffer un peu. Ce qui lui valu quelques déboires (voir chapitre précédent).

Maladroite, en pleine démonstration, elle commença par mouiller passablement son collant voulant m’offrir un pipi debout, une de ses spécialités.

Voulant se racheter, elle m’invita à la prendre en levrette sur le lit, mais elle fut incapable d’atteindre le septième ciel et elle dût me laisser partir seul.

Ce matin, à ma demande, histoire de varier un peu nos jeux, elle tenta de remplir un verre que je tenais entre ses cuisses et là aussi ce fut un échec, Madame ne put pas se laisser aller dans de telles circonstances. Comme pour se racheter, elle m’invita à l’aider de mes doigts au-dessus des toilettes, mais là aussi, ce ne fut qu’assise sur la cuvette qu’elle put se soulager et je n’eus droit qu’aux chutes du Niagara.

Toutefois, remarquant mon érection au travers de mon pyjama, elle appuya les mains sur le bord du lavabo et m’invita à la pénétrer. Nous allions cette fois parvenir au grand plaisir l’un et l’autre, quand le carillon de la porte d’entrée interrompit nos ébats.

Martine à nouveau déçue, décida une « trêve » en attendant l’après-midi où elle assura qu’elle allait « s’en fourrer jusque là ».

—–0—–
Un lendemain de réveillon, bien que nous ayons été raisonnables à table, le déjeuner salade-poulet froid préparé par Martine nous suffit largement et il était presque quatorze heures quand il fut terminé. Pas de sieste quand on sort du lit à douze heures trente. Un peu de télé mais rien qui nous enthousiasmait. Un coup de téléphone aux familles pour les vœux, un passage sur internet pour voir s’il y avait des messages, et histoire de s’oxygéner un peu, on décide d’aller faire un tour à l’agence pour relever éventuellement les mails amicaux.

Les bureaux étaient froids et vides. L’écran allumé ne nous offrit aucun message important, sauf des vœux de collègues auxquels nous avons répondu.

Un étroit couloir mène à une petite salle d’archives et aux toilettes. « Hommes » porte de droite, « Dames » porte de gauche. Notre équipe de travail étant mixte, cette disposition était indispensable pour la bienséance, et tout le monde s’y tient.
Du moins en apparence, car Martine m’a avoué en confidence, que souvent, seule en permanence ou en heures-sup’, il lui arrivait de déroger et de faire son pipi chez les hommes.

– Tu penses…. Tu connais mes habitudes et mes possibilités… m’a t-elle dit… Debout, seule, devant l’urinoir des hommes, je suis plus à l’aise qu’assise sur la cuvette chez les femmes. Et puis la porte des hommes est plus près de mon bureau que celle des femmes… ajouta t’elle en riant comme autre excuse… De toute façon il y a aussi des toilettes chez les hommes, alors personne ne trouverait drôle que j’aille parfois de ce côté.

Nous profitions de ce que nous étions seuls pour mettre un peu d’ordre autour et sur nos bureaux. Martine, plus ordonnée que moi rangeait et classait au fur et à mesure. Elle avait l’air bien remise de notre réveillon et chantonnait en imitant l’air de 118008 en rangeant de vieux clichés photographiques :

– Celui-là va… à la poubelle… mais celui-là… faut l’conserver… quant à cette pile… de vieux papier… il n’y qu’à la… mettre au panier… oui au panier !
Pauvre Carmen ! Pauvre Bizet !

Il y avait bien un bon quart d’heure que nous étions-là. Nous étions passés simplement pour voir s’il n’y avait pas de messages, pas pour travailler, ce que me rappela mon adjointe :

– Dis donc chef…..on est en heures sup’ aujourd’hui ?
– Non… Nous sommes en tournée bénévole et on ne va pas tarder à refermer la porte. Le temps de mettre ce carton aux archives et on se « taille ».
– Bon…. Et bien pendant que tu vas aux archives, moi je vais au pipi. Il y a mes deux tasses de thé qui arrivent en fin de parcours.

Et sur cette confidence, nous nous retrouvons tous les deux dans le couloir. C’est alors que me vint cette idée :

– Tu acceptes mon aide pour racheter celle d’hier soir ? Lui demandais-je avec réserve.
– C’est vrai, ce serait chouette au bureau. On n’a pas souvent l’occasion de s’y trouver seuls ici et de faire des folies. J’imagine la tête de celui ou celle qui nous surprendrait tous les deux chez les hommes. Le plaisir de dire non aux bonnes manières… ! Mais un autre jour mon Jean-Mich’, car aujourd’hui c’est encore pantalon-collant-culotte et j’ai bien peur de recommencer mon exploit d’hier ou plutôt de ce matin. J’ai peur de m’en mettre encore partout. Je retiens ton offre pour tout à l’heure. Mais je pense à quelque chose… Je peux te faire et entendre mon pipi, de petite fille bien élevée si tu me promets une compensation.

Connaissant Martine et ses petits jeux, j’acceptai évidemment son marché.

– Bon, ne reste pas là avec ton carton sur les bras, va le ranger.

Pendant que je déposais mes archives à leur place, j’entendis les hauts talons aller et venir dans le couloir et en refermant la porte derrière moi, je vis Martine qui m’attendait.

– Et puis tiens…. proclama t-elle en allant vers la porte de droite…..c’est le jour ou jamais, je vais te l’offrir aux toilettes des hommes.

Mettant son idée à exécution, négligeant les deux urinoirs à l’entrée pour les raisons qu’elle avait données, elle se dirigea résolument vers l’unique toilette et gardant la porte bien ouverte. Avant de s’installer, elle s’assura du regard que j’étais bien en face, prêt à ne rien perdre.

Elle prit son temps. C’était comme une démonstration. Elle mettait dans ses mouvements quelque chose de provocant, d’érotique comme un strip-tease. Le chauffage était en veilleuse, elle avait gardé son manteau. Elle l’enleva et l’accrocha tranquillement sur un crochet de la porte. Elle abaissa la lunette sur la cuvette et me regardant avec son petit sourire qu’elle arborait dans de telles circonstances, lentement elle ouvrit sa ceinture, et déboutonna le haut du pantalon avant de descendre lentement la fermeture « Eclair ». Le pantalon glissa sur ses cuisses. Et ce fut le tour des collants noirs, laissant à découvert un charmant petit slip mauve. Puis, comme pour me dire : « Je peux ? » elle marqua un petit temps d’arrêt, les mains sur l’élastique, et en accentuant son regard et son sourire, avec de petits mouvements de hanches, le slip descendit lui aussi découvrant son triangle de fille brune.

Elle s’installa sur la cuvette, et je remarquai qu’elle s’était assise vers l’avant plutôt qu’en plein sur la lunette de sorte que la chute ne se ferait pas bruyamment dans l’eau mais silencieusement sur la faïence. De plus, les cuisses serrées, tout était fait pour que je puisse entendre chanter son petit rossignol.

Ainsi installée, je pensais qu’elle allait me servir son pipi habituel. Mais, visiblement ma présence non innocente faisait que ce n’était pas simplement un pipi « nécessité » mais un pipi « provoc ».

Le rossignol semblait tarder à commencer sa romance. Ma Martine calait. Sans doutes aussi troublée que moi par la situation dans laquelle nous nous trouvions.
Comme pour se donner une contenance, elle penchait la tête en arrière et passait ses doigts dans ses longs cheveux en attendant, histoire de paraître à l’aise. Toutefois, elle ne put retenir son petit rire de circonstances.

– Eh ! Oui…..J’ai beau, comme tu dis, être une pisseuse professionnelle, même devant toi il m’arrive encore de caler. Mais je ne me dégonfle pas cette fois. Là, je viens de perdre quelques gouttes. Tiens !…..Le voilà.

A peine avait-elle fini sa phrase que mon petit oiseau se mit à siffloter son chant de victoire. Je soupçonnai Martine de varier volontairement son petit jet pour moduler la musique et la faire durer. Le solo terminé elle s’enquit :

– Il était beau hein ? Ca t’a plu ?
– Ton rossignol a encore amélioré son chant. Il est vraiment envoûtant. Toutes les femmes devraient comme toi exploiter ce don et en faire profiter leurs auditeurs.
– Si tu veux. Mais au lieu de cela, certaines se font retailler les petites lèvres et coupent ainsi les cordes vocales de leur rossignol.
– Pauvre petite bête….et c’est cruel en plus.

Pendant cet échange de considérations sur les ressources musicales de la fente de Martine, celle-ci avait arraché un kleenex au distributeur et essorait doucement et consciencieusement sa petite chatte brune.

– Et toi ?….Tu n’as pas envie de pisser avant de reprendre la route ? Je peux t’aider si tu as peur de ne pas y arriver tout seul. La dernière fois tu as réussi à faire un peu et j’aime tenir ta bite dans ma main quand tu essaies.
– Je te dirais bien oui, mais ton rossignol m’a donné une autre envie, et tu sais qu’avec une érection c’est pipi impossible.
– Montre ?…..Et elle attrapa ma braguette à pleine main…..Mais oui…..et elle n’est pas mal même. C’est mon petit oiseau qui t’a fait cela ? Je sens qu’il est d’accord pour t’accueillir. Qu’est-ce que tu en penses ?
– Pendant les heures de service, même si on avait une grosse envie, je nous vois mal aux toilettes tous les deux, mais aujourd’hui… bureau vide… sans les collègues… pas de clients… Tiens… Mets tes mains sur le bord du lavabo comme dans la salle de bain et penche toi un peu.
– Non…..J’ai une meilleure idée. On va de l’autre côté.

Remontant rapidement son pantalon sans se soucier de la culotte et des collants, elle m’entraîna vers le bureau et prit les initiatives.

– Tiens….chef…..C’est sur ton bureau que tu vas me le faire. Tu veux bien ?

Par principes, je sais qu’il ne faut jamais refuser les initiatives de Martine. Elle enchaîna :

– Ce matin on a tout foiré…..Mais ici c’est pas ordinaire. Je sens que ça va être bien.
– Tu veux que j’éteigne les fluos ?
– Pourquoi faire ? Les volets sont fermés. Allez….Viens !

Elle redescendit le pantalon et le reste et posant ses fesses sur le bord de mon bureau elle s’allongea sur le dos, ajustant le pantalon et la suite pour mettre les jambes sur mes épaules.

Son envie égalait au moins la mienne. Je promenais le bout de ma queue sortie de ma braguette sur sa fente entr’ouverte. Je fus agréablement surpris de la sentir déjà bien mouillée. Elle était déjà tellement prête que je l’ai pénétrais presque sans m’en rendre compte. Sa respiration devenait bruyante et suivait le rythme lent de mon va et vient. Elle accusa son plaisir :

– Ah ! Oui…..J’avais vraiment envie ! Toi aussi hein ?…

Je la rassurais. Ses mains s’agrippaient au bord de mon bureau.

– Alors là… J’y vais en courant ! Je ne peux pas le manquer ! Encore cinq coups et j’y suis

Histoire de me déconnecter, je l’écoutais compter.

– Un …..Deux…..trois…..quatre…..Oui !

La manifestation de son plaisir déclencha le mien et je m’enfonçai en elle tant que je pouvais.

Ses mains lâchèrent le bord du bureau, ses yeux se rouvrirent.

– Et bien….après les coups ratés de ce matin….celui là les rachète tous pas vrai ? Lui demandais-je.
– Ouah ! Ah oui… Il était bon. On reviendra au bureau quand nous ne serons pas en forme… dit-elle en riant aux éclats.

Quelques kleenex pour l’un et l’autre et en se rajustant Martine s’écria :

– Ah, zut….Il y en a même sur ton bureau…..dit-elle en l’essuyant. Je ne sais pas si c’est de toi ou de moi, mais il reste une petite tache en souvenir. Si la femme de ménage pose des questions on lui expliquera, pas vrai ?
– Sûrement pas, elle serait jalouse, et elle demanderait que je lui en fasse autant.
– Alors là… pas question… répliqua Martine en me lançant une bourrade. Il n’y en a que pour moi. Et puis tiens… je repense à une chose… Tout à l’heure, pour le chant du rossignol tu m’as promis une compensation. En érection tu n’as pas pu pisser. Soit. Mais après ce que tu viens de me faire, je serais surprise si tu pouvais te vanter d’une autre érection. Alors… jeune homme… pour ce pipi qui attend, rien n’empêche que je te la tienne ? Allez… je t’emmène… Et puisque le mien je l’ai fait chez les hommes… tu me fais le tien chez les femmes.

Je la soupçonnais d’avoir bien prémédité son coup depuis on exhibition bien assise sur les toilettes avec tout ce qui devait s’en suivre. En m’entraînant vers la porte « Dames », elle prit au passage son sac et me donna ses intentions qui ressemblaient fort à une mise en scène,

– Bon… Je pose mon « numérique » sur le bord du lavabo. Tu commences à pisser dans la cuvette. Avec la « tempo », j’aurai cinq secondes pour te la tenir. Tu marches ?

En plus de ses talents incontestables de photographe, Martine a sans doutes des dons de metteur en scène. Elle sait imaginer des situations dont elle peut faire monter l’intérêt. Je n’ai plu qu’à attendre l’équivalent de : « Silence…Moteur ».

Et bien qu’elle nie, son pipi chantant sur les toilettes devait nous conduire sur mon bureau avec ce qui s’en suivait et aussi avec l’arrière pensée que je ne pouvais plus avoir d’érection pendant un bon moment, donc que rien n’empêcherait de… etc… L’appareil numérique était même dans le sac… Par hasard… évidemment.

Soumis, pendant qu’elle installait l’appareil, je me posais donc devant la cuvette de ces dames et m’apprêtais à me soulager d’un besoin que j’avais depuis un bon moment. Sa présence et surtout son regard me bloquaient un peu, mais l’envie fut la plus forte et je réussis au bout de quelques secondes à laisser couler un jet presque normal. Martine s’empressa alors de déclencher l’appareil et se précipita vers moi pour remplacer ma main par la sienne. Le jet continuait, timide mais il continuait et l’éclair l’enregistra. Martine poussa alors un vrai hurlement de triomphe.

– Houai ! Celle-là je vais l’encadrer Jean-Mich’. Je savais bien que j’y arriverai.

Il était temps quand même que la photo soit faite car je ne pus faire une vidange complète malgré tout. Martine mit beaucoup de soin à faire tomber la dernière goutte et avec un grand sourire, elle passa un kleenex, avec délicatesse, comme pour elle. Elle triomphait et conclut par une réflexion :

– Quand même… on a déjà pissé ensemble des dizaines de fois, sans problèmes. Mais si on y met une petite intention… on coince. Tu m’as déjà vue faire bien des fois n’importe où et surtout n’importe comment et tu ne bandes pas pour autant. Même chose pour moi. Ta présence ne me gène pas. Sauf si je pense à ce à quoi tu peux penser. Et puis m… Du moment que c’est bon. Ceux qui n’aiment pas cela n’ont qu’à faire autrement.

Pendant sa dissertation nous avions éteint les lumières et regagné la sortie quand elle s’écria :

– Oh là… ! Tu n’avais même pas fermé la porte à clef. Avec les lumières allumées quelqu’un aurait pu entrer.

Cette peur rétrospective nous faisait apprécier encore plus cette séance.

——0—–
De retour à l’appartement, ce fut robe de chambre et pyjama, mais avant un petit dîner de lendemain de réveillon, Martine tint absolument à passer à l’écran de l’ordinateur la photo dont elle était fière.

– Tu m’as déjà photographiée pas mal de fois dans de telles circonstances cochon chéri, que pour une fois, j’ai bien aussi le droit de te voir en action… Non ?

Une prise USB, quelques clics et j’apparus à l’écran

– Impec… ! S’écria t-elle en voyant le résultat… Ça n’est pas du grand art vu le cadrage, mais on voit bien que ça n’est pas la tour Effel. Je la reconnais… C’est bien la tienne. Nous avons la combine maintenant pour réaliser mon fantasme. Je la vide et ça marche.

Avec ce petit rire qu’elle a quand elle vient de réussir un bon coup, elle acheva en disant :

– On pourra faire des échanges : tes mains à ma foufoune pour mon pipi, ta queue dans les miennes pour le tien.

Après le dîner ce fut la douche ensemble, sous prétexte de se laver le dos. Avec les circonstances favorables de l’eau qui ruisselait sur elle, Martine en profita pour me demander sur un ton vicieux :

– Je peux faire pipi ?

Permission accordée évidemment, et je vérifiai l’exécution de son désir en détourant la pomme de la douchette pour mieux voir un petit jet tomber doucement entre nos pieds.

La douche fut suivie de quelques bâillements sonores, mais avant de dormir nous avons vérifié que le lit était quand même plus confortable que le bois de mon bureau dans certaines circonstances précises, et de conclure à deux : Oublié le «Bêtisier du Nouvel-An»

Jean-Michel et Martine
Janmich59@wanadoo.fr

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0 réponse à Le bêtisier du Nouvel-An (suite et fin ) par Jean-Michel_et_Martine

  1. carriga dit :

    J’ai trouvé ça gnangan

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