La mariée propose… (ou le sex-mariage de Mylène) par Boris_Vasslan

La mariée propose… (ou le sex-mariage de Mylène) par Boris Vasslan

Prologue

Mylène et Cédric viennent de faire l’amour, ils sont l’un près de l’autre, nus sur le lit, exténués par leurs folies, heureux… repus…

– Ça va ? Demande Cédric, histoire de dire quelque chose.
– Ben, oui, ça va. Et toi ça va ? Rigole Mylène
– Tu sais, avec Florence, quand on faisait l’amour, dès qu’on avait fini, elle se précipitait sous la douche, ça avait le don de m’énerver…

Mylène n’aime pas cette allusion à Florence, l’ex de Cédric, non qu’elle soit jalouse mais imaginer son mec avec cette fille qu’elle considère comme une gourde l’agace profondément. Pourquoi lui parle-t-il de ça ? Il est vrai que Cédric a l’habitude d’accumuler les gaffes ! Elle s’en sort en biaisant !

– « Les sucs de l’amour ne peuvent être sales », disait Aragon !

Cédric sourit. Ce doit être de la déformation professionnelle, Mylène adore illustrer les thèmes qu’elle défend de fausses citations que personne n’ira de toute façon jamais vérifier.

Cédric et Mylène sont ensemble depuis plus de trois ans, ils vivent confortablement, très confortablement même. Elle est conseillère en communication, c’est à dire qu’elle vend pas mal de baratin aux entreprises qui croient en avoir besoin. Après son passage on s’empresse de prendre de bonnes résolutions qui seront très vite oubliées quelques semaines plus tard… Mais son efficacité, son charisme allié à une beauté naturelle, lui ont forgé une solide réputation. Elle est grande, blonde, s’amuse à faire croire qu’elle est d’origine scandinave alors qu’elle est née à 100 kilomètres de Paris en plein pays beauceron. Mylène est très demandée et la demande ça se paye.

Quant à lui, il a eu la chance de remplacer au pied levé, l’animateur souffrant d’une émission « bouche-trou » à la télévision. Il s’en sortit plutôt bien, et quelques relations aidant, il se retrouva rapidement en train d’animer des choses à la visibilité plus évidente et au cachet plus substantiel. Donc nous l’avons vu, notre couple n’est pas dans le besoin, ils n’en ont pas pour autant attrapé la grosse tête, sachant très bien quels sont les aléas de ces professions.

Mylène se caressait négligemment un sein, Cédric adorait les seins de sa compagne, un frémissement agita même son sexe pourtant fatigué.

– J’aime bien quand tu me prends en levrette, comme ça je ne te vois plus et j’ai la tête pleine de fantasmes !
– C’est pas très gentil ce que tu dis ! Lui fit remarquer son amant.
– Mais si au contraire, quand je te vois, je ne pense qu’à toi, ça devrait te faire plaisir !
– Alors je te pendrais plus en levrette ! Ou alors ou va faire poser des miroirs, on en avait déjà parlé
– T’as rien compris ! Tu sais ce que c’était mon fantasme ?
– Je m’attends au pire !
– J’étais en robe de marié et j’étais au centre d’une orgie !

Cédric ne répondit pas, tout ce qui évoquait le mariage l’agaçait viscéralement et il avait peur que sa compagne dévie la conversation vers ce sujet.

– Bon, je vais me lever ! Finit-il par dire !
– Tu sais, j’aimerais réaliser ce fantasme !
– Quel fantasme ? Demanda hypocritement Cédric.
– Ben, celui que je viens de te dire, la mariée avec l’orgie !
– Tu voudrais qu’on se marie ? C’est nouveau ?
– Mais non…Ce ne serait pas un vrai mariage !
– Hein ?

Elle lui expliqua alors ce qu’était un sex mariage :

– C’est comme un vrai mariage, avec la robe blanche, les invités, la bouffe, les témoins, les garçons d’honneur et tout le reste, sauf qu’on ne se marie ni devant la loi ni devant Dieu.
– On se marie devant quoi, alors ? Demanda Cédric, amusé.
– Devant le sexe !
– !!!

Préparatifs

Le fric attire les gens comme les mouches attirent le miel et nombreux étaient ceux qui se prétendaient être des amis du couple. Mylène et Cédric ne se faisaient aucune illusion … au premier pépin tous ces rapaces s’éparpilleraient comme une envolé de moineaux et on compterait alors les vrais amis dans ceux qui resteront. Mais ils savaient déjà qu’à part Alissa et Pascal, fidèles entre les fidèles, les autres… bof !

Le projet de Mylène permettrait de faire d’une pierre deux coups, outre l’accomplissement du fantasme par lui-même, ils savaient qu’inévitablement l’affaire s’ébruiterait et que toute une tripoté d’hypocrites crierait au scandale, uniquement parce qu’ils n’avaient pas été invités.

– Six couples devraient suffirent ! Précisa Mylène

Ils décidèrent de les sélectionner dans un très large cercle de connaissances, parmi ceux qui affichaient une vie décontractée sainement assumée.

– Et qui va présider tout cela ? On va tirer au sort ? Interrogea Cédric.
– J’aimerais bien Miranda Taylor !
– Sérieux ? On fait comment pour la contacter ?
– Je l’ai rencontré une fois. C’était pendant un vernissage, elle était déchaînée, elle m’a roulé un patin dans les toilettes et m’a refilé sa carte !
– Tu ne me l’avais jamais dit ?
– Ben maintenant, c’est fait !

Miranda Taylor était une ancienne actrice du hard, elle s’était reconvertie en créant une chaîne de salons de coiffures, mais contrairement à certaines de ses consœurs, elle n’avait jamais renié son passé sulfureux qu’elle assumait crânement.

– Et le garçon d’honneur ?
– On n’est pas obligé d’en avoir un… mais je pensais à Thibault, c’est un collègue, un peu ambigu, mais il est mignon comme tout… et pour la demoiselle d’honneur on la choisira sur place, ça m’amusera !

Il fut également décidé de s’adjoindre les services de deux jolies femmes peu farouches, qui seraient dégotées dans une agence de casting, tendance « charme » et qui seraient chargées du buffet, du vestiaire, de la musique et de toutes ces petites choses sans lesquelles une fête ne serait pas une vraie fête.

– J’inviterais bien mes parents ! Me suggéra Mylène.
– Tes parents ? Alors que ça va tourner en orgie ?
– Ils sont très libertins, je vais leur en parler, je suis sûre que ça leur plaira. Et les tiens ?

Ben non, pas question d’inviter mes parents qui coincés comme ils sont, risqueraient de se sauver en courant. Quant aux parents de Mylène, ça me semble une idée complètement farfelue, mais ma tendre et chère doit savoir ce qu’elle fait. Ses parents habitent en province, je ne les ai rencontrés qu’une fois, je les ai trouvés sympas et ouverts mais le contact n’a pas été assez long pour que je me fasse une idée plus précise.

Il ne restait plus qu’à fixer le jour et à lancer les invitations.

On précisa aux participants qu’il n’y avait pas de liste de mariages, mais que les invités avaient le droit d’apporter des fleurs et du bon vin. Il fut également demandé que les convives fournissent un test médical récent, car précisa Mylène « Quand je me fais enculer, j’aime sentir le sperme dans mon cul » !

Attente

C’est dans une grande propriété de la vallée de Chevreuse, louée pour l’occasion que la fête devait avoir lieu.

Mylène était anxieuse ! Elle était dans un état d’esprit proche de ce qu’aurait été l’attente dans un vrai mariage ! Est-ce qu’on avait rien oublié ? Est-ce que certains couples ne feraient pas faux bond au dernier moment ? Est-ce que tout ce petit monde s’accorderait ? Est-ce l’orgie se déroulerait dans un bon esprit, sans dégénérer ? Etc, etc, et surtout une question « fondamentale » revenait sans cesse… Est-ce que ma robe de mariée m’ira bien ?

Ils avaient en effet choisi une vraie robe de mariée, elle la voulut décolletée, très décolletée même, sans pour autant être indécente, elle voulut aussi qu’elle soit courte, mais pas trop… Quant au chapeau… Ah le chapeau !

– J’ai envie de garder mes lunettes !
– Ça va pas, non ?
– Ben si, ça fait intellectuelle, et puis c’est un fantasme, les femmes à lunettes, non ?
– Fais comme tu veux !
– Je voudrais bien ton avis !

Bref, plus l’heure passait plus on sentait l’énervement.

Miranda Taylor arriva vers 16 heures. Cette grande brune aux cheveux longs était vêtue d’un tailleur rouge vif et d’un élégant chapeau à mantille. Elle s’entretint quelques minutes avec la future mariée.

– Tu me laisses improviser ou tu as quelques idées ?

Mylène lui répéta ce qu’elle lui avait déjà dit au téléphone, expliqua comment elle voyait le début de la cérémonie et déclara faire confiance à l’ex-star du X pour les problèmes de détails.

– OK ! Dis-moi simplement s’il y a des pratiques sexuelles que tu ne supportes pas !
– Pas de contraintes, pas de drogues dures, à part ça je ne vois pas bien !
– Bon à 17 heures le garçon d’honneur viendra vous chercher, je vais régler les problèmes matériels. Je voudrais être deux heures plus vieille, j’ai une de ces hâtes de te bouffer la chatte !
– Mais tout le plaisir sera pour moi !

Miranda redescendit. Les deux soubrettes s’affairaient autour du buffet, elles n’avaient pas encore adopté la tenue topless que l’on attendait d’elles. Il est vrai qu’un seul couple était arrivé, Alissa et Pascal. Il faut toujours que dans ce genre de truc les gens arrivent soit pile à l’heure soit plutôt en retard ! Pénible !

Ils se présentèrent !

– Ma tenue à l’air de vous plaire ! Remarqua l’actrice.
– Ça vous va très bien ! Répondit Alissa avec un sourire malicieux éclairant son visage de vraie rousse.
– Je crois deviner que les femmes ne vous rebutent pas ?
– J’en goûte quelques fois ? Répondit la jeune femme adoptant pour le fun le même style ampoulé que son interlocutrice.
– Nous sommes terriblement en avance… Oserais-je vous suggérer que nous nous gouttassions mutuellement afin de briser la monotonie de l’attente ?
– Chiche !
– Je crois que ces bosquets un peu plus loin conviendraient très bien !
– Moi je ne crois pas, on va se saligoter !
– Mais non, nous pendrons nos vêtements aux branches !
– Allons, allons ! Nos hôtes nous ont prévu des chambres d’amis, allons-y ce sera certes moins bucolique, mais assurément beaucoup plus pratique !
– Alors je te suis, montre-moi le chemin !
– Vous ne vous emmerdez pas les filles ! intervint alors Pascal dont on avait jusqu’ici pas entendu la voix :
– Reste donc, ici, il faut garder tes forces pour la partie !
– C’est frustrant !
– Que veux-tu, il faut bien que les femmes aient quelques avantages, nous, nous jouissons à volonté !
– C’est pas juste !

Arrivée dans la chambre, Miranda, ôta sa veste de tailleur en dessous duquel elle n’avait qu’un soutien-gorge en fine dentelle semi-transparente sous lequel on devinait de belles aréoles brunes. Alissa la regardait, la buvait des yeux et commença à son tour à se déshabiller. Miranda enleva sa jupe et sans laisser terminer sa partenaire approcha son visage du sien et l’embrassa avec fougue.

– Hum, tu as la peau douce ! Constata Miranda !
– Toi aussi !
– Bon, allez, fais-moi voir ta petite chatte !
– Gourmande !
– J’adore bouffer des chattes, c’est vraiment mon truc, j’aime bien les bites aussi, mais j’en ai tellement sucé, je suis un peu blasé de ce côté-là ! Plaisanta-t-elle.

Spontanément, Alissa s’allongea sur le lit, elle prévint sa complice !

– Profite en bien, parce que si tu es douée, tu vas voir, je pars au quart de tour.
– Ecarte-moi tout ça au lieu de discuter !
– On demande gentiment à la dame !
– S’il vous plait !
– Vas-y

Miranda débuta par une première lapée !

– Humm, qu’elle est bonne !
– Ben oui, mais elle n’est pas toute fraîche, je ne me suis douchée que ce matin !
– C’est encore meilleur ! Hum quel délice, tu me fais mouiller, salope !
– Lèche !

Quelques nouvelles lapées, puis l’actrice attaqua le clitoris de sa langue, imprimant des circonvolutions savantes autour de ce petit bourgeon érigé. Alissa se cambrait déjà, agrippait à pleine main le dessus de lit, attendant que l’extase l’envahisse, puis poussa un cri fulgurant !

– Ben dis donc toi quand tu jouis…
– Je t’avais prévenu !
– Allez, on inverse les rôles à présent !
– Mais avec plaisir, chère amie… Quand je raconterais que j’ai fait l’amour avec Miranda Taylor personne ne me croira…
– Je te dédicacerais ma culotte, ça te fera un souvenir.
– Vraiment ?
– Si je te le dis !

Un quart d’heure avant le début de la cérémonie, nos deux coquines redescendirent. Tous les couples étaient à présent arrivés, sauf un. Une petite estrade improvisée fut dressée devant le foyer de la cheminé à l’aide d’une table et d’un drap. Miranda y disposa des bougies, de l’encens, ainsi que deux coupes de champagne… vides, un tapis de cérémonie fut posé sur le chemin qu’emprunterait les deux époux, la musique était prête à jaillir des baffles ! Il ne restait plus pour Miranda Taylor qu’à se changer… Devant la noce ahurie, qui savait certes que l’ambiance serait coquine, mais qui ne s’attendait pas à ce que les choses démarrent si tôt, Miranda se mit entièrement nue dans un coin de la pièce puis se revêtit d’un collant intégral entièrement constitué de mailles noires d’environ un cm². Elle se chaussa ensuite de longues bottes qui lui galbait parfaitement ses grandes jambes, puis elle se recouvrit les épaules d’une grande cape noire, inspirée tout droit d’un mauvais film de vampire. Elle jeta un coup d’œil à son maquillage, un autre à sa montre, le mariage n’aurait qu’un quart d’heure de retard. Le dernier couple arrivait, s’excusait bafouillait.

Miranda proposa qu’on les punisse, Tout le monde approuva y compris les intéressés, qui peu contrariant offrirent leur fesses. Quelqu’un suggéra que l’on se serve des quelques orties qui avaient la bonne idée de pousser un peu plus loin. Ce fut grand plaisir pour l’assistance de voir les culs des retardataires rougir puis se garnir de cloques.

Bref tout allait bien. Puis Miranda fit signe au garçon d’honneur.

Cérémonie

Thibault qui s’était revêtu d’un drap blanc à l’instar des dignitaires romains, s’en alla quérir Mylène et Cédric, s’empêtrant dans son costume, perdant sans arrêt ses sandalettes, ce qui provoquait l’hilarité des convives. Miranda demanda alors aux invités de se disposer dans le grand salon en dégageant le tapis d’honneur, permettant aux futurs mariés de cheminer jusqu’à l’autel.

– Mesdames et Messieurs, vicelardes et vicelards, obsédés du cul et fiers de l’être, voici maintenant nos hôtes Mylène et Cédric qui dans quelques minutes vont s’unir devant nous ! Je vous demande de les applaudir ! Annonça fièrement Thibault !

La musique emplit l’espace… Non ce n’est pas la marche nuptiale de Mendelssohn, c’est de la techno envoûtante et répétitive ! Les deux tourtereaux pénètrent dans le salon sous les acclamations de la petite assemblée. Ils s’avancent lentement. Tout sourire, Mylène est saisie par l’émotion et elle ne peut empêcher une larme de couler sur ses joues fardées. Ils stoppent leur progression à quelques mètres de l’endroit où Miranda les attend. Sur un signe de cette dernière, ils s’approchent. Tout le monde n’a d’yeux que pour la scène.

Miranda accueille les deux futurs époux en les embrassant très chastement, puis se recule et d’un geste de la paume fait taire la musique

– Cédric ! Acceptes-tu de faire les meilleures et les pires obscénités pour le plaisir de ta promise ?
– Oui !
– Mylène, es-tu prête à être docile et soumise aux épreuves faciles ou moins faciles que te fera subir ton mari pervers ?
– Oui !
– Nous allons procéder, maintenant à votre union de débauche !

Personne ne sait ce que la prêtresse du sexe a préparé, mais l’excitation est à son comble.

– Je vais demander aux parents de la mariée de s’approcher de leur fille, et de rendre leur sexe accessible.

Les deux « vieux » font ce qu’on leur dit… Je n’ose imaginez la suite.

– Mylène, agenouille toi et prend la bite de ton père dans la bouche.

Incroyable de voir ça ! Le paternel bande comme un taureau et Mylène lui suce la bite comme si elle avait fait ça toute sa vie.

Ma compagne ne m’avait jamais confié qu’elle pratiquait des relations incestueuses avec son père ! Mais cela ne me choque pas outre-mesure.

– Hum, elle est trop bonne la bite à Papa, tu veux goûter ?

Je ne saurais refuser d’autant que j’apprécie de temps à autre quelques jeux avec les personnes de mon sexe. Et c’est vrai que cette bite est un régal !

Miranda fait cesser ce début de fellation et demande à ma chérie de lécher la chatte de sa mère, tout en lui introduisant un doigt dans son joli cul, elle exécute cette demande avec malice.

– Oh, Maman, tu mouilles comme une cochonne !
– C’est pour mieux te régaler, ma fille !

Et tout le monde d’applaudir.

Puis l’assemblée voit Miranda monter sur l’estrade, s’y accroupir, se placer l’une des coupes de champagne en dessous de sa vulve, fermer les yeux et se concentrer quelques instants avant de pisser dedans. Le premier verre se remplit, le second le sera également. L’assistance applaudit. Miranda redescend, se tourne vers l’estrade en profitant pour faire découvrir son superbe cul bien rebondi à tous les spectateurs. Elle lève alors deux index vers le ciel et reste plusieurs secondes dans cette position, puis plonge simultanément chaque index dans une coupe. Elle dirige ensuite ses doigts trempés de son urine vers la bouche des deux promis. Ces derniers s’empressent de lécher les index ainsi offerts, provoquant encore une fois le déchaînement des invités.

– Alors, moi, Miranda Taylor, vous déclare à partir de ce moment…

Elle marque un temps d’arrêt, fait durer le suspense :

– Je reprends… Moi, Miranda Taylor, vous déclare à partir de ce moment vicieux et salope…

Un tonnerre de rires et d’applaudissements fuse.

– … et uni devant le sexe. Parvient-elle à conclure dans le brouhaha, tandis que cette fois c’est bien la musique de Mendelssohn qui retentit.

L’émotion est trop forte pour Mylène qui pleurniche comme une gamine. Cédric relève alors son voile et l’embrasse à pleine bouche en lui pressant ses seins… Elle aime ça ! Reprenant ses esprits elle lui rend la politesse en lui palpant sa grosse verge dans son pantalon, puis en la sortant de sa braguette. Elle se penche et elle se met à le sucer habilement devant toute l’assemblée. Et il lui caresse la joue fier d’elle, lui demande de se relever.

Spontanément, Mylène remonte sa robe offrant ses fesses trempées où se mêle la sueur mais aussi la mouille… Elle a tellement envie… Là… devant tout le monde… Excité par un tel spectacle Cédric lui baisse sa minuscule petite culotte et la pénètre fougueusement par derrière. Le bruit de ses fesses mouillées se fait entendre à chaque coup de verge. Les invités n’en peuvent plus tellement ils sont excités.

Mylène à chaud. L’un de ces messieurs a carrément sorti son gros pénis de son pantalon et se met à se l’astiquer, il est bientôt imité par les autres hommes de la noce. Devant ce spectacle cochon elle glisse un mot à l’oreille de son compagnon en les regardant tous se branler et il lui enlève sa petite culotte en annonçant que celui qui l’attrapera sera le premier à sodomiser la mariée !

Il la lance. C’est spectaculaire, en un instant une véritable mêlée de rugby s’est formée, mais l’un des invites s’en extirpe et exhibe fièrement le trophée du vainqueur. Il s’approche tout en reniflant le slip et Cédric ouvre tendrement les fesses de sa compagne à cette grosse bite qui pousse doucement son anus dilaté et bien préparé… et il entame une série de va-et-vient entre ses fesses en la faisant hurler de plaisir devant son homme bien bandé.

Elle transpire ! Sa belle robe blanche est désormais imprégnée de l’odeur de sexe et elle laisse l’invité lui sodomiser son anus délicat. Elle se retourne, lui sourit afin de l’encourager. Cédric la renifle, l’embrasse dans le cou et lui lèche sa sueur sur ses tétons chauds de belle femme saine et épanouie.

Elle sent la transpiration, ses aisselles ruissellent, elle sue dans le dos, elle est folle de sexe ! Elle passe sa jolie main suavement manucurée derrière elle et saisit cette belle queue en la sortant de ses fesses devant tout le monde…. Elle se penche vivement et détaille cette bite qui vient de l’enculer ! Elle constate qu’elle polluée par un peu de merde, alors elle se met à la sucer avec gourmandise, ça ne dure pas très longtemps, le mec éjacule… il en pouvait plus, incapable de résister plus longtemps au spectacle de cette mariée qui goûtait à l’odeur de son propre cul mélangé à celle de la bite de l’homme dans sa bouche, et tout cela en se labourant énergiquement la fente de ses doigts.

Des invités se sont approchés à tour de rôle pour féliciter les mariés Les femmes amenaient leurs hommes par la queue sortie du pantalon et elles les suçaient. Pendant ce temps Cédric commençait à préparer la mariée en sortant ses généreux nichons laiteux du corset blanc et en déchirant le bas de la robe. Elle avait le cul à l’air, les tétons aussi et elle assumait parfaitement son rôle de « mariée dévergondée » qui en veut, et en veut encore…

Tout le monde se tripote, le père de Mylène se fait énergiquement enculer par un beau brun, qu’une femme doigte avec énergie.

C’est à ce moment-là que la maman de Mylène réapparut en tenant en laisse un gros chien beige.

– Un cadeau pour toi ma chérie !
– Oh qu’il est beau, comment qu’il s’appelle ?
– Joker ! Il est très doux et il adore qu’on lui suce la bite, je l’ai testé hier, je me suis régalé.
– Maman tu es une cochonne !
– Je sais ! Vas-y caresse lui la bite ! Attends je vais t’aider.

Le chien a du mal à tenir en place, la mère de Mylène lui attrape la bite qui ne tarde pas à sortir de son fourreau, elle est rouge, raide, visqueuse, elle la fait sortir entre ses pattes de derrière.

Mylène s’en empare, lèche un peu ce cylindre obscène avant d’en prendre l’extrémité dans sa belle bouche vicieuse.

– Hum ! Quel beau cadeau, tu m’as fait là, Maman, cette bite est délicieuse.
– Ça me fait plaisir que tu l’apprécie ! Voudrais-tu qu’il te couvre ?
– Oh, oui, ce doit être génial !

La mère de Mylène recouvre les pattes avant de joker avec des gants, puis fait placer sa fille en levrette, lui écarte les cuisses, puis attire le chien qui vient renifler l’endroit avant de pénétrer sauvagement dans cet orifice offert.

Mylène est ainsi labourée pendant plusieurs minutes par le chien, l’assistance, médusée ne perd rien du spectacle,

Au bout d’un moment la mère fait se retirer le chien afin d’éviter qu’il reste collé pendant sa jouissance, elle couche le quadrupède sur le côté et c’est dans leurs bouches vicieuses que Joker éjaculera sous les applaudissements des invités.

Quelques minutes plus tard, Mylène se releva et demanda à être raccompagnée dans sa chambre seule avec toutes les femmes afin de se choisir une demoiselle d’honneur.

Miranda était restée en bas, les hommes n’osaient pas l’approcher et patientaient en faisant honneur au buffet ! Quel spectacle étrange que ces hommes débraillés, la bite sortie de la braguette en train de boire du champagne et d’avaler des petits fours distribués par deux ravissantes soubrettes à la poitrine nue ! L’actrice aurait bien entreprit un ou deux de ces hommes, mais elle se devait de préserver leurs forces et leur sperme. La vedette de la soirée, ce n’était pas elle, c’était Mylène, c’était la mariée ! Alors elle décida de caresser la poitrine d’une des soubrettes, celle-ci eu un mouvement de recul, peut-être n’aimait-elle pas les femmes, tant pis, elle essaya avec l’autre, une jolie blackette beaucoup moins farouche. Deux minutes plus tard les deux femmes étaient sur le sol en pleine frénésie en train d’accomplir un soixante-neuf d’enfer au milieu des hommes réunis en cercle.

Quant à Thibault, il s’était assis dans un coin, s’empiffrait de petits fours et se demandait si cette orgie le concernait bien…

Au premier étage, les femmes s’enfermèrent dans l’immense chambre nuptiale. Notre mariée finit de se déshabiller et s’étendit sur le lit :

– Allez-y, je suis à vous ! Et soyez à la hauteur ! Ce n’est pas tous les jours mon mariage !

Elle se laissa alors caresser, tripoter, lécher et laper la chatte et le cul par ces belles femmes sensibles et prêtes à tout afin d’être désignée comme la « la salope élue » Sa mère participait elle aussi à la débauche.

Mylène finit par faire son choix sur une belle eurasienne, très salope qui la séduisit en lui promettant à l’oreille de recueillir le pipi coulant de la chatte de la mariée dans une coupe de champagne devant tous, afin disait-elle de « se saouler de ces déjections dorées de superbe blonde appétissante ». Un texte qu’elle avait dû apprendre par cœur !

Ce fut donc son choix ! Elle fit déverrouiller la porte, appela Thibault par l’interphone, lui demanda de faire monter tout le monde et d’apporter des coupes de champagne. Les hommes entrèrent à moitié nus dans cette chambre qui s’avéra un peu trop petite. Mylène était à quatre pattes dans le lit avec sa salope d’honneur. Elle prit la coupe qu’on venait de lui tendre, puis se mit ensuite à pisser dans le lit, complètement envahie par l’excitation. La demoiselle d’honneur recueillit ce qu’elle put dans une autre coupe et comme promis, la but devant tous à même le verre, cul sec, exhibant un sourire de vicieuse satisfaite et absolument décomplexée.

Un essaim de bites pénétrait à présent la mariée par la bouche, les fesses et la chatte. Les femmes n’étaient pas en reste et elles léchaient la mariée comme des chiennes affamées. Mylène fleurait et elle sentait le pipi chaud de « blonde savoureuse » et tout le monde avait envie de se soulager dans la mariée. Le sperme giclait copieusement à gros bouillons tièdes dans son rectum dilaté, son vagin était tapissé de crème et sa bouche était engluée du foutre frais et chaud des d’invités de la noce.

Tout le monde à part le « mari » l’ayant pénétré. Cédric eut alors l’idée de demander à ces messieurs de pisser tout leur champagne chaud dans le trou de balle de la mariée. Elle servait d’urinoir pour hommes, en ressentait l’étrange chaleur dans son colon. L’urine chaude l’irriguait de plaisir salace de femme dévergondée. Elle évacuait le pipi de ses fesses accompagné de sa merde, tout en gueulant comme une belle salope et fière de l’être. Quelques un des invités virent alors se régaler de ses déjections, y compris sa propre mère.

– J’ai un cadeau personnel pour la mariée ! Indiqua alors Miranda en demandant à Mylène de rester coucher sur le ventre. Elle se mit à califourchon sur son ventre et déféqua une jolie merde qu’elle lui étala ensuite sur le ventre, les cuisses et les seins. Deux petites trainés marrons sur le visage vinrent parachever cet insolite tartinage.

Le mari fut ensuite poussé sur le lit. Et il se mit à laper sa « chienne » sale et ces dames se mirent à lui pisser dans la bouche les unes après les autres à tour de rôle et il buvait, se saoulant de pisse de femme devant sa propre compagne. N’en pouvant plus, il tira aussi délicatement que possible Mylène par les cheveux et lui déchargea dans sa bouche avec une véritable frénésie animale.

Lendemain

La fatigue vint. Certains des invités partirent à l’aube, d’autres rejoignirent les chambres d’amis qu’on leur avait réservées. On retrouva Miranda Taylor endormie sur un canapé, avec la serveuse antillaise dans ses bras.

Nos deux tourtereaux se confinèrent avec la fille et le garçon de déshonneur. Mylène se mit à jouer avec le pénis de son mari, elle s’amusa à le diriger dans la fouffe de l’autre et dans son cul… Mais elle voulait encore aller plus loin, et demanda à Cédric de s’introduire entre les fesses de Thibault, le garçon d’honneur. Celui-ci écarta volontiers ses fesses car il adorait se faire enculer.

Plus tard, elle lui ordonna de lécher la chatte et le trou du cul de la demoiselle d’honneur. Voilà qui redevenait plus classique pour Cédric qui ne se doutait pas que ces léchages ne seraient qu’un prélude, car il lui faudrait ensuite faire la même chose au garçon d’honneur.

Elle l’invita à lécher le cul de Thibault, puis lui demanda de lui sucer la bite. Il le fit mieux que la reine des queues, que n’aurait-il pas fait afin de satisfaire sa mariée exigeante ? Il n’avait pas sucé beaucoup de bites dans sa vie, mais quand l’occasion se présentait, il ne rechignait pas.

Et avant de remercier les deux derniers invités elle demanda au garçon d’honneur d’enculer son « mari » et de jouir dans son fondement tandis que la fille d’honneur faisait un pipi chaud dans sa bouche.

Quand Thibault ressortit du cul de Cédric, sa bite était couverte de sperme et de merde. Mylène s’empressa de la rendre propre.

Ensuite, fourbus de sommeil, ils se sont endormis ensemble dans un épouvantable lit imbibé de sperme, de sueur, d’urine, et pollué de traces merdeuses.

Elle se réveilla avec lui assommée par la fermentation des secrétions de la noce le lendemain dans l’après-midi dans les restes de leurs costumes corrodés, brisés de plaisir, souillés mais fiers. Elle le regarda en souriant en lui disant :

– C’était bon, c’était divin !
– Mais dis-moi avec tes parents, tu l’avais fait souvent…
– Oh, deux trois fois…
– Ah !
– Je ne regrette qu’une chose, j’aurais bien vu un âne que j’aurais sucé…
– Mais ma chérie, tu as déjà eu un chien !
– Oui mais un âne d’est encore mieux ! Et toi tu voudrais quoi ?
– Juste un bisou

FIN

Boris Vasslan 11/2002 d’après une short-story de Sphak (revue en 6/2011 et en 2018)

Post face : Ce récit écrit primitivement à quatre mains ne m’avait jamais vraiment plu, le style ampoulé de Sphak s’accordant assez mal avec le mien. Estimant que depuis le temps il y a prescription j’ai retravaillé le texte en y ajoutant quelques un de mes fantasmes et en supprimant quelques incongruités. Ça me plait mieux ainsi, mais ça reste un peu bancal, il faudrait que je réécrive tout de bout en bout…

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18 réponses à La mariée propose… (ou le sex-mariage de Mylène) par Boris_Vasslan

  1. Dominguez dit :

    Dommage qu’il y ait quelques lourdeurs sans doute provoquées par l’écriture à quatre mains, sinon c’est un bon délire

  2. Solveig dit :

    Si tu ne bandes pas en lisant ça, c’est que t’es mort !

  3. Rodney dit :

    Y’a plus aucune limite alors ?

  4. Honorine dit :

    La nana qui suce la bite de son père puis qui suce la bite d’un chien en compagnie de sa mère ! Non mais allo, quoi ! Rarement une histoire porno m’avait excité comme ça !

  5. Broky dit :

    Moi qui déteste les mariages, j’aurais bien aimé être invité à celui-ci !

  6. Chastaing dit :

    Quel festival, tout y passe, difficile de ressortir intacte de cette lecture diabolique. . Boris je t’aime ♥ ♥ ♥

  7. Boris Vasslan dit :

    Merci pour tous ces commentaires, ça me fait plaisir ♥

  8. Lise du Sud dit :

    Quelle tourbillon, mes amis, j’en suis toutes choses. Un festival de perversité et de situations inouïes , à déguster, la main dans la culotte.

  9. Lucia dit :

    Le récit est extrême, de la scato, de l’inceste, de la zoo… mais je le trouve parfaitement dosé et maîtrisé. Et putain, qu’est-ce que ça peut-être excitant !

  10. Werber dit :

    Quel catalogue de perversions ! Ça m’a fait bander terrible !

  11. Heurtebise dit :

    L’auteur a beau dire que c’est bancal, la lecture de certains passages m’a provoqué une érection du tonnerre de Dieu. Quelle ambiance et que de perversités accomplies dans la plus saine décontraction

  12. Sorenza dit :

    Un thème intéressant, mais l’écriture à deux mains n’est jamais une bonne solution, ici les passages écrit par Boris Vasslan se devinent et sont bien supérieurs à ceux de l’autre auteur

  13. Bussieres dit :

    un fantasme intéressant qui mériterait d’être réécrit d’une seule main

  14. sapristi dit :

    Un fantasme assez rare mais très jouissif, j’ai trouvé. Dommage que l’écriture à eux mains se fasse sentir, car en la matière les passages écrits par Boris Vasslan sont bien mieux que les élucubrations de Sphax

  15. Leroux dit :

    Quand même, sucer la bite de son père, c’est un peu limite, je trouve 🙁

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