La reine Russo 4 – La punition de Lizda par Nicolas Solovionni

La reine Russo 4 – La punition de Lizda par Nicolas Solovionni

Le récit de Yolaina

La reine Russo n’est ni méchante, ni sadique, mais elle aime bien s’amuser à faire souffrir sans exagération les filles qui lui ont désobéies. En fait si la faute était grave, c’était direction : le bagne. Mais en ce qui concerne Lizda, la reine n’avait manifestement nulle envie de l’exiler malgré la gravité de son forfait.

Alors voilà, j’ai été chargée de rassembler quatre-vingts filles, je les ai choisies au hasard, des gardes, des domestiques, des femmes de la cour, un peu de tout. Elles étaient d’abord là pour assister au spectacle.

Une table était dressée, pleine de victuailles avec au centre le trône de la reine, et à ses côtés deux de ses favorites. Derrière elles huit filles de la garde, discrètement armées et prêtes à intervenir en cas de problème, mais il n’y aura pas de problème.

La reine prend brièvement la parole :

– Lizda a commis une faute très grave, elle a voulu échanger une place sur un vaisseau de gangsters contre notre Globo de Khar. J’aurais pu l’envoyer au bagne ou pire encore, mais le pardon et la magnanimité font, vous le savez bien partie de mes valeurs. Aussi elle va souffrir et sera humiliée, mais ensuite une nouvelle chance lui sera donnée. Allez, fi de beaux discours, place au spectacle !

On fait venir Lizda, complètement nue, à quatre pattes et en laisse, elle se prosterne devant la Reine.

– Alors, grosse salope, tu sais ce qui va t’arriver ?
– Je vais être punie, votre grâce !
– Et je vais me régaler de tes souffrances.

La reine scruta alors l’assistance et pointa son doigt vers une des domestiques de la cour, elle devait être assez nouvelle, la reine ne se souvenant pas l’avoir déjà aperçue.

– Toi viens ici et passe sous la table ! Tu vas me lécher la chatte pendant tout le spectacle.

La fille s’approcha sans broncher et disparut sous la nappe..

– Et maintenant Lizda, tu vas me désigner deux filles de ton choix, ils souffriront en même temps que toi. Je sais c’est profondément injuste, mais c’en est que davantage excitant. Allez désigne-moi deux nanas, si elles ne sont pas contentes, elles n’auront qu’à s’en prendre après toi, quand on fait des conneries on les assume.

Lizda désigne donc deux femmes parmi les spectatrices, un peu au hasard, je dis un peu, car, pas si folle, elle évite malgré tout de choisir des filles qu’elle connait de vue.

Clélia est une petite blonde au nez pointu, toute étonnée de se voir désignée, elle semble chercher du secours chez ses voisines.

– Avance, salope ! Lui crie Nysis, mon adjointe qui a été choisie par la reine pour être maîtresse d’œuvre du spectacle. Nysis est une grande rousse aux long cheveux bouclés, c’est une belle femme mais je me méfie un peu d’elle, la sachant intrigante.

Moi, je suis chargée de superviser tout ça..

La seconde fille s’appelle Nara, une grande brune, très bien faite, elle avance en lançant un regard de haine à Lizda.

Nysis fait se déshabiller les deux filles, leur attache les cheveux, leur passe un collier de chien muni d’une laisse autour du cou et leur demande de se tenir côte à côte.

– Voilà, et maintenant vous ne bougez pas d’un poil, sinon; on va être obligé de vous tenir. Lizda rapproche-toi et gifle-moi ces deux morues !

La pauvre Lizda, n’hésite même pas, elle sait déjà qu’elle s’est faite deux ennemies, alors elle balance une paire de gifles à chacune des nanas. Clélia se retient de pleurnicher tandis que Nara joue les bravaches .

– Plus fort ! Ce ne sont pas des gifles, ça, ce sont des caresses. Recommence et crache-leur dans la gueule.

Qu’à cela ne tienne, on refait, cette fois Clélia ne peut retenir ses larmes, tandis que Nara perd un peu de sa superbe.

– Bon maintenant, Clélia et Nara vous allez prendre chacune une bougie et faire couler de la cire sur les nichons de la pétasse.

Manifestement elles ne savent pas trop comment procéder, c’était un peu ce qui était prévu.

– Bon je vous montre ! Leur dit Nysis.

Elle s’approche de Clélia, la bougie dans la main, la fille recule d’un pas.

– Nara passe derrière elle et empêche-la de bouger.

Elle ne peut plus reculer, mais elle gigote.

– Ecoute-moi bien, salope, moins tu te laisseras faire, plus ça se passera mal ! Alors maintenant tu restes tranquille !

Elle essaie, mais elle est terrorisée, la bougie coule sur sr ses seins, elle crie un peu sans doute surprise que la brulure soit à peine perceptible. Nysis ne cesse que quand les tétons de la blonde sont entièrement recouverts de cire.

Ensuite les deux filles sont invitées à faire subir le même traitement à Lizda qui accepte le supplice sans broncher mais avec pas mal de vilaines grimaces.

Quant à Nara, c’est Nysis et Lizda qui viennent lui enlaidir sa jolie poitrine en faisant couler d’abondance la cire. La fille supporte, les yeux dans le vague, s’efforçant de penser à autre chose.

Une fille apporte alors sur un plateau d’argent, douze pinces munis de poids. Pourquoi douze ? Pour qu’il y en ait pour tout le monde ! Après qu’on leur a retiré les croutes de cire, chacune des trois filles se retrouve avec une pince à chaque téton et une autre aux lèvres vaginales. Réactions diverses, quand ça pince, ça pince, Clélia essaie de ne pas montrer les larmes qui lui viennent aux yeux.

On demande ensuite aux trois soumises de se mettre à quatre pattes, l’une derrière l’autre et de tourner dans l’espace situé devant la table de la reine. Evidemment le cheminement est pénible avec les poids tirant sur les pinces et étirant douloureusement les chairs.

Pour les faire avancer convenablement, Nysis s’est saisie d’un léger fouet avec lequel elle flagelle allègrement le derrière de ces demoiselles, ce qui les fait hurler comme de bien entendu.

J’avoue que le spectacle de ces trois belles plantes avançant en montrant leurs jolies fesses qui rougissaient un peu plus à chaque tour, m’excitait terriblement.

Après avoir fait relever les trois suppliciées, Nysis demande à Nara d’immobiliser Lizda en lui bloquant les bras par devant, puis le fouet entre de nouveau en action striant son dos de trainées rouges. La pauvre victime crie à chaque coup et son visage se noie de larmes. Mais elle sait rester digne.

Lizda croit son supplice terminé quand Nysis baisse son fouet, mais ce n’est qu’une petite pause, l’immobilisation se fait maintenant par derrière, et quand la fille comprend que l’on va lui viser les seins, elle articule un pauvre :

– Non, pitié !

Mais elle n’insiste pas sachant que cela est complètement inutile, alors elle tente de prendre son mal en patience le ponctuant de cris et de pleurs, tandis que sa jolie poitrine se couvre de zébrures cramoisis.

Changement de rôle, c’est maintenant Lizda qui immobilise Nara qui sort de l’épreuve complètement épuisée, en jetant un regard de profond mépris à ses tortionnaires.

Quant à Clélia, pour l’instant spectatrice, elle est complètement paniquée, sachant pertinemment ce qu’il l’attend. Si Nysis se l’est gardée pour la fin, ce n’est pas par hasard, c’est pour jouir de son appréhension.

– Non, laissez-moi ! Gémit-elle.
– Laisse-toi faire, je vais essayer de ne pas frapper fort.

Elle a alors l’idée de simuler un malaise, Mais Nysis n’est pas dupe.

– Ramassez-moi cette trainée et immobilisez-là, elle va voir ce qui en coute de jouer la comédie.

Nara et Lizda la remette debout et l’immobilise en lui tenant chacune les bras écartés. Nysis peut maintenant fouetter, l’objectif n’étant pas d’envoyer la fille à l’infirmerie, elle modère ses coups, mais ça reste une flagellation, et ça fait mal.

Le supplice terminé, elle retombe comme une chiffe molle et se met à chialer comme une madeleine.

– Si vous avez envie de pisser, pissez-vous dessus ! Dit alors Nysis.

Nara et Lizda se regardent incrédules, Clélia n’a rien entendu.

– Non ? Alors trois volontaires !

Tout cela était prémédité puisque ce sont trois femmes membre de la garde qui s’approchent.

– Vous trois étalez-vous par terre et bouche ouverte !

Pas difficile de comprendre ce qui va se passer, d’autant qu’après les morsures du fouet ce genre de fantaisie apparait aux yeux des participants comme quelque chose de bien bénin mais n’empêche que ça participe au spectacle !

Les trois filles sont maintenant couchées sur le dos, y compris Clélia qui semble en ce moment hors du temps. Les gardes viennent s’accroupir au-dessus des visages des soumises et se mettent à pisser dans un ensemble parfait. Lizda et Nara en avalent un peu, manifestement, elles ont déjà pratiqué ce genre d’amusement. Clélia reste ostensiblement la bouche fermée, Nysis s’en aperçoit mais à l’intelligence de ne pas réagir.

Seule la garde qui compissait sur Lizda reste en place. Elle avance son bassin de quelques centimètres, son anus s’ouvre, libérant un énorme étron qui atterrit sur le visage de Lizda qui se demande quoi en faire mais on lui tend un papier afin qu’elle puisse s’en débarrasser tandis que l’assistance rigole et applaudit

– Nettoie son trou du cul ! Ordonne Nysis.

Lizda se demande comment elle va s’en sortir, et se dit qu’elle peut peut-être faire semblant, mais ne voit pas trop comment. Elle ferme les yeux, approche sa langue de l’œillet brun, lèche un peu. L’épreuve lui paraît bien plus facile que ce qu’elle aurait imaginé. Elle ouvre les yeux, la demoiselle a le trou du cul tout propre.

– C’est terminé ! Embrassez-vous ! Demande Nysis aux trois filles

Clélia se jette alors dans les bras de Nara qui la console. Leur étreinte semble ne jamais devoir se terminer.

– Bon, ça va toutes les deux, il faut aussi embrasser Lizda.

Echange de regards. Nara s’approche à moins d’un mètre de Lizda.

– Salope ! Lui dit-elle.
– Je sais !
– Dis-le !
– Je suis une salope !
– Il faut vraiment qu’on s’embrasse ?
– Ce serait aussi bien, non ?
– J’ai plutôt envie de te cracher dans la gueule !
– Si ça peut te faire plaisir, ne te gêne pas. Répond Lizda en ouvrant la bouche.

Nara s’approche et crache, les deux visages sont tous près l’un de l’autre, les lèvres se rencontrent. Nara a un petit mouvement d’hésitation puis sa langue pénètre dans la bouche de Lizda. Contre toute attente les deux filles se roulent un patin baveux, les mains s’égarent, Nara mouille.

A ce moment-là j’étais près d’elles et j’ai entendu ce qu’elles se disaient :

– Salope ! Je veux que ce soir tu viennes me bouffer la chatte !
– Avec plaisir ! Répond Lizda

Quant à Clélia, elle ne comprend plus rien, manifestement elle se fait violence pour embrasser Lizda sur le coin des lèvres avant d’aller craquer dans un coin.

Les filles ont ensuite été prise en charge par les infirmières qui leur ont appliqué de quoi soulager leurs marques sur la peau.

– Et Lizda a repris ses fonctions ?
– Bien sûr que non, elle a été mutée aux cuisines royales.

Fin du récit de Yolaina et reprise du récit de Greta

J’ai été assez rapidement en état de repartir, mais Yolaina trouvait tous les prétextes pour me retarder, genre je manquais de vitamines et autres conneries, elle faisait de même avec les autres membres de ce qui restait de l’équipage alors que leurs blessures étaient bénignes.

Evidemment, Yolaina profitait de cette prolongation pour me sauter, mais ce n’était pas une corvée, loin de là ! Elle me sautait très bien et je ne restais pas inactive

Et un jour elle m’a posé la question que je redoutais :

– Et si tu ne rembarquais pas ?
– Non, Yolaina, ce n’est pas possible !

J’attendais qu’elle me demande d’argumenter, elle ne le fit pas, elle devait s’attendre à ma décision.

– O.K. Je vais réunir tes collègues, mais avant je vais te montrer quelqu’un.

Elle m’a conduit dans les souterrains du palais, je n’étais pas trop rassurée, elle a ouvert une porte, à l’intérieur il y avait Gazo, sa cellule était propre et apparemment il était bien nourri, cela ne l’a pas empêché de m’accueillir avec une bordée d’injures. On est reparti aussi sec.

– Je voulais juste que tu saches qu’il est vivant ! Mais conserve cette information pour toi, si un jour tu reviens, il sera encore en vie, j’y veillerais, cela pour te prouver que nous ne sommes pas cruelles et que tu pourras revenir sans crainte. Mais devant tes collègues je livrerai une toute autre version, il faut bien que nous nous protégions.

Nous avons ensuite été escorté jusqu’au vaisseau, mais avant d’embarquer, Yolaina pris la parole.

– Nous sommes désolées de la tournure des événements, mais je pense que vous pouvez comprendre qu’on ne s’attaque pas impunément à notre communauté, à notre reine et à nos symboles. Le dénommé Gazo, premier responsable de cette tragédie a été condamné à être mangé au cours d’une cérémonie expiatoire.

Je ne te dis pas la tronche de Karlson et des autres !

– D’autant, reprend Yolaina, que ce vol était stupide, ce bijou n’a aucune valeur marchande, il est en oxyde de zirconium amélioré, mais pour nous il est le symbole de notre communauté, il est sacré, et vouloir nous le retirer est considéré comme un sacrilège !

Et on est reparti avec le vaisseau, on s’est débrouillé avec les moyens du bord, c’est le cas de le dire, Karlson n’ayant aucune confiance en moi, je me suis contentée de l’assister pendant la navigation, je l’ai davantage regardé qu’assisté d’ailleurs, il me faisait un peu peur ! Quand on s’est posé ici sur Vargala, il m’a dit qu’il ne me rembaucherait peut-être pas. Voilà, voilà !

Fin du récit de Greta

– Le discours de Yolaina sur le diamant, d’après toi, c’est du bluff ou quoi ?
– Vas savoir ? Mais pourquoi cette question ?
– Oh, je demandais ça juste comme ça !
– Ben voyons !
– T’aurais pas comme une envie d’aller y voir de plus près ?
– J’en sais rien !
– Je ne te le conseille pas !
– Pourquoi ? Tu n’as pas envie de revoir ta copine ?
– Si, éventuellement, mais par contre je n’ai pas envie de me retrouver mêlée à une nouvelle histoire de vol !
– Je ne suis pas un voleur, ma chère ! Mentis-je honteusement. Bon parlons d’autre chose, je ne sais pas trop quel poste t’attribuer, on verra sur place. Sinon le plus urgent c’est de te planquer, t’as toutes tes affaires avec toi ?
– Presque !
– Tu pourras te passer de ce qui te manque ?
– Ben c’est à dire…
– Tu me fera une liste, j’irais t’acheter l’équivalent ! Je vais te planquer dans mon vaisseau, on va y aller de suite et je vais oublier de te faire enregistrer, je sais faire ça très bien ! En route !

J’ai mis la môme en sécurité, puis j’ai rejoint mes adjoints, Dyane et Nerren et leur ai un peu raconté tout ça :

– En résumé le « Globo de Khar » est peut-être sur Mijarka, mais je ne suis plus trop sûr que le tuyau soit bon ! Alors, on fait quoi ?
– Les nanas n’ont pas massacré la moitié d’un équipage pour protéger un truc en toc !
– Non, elles ont massacré la moitié d’un équipage parce qu’elles étaient attaquées.
– Les deux explications ne sont pas incompatibles. On peut tenter le coup ! Propose Dyane, mais il nous faut un prétexte pour se poser là-bas, après il nous faudra un plan !
– Pour le plan, j’ai engagé une nana qui s’est fait une copine sur place, or la copine a ses entrées dans les lieux sécurisés du château de la reine !
– Super, faudra affiner ça ! Reprend Dyane, maintenant le prétexte ? On ne va pas se pointer comme ça ?
– Je sais pas intervient Nerren, on peut simuler une avarie qui nous obligerait à nous poser ?
– Non, c’est nul ! Répond Dyane, j’ai une autre idée, un peu plus compliquée, on va essayer d’identifier les connards qui ont assassiné les membres de l’équipage, il y tout lieu de penser qu’ils veulent éviter que l’information se répande afin d’être seuls sur le coup. On expliquera à la reine qu’on est à la poursuite de ces gars-là !
– Génial !

A suivre

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7 réponses à La reine Russo 4 – La punition de Lizda par Nicolas Solovionni

  1. Nina dit :

    Dommage que le passage scato soit si court, il me plait parfois d’être humiliée de la sorte

  2. Chastaing dit :

    Chatiée et contente de l’être, ça m’arrive aussi LOL

  3. Claire dit :

    Lorsque j’ai lu ce chapitre, j’étais Lizda y compris comme vous le pensez-bien dans ce court passage scato.
    Merci Nico, d’avoir osé

  4. Baruchel dit :

    Un défoulement assez rare chez cet auteur. J’avoue avoir pris un plaisir coupable à cette lecture digne des comics de Willie. On remarquera qua malgré la dureté des scènes, tout cela s’efforce de rester ludique (dans une certaine mesure)

  5. Werber dit :

    Eh, bien il s’est défoulé dans ce chapitre, l’ami Nicolas ! Quelle séance, j’en ai la bite douloureuse

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