Jeune fille pour vous je délire ! par Serge Virinoviev

Jeune fille pour vous je délire ! par Serge Virinoviev

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Jeune fille pour vous je délire !

Je vous vois jeune fille si chaste et si sérieuse,
Assise près de votre maman les genoux serrés,
Baissant craintivement vos yeux bleus diaprés
Alors que pour vous durcit ma queue audacieuse.

Je voudrais écarter vos jambes mademoiselle
Afin de voir votre culotte de coton bien sage,
Sur elle venir troublé y appliquer mon visage,
Me griser de l’odeur de votre minou de pucelle.

Dans mon slip mon sexe tourmenté s’impatiente,
Rêvant d’être branlé par votre petite menotte
Si douce, si fine, qui tendrement me décalotte,
Voyez ce que j’endure ma nymphette innocente.

A quoi pensez-vous couchée dans votre petit lit
Quand votre main s’aventure vers votre pubis,
Qu’avec votre index vous excitez votre clitoris
Sachant que monsieur le curé vous l’a interdit ?

Essayez donc de deviner ce qui se passe en moi,
Percevez-vous toutes mes pensées inavouables ?
Ensemble oublions tout ce qui est raisonnable,
Un sourire de vous pourrait chasser mon émoi.

Votre jolie petite fente vierge j’adorerais lécher
Et dans la raie de vos fesses ma langue enfouir,
Avec elle dépuceler votre rosette, vous faire jouir,
Vous murmurer à ma bite de bien vous accrocher.

De votre étroit vagin que n’a défloré nul phallus
J’aspire à savourer son exquis parfum de cyprine
Mêlé à celui de votre jeune pipi qui me fascine
Comme m’enivre aussi la suavité de votre anus.

Ne rougissez pas et laissez vos doigts ma coquine
Me pétrir, me caresser, me palper les couilles,
Comme elles priseraient sur elles vos papouilles,
Alors qu’avec béatitude vous contemplez ma pine.

Mon sperme j’offrirais à votre bouche en cœur,
Je vous apprendrais à me sucer mon gland luisant,
Vous verrez vous trouverez rapidement plaisant
Sur votre langue rose de recueillir ma liqueur.

Mais hélas je délire et je sais bien que ce soir
C’est en évoquant votre odorante vulve angélique
Que je me masturberais de façon frénétique,
Regrettant qu’éjaculant vous ne puissiez me voir.
Serge Virinoviev

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