Je les ai tous essayés par Jean-Michel_et_Martine

Les vacances commençaient mal. Très mal. Nous avions décidé de partir un jour plus tôt et de faire un détour par Villedieu les poêles. Martine voulait faire des photos à l’usine qui fabrique les cloches et en ville, avec tous les cuivres en façades, spécialités de cette ville.

Alors que nous mettions les valises dans la voiture, il se mit à pleuvoir. Pensant à ses photos qu’elle sentait déjà compromises, elle râlait maudissant la météo.
Puis la pluie tomba vraiment. Mauvaise ambiance pour un départ en vacances. Cette fois, la conversation dans la voiture était vraiment au point zéro. Je tentai quelques échanges sur de prochaines activités possibles une fois à destination sans grand succès. Décidément ma Martine avait le moral à plat. Je savais que dans ces cas là, il était inutile d’insister. Le bruit monotone des essuie-glaces finit par l’endormir.

Nous roulions depuis prés de deux heures sur la N12 et nous approchions d’Alençon. Le soleil faisait une timide apparition. J’arrêtai les essuie-glaces ce qui sortit Martine de son sommeil

– Tiens….Voilà le soleil. Impec ! Dès que tu vois un coin sympa arrête-toi pour le petit déjeuner
– On est presque à Alençon. On s’arrêtera en ville pour une pause croissants-café-pipi.
– Pas la peine. Il y a des sandwiches dans le sac, du café plein la Thermos et quant au pipi je m’en remets à toi pour t’arrêter dans un petit coin où on ne sera pas surpris de voir deux mecs faire leur vidange prés de leur voiture.

Il est vrai qu’avec son jeans, son blouson, sa casquette emprisonnant ses cheveux, vue depuis la route, elle pouvait passer pour un homme. Je m’arrêtais avec son accord sur un de ces petits parkings pouvant recevoir deux ou trois voitures en bordure de la route, avec pour tout équipement une poubelle récoltant tout ce que l’on peut abandonner dans de tels lieux. Une épaisse haie le fermait de chaque côté. Une barrière en fils barbelés la séparait d’une prairie où paissait tranquillement un troupeau de vaches. L’endroit était idéal pour une petite pause.

On sortit les sandwiches du sac, et tout en mangeant, le soleil revenu aidant, Martine retrouvait le moral et faisait des projets de visites, de sorties, de photos et de siestes.

– C’est vrai… Chez nous même le dimanche… Il n’y a plus de sieste. C’est bon aussi la sieste hein ?… dit-elle avec son petit rire en me regardant.

Oui vraiment son moral était revenu. Pour faire « descendre » les sandwiches au jambon, il y eut ensuite un coup de Contrex puis un café dans des tasses en plastique.

– C’est comme dans les stations-service. Ce sont des gobelets en plastique, mais mon café est meilleur quand même que le leur… Non ? Bon… Alors maintenant : Chapitre 3… Vidanger le thé bu ce matin avant le départ.

Du regard elle balaya la situation. Une haie à chaque bout et les vaches au milieu.

– Bon….Vu….Çà marche. Mais si tu voulais te mettre en marche arrière au bout du parking, çà éviterait qu’un autre se mette derrière nous et avec la haie on sera fermés de ce côté là.

Je mis donc la voiture juste à l’entrée du parking de sorte qu’un arrivant inopiné devrait s’arrêter loin devant nous. Bouché à l’arrière et éventuellement la porte avant ouverte, la place paraissait bonne pour nous deux. Même jeans baissés Martine avait connu pires possibilités.

– Vas-y Jean-Mich’… J’arrive.

Je n’avais pas attendu son invitation, et en passant par l’arrière de la voiture et la haie, en rien de temps je fis ma vidange pendant qu’elle farfouillait dans son fourre-tout à ses pieds. Je terminais quand elle annonça en descendant et laissant la porte ouverte :

– Ah !… J’en tiens un !

Et sortant de la voiture, elle tenait à la main un genre de petit sabot en carton blanc et vert, long de huit ou dix centimètres dont il n’était pas difficile de deviner l’usage et ce qu’elle allait donc en faire.

– Je te laisse ou je monte la garde ?….Demandai-je.
– Oh !….Allez… D’habitude tu restes ! Tu me vois souvent pisser. Fais le garde du corps. Surveille si une voiture ne met pas son clignotant pour s’arrêter devant nous.

Autrement dit : Tu restes mais tu ne me regardes pas de trop prés. Une voiture passait à quelques mètres derrière nous à 90 kilomètres à l’heure toutes les trois ou quatre secondes. Evidemment, notre stationnement à cet endroit paraissait des plus normal vu de la nationale.
Je feignis un air désintéressé, mais ne pus m’empêcher malgré moi de glisser un œil vers ma petite pisseuse et son accessoire. Je la vis descendre avec soin la fermeture « Eclair » de la braguette de son jeans, puis écarter juste un eu les pieds. Le jeans ouvert, le slip mauve apparut. De la main gauche elle tira sur la jambe et je devinais deux doigts fouillant entre les lèvres de son sexe. Elle glissa de l’autre main le petit sabot avec précaution entre les lèvres ouvertes. Il n’y eut que deux secondes avant qu’un beau petit jet tombe doucement dans l’herbe à ses pieds. Voyant que mon regard avait quitté la route pour sa braguette ouverte, elle me dit faussement courroucée :

– C’est comme cela que tu assures ma sécurité ?
– Je suis une sentinelle admirative. Dommage qu’il n’y ait pas le petit murmure de la source.
– Eh non… Avec ça pas de musique. Pour des raisons techniques. Mais en vacances je t’expliquerai. J’ai pris tous mes « trucs » à cette intention.

Le jet terminé je proposais :

– Tu veux un kleenex ?
– Non….Merci……Avec çà pas la peine. Pas une goutte à côté…….Et elle ajouta me tendant son petit nécessaire :
– Tiens….Met le dans la poubelle pendant que je referme mes persiennes. C’est biodégradable, mais çà n’est pas une raison pour le larguer dans la nature.

Je m’exécutai pendant qu’elle s’adressait à quelques vaches curieuses qui s’étaient approchées de la clôture :
– Vous n’aviez jamais vu cela hein mesdames ? Vous voyez je suis plus discrète que vous !

On redémarra et elle m’assura qu’elle avait dans sa valise un tas d’accessoires qu’elle avait réussi à ce procurer à ce jour sur internet. J’eus droit à la promesse de démonstrations et d’explications techniques. Là….c’était un « pipi nécessité ». Mais il y en aurait beaucoup d’autres variés dès que possible ou….nécessaires.

Il y eut encore deux autres « arrêts-pipi » avant l’arrivée à Villedieu. L’un dans un petit resto modeste aux toilettes mixtes mais où évidemment je n’eus pas accès en même temps qu’elle et un autre dans une station-service où elle dût faire la queue côté « Dames ». Elle en sortit en râlant, évidemment, en voyant que je l’attendais.

– Ah ! Si seulement j’avais l’audace d’aller pisser chez les mecs… J’en gagnerai du temps !

En début d’après-midi, nous avons trouvé sans peine l’hôtel Saint Pierre-Saint Michel, mais avec plus de peine une place pour mettre la voiture. Le soleil était franchement présent. Martine avait vraiment retrouvé son moral car elle put faire tout une pellicule sur la fabrique des cloches et les cuivres de la ville ce qui lui a permit à la rentrée de participer à une exposition sur ce thème.

La chambre était confortable mais modeste. Pour une nuit, cela suffisait bien. Le cabinet de toilette devait faire tout au plus trois mètres carrés sur lesquels se tenaient la douche, les W-C, et un lavabo. La place était vraiment mini dans la cabine de douche, ce fut chacun son tour.

Par contre avant que nous nous mettions au lit, je pus admirer mon « innocente » Martine debout devant le lavabo, nuisette remontée jusqu’au milieu de ses petites fesses, les jambes jointes et bien droites, qui me gratifiait d’un pipi gazouillant à souhait. Un coup de gant de toilette mit fin au spectacle. Elle me croyait déjà au lit et pas devant la porte du cabinet de toilette.
– Eh bien non… Je ne vais pas changer mes habitudes parce que je suis en vacances. Et d‘ailleurs……ajouta t-elle en riant…….qu’est-ce que tu faisais là à la porte vicieux ? Allez, viens au lit te faire pardonner. Je sens comme une grosse envie de ta queue.

—–0—–
Le lendemain matin, redépart cette fois vers Ploudalmézeau et Portsall, tout au bout du Finistère. Itinéraire plusieurs fois coupé par des pauses dans des stations services nombreuses sur les grandes routes.

L’appartement répondait bien à notre attente, la propriétaire franchement sympa nous attendait avec une bouteille de cidre. Boisson particulièrement diurétique qui obligea ma petite pisseuse à deux passages rapprochés aux toilettes avant les courses pour le déjeuner du lendemain matin. Fatigués, pour le dîner de ce premier soir, ce serait resto. On nous en avait indiqué un sympa à la sortie de la ville. Petites tables pour deux que l’on rapprochait si nécessaire. Ambiance calme. Bon enfant. Carte variée. Prix raisonnables. Service assuré par le patron et son épouse sympa. Nous ne pensions pas y faire une rencontre vraiment inattendue.

Le patron nous servait l’entrée quand son épouse installa un couple prés de nous, à la table voisine. Visiblement la dame sursauta en nous voyant… Nous répondons à leur « Bonsoir », nous demandant pourquoi cette surprise. Cette dame avait constamment des regards sur Martine. Elle se pencha vers celui qui devait être son mari et lui parla à voix basse. De notre côté, surpris l’un et l’autre, nous nous demandions s’il ne s’agissait pas de clients ou de relations que nous ne reconnaîtrions pas. Mais non….Un grand vide dans notre mémoire. Martine me regarda en haussant les épaules et nous continuons à manger nos crudités.

Cette fois ce fut deux paires d’yeux qui nous dévisageaient. Il y eut une petite discussion à voix basse, et la dame n’y tenant plus s’adressa à Martine :

– Oh, Madame, excusez-moi de vous faire cette remarque, mais vous ressemblez tellement à une dame d’une photo d’Internet que nous en sommes surpris.

Je reçus un coup de pied sous la table que je traduisis par :

– Attention !…Tu as compris ?…. On marche à deux.

Martine d’un air vraiment innocent manifesta une surprise feinte et demanda un complément d’explications devinant qu’en particulier avec sa queue de cheval et ses lunettes, elle ressemblait vraiment à celle dont il était question.

Notre voisine de table nous révéla que sur un site appelé « Vassilia », il y a une rubrique illustrée par la photo d’une jeune femme qui ressemble terriblement à Martine. Oui, évidemment, nous sommes « branchés » Internet, mais nous ne connaissons pas ce site. Martine eut alors l’idée de demander au patron de rapprocher nos tables pour faciliter la conversation à voix basse. Ce qu’il fit, et nous avons été tout heureux d’apprendre que nos récits intéressaient nos interlocuteurs. La conversation amicale qui s’en suivit dura prés de deux heures et roula sur tous les sujets et sur certains thèmes de Vassilia. Nous nous amusions, Martine et moi, à marcher sur la corde raide sans nous trahir. Nous nous sommes quittés en promettant que, dès la rentrée, nous irions faire connaissance avec Vassilia et cette fameuse photo.

Tout nous porte à croire que ce couple partage les mêmes goûts que nous et sans doutes les mêmes pratiques que nous. Qu’ils nous pardonnent quand ils liront certainement ce récit de ne pas nous être dévoilés. Mais nous espérons qu’ils seront heureux d’apprendre qu’ils ont dîné avec Martine et Jean-Michel. Nous leur rappelons aussi que cette photo est bien celle d’un sosie.

De retour à l’appartement, nous étions pris entre le fou rire et la crainte de faire d’autres rencontres du même type. Mais depuis des années c’est la première fois que cela arrive. Bien fatigués l’un et l’autre par la route, nous ne pensions qu’au sommeil réparateur. Pourtant Martine eut un sursaut :

– Dis…Jean-Mich’….T’as vu ?… Puisque les toilettes sont séparées de la salle de bain, je le fais où mon pipi du soir ?
– Ca dépend. Tu m’avais promis de me faire une démonstration de tes accessoires.
– Ah non…Pas ce soir. Et c’est pour dans la nature. Promis.

J’entendis un grand bâillement sonore, dont seule Martine a la spécialité, venir des toilettes dont la porte était restée ouverte. Ma petite pisseuse, nuisette remontée jusqu’à la taille était confortablement assise sur le siège, cuisses jointes, menton sur les poings, et coudes sur les genoux. Ses yeux fermés donnaient à penser que le sommeil n’était pas loin. Un bruit de fontaine la faisait ressembler à une statue de jardin public sous laquelle passerait un ruisseau. Après mon propre passage aux toilettes, je la trouvais allongée sur le dos, au bord du lit, talons prés des fesses, cuisses écartées, sexe entrebâillé.

– Tu ne saurais plus faire un petit effort pour moi ?….minauda t-elle
– Je te croyais fatiguée ?
– Je le suis… Mais pas elle !….précisa t-elle en pointant son doigt vers le bas de son ventre.

J’avoue que cette position qu’elle m’offrait était plus que tentatrice. Comment résister à cet appel ? Baissant le pantalon de mon pyjama, je frottais ma bite sur sa fente tout doucement. Elle se laissait faire, passive, et je l’ai senti se mouiller rapidement. Ses jambes levées atterrirent sur mes épaules. Je pris cela pour un signal et je la pénétrai. Mes mains passèrent sous sa nuisette pour s’occuper de ses tout petits tétons. Elle serrait la bouche pensant sans doutes que la propriétaire pouvait être dans une chambre voisine. Ses poings fermés frappaient le lit et s‘agrippaient au drap. Je ne pus résister longtemps et je la rejoignis dans son plaisir.

– Et bien……dit-elle….Après cinq cents kilomètres de route… C’est pas mal hein ?

—–0—–
Le lendemain le soleil était toujours là et nous en avons profité, après les courses indispensables, pour aller jusqu’à la côte de Portsall célèbre depuis le naufrage de l’Amoco Cadiz.

Premières photos de Martine. Première cohue parmi les touristes qui tous s’étaient donnés rendez-vous sur le port. Martine me fit remarquer que de l’autre côté du port la route touristique longeait la mer. Le temps de sortir la voiture coincée dans une petite rue et trois minutes plus tard nous nous trouvions sur un petit chemin tortueux qui longeait le bord de mer et les rochers, plus sympa que les cafés et les terrasses enfumées.

Appareil photo à l’épaule pour Martine et petit sac à dos pour moi, nous marchions sur ce chemin vraiment accidenté en regardant bien où nous posions les pieds. Pour le retour pas de problème, c’était dans l’autre sens, au bas de la roue un peu plus haut.

Soudain Martine poussa une exclamation devant une composition de rochers.

– Il y a tout : les rochers, la mer, les nuages, et un goéland bien posé à la bonne place.

Elle descendit quelques pas pour se trouver dans de meilleures conditions. La photo faite, assis face au rivage, nous faisions une petite pause après un coup de Contrex. Nous appréciions le site et le calme après l’agitation de la veille. Contrairement à l’habitude, ce fut moi le premier qui trouva que le coin était parfait, à l’abri des regards pour une vidange.

– C’est pas une mauvaise idée !… renchérit Martine.

Et à peine avais-je terminé que je la trouvai prés de moi prête à en faire autant.

– Ne fais pas comme à la pointe du Raz l’année dernière, prends le sens du vent ou gare à tes jambes moussaillon !
– Oui… Je m’en souviens capitaine Jean-Michel. Un bon marin pisse toujours par vent arrière.

Continuant la blague, elle mouilla son index de salive, le tint en l’air et déclara :

– Il vient de par-là. Je m’installe donc ainsi.

En disant cela, elle se trouvait quasiment tournée vers moi. En jupes, vraiment aucun problème pour elle, et entrejambe du slip tiré, les lèvres écartées par deux doigts, j’eus la foufoune épilée en face de moi prête à se lâcher. Connaissant ma Martine, je sentis là une petite provocation étant donné qu’elle pouvait être plus discrète et je me demandais quelle attitude à adopter. J’avais vu juste. Le pipi tardait à venir, Martine, sans doutes pas tout à fait innocente. Le hasard m’aida. Le goéland s’envola en ricanant du rocher voisin.

– Et alors….protesta Martine….t’es pas content toi de voir une fille pisser ? Et bien va ailleurs….T’as raison.

Je fis semblant de rectifier :

– Non… Ce n’est pas la vue qui l’incommode… C’est l’odeur de crevette.
– Quoi ?… protesta t-elle… Tu oses dire que ma foufoune sent la crevette ? Dès que j’ai réussi à pisser, tu viens lui présenter tes excuses au lieu d’un kleenex.

Mais visiblement le pipi tardait. C’était comme d’habitude dans ce cas là. Il aurait suffit que je ne me comporte plus en voyeur, ou Martine en exhibitionniste, pour que tout s’arrange. Mais le jet attendu arriva enfin après cinq ou six nouvelles secondes d’attente. Energique, passant prés de moi, pour atterrir à un mètre entre deux rochers.

Gardant le slip ouvert, elle réclama l’exécution de la sentence et je pris beaucoup de soin, trop même, pour appliquer ma langue à sécher sa fente à peine humide. Je sentis bientôt un autre goût arriver quand elle m’arrêta :

– Bon….J’admire ton zèle au travail pour te faire pardonner. Donne-moi quand même un kleenex ou alors je ne réponds de rien. Et ici, ça n’est quand même pas l’endroit idéal. Je suspends momentanément la sentence. Tu es pardonné en attendant des circonstances plus favorables à l’exécution de ta peine.

—–0—–
Il n’y avait pas un jour sans au moins une averse. Qui a dit que la Bretagne était une région humide ? Pascal, un correspondant breton assure que c’était exceptionnel. Soit. Mais ce jour là, depuis le matin… il pleuvait, et à quatorze heures nous hésitions entre sieste, lecture ou Sudoku.
Martine m’avait parlé plusieurs fois de sa collection « d’accessoires » et je lui rappelais que sur la route, elle m’avait promis de me les faire voir. Elle accepta mon offre. Elle sortit un petit sac en peau noire d’une valise et vida son contenu sur le lit.

– Avec mes recherches sur Internet, je tombe souvent sur des sites où l’on vend ces petits engins. J’ai essayé tous ceux que j’ai pu me procurer, et je pourrais publier une étude sur ce sujet. En fait, neuf fois sur dix, je peux me passer d’accessoire. Il n’y a guère qu’en pantalon plus collants, plus slip que c’est vraiment utile. Tiens…celui-ci c’est mon premier, le Travelmate, c’est celui que tu m’as offert pour Noël (Lire « Le cadeau du père Noël »). Il est bien mais demande un peu de précision pour l’ajuster à la bonne place. Un peu d’entraînement quoi. Mais il fonctionne bien.

J’ai trouvé un plan pour en découper un dans du papier imperméable. Mais moi j’ai pris des vieux papiers photo, et j’en ai préparé d’avance évidemment.

– Je me souviens que tu as faisais les poubelles du labo. C’était donc pour cela ?
– Et il y a ceux en carton qui ressemblent à de petits sabots ouverts au bout, du type que j’ai utilisé sur la route en venant. Et puis, il y a cette horreur. Un genre d’entonnoir ovale que tu dois appliquer sur toute la foufoune. Evidemment, l’entonnoir se remplit et tu mouilles tout. La productrice appelle cela le « Calice urinelle », et un autre du même genre « The whiz ». Ma dernière découverte, c’est le meilleur, le plus pratique, plus facile à utiliser que le « Travelmate », c’est « mon » « Freelax ». sans doute pour Liberté et Relax. C’est une gouttière en plastique longue de dix centimètres, large de deux et fermée à un bout. Evidemment, rien qu’à le voir, on devine comment çà fonctionne. Tu mets le côté fermé entre les petites lèvres, en dessous de la sortie et tu laisses aller ton pipi normalement. C’est mon préféré. C’est inusable. Il faut juste un peu passer à l’eau dès que possible, il se range dans un petit étui en plastique. Mais il me reste quelques engins en carton, je te ferai voir.
– Bravo pour ton exposé. Il ne me manque que les travaux pratiques.
– Dès que le soleil se montre, tu auras une démonstration. L’idéal c’est en pantalons, avec ou sans collants. Tu as vu sur la route en jeans ajustés c’est bien pratique. Mais en jupes, c’est bien utile aussi. Tiens l’autre jour, j’ai pensé que je devais te chercher sur Internet un cadeau spécial pour Noël. Sais-tu ce que je voudrais t’offrir ?… Une poupée gonflable… Mais une qui fait pipi.

Contente de sa blague, elle partit d’un grand rire au point que ses mains se rejoignirent entre ses cuisses pour partir vers le couloir. J’osais la suivre sans lui demander son avis. Je la poussais vers la cabine de douches, levais sa jupe et tirais sur l’entrejambe du string. Elle m’avait laissé faire, toujours en riant, et bientôt un énorme pipi inonda mes doigts et partit en désordre pendant qu’elle se tenait de chaque côté de la cabine. Le rire s’arrêta avec le flot.

– Et bien…. Je ne me suis jamais tant marrée. Descend mon string, il est trempé. Trempe le gant de toilette sous l’eau chaude et lave-moi, puisque tu m’en as foutu partout petit cochon.

Je m’exécutai avec plaisir. Je prenais mon temps à la laver et elle appréciait visiblement. Maintenant, la jupe toujours levée, elle m’invita en disant :

– Puisqu’il pleut encore, déshabille –toi, toi aussi. Une petite sieste à deux …ça te dit ?
Oui évidemment. Mais ce qui suivit ne s’appelle pas une sieste.

—–0—–
Quelques jours plus tard, le soleil daignait parfois se montrer entre deux nuages il fut même possible de tenter quelques photos entre autres au Parc du Moulin Neuf, genre jardin public avec un mini zoo et une grande pièce d’eau remplie de canards Nous étions en quête de clichés quand Martine se souvint avoir vu des toilettes à l’entrée. Il fallait tout traverser le parc. Je lui indiquai un petit passage marqué « Chemin de randonnée ». Il paraissait désert, on s’y aventura. Fidèle à sa promesse, bien qu’en jupes, Martine sortit de son fourre-tout un sabot « génius lady », et complaisante, elle accepta en rouspétant quand même un peu, que je fasse une photo au « numérique ».

– Bon… O.K… Le bas seulement hein ! ….Et je cache l’essentiel.

Un dernier coup d’œil de chaque côté du chemin et elle leva un peu sa jupe. Je devinais qu’elle écartait la jambe du string pour ajuster entre les lèvres son « génius lady ». Elle insista pour que je fasse la photo avant l’arrivée du pipi. Ce que je fis considérant cette autorisation comme inattendue. Un petit jet tranquille et régulier s’écoula bientôt du sabot pour tomber devant elle.

– Et tu vois avec ça ou avec le « freelax », on écarte les petites lèvres. C’est pour cela qu’il n’y a pas le petit bruit de la source. Mais on ne peut pas tout avoir. Il n’y a plus qu’à le mettre dans une poubelle.

Chaque sortie se faisait avec le « Freelax » dans le sac qui avait détrôné le « Travelmate » un peu plus difficile à utiliser. Bien qu’inutile en jupes, Martine le trouvait à l’usage rassurant. Sans compter son petit côté interdit qui suscitait l’érotisme. Elle m’avait caché sa petite collection et ses tests, et il avait fallu cet arrêt sur la route des vacances pour que je découvre aussi son côté pratique. Je crois que l’on en reparlera encore.

Jean-Michel et Martine
janmich59@wanadoo.fr

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