Je suis une serveuse 18 – Fin de soirée chez Sophie – partie 3 par Trinity

Je suis une serveuse
18 – Fin de soirée chez Sophie – troisième partie
par Trinity


Les phrases prouvant ma soumission du moment sortaient naturellement, j’avais envie de lui obéir, de lui faire plaisir, et même de lui plaire. Sa chambre était décorée avec goût. De nombreux miroirs étaient accrochés dans la pièce. Sophie me poussait sur le lit, me fit ôter mes escarpins, m’ordonna ensuite de remonter ma jupe le long de mes jambes, jusqu’à mes reins, et de me mettre sur le dos.
– Lève tes bras ma chérie. Voilà !

Elle venait d’attacher mes mains à des menottes se trouvant aux coins supérieurs du lit. Je la regardais sans réagir, me demandant tout de même se qui allait m’arriver. Elle écartait ensuite mes jambes, et le même traitement leur a été fait. Immobilisé, Sophie se frottait à moi, passant son corps sur le mien, remontant sa longue jupe afin de faire crisser nos bas. Elle remontait à mon visage, m’embrassait à nouveau profondément. Ses attouchements étaient terriblement excitants, j’étais au septième ciel. Le fait d’être à se merci devait jouer beaucoup. Elle prenait mon sexe en main, descendait une fois de plus vers mon entrejambe.
– Alors petite Erika, qu’aimerais tu faire maintenant ? Dis-moi que tu aime ton sexe emprisonné dans ma main.
– J’aime votre main emprisonnant mon sexe.
– Bien, je suis certaine que tu as appréciée mes attouchements sur ton petit cul serré, je me trompe ?
– Non Mademoiselle, c’était étrange mais exquis.
– Alors, demande-moi de recommencer !
– Mademoiselle, pouvez vous me toucher à nouveau mon cul ?
– Mieux que cela petite soumise, ce ne sont pas des manières de jeune fille bien éduquée !!
– S’il vous plait Mademoiselle Sophie, pouvez vous recommencer vos caresses expertes sur mon petit trou ?
– Voilà qui est bien mieux ! Tu apprends vite Erika, j’apprécie, je vais pouvoir faire quelque chose de ta petite personne.

Son doigt s’insinuait rapidement entre mes fesses, passant devant mon trou à plusieurs reprises avant d’y pénétrer. L’ensemble de ces caresses me faisait un effet terrible. Je fermais les yeux et appréciais, tout simplement.
– Supplies moi maintenant une feuille de rose !
– S’il vous plait Mademoiselle, faites moi une feuille de rose.
– Mieux que ça, soumise !
– Pourriez-vous pratiquer sur moi une feuille de rose, s’il vous plait Mademoiselle ?

Elle plongeait immédiatement vers mon sexe, le faisant entrer entièrement dans sa magnifique bouche, histoire de me faire défaillir, puis descendit très vite vers mon anus palpitant. Sa langue dardant de suite au plus profond de mon petit cul, je n’en pouvais plus et laissait échapper un gémissement d’abandon. Tout en faisant cela, Sophie me masturbait, ce qui n’arrangea rien à mon état. Soudain, sa langue sortit de mon fondement, et au lieu de cet organe chaud, je sentis une chose bien plus froide à l’entrée de mon anus ouvert. J’entrouvris les yeux, et en me penchant, remarquai un petit gode en or, fin et lisse qui me pénétrait en douceur. Le bout avait déjà parcouru quelques millimètres dans mes chairs et là encore, je m’abandonnai au plaisir, sans penser à autre chose qu’à ce moment de pur bonheur d’abandon ultime et si nouveau pour moi. J’étais attaché au lit d’une jeune et jolie femme, moi-même étant vêtu en fille pas si sage, me faisant goder, Sophie effectuant maintenant une fellation du tonnerre, et pourtant pour rien au monde, je n’aurais échangé ma place. Voyant clairement que je ne tiendrais pas longtemps à ce rythme, surtout qu’elle faisait des va et vient de plus en plus rapides et amples, elle retira sa bouche de mon sexe.
Elle se retourna, me présentant ses fesses joliment encadrées par le même porte-jarretelles que moi, me plaquant sans fioritures son sexe sur ma bouche. Je n’en attendais pas tant et m’empressa de la lécher comme il se doit. Elle était toute mouillée, me laissant penser que le traitement qu’elle me faisait endurer ne la laissait pas indifférente. Quelles sensations exquises, même si elle ne s’occupait plus de mon sexe, mon anus s’ouvrait et l’effet ressenti était tout aussi fort qu’une bonne fellation, c’était différent mais aussi bon. Après quelques minutes de cet excellent traitement, ayant pris son pied, elle descendit du lit, laissant le gode fiché dans mes fesses, s’éloigna après m’avoir embrassé longuement : quel bonheur, vraiment !
Je la regardais prendre une sacoche, puis elle se retournait et me photographia dans cette drôle de situation (pas si drôle pour moi d’ailleurs !!!!).
– Fais-moi un joli sourire, comme ce soir au DUO !
– Mais Sophie, arrête, je n’ai plus envie de jouer.
– Comment m’as-tu appelé ? Tu manque vraiment à tous tes devoirs : tu me désobéis lorsque je te demande de sourire et en plus tu me manque de respect !
– Pardon, Mademoiselle Sophie, pourriez-vous arrêter s’il vous plait.
– Nous sommes entre nous, ma belle soumise, et je veux graver cet instant dans le temps. De plus, tu apprécieras de te voir comme cela tout à l’heure, tu verras comme tu es belle et sexy dans ces dessous et cette position d’abandon. Maintenant souris !

Je souriais, contraint et forcé. Elle fit le tour du lit, tout en mitraillant, m’ordonnant des poses de total abandon. Voulant mettre un terme à ses agissements, je me pliais à ses exigences. Après quelques minutes, elle posa l’appareil et revint enfin vers moi, un sourire exquis sur le visage. De suite et sans préambule, elle monta à califourchon sur moi, me présentant à nouveau ses fesses à lécher : je ne m’en privais pas. Appréciant cette caresse, elle ne resta pas inactive. Je sentis qu’elle faisait aller le gode dans mes fesses tout en touchant à mon sexe. J’allais rapidement exploser, mais Sophie devait sentir l’arrivée imminente et retira ses mains de mon sexe ainsi que le gode en or. Ce dernier fut remplacé par quelque chose de plus gros, je le sentis pénétrer doucement dans mes chairs mais ne je ne pouvais pas voir ce que c’était. Je sus après que c’était un plug, avec une base plus étroite pour le maintenir en moi sans l’aide de quiconque. Elle retira son sexe de ma bouche, me laissant à nouveau respirer normalement, mais elle me chevaucha de suite, s’empalant sur mon sexe en totale érection. Immédiatement, elle se souleva en rythme, ne me laissant aucun répit. Elle prenait son plaisir, c’était clair, moi aussi d’ailleurs, jamais je n’avais connu pareille fête sexuelle. Elle prit encore de la vitesse, appuyant de temps en temps sur le plug fiché dans mes fesses, se tenant parfois les seins, m’embrassant et enfonçant sa langue dans ma bouche. Je ne tins pas longtemps et partis dans une jouissance telle que je faillis m’évanouir. Sophie s’abattit sur moi, tel un pantin, repue mais ayant clairement pris un pied terrible. Après quelques secondes, elle se relèva, en sueur, m’embrassa longuement.
– Quel pied, cela faisait longtemps que je n’avais pas joui comme ça, cela fait du bien non ?
– Oh oui !
– Oui qui ?
– Oui Mademoiselle Sophie, pardon.
– Je préfère.

Elle se retira de mon sexe, se mit en position de 69, mais au lieu de nettoyer mon sexe qui commençait à ramollir, elle retira le plug et passa sa langue sur mon anus ouvert. Pendant ce temps, je dus boire le mélange de nos secrétions intimes, c’était une première pour moi, décidemment j’allais de découverte en découverte, ce qui pour le moment n’était pas pour me déplaire. Le mélange était plutôt crémeux et salé, mais j’appréciais la situation, surtout que les caresses prodiguées par Sophie n’y étaient pas étrangères.
– Alors, petite coquine, tu as l’air d’apprécier le traitement, ton cul reste bien ouvert et lubrifié naturellement, hummm. Ton sexe reprend du service rien qu’en te faisant une feuille de rose, c’est rare, j’adore ! J’ai déjà pratiqué la sodomie avec certains de mes amants, souvent ils débandent quand ils sont sodomisés ou alors ils jouissent de suite, bref généralement je ne recommence pas, sauf pour certains jeux SM. Mais là, tu m’étonnes : tu as parfaitement maintenu ton érection, me donnant un plaisir sans nom mais en plus je vois que tu es à nouveau d’attaque. Aurais-je trouvé enfin la perle rare, la relation sexuelle que je cherche depuis longtemps ?
– Humm, merci Mademoiselle Sophie, c’est un honneur, et …humm, le plaisir est réciproque, malgré toutes ces nouveautés.
– Tais-toi petite sotte et bois mon jus de femme ! Tu es une bonne fille, tu m’as donné du plaisir, imagines maintenant que je viens de rentrer d’une soirée, que tu m’a attendu sagement et que tu bois le jus de mon amant, petite soumise que tu es!!!

Je recollais mon visage à son sexe pour le boire. Cette soumission totale envers cette jeune femme fut une révélation : ma place était là, sous elle, sous son pouvoir, je devenais inéluctablement sa chose, son jouet, son esclave sexuel. Jusqu’où ira son emprise sur moi ? Je l’ignorai et je ne savais comment régir pour la suite. Tout simplement, j’appréciais le moment présent et je verrais plus tard. Revenant à la réalité, je ressentais une nouvelle pénétration du plug dans mon intimité et Sophie pratiquait une nouvelle fellation exquise. Par ce double traitement, je ne tardais pas à partir, Sophie buvant mon nectar, et moi buvant le notre. Quelle soirée inoubliable ! Elle se relevait, m’embrassa, me faisant couler l’ensemble de mon foutre dans la bouche, elle m’ordonna de l’avaler sans tarder, chose que je fis sans trop de difficulté.
– C’est parfait ma chérie, tu as été charmante, bien au-delà de mes espérances. Je vais peut-être faire quelque chose de toi, hihi!
– Merci Mademoiselle Sophie.
– En attendant, nous allons dormir un peu car il tard, et tout à l’heure une grosse journée nous attend, bien qu’agréable – en tout cas pour moi – et il faut se reposer.
– Bien Mademoiselle Sophie.

Elle descendit du lit, alla se doucher, me laissant attachée, en tenue affriolante, offerte. Elle ne mit pas trop de temps, rentra avec une nuisette blanche translucide, un pur bonheur pour les yeux. Elle me délia, je n’osai bouger, elle ôta le plug et me dit d’aller me démaquiller avec tout le nécessaire dans la salle de bain, de me doucher, de bien plier l’ensemble de mes accessoires féminins, et de venir la rejoindre dans le lit. Je fis tout ce qu’elle me demanda.
Arrivant devant elle dans la chambre, elle me regarda arriver nu, le sexe pendant, imberbe, penaud, les deux mains tenues devant moi.
– Dis donc, une jeune fille en devenir ne doit absolument pas se tenir ainsi, tu dois être fière de ton corps, fière de le montrer à ta Maitresse, surtout après ta prestation. Viens ici ma chérie ! Tiens, enfile ceci (la même nuisette qu’elle portait, mais rose), que l’on dorme entre filles cette nuit, mais attention pas de tache sur ce joli déshabillé, petite coquine, tu as déjà sali le string et les bas que je t’ai prêté, je ne veux pas que cela se reproduise, compris ?!!
– Bien Mademoiselle Sophie, merci.
– De rien, viens me rejoindre, et pas touche, sauf si je te l’ordonne.
– Oui Mademoiselle.
– Bonne nuit Erika.
– Bonne nuit Mademoiselle Sophie.

J’étais encore tout émoustillé de ces dernières heures. J’étais étendu aux côtés de cette superbe jeune femme, désirable, sexy, ayant sur moi une autorité naturelle, qui étrangement me plaisait et me convenait de plus en plus. Puis je tombais de sommeil, comblé dans bras de Sophie.

Cette suite vous a plu ? Ecrivez moi à trinitytrav@gmail.com pour des réflexions, des remarques, ou des encouragements, cela me fera toujours plaisir, et m’encouragera de continuer de vous donner du plaisir de me lire, bises.
Trinity

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3 réponses à Je suis une serveuse 18 – Fin de soirée chez Sophie – partie 3 par Trinity

  1. georges dit :

    Elle est bizarre cette saga, j’ai l’impression qu’on ne sait pas on l’on va et que l’auteur non plus !

    • Eddy dit :

      Vous ne croyez pas si bien dire ! D’ailleurs la sage s’arrête net au chapitre 21 et l’auteur n’a jamais répondu à mes relances

  2. Kiroukou dit :

    Ça continue dans le même ton que l’épisode précédent, c’est pas mal mais la surprise n’est plus là. Je me demande le pourquoi de cette séance de photographie non souhaité par Trinity. J’espère me tromper mais je sens venir le chantage… Ce qui serait contraire à la charte. Par le passé Eddy a plusieurs fois saqué des récits en cours qui viraient au chantage…

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