Karine et son chat par Elian Lvekman

Karine et son chat par Elian Lvekman

Salut, je m’appelle Vincent, j’ai 26 ans et je vais vous raconter une aventure fort étrange mais néanmoins bien agréable, qui vient de m’arriver.

Cet été-là, ma copine m’ayant quitté, je passais des vacances en solitaire dans le Languedoc-Roussillon.

Comme quasiment tous les soirs vers les 18 h, j’étais sur la bord de la plage en train de lire un bouquin érotique que j’avais acheté d’occasion et dont le ton primesautier me convenait fort bien. Tout en me délectant de ma lecture, je regardais les nanas sur la plage, et bien que l’on soit début juin, il y avait de jolies petites foufounes à se faire dorer.

C’est ce jour-là que je vis passer une superbe femme, la quarantaine passée, que j’avais déjà remarquée la veille au soir en compagnie de son mari. Elle portait un maillon de bain deux pièces très sexy et très échancré, de couleur jaune qui faisait ressortir son teint hâlé, avec un paréo jeté sur ses épaules, blonde (une vraie, j’ai pu le constater plus tard) avec un corps somptueux, à faire pâlir les minettes de 20 ans… Alors qu’elle remontait en direction de la route, elle passa près de moi, me dévisagea sans aucune gêne, me fit un magnifique sourire et me demanda si par hasard je n’aurais pas une cigarette.

J’accède bien volontiers à sa demande, et après avoir allumé la clope, elle porte un regard amusé sur le bouquin que je suis en train de lire.

– Vous lisez du Zola ?
– Pas exactement !
– C’est intéressant ?
– Un peu coquin !
– Vous êtes seul ?

Je lui explique en deux mots.

– J’aimerais bien continuer à discuter avec vous, mais il commence à faire frais. Je vous paie un verre ?
– C’est moi qui vous invite ! Répondis-je.
– N’allons pas engraisser ces voleurs, ma location est à deux pas, venez donc.

Vous vous doutez bien que je me fis pas prier. Je l’accompagne jusqu’à sa résidence. Elle avait un cul superbe dans ce petit string jaune, il commençait à me venir des idées lubriques, aussi pour savoir où était son mari, je lui dis que je les avais déjà vus la veille au soir et lui demandai s’ils avaient passé la nuit ici. Elle me répondit que oui, et que son mari était parti avec des amis faire de la voile pour la journée, et que préférant se prélasser sur la plage, plutôt que de se faire secouer dans un bateau, elle attendait son retour en fin de soirée. Elle me servit un coca bien frais et je pus profiter du panorama de son p’tit cul tendu vers moi, quand elle se pencha pour le prendre dans le frigo. Elle se rendit compte rapidement que je n’avais pas le moral, je lui expliquai pourquoi, elle me dit que la vie était faite ainsi, et qu’il ne fallait pas baisser les bras, qu’il y aurait plein de nanas sur terre, et qu’il y en avait sûrement une pour moi.

Puis elle excusa, et elle partit se changer dans la chambre. Cette petite bourgeoise commençait franchement à m’émoustiller avec son p’tit air de chienne. Aussi je restai les yeux rivés sur la porte d’entrée de la chambre, qu’elle avait laissé entrouverte. Et quelle ne fut pas ma surprise quand je vis cette dernière s’ouvrir. En effet Karine (c’est le prénom de cette charmante bourgeoise) se tenait dans l’encadrement de la porte, compétemment nue !

Elle remarqua mon regard plein d’envie, me demandant si je la trouvais désirable, je lui dis que oui, qu’elle était très bandante. Elle regarda vers mon maillot et ne put que constater que je ne mentais pas. Elle vint vers moi. Elle était vraiment très bien foutue pour une femme de son âge : des seins bien fermes, un p’tit minou taillé avec soin, des hanches et un cul à damner un saint !

Elle n’y alla pas par quatre chemins, me fit signe de la rejoindre dans la chambre, puis se pencha vers moi, m’embrassant à pleine bouche. Nos langues s’emmêlèrent, c’était divin. Je sentis sa main défaire le nœud de mon maillot et descendre vers ma queue, qui était déjà très tendue, elle me branla un peu puis se mit à genoux entre mes cuisses et sortit ma queue de sa prison de tissu. Elle prit mon gland dans sa bouche, fit rouler sa langue dessus, puis d’un seul coup se l’enfila au fond de la gorge. Elle se mit à faire des aller-retours, je sentais sa langue qui me caressait la queue en même temps qu’elle me suçait, c’était divin ! C’était une experte, on voyait qu’elle prenait un pied royal rien qu’à sucer, et jamais on ne m’avait pratiqué une fellation comme celle-ci !

Elle me caressait les testicules en même temps et d’un coup, je sentis un doigt caresser mon anus, puis d’un p’tit coup sec, elle me l’introduisit. Voilà une sensation que je n’ai pas connue depuis bien longtemps, mon ex ayant toujours refusé, malgré mes demandes discrètes, de toucher à ma rosette. Karine reprit de plus belle sa succion sur ma queue bien dure. Je crois que si j’avais essayé de lui l’enlever de la bouche, je n’y serais pas arrivé : elle était accrochée à ma bite comme une sangsue.

C’est alors que j’entendis un bruit bizarre provenant du dressing. D’instinct je regardais dans cette direction.

– T’inquiètes pas, c’est le chat ! Me rassura Karine, interrompant un court moment sa fellation pour la reprendre de plus belle.

La chambre se remplit de bruits de succion et de nos râles, je vis sa main descendre vers son minou, je la vis se caresser, je ne pouvais plus tenir, j’allais jouir, je le lui dis. Elle se mit à me branler en même temps qu’elle me suçait, et là c’était trop bon : je lui déchargeai dans la bouche de longs jets de sperme tout chaud.

Après deux ou trois jets, elle sortit ma queue de sa bouche et continua à me branler, se prenant tout le reste de mon sperme sur le visage et dans les cheveux… c’était une vraie chienne… J’étais vidé, mais bien décidé à lui rendre la pareille, aussi je la pris par la taille, je la couchai sur le lit et là elle m’ouvrit ses cuisses et je pus enfin me retrouver nez à nez avec son joli p’tit minou tout blond et impeccablement taillé, juste un p’tit trapèze sur le pubis, qui s’arrêtait au début des grandes lèvres, le reste étant totalement épilé. C’était très excitant, je plongeai ma tête vers ce sexe gonflé par le désir et qui n’attendait que ça ! Mais si elle était experte en fellation, je ne pouvais pas prétendre à la pareille en matière de cunnilingus, mais néanmoins j’adore ça, je pourrais bouffer un minou des heures durant, si on ne me suppliait parfois d’arrêter.

Je titillai son clito avec ma langue, alternant les succions, les mordillements, et bien sûr je ne laissai pas de côté son vagin, d’où sortait une abondante cyprine, (une vraie chienne je vous dis !) Elle mouillait comme une salope. C’était divin de laper ce miel qui coulait de son sexe. Tout en continuant à lui lécher le clito, je lui introduisis un doigt, puis deux dans le vagin. Elle me prit la tête à deux mains et compressa mon visage contre son sexe. Elle prenait son pied, elle eut un orgasme terrible, je sentis son corps se tendre sous les caresses de ma langue, je montai à mon tour sur le lit et elle se remit à me sucer pour que ma queue retrouve toute sa vigueur. Ne voulant pas perdre de temps, je la saisis par la taille, et nous voilà partis dans un 69 fort agréable, j’avais au-dessus de ma tête un cul splendide.

Je lui aspirai son clito, tout en la fouillant avec un doigt, puis je ressortis mon doigt, lubrifié par sa mouille et lui l’introduisis dans l’anus. Elle avait l’air d’aimer ça, ce qui m’encouragea à en introduire un deuxième. Pas besoin de salive : elle était de plus en plus mouillée. Ne tenant plus et ayant envie de me bourrer ce p’tit cul, je lui arrachai ma queue de la bouche et pris un préservatif dans mes affaires. Elle me l’arracha des doigts, l’ouvrit, le prit dans la bouche et se baissa sur ma queue pour me l’enfiler avec la bouche. J’avais déjà vu faire dans un film X, mais jamais on ne me l’avait jamais fait.

J’avais vraiment eu une bonne idée de venir sur cette plage ce soir-là : j’étais tombé sur une salope en chaleur. Elle me suça un peu avec la capote, mais maintenant je voulais la prendre, la remplir de ma queue, je lui dis de se mettre à quatre pattes. Je frottai mon gland contre sa fente et son clito, elle poussait des soupirs. Je positionnai ma queue face à son vagin et d’un coup de reins, je m’enfonçai jusqu’à la garde, lui arrachant un râle de plaisir. Je la saisis fortement par les hanches et je commençai à lui défoncer la chatte, mon pubis venant à chaque fois claquer fortement contre son cul.

De nouveau le chat se mit à faire du bruit.

– Il est enfermé ?
– Non, non, il joue ! T’occupe pas, baise-moi !

Elle se cambra au maximum, pour sentir ma queue au plus profond d’elle. Elle avait la tête et les épaules sur le lit, et se mit à prendre ses fesses dans ses mains et à les écarter, comme pour que j’aille encore plus profond. Je voyais son petit œillet brun se détendre, je compris qu’en fait elle voulait que je l’encule. Ne réfléchissant pas plus longtemps, je sortis ma queue de son sexe, plaçai mon gland contre son anus, et je commençai à pousser doucement, pour faire glisser ma queue dans ses entrailles. Là elle donna un grand coup de bassin en arrière et ma queue la pénétra d’un trait. Je n’allais pas assez vite à son goût, et elle avait très envie de se faire défoncer la rondelle apparemment, alors je commençai à lui limer le cul tout doucement, et puis de plus en plus fort. Elle était déchaînée et remuait en même temps que moi.

Je lui défonçai littéralement le cul, et elle aimait et en redemandait, elle gémissait et se tordait de plaisir. Au bout d’un moment un peu fatigué par ce pilonnage en règle, je me retirai de son p’tit trou et m’allongeai sur le dos. Elle se mit à califourchon sur moi, et fit glisser ma queue dans sa p’tite chatte, et elle reprit les va-et-vient… Elle était en pleine extase, son visage était beau à voir, avec le plaisir qui l’illuminait, puis d’un coup sans crier gare, elle se leva un peu plus que d’habitude, faisant sortir ma queue de son sexe, puis la guida vers son anus et exerça un forte pression. Elle s’empala à nouveau l’anus sur ma queue, elle se déchaîna comme une folle sur celle-ci et d’un coup elle se raidit et partit en arrière. Elle venait d’avoir un orgasme foudroyant.

Je me remis sur elle et lui replaçai ma queue dans son vagin. Je repris de plus belle les va-et-vient, elle criait son plaisir, elle gémissait comme une folle, une vraie furie, je sentais le plaisir monter pour moi aussi. Je me retirai, ôtai la capote et je lui tendis ma queue, qu’elle commença juste à sucer, quand je lui envoyai la purée en plein visage. Elle était aux anges, elle me suça jusqu’à la dernière goutte, ma queue reluisait de sa salive, elle était nickel…

Je me suis couché à ses côtés, elle est venue se blottir dans mes bras, elle m’a dit que cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu une baise comme ça et que maintenant avec son mari, c’était pour l’hygiène, et que ce n’était plus aussi intense qu’avant, et qu’il lui arrivait de temps en temps de trouver des jeunes hommes assez gentils pour combler son manque de queue.

Vu qu’elle m’avait dit que son mari n’arrivait que vers les 22 h, je me levai pour aller chercher deux cigarettes, puis vient me rallonger près d’elle. Moment divin de détente après le plaisir… Pendant que j’allumai ma clope, Karine me caressait ma queue, qui avait débandé après tous les efforts fournis, elle branlait ma p’tite bite toute flasque, mais qui sous ses caresses expertes, commençait de nouveau à réagir.

Il n’en fallut pas plus à la jolie blonde pour se jeter dessus comme la syphilis sur le bas clergé breton. Elle recommença à me sucer d’une façon totalement divine : c’était le pied royal, elle me suça avec frénésie, agaçant mon frein, mon gland avec sa langue, alternant les caresses de la langue, avec des succions terribles accompagnées d’un mouvement de branlette. A ce rythme-là, ma queue se mit à lui déverser à nouveau mon plaisir dans la bouche. Elle frotta ma queue pleine de sperme sur son visage et la remit en bouche pour ne laisser aucune trace. Elle remonta vers moi, je l’embrassai à pleine bouche, échangeant nos salives et mon sperme

Il fallait que je me lève pour pisser… Et c’est à ce moment que j’entendis de nouveau le chat se manifester, un drôle de bruit, comme un raclement étouffé.

– Il doit être coincé ton chat ?
– Mais non, ne t’inquiètes pas !

Mais voilà que le  » chat  » se met à tousser. Un chat qui tousse ? Imaginez mon trouble.

– Bon, ben sors, Robert ! On va s’expliquer ! Lance Karine à l’intention du placard.

Et voilà qu’un bonhomme rondouillard, moustachu et dégarni, nu comme un ver et la bite en étendard sort du placard.

– Pas de panique, je t’explique ! Me dit Karine, alors que je commençai à rassembler mes fringues.
– Je m’en vais, je m’en vais. Balbutiai-je.
– Mon mari est voyeur, il se régale de me voir me faire baiser par des hommes plus jeunes. Voilà, c’est tout simple.
– D’accord, OK, pas de problème, j’ai passé un bon moment, mais je vais peut-être partir, maintenant.

J’ai l’idée de m’enfuir à toutes jambes, mais le type à l’idée malencontreuse de rester planté au seuil de la porte, je ne peux tout même pas le bousculer.

– Allons, allons, jeune homme, acceptez donc un verre d’apéritif, la situation est insolite, mais n’a rien de dramatique. Me propose le bonhomme.

Je décide donc d’accepter de boire un coup et de partir après. En fait contre toute attente, le type se révéla super sympathique et plein d’humour, après quelques échanges de banalités, il me dit :

– Vous m’avez bien fait bander, comment vous l’avez bien baisée cette chienne ! J’adore la regarder se faire prendre, et comment vous l’avez enculée, c’était génial !

Et tout en disant cela il se tripote la queue qui devient bientôt toute raide.

– Tu veux qu’il te suce ? Me demande Karine.

Question incongrue, à laquelle je réponds par reflexe.

– Non, non, j’ai plus de jus, j’ai tout donné !
– Le contraire alors ?

J’ai du mal comprendre.

– Tu ne voudrais pas le sucer ? Insiste Karine
– Non, non ! Je ne fais pas ça !
– Ça lui ferait plaisir, je crois, et puis ça me ferait plaisir à moi aussi. Insiste Karine.
– C’est pas mon truc !
– Qu’est-ce que tu en sais ?
– Je ne suis pas attiré par les hommes.
– Mais on ne te demande pas d’être attiré par les hommes, on te demande juste de sucer une queue. Faut tout essayer dans la vie.
– Vous m’embêtez un peu, là !
– On n’embête que les gens qu’on aime bien. Encore un petit verre de Banyuls pour te motiver.
– Un demi-verre, alors !

Est-ce mon inconscient qui me guide, je viens de me rendre compte que je ne dis plus  » non « . Je bois une lampée d’apéro, je croise le regard de Karine : elle ne me dit rien, mais il est clair qu’elle attend  » que j’y aille « .

– Juste un peu, alors ! Je n’ai jamais fait ça, moi !
– Pas de problème ! Approuve-t-elle avec le plus délicieux des sourires.

Je me penche et j’engloutis la queue de Robert. Je suis agréablement surpris par la texture de son membre et de la sensation agréable de l’avoir en bouche. Mais je réalise aussitôt que je suis en train de sucer une bite et que ça ne me déplait pas. Quelque chose ne va pas, je me recule.

– Voilà, on avait dit juste un peu ! Commentai-je
– On va le sucer à deux, me propose alors Karine.

Je ne sais par quel miracle je me suis retrouvé l’instant d’après en train de partager la bite de Robert avec sa femme, mais cette fois rien ne nous arrêtait plus. Au bout de dix minutes, Robert eut le tact de se reculer afin de m’éviter de recevoir son sperme sur la figure.

– Tu restes pour diner ? Me proposa Robert.
– Pourquoi pas ?
– Et après si on est pas trop fatigués on jouera au chat !

Fin

Merci à Christian de Sophiexxx (site disparu) pour l’ambiance.

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10 réponses à Karine et son chat par Elian Lvekman

  1. Biquet dit :

    Original et bien tourné

  2. Janot dit :

    Fallait oser ! Bravo !

  3. gaston dit :

    Insolite et délicieux

  4. Azrael dit :

    D’ordinaire, ce sont les amants qui sont dans le placard, bonne idée d’y avoir mis le mari !

  5. asa1515 dit :

    Et bien non ce n’est ps un récit zoophile, c’est un récit de mari dans le placard, et ça m’a fait bien bander

    • Fulrug dit :

      Joliment tourné. Ensuite, il faut adhérer a ce fantasme un peu particulier. Un pas que je n’ose pas encore franchir.

  6. Caval dit :

    Bien cette histoire, chaude à souhait, à part le mot « chienne » qui n’avait pas lieu d’être.

  7. Cocuforever dit :

    J’aime.

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