L’aire de repos par Fanuro

Toujours dans ma quête d’expériences je décide un soir, après un pot d’anniversaire organisé dans ma compagnie (ah oui, je suis militaire), d’aller faire un tour sur une aire de repos de la voie rapide contournant EPINAL, bien connue de tous les spinaliens comme étant un lieu de rencontre pour homosexuels (en fait il y a autant de bi que d’homos).

J’étais vêtu d’un bas de survêtement et d’un sweat-shirt et c’est le coeur battant que je me dirigeais vers ma nouvelle destination, ne sachant pas exactement ce que j’allais y trouver.

Arrivé sur place vers 21 heures, je découvre un parking sombre sur lequel sont garées 6 ou 7 voitures (toutes immatriculées en 88) et sur un bord de l’axe goudronné un petit local éclairé que je suppose être les sanitaires. Je me gare non loin de ces derniers de façon à avoir des vues à la fois sur les véhicules présents mais aussi sur le petit édifice.

Après quelques minutes d’observation je constate que 2 des voitures sont inoccupées. Je me dis que ces personnes doivent être en train de se faire du bien dans les WC ; chose normale puisque tout le monde est à priori ici pour la même chose. Mais en fait il n’en est rien puisque peu de temps après j’aperçois un homme derrière les sanitaires qui fume une cigarette et un deuxième, lui aussi en train de fumer (je pense alors que la cigarette doit être un moyen de se faire remarquer) qui tourne autour des voitures encore occupées. Il arrive à hauteur de ma vitre, marque un temps d’arrêt et d’une main dans la poche de son pantalon de toile semble se masturber. Comme il est trop près je ne peux pas voir son visage mais vu son attitude la rumeur sur la fréquentation de ce lieu est exacte. Puis, voyant que je ne réagi pas à ses avances il passe son chemin. Il s’agit en fait d’un homme d’une quarantaine d’années, assez élancé et fin, pas mal du tout en fait. En attendant plus d’activité je décide à mon tour de m’allumer une cigarette. Mais bientôt, sûrement à cause des bières que j’ai bu à ce pot, je suis pris d’une forte envie d’uriner. Voyant que je ne résisterai pas encore longtemps, je décide d’aller me soulager dans les WC. J’arrive devant le bâtiment et ouvre une des deux portes qui se trouvent face à moi. J’entre dans une pièce relativement grande pour ce genre de lieux où se dégage une forte odeur de pisse qui m’excite déjà. Les murs sont recouverts de dessins sans équivoque et de petites annonces où des hommes cherchent des salopes à enculer et inversement. Je me dirige vers la cuvette située dans le coin opposé à la porte et j’entreprends de me soulager en espérant que quelqu’un va me rejoindre.

J’ai à peine commencé à pisser que l’homme qui se frottait contre ma voiture tout à l’heure entre à son tour. Mon coeur bat la chamade. Sans un mot il s’approche de moi, sort sa queue et urine lui aussi. Enfin, en me regardant il me gratifie d’un « salut » auquel je réponds timidement puis il entame une lente masturbation tout le long de sa tige encore molle, la maculant de son liquide doré. Subjugué et excité à la fois, je le regarde faire sans dire un mot. Puis il pose sa main mouillée sur ma bite et me susurre à l’oreille « branles moi toi aussi ». Je me saisi alors de sa verge et la lui caresse doucement. Nous commençons à bander tous les deux quand il me demande de le sucer. Je me penche vers sa hampe tendue et débute par la lécher, dégustant ainsi son délicieux champagne. J’ouvre la bouche, glisse son gland à travers mes lèvres et avale sa queue le plus possible avant d’entamer des mouvements de succion.

Pendant que je le pompe j’entends à nouveau la porte qui s’ouvre, présageant l’arrivée d’un nouveau visiteur. En effet, quelque secondes plus tard un homme se tient entre nous deux. En levant les yeux je vois qu’il a lui aussi sorti sa bite que mon premier partenaire s’empresse de tâter. Le dernier arrivant, quant à lui semble plus intéressé par mon cul, à en croire sa main qui vient de passer sous mon slip et qui se promène le long de ma raie. Je sens soudain un doigt humide qui me titille l’anus, qui l’ouvre pour finalement s’y introduire totalement. De mon côté je suce toujours la même tige qui est maintenant tendue à rompre quand je perçois qu’une autre personne vient de nous rejoindre. Elle vient se placer directement derrière moi et me pétrit les fesses. Puis je sens qu’elle saisit les bords de mon pantalon de survêtement et de mon slip et me les descend jusqu’aux chevilles. Tandis que j’ai toujours un doigt qui s’agite dans mon fondement, une main passe entre mes cuisses, me caresse les couilles puis vient s’emparer de ma queue pour me l’astiquer.

Dans le petit espace clos personne ne parle, chacun semblant simplement se préoccuper du plaisir qu’il procure à son voisin et de celui qu’il reçoit. Pour ma part j’apprécie pleinement cette situation de passif qui me va si bien.

Ma pastille et ma verge sont maintenant libérées de leur emprise mais je sens que l’on m’écarte les fesses et qu’une langue fouineuse vient rendre hommage à mon oeillet. Le troisième homme lèche d’abord le tour de mon trou plissé avant de déguster l’intérieur de mon conduit. J’adore cette caresse buccale, je gémi de plaisir mais maintenant j’en veux plus et je le fait comprendre à mes différents partenaires en ondulant du bassin comme si je me faisait prendre. Mes « camarades » comprennent mon message et je perçois que celui qui se trouve derrière moi m’enduit l’anus de gel avant d’y planter deux doigts pour assouplir l’entrée de mon cul.

Jugeant que je suis prêt c’est maintenant un gland qui pointe à l’orée de ma grotte. Saisi par les hanches je me rend compte que ma pastille s’ouvre peu à peu et qu’un morceau de chair chaud et dur me remplit. Un lent pilonnage commence alors et pour faciliter cette pénétration, j’abandonne la queue que j’avais en bouche et je prends appui des deux mains sur la cuvette des WC, offrant totalement mon arrière train à celui qui me besogne. Les deux autres hommes voulant rester en forme, passent de chaque côté de mon visage et me donnent leur membre à sucer à tour de rôle. Puis les mouvements de bite dans mon boyau s’accélèrent de plus en plus jusqu’à ce que les mains se crispent sur mes hanches et que le premier éjacule dans un râle à demi étouffé. Puis il décule, jette la capote dans la cuvette, se réajuste et nous abandonne en silence.

Mais à peine ai-je le conduit de libre que mon premier partenaire prend la place devenue vacante. Je sens que la pine de celui ci est plus épaisse, plus longue aussi et quand ses couilles se plaquent contre mes fesses, j’ai l’impression de sentir son gland jusque dans mon ventre. Cette extrême sensation d’être totalement rempli me vide complètement l’esprit et je l’invite, par mes gémissements à me prendre sans ménagement, ce qu’il fait pour mon plus grand bonheur. Après quelques minutes d’un intense ramonage il ne tarde pas à son tour à se répandre dans le préservatif en haletant. Tout de suite après le dernier comparse se met en position pour me prendre à son tour. Sa bite, d’une taille plus modeste devrait, pensai-je pouvoir entrer en moi sans problème après ce que je viens de subir. Et en effet il me pénètre d’un seul trait, m’arrachant tout de même un soupir de satisfaction. Il s’agite immédiatement, presque frénétiquement, comme s’il était pressé d’en finir. Pendant ce temps, celui qui le précédait s’est glissé sous moi et entreprend de me sucer. Il prend d’emblée ma queue dans la bouche tout en me caressant les couilles. Je suis comblé de plaisir par les sensations que me procurent ces deux hommes.

Soudain celui qui est derrière moi se retire d’un coup sec, colle sa verge entre mes deux globes et éjacule en de longues saccades dont le sperme chaud coule le long de ma raie. Tout aussi rapidement il se rhabille et disparaît sans dire un mot. Ainsi libéré je peux me redresser pour que mon suceur soit plus à l’aise pour me pratiquer sa fellation. Tout en me pompant il passe sa main entre mes fesses et m’étale le foutre qui s’y trouve sur l’anus et sur les bourses. Ses lèvres et sa langue massent ma bite avec application, ses doigts s’introduisent dans mon trou largement ouvert et imprègnent le même mouvement que sa bouche. Je ne résiste pas longtemps à ce traitement et quand je m’aperçois que je vais jouir je le préviens, mais plutôt que de se retirer, il m’enfonce ses doigts encore plus profondément, me gardant en bouche. Je lâche alors une importante quantité de foutre contre son palais. Il m’aspire, me tète jusqu’à la dernière goutte, mes jambes deviennent molles, je crois que je vais défaillir. Il arrête juste à temps avant que je ne m’effondre, se redresse et m’embrasse goulûment. Sa langue joue avec la mienne et nous partageons ma semence dont je lui avais préalablement fait don. Après ce long baiser il me regarde dans les yeux et tout en me donnant une petite tape sur les fesses il me dit d’une voix douce : « Tu es bonne toi, j’espère qu’on se reverra. » Je lui réponds simplement que ce n’est pas impossible, puis nous rectifions nos tenues et nous nous séparons après un dernier baiser.

Il est maintenant 23 heures passées, il faut que je rentre. Je m’allume une cigarette et démarre pour retrouver ma maison et ma femme qui m’y attend. Sur le trajet, ma raie engluée et mon trou encore tout dilaté me font repenser à cette soirée où j’ai été la femelle de ces parfaits inconnus qui m’ont procuré autant de plaisir que je leur en ai donné et ceci dans un parfait anonymat. J’ai aimé la courtoisie et la perversité de ces hommes et dans l’espoir de revivre des instants semblables je me dit que c’est sûr que je reviendrai sur cette aire de repos !

FIN

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3 réponses à L’aire de repos par Fanuro

  1. Sylvie dit :

    je suis sylvie travesti , moi aussi je drague sur les aires de repos pour me faire fécondée du cul et de la bouche par des gros bourrins qui profitent de mon corps pour mon plus grand plaisir , c’ est vraie que je suis une salope qui adore ça , j’ y prends beaucoup de plaisir .
    Quelle jouissance de quitter ces aires remplie de foutre , humiliée et souillée .

  2. Sylvie dit :

    je suis sylvie , travesti très sexie et hyper féminine , ce récit m’ a énormément excitée car je me revois moi aussi flanant sur les aires de repos à la recherche de males mort de faim qui n’ hésitent pas pour notre plus grand bonheur à se délecter de nos corps de salope .
    C’ est vrai qu’ ils y a bien des bourrins , j’ ai limpression d’ etre un pot de miel qui attire tous les frelons des alentours , car souvent quand ça commence nul ne sait quand est ce que ça finira .
    Le bonheur ai qu’ après plusieurs heures de labeur la pute et salope que je suis repart repue heureuse et prete à renouveller l’ aventure dans un avenir très proche .

  3. Vimorin dit :

    Bizarre parce que la description est assez réaliste a ce gros détail près qu’il a parfois dans ces aires de repos des mecs qui sont quand même assez bourrins.

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