La couturière à domicile (Coutumes, mœurs et métiers d’antan) réédité par Ursulin Neveway

La couturière à domicile (Coutumes, mœurs et métiers d’antan) réédité par Ursulin Neveway

Elle sonnait à la porte des pratiques dont elle avait la clientèle, en général des familles aisées.

On lui ouvrait, elle entrait et, tout de go, on la foutait à poil. Elle-même retirait de bonne grâce sa petite culotte pendant que les dames présentes montraient qui leurs seins, qui leurs dos.

La partouze achevée, la couturière s’absorbait dans ses travaux d’aiguille. On lui donnait cent sous. C’était la belle époque.

Cette image et le texte qui l’accompagne ont été créés pour le magazine Hara-Kiri (merci à eux) et nous ont été envoyé par Ursulin.

2 – Marie-Laure

Marie-Laure est couturière à domicile depuis 25 ans, un peu vicieuse, un peu gouine, un peu dodue, elle adore venir faire des travaux de couture chez les belles bourgeoises matures. Parfois pendant la prise des mesures, sa main s’égare sur la chatte de sa cliente. C’est un jeu à risque et elle aime le prendre, c’est parfois la gifle, mais souvent la cliente l’invite à continuer et le jeu se poursuit un peu plus loin, sur  le lit…l

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Dans la même série :

Le père fouettard
Le porte coton
La couturière à domicile
La femme porte parapluie
La teneuse de bites

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3 réponses à La couturière à domicile (Coutumes, mœurs et métiers d’antan) réédité par Ursulin Neveway

  1. Leloup dit :

    Joli fantasme !

  2. Janvier dit :

    C’était le bon temps

  3. bertrand dit :

    Hara-Kiri, quelle nostalgie !

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